Les plus impatients peuvent cependant acheter des places pour la projection en avant-première publique du 7 novembre à 20 heures, à l’UGC Normandie, avenue des Champs-Élysées. Nous avons vu ce film qui a déjà fait couler beaucoup d’encre, pas toujours dans le sens souhaité par ses auteurs.
"En tant que coscénaristes du film Sound of Freedom, il a été difficile de voir la controverse partisane nous détourner de l’intention profonde de notre travail : utiliser le pouvoir du cinéma pour sensibiliser à la réalité de la traite des enfants", déplorent Alejandro Monteverde (également réalisateur du film) et Rod Barr dans une tribune publiée le 14 août 2023 dans The Hollywood Reporter.
"Nous avons été sidérés de découvrir la polémique qui a entouré la sortie du film aux États-Unis en juillet dernier, tant l’écart avec le contenu du film était grand", commente en écho le distributeur, Saje Distribution.
Une polémique arrivée jusqu’en France, puisque avant même la sortie du film dans l’Hexagone, des médias ont évoqué les "thèses complotistes" qu'il relaierait selon eux.
Il n’en est rien. Sound of Freedom est avant tout un film d’action haletant, inspiré de la vie de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure des États-Unis, affecté à l’unité chargée de la lutte contre la pédocriminalité sur Internet. Après des missions d’infiltration pour combattre le tourisme sexuel impliquant des enfants, Tim Ballard démissionne en 2013 pour créer Opération Undergroung Railroad, une fondation dont l’objet est de sauver les enfants victimes de réseaux les réduisant à l’esclavage sexuel.
Avec Sound of Freedom, le spectateur suit le héros, incarné par Jim Caviezel, dans son travail d’agent fédéral puis dans de périlleuses opérations de sauvetage qui le conduiront en Amérique du Sud.
Un thriller captivant inspiré de faits réels.
Lucifer et les anges déchus existent-ils ? Et s’ils existent ont-ils une quelconque influence sur notre monde ? Nous remercions nos ennemis de venir aujourd’hui à notre rescousse. Leurs allusions de moins en moins voilées à l’empire d’une spiritualité globale, et qui n’est certes pas celle de Jésus-Christ, ont plus de poids que nos prédications pour convaincre nos contemporains déchristianisés de l’existence de ces puissances nuisibles qui sont à l’œuvre dans l’histoire des sociétés et des hommes. Les chrétiens n’y croient plus mais les thuriféraires du mondialisme n’ont pas de doute à ce sujet et ont choisi leur camp. Donnons-leur la parole en cette première conférence ; recueillons leurs aveux.
C’est le Président de Civitas lui-même qui a réalisé les édifiantes collectes des témoignages de cette spiritualité inversée, antichrétienne, voire ouvertement satanique, professée par les mentors du mondialisme.
Lorsqu’on sait qu’il coûta 14,5 millions de dollars à réaliser, dont 5 millions de dollars furent financés par 7235 personnes, on comprend rapidement pourquoi il s’est classé (pour l’instant) à la 25e place des films les plus rentables de 2023 aux États-Unis !
Il y a donc indéniablement une demande de la part du public. Un public complotiste et adepte des théories QAnon d’après la presse qui joue soit la technique de l’édredon en n’en parlant pas, soit la carte du film conspirationniste.
Il est vrai qu’après des années d’affaires politico-financières et trois années de Covid-19, les peuples sont échaudés. Ils se sont éveillés à des nouveaux sujets, et beaucoup mènent à quelques thèmes centraux qu’on ne détaillera pas ici mais dont la pédocriminalité de réseau (de réseau étant justement la partie centrale, celle qui est toujours éludée) fait partie du trio de tête.
Le film relate l’histoire de Tim Ballard, un ancien agent du gouvernement qui s’est lancé dans une mission pour sauver les enfants des trafiquants sexuels en Colombie. Fondateur et PDG d’Operation Underground Railroad (OUR), PDG de The Nazarene Fund et auteur de plusieurs livres, Ballard a sauvé avec son organisation des milliers d’enfants, mais aussi d’adultes, victimes d’esclavage sexuel.
En 2018, Tim Ballard avait réalisé un documentaire avec son équipe des forces spéciales qui avaient infiltré un réseau de trafiquants de sexe en Haïti puis traduit ceux-ci en justice après qu’ils avaient échappé à la prison grâce à des pots-de-vin. Vous retrouverez ce documentaire sous-titré en français dans les liens en référence ci-dessous (Operation Toussaint, noté 8,7/10 IMDB).
À l’occasion de la sortie du film Sound of Freedom, Florian Philippot rappelle dans cette courte vidéo à la fois le succès du film mais surtout l’inquiétude générale des médias, des people et du personnel politique face aux informations qui sont données au public.
Le film "The Sound of Freedom" a récemment captivé les spectateurs, dont le tiktoker Marc Mercier, qui en est ressorti profondément ému. Ce long-métrage rappelle la réalité horrifiante du marché des enfants victimes de trafic. Ce film suscite des réactions intenses chez les spectateurs qui vont le voir, les plongeant dans un état de choc et de larmes.
« The Sound of Freedom », réalisé par Alejandro Monteverde, met en scène l’acteur Jim Caviezel, connu pour son rôle de Jésus-Christ dans « La Passion du Christ » de Mel Gibson. L’histoire tourne autour d’un agent fédéral qui, après avoir sauvé un jeune garçon de trafiquants impitoyables, découvre que la sœur du garçon est toujours captive. Déterminé à la sauver, il se lance dans une mission périlleuse.
« The Sound of Freedom » aborde un marché dont l’ampleur est méconnue : l’esclavage moderne, un commerce estimé à 150 milliards de dollars et en augmentation de 5 000 % ces dernières années. La majorité des victimes sont des enfants, surpassant ainsi tous les records historiques de l’esclavage. Contrairement aux idées reçues sur une évolution positive de notre société, notre planète est un enfer sur terre pour des millions d’enfants.
« Ils ne veulent pas que les gens voient ce film. Je me bats pour ma vie en ce moment, vous comprenez ? »
Comme enregistré par Box Office Mojo, "Sound of Freedom" a rapporté plus de 14 millions de dollars au total : 11,5 millions de dollars en ventes directes au box-office et 2,6 millions de dollars provenant des billets Pay It Forward vendus pendant les vacances du 4 juillet. Selon Deadline, "Indiana Jones" a rapporté 11,698 millions de dollars au total, malgré le double de nombre de salles.
"Sound of Freedom", diffusé dans seulement 2.600 salles, raconte l'histoire vraie du parcours d'un homme pour lutter contre le trafic sexuel d'enfants. Le film d'Angel Studios est basé sur la vie de Tim Ballard, un ancien agent du Département américain de la sécurité intérieure, qui a quitté son emploi parce qu'il voulait faire plus pour sauver les enfants de l'esclavage moderne.
Le film délivre un message audacieux appelant à la liberté de millions d'enfants réduits en esclavage dans la traite des êtres humains, déclarant que "les enfants de Dieu ne sont pas à vendre".
Réalisé par Alejandro Monteverde, "Sound of Freedom" met en vedette Jim Caviezel ("Passion of The Christ"), l'actrice oscarisée Mira Sorvino ("The Final Cut"), Bill Camp ("12 Years a Slave") et José Zúñiga ("Twilight "). En plus d'agir dans le film, Eduardo Verástegui ("Unplanned") est le producteur du film.
Le film a reçu un A+ CinemaScore, un score de critiques de 85% et un score d'audience de 99% sur Rotten Tomatoes.
"Grâce aux fans de tout le pays, 'Sound Of Freedom' a remporté la première place en tant que film américain numéro un le jour de l'indépendance. Nous avons reçu de nombreux messages nous informant que les cinémas sont pleins à craquer. Ce film a maintenant pris vie de lui-même pour devenir quelque chose de plus, un mouvement populaire", a partagé Neal Harmon, PDG d'Angel Studios, dans un communiqué avec The Christian Post.
Le WSJ et des chercheurs de l’Université de Stanford et de l’Université du Massachusetts à Amherst ont mené une enquête à grande échelle sur l’algorithme d’Instagram et ont découvert que non seulement Instagram héberge du contenu pédophile, mais qu’il vend spécifiquement l’accès au viol d’enfants aux pédophiles en utilisant des mots de code du pizzagate.
L’assaut final des forces lucifériennes contre l’humanité a pris une ampleur sans précédent maintenant pour deux raisons principales.
La première. Le bannissement de Dieu de l’esprit collectif des masses a triomphé (Le fait que certains d’entre nous fréquentent encore des lieux de culte ne nous dispense pas de la pénétration dévastatrice d’une vision profondément matérialiste dans nos esprits, nous poussant dans un état de schizophrénie).
Deuxième. Les acquis de la techno-science, induits par les forces infernales de certains « scientifiques » diabolisés, permettent l’exercice d’un contrôle total sur les masses mondiales par un très petit groupe de personnes.
L’action subversive du serpent biblique contre l’homme ne s’est pas arrêtée un instant depuis la tentation d’Ève au Paradis jusqu’à aujourd’hui. En Occident, cela s’est manifesté à travers la Réforme, la Renaissance, le Siècle des Lumières, la Révolution française. Ainsi l’effondrement de la Modernité a tracé une ligne de dégradation continue de l’Humanité. Scientisme, Technolâtrie, Progressisme, Transformisme, Anthropocentrisme ne sont que quelques noms de cette maladie spirituelle mortelle.
Et si l’on croyait que l’Homme, la nature et la société pouvaient être refaçonnés à l’infini, nous sommes aujourd’hui arrivés au stade terminal de la diabolisation du monde. Elle se manifeste par la désagrégation définitive de l’harmonie et de l’équilibre dans le monde. L’agression contre l’Humanité, lancée avec une force dévastatrice, prend des formes telles que la liquidation de la famille, l’anéantissement de la maternité, le meurtre rituel des bébés à naître, le féminisme, la théorie du genre, la légalisation de la sodomie, la pédocriminalité, la sexualisation des enfants.
Protégé vos enfants, c’est une obligation et votre devoir, ils veulent les traumatiser à vie et les emmener en enfer, ils n’ont plus rien à perdre et tente le tout pour le tout pour pervertir et effondrer l’humanité.
En effet, au travers du “LGBêtise” premièrement, ce sont les réseaux pédophiles qui sont aux commandes, en second, c’est la diminution de la population au même titre que les vaccins, les guerres, les maladies, pour l’extinction de l’humanité comment ? Tout simplement en empêchant la reproduction naturelle de l’humain et troisièmement, le transhumaniste pour leur récolte d’argent avec l’industrialisation et le commerce de leurs usines à bébé grâce aux enlèvements ou autres viols que nous connaissons tous dans les tunnels, aider aussi aux travers par des associations (comme l’ASE pour la France et tellement d’autres dans le monde inventé par le plus grand pédophile anglais). Le tout en excuses pour “commercer de l’humain” pour leur plaisir divers.
La suite est de procéder aux “transhumanistes par ventes et contrôle, seulement pour eux et leurs comptes en banque”, ce cocktail est leur plan pour “la continuité du dépeuplement du monde“, (dites vous que les premiers organisateurs de ce système sont ceux qui sont toujours proches des enfants, pensé à Macron enfant). Vous comprenez maintenant ?
Ils vous culpabilisent aux travers de leurs progrès social comme excuse, mais c’est une machine de guerre qu’ils ont mis en place, un lavage de cerveau mondial écrit par les premiers plus grand pédophile du monde. La sexualité, c’est comme la religion, elle doit se découvrir sans orientation ou obligation et elle se doit d’être personnelle et doit rester personnelle et sans exposition, “une découverte personnelle”. À lire : “Pédophilie : histoire de la fabrication d’une évidence contemporaine”. Et aussi du club médiapart : “L’élite et l’oligarchie mondiales pédophiles”
Une vidéo a fait surface de soldats russes décrivant comment ils ont trouvé une « usine à bébés » en Ukraine où de jeunes enfants sont élevés pour les bordels d’enfants pédophiles, ou assassinés pour prélever leurs organes et les vendre au marché noir.
La vidéo a été publiée par The People’s Voice , et ils mentionnent comment d’autres sources en Russie ont couvert cette question, et que les médias occidentaux l’excusent simplement comme de la désinformation ou de la propagande.
Mais les Russes ne sont pas les seuls à avoir documenté cette horrible pratique de trafic de bébés et de jeunes enfants à des fins sexuelles, puis de les assassiner pour leurs parties du corps.
Il y a deux ans, nous avons publié le documentaire publié par le producteur de films polonais Patryk Vega , intitulé « Les yeux du diable ».
Dans ce documentaire, Vega est en mesure d’interviewer l’un des trafiquants d’enfants qui trafique des bébés de Pologne et d’Ukraine vers des bordels pour enfants en Allemagne, où les enfants, généralement âgés de 5 à 7 ans, travaillent pendant quelques années dans les bordels. jusqu’à ce que leurs minuscules corps commencent à se décomposer, puis ils sont assassinés pour prélever leurs organes qui sont vendus aux riches et aux puissants.
Aujourd’hui, rachetée de nombreuses fois et reprise en main par différents directeurs artistiques, chaque fois moins talentueux que les précédents, comme le veut notre époque chaque jour un peu plus médiocre, la société Balenciaga est au centre d’un énième scandale.
Ce n’est pas la première fois que l’on relie élite, personnel politique ou people à la pédocriminalité. Que l’on se rappelle les affaires Podesta/Clinton, le Pizzagate, les affaires Epstein ou encore – géographiquement plus proche de nous – les enfants du juge Roche, l’affaire Luc Ferry, ou les mœurs douteuses d’un Frédéric Mitterrand ou d’un Pierre Bergé.