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calcul mental rapide

Nouveau MondeCalcul mental rapide en fin de primaire

Nouveau Monde - 10 avr 2024

Dans les Hautes-Pyrénées pas de calculette ! … juste les doigts pour atteindre des « sommets »

   

Qui a dit que le calcul mental était rébarbatif pour les élèves?

Démonstration de différentes techniques de C.M.R. (Calcul Mental Rapide) utilisées à l'école Sainte-Bernadette de Tarbes en C.M.1-C.M.2. La gestuelle nous est propre. Elle est librement adaptée de la gestuelle indienne "abacus finger". Les techniques d'additions et la graphie des chiffres sont inspirées de celles de Scott Flansburg, la plupart des autres techniques sont personnelles à notre école: nous les avons adaptées aux enfants à partir de techniques de Trachtenberg ou de techniques védiques.

Ces enfants ne sont pas des surdoués mais des enfants ordinaires. Et surtout, tous y arrivent, y compris des enfants encore en difficulté il y a 6 mois. Ce résultat est obtenu grâce à une équipe pédagogique professionnelle et passionnée.

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Ukraine child abuse

International ReportersUkraine : chantage sur des enfants pour leur faire commettre des crimes

International Reporters - 05 avr 2024

Une adolescente de la RPD (République Populaire de Donetsk), dont le père a été récemment capturé par les Forces Armées Ukrainiennes sur le front, nous a raconté comment l’Ukraine, usant de chantage et de menaces contre son père, veut la forcer à donner des informations et fait pression sur elle pour qu’elle commette des crimes.

   

Tout commence pour Elizaveta et sa mère Anastasia, par une longue attente angoissante. Après un appel du père d’Elizaveta (qui sert dans l’armée russe) le 8 mars, elle et sa mère se retrouvent sans nouvelles de lui, malgré les mots rassurants du commandant, qui assure que tout va bien. Puis le 26 mars 2024 c’est l’horreur. Elizaveta est appelée par un inconnu, dénommé Andreï, qui dit faire partie des Forces Armées Ukrainiennes.

L’homme explique à la jeune fille que son père a été fait prisonnier, qu’il est vivant et en bonne santé, en tout cas pour l’instant… Car si la jeune fille veut que la situation de son père ne s’aggrave pas, elle doit fournir au soldat ukrainien un certain nombre d’informations : une photo de son passeport, son adresse, les lieux qu’elle fréquente, les organisations dont elle fait partie, la liste des activistes qui en font partie, etc.

Au départ totalement paniquée par la situation, et paralysée par la peur la jeune fille comprend que les informations que les Ukrainiens lui demandent serviront ensuite à pouvoir la menacer, ainsi que ses proches, pour qu’elle travaille dans l’intérêt de Kiev et trahisse sa patrie et les siens.

Les activistes de l’organisation dont elle fait partie pourraient devenir des cibles d’assassinat comme ceux qui ont frappé Daria Douguina, ou Vladlen Tatarski si les Ukrainiens en obtenaient la liste. Ils demandent aussi si elle a d’autres proches que son père qui servent dans l’armée. Il n’est pas difficile de comprendre que ses proches pourraient devenir des cibles pour Kiev, ou Elizaveta pourrait être poussée à les espionner, ou les questionner pour obtenir des informations militaires secrètes qu’elle transmettra à l’Ukraine. Ce qui pourrait mener à des bombardements d’installation militaires, et la mort de soldats russes.

Et l’horreur nous gagne lorsque Elizaveta révèle qu’à un moment son interlocuteur lui a demandé où elle va travailler l’été dans des camps de vacances pour enfants. Une semaine après l’attentat terroriste du Crocus City Hall (lors duquel 144 personnes ont trouvé la mort, dont cinq enfants), organisé avec l’aide de l’Ukraine (le comité d’enquête a trouvé les preuves des liens entre les terroristes et les nationalistes ukrainiens), on ne peut que frissonner d’effroi à l’idée de ce que les services secrets ukrainiens prévoyaient de faire dans les camps de pionniers où Elizaveta prévoit de travailler l’été, une fois qu’ils l’auraient prise sous leur contrôle.

Mais heureusement, Elizaveta, une fois la panique initiale passée va prendre, avec l’aide de sa mère, la bonne décision : ne surtout pas leur donner d’informations qui leur permettrait de la faire chanter et de lui faire commettre des crimes, et contacter les autorités, en espérant que la médiatisation de son histoire permettra de protéger son père et accélérer son retour à la maison.

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image dictature

Réseau InternationalSous la dictature des images

Réseau International - 28 mar 2024

Si quelques voix de professionnels – enseignants et médecins notamment – s’élèvent contre la surexposition des enfants aux écrans, le grand public ne semble pas bien mesurer l’ampleur et le caractère délétère du phénomène.

   

Troubles de l’attention et du comportement, manque d’autonomie, angoisse, apathie, perte de la dextérité et du goût pour les travaux manuels, la liste des dommages collatéraux s’allonge à mesure que grandissent la permissivité des parents et la faillite d’un système éducatif soumis à l’idéologie globaliste, où le numérique occupe une place toujours plus importante. Un système où l’enfant n’est plus «instruit» mais «accompagné» – c’est-à-dire assisté pour les uns et abandonné pour les autres, suivant la bonne foi et les compétences de l’enseignant…

Tout n’est pas à jeter dans les nouvelles pédagogies en vigueur qui entendent faire de l’élève «l’acteur de ses apprentissages», mais à minimiser le rôle de transmission de l’enseignant, en faveur d’une présumée dynamique collaborative des enfants – qui reste, de fait, très inégale et relative -, on sacrifie la connaissance pour quelques illusions idéologiques et les lubies de communicants irresponsables.

L’enseignement à distance pendant la période du Covid l’a bien montré : hormis une minorité d’élèves particulièrement vifs, les résultats de l’expérimentation ont été désastreux, tant du point de vue de l’acquisition des savoirs que de celui de l’épanouissement personnel. Aujourd’hui encore, les professeurs tentent de combler les lacunes et gérer les troubles liés aux confinements abusifs, devant composer de façon acrobatique avec le retard des uns et des autres. Il est certain que cet épisode aura marqué un tournant dans le rapport de l’élève à son besoin de comprendre et d’apprendre, rompant en quelque sorte le lien avec son tuteur au profit de la machine et des nouveaux lobbies de l’éducation.

Comme le parent, le professeur est, plus qu’une figure d’autorité, un modèle. Un modèle certes imparfait mais doté de caractère, et surtout porteur de savoir et du sens de la justice. Dépersonnaliser le savoir n’est peut-être pas un drame – après tout, à partir d’un certain âge n’importe qui peut librement s’instruire grâce aux ressources infinies qu’offre Internet – mais il me semble que cela participe dangereusement à la déshumanisation généralisée de nos sociétés, où les nouveaux outils de communication ont bouleversé les enjeux interactifs et la temporalité des relations, au point d’amener toutes sortes de névroses liées au culte de l’immédiat et de la consommation.

Dans des sociétés où l’on est assailli d’images et de représentations, où l’information – souvent des plus futiles – est systématiquement illustrée, manipulée, mise en scène, suivant les lois sacrées de la publicité, l’être en construction se retrouve littéralement perdu entre un univers virtuel et le monde réel.

Le capitalisme numérique a fait de l’enfant un consommateur précoce, livré à la dictature des images et à la prédation d’un ultralibéralisme pervers. Si l’on observe dans les salles de classe de plus en plus d’élèves présentant des difficultés et toutes sortes de troubles «dys-», c’est aussi que le cerveau sursollicité d’images violentes et insensées, cherche désespérément une issue à la pathologie du monde ainsi exposée, n’étant plus disponible pour un apprentissage sain.

À constater au quotidien l’impact cognitif et comportemental de la violence subie en images sur les jeunes, nous pouvons résolument nous estimer chanceux de faire partie de générations qui n’ont connu l’usage privé et la généralisation des outils numériques qu’à l’âge adulte. La dépendance des jeunes aux écrans, encouragée par la tendance et le besoin d’intégration, étant un moyen d’asservir les plus vulnérables en les privant de leurs facultés créatives, d’initiative et de réflexion.

On le sait, la lecture est fondamentale dans le développement de l’imaginaire, la formation à l’esprit critique et l’affirmation de soi, autant que dans la maîtrise de la langue et l’acquisition des facultés d’expression. Et lorsqu’elle n’est pas possible ou qu’elle ne présente pas d’intérêt particulier pour l’enfant, ses bienfaits peuvent être en partie compensés par différents jeux de construction et de projection, faisant appel à l’imaginaire et la créativité. Mais lorsqu’il n’y a ni livres ni jeux, et que l’enfant se retrouve sous l’emprise d’un écran qui l’asservit, le traumatise et le rabaisse systématiquement au niveau zéro de la culture, lorsqu’on le coupe du monde et de la nature, alors rien d’étonnant à ce que l’humanité renoue avec ses fâcheuses dispositions à la guerre et au totalitarisme.

Selon le leitmotiv de notre cher président, voici venue la «fin de l’insouciance». Mais la question qui devrait se poser, de façon urgente, est la suivante : si l’on nous annonce une fin, à quoi l’insouciance doit-elle précisément laisser place ? À la terreur et au règne de la perversité ? Ou bien à une connaissance supérieure, qui nous permettrait de nous passer de nos dirigeants ?il

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Protection des enfants : Appel aux parents

Le Media en 4-4-2Protection des enfants : Appel aux parents

Le Media en 4-4-2 - 03 mar 2024

APPEL AUX PARENTS : des enjeux de la protection de l’enfance face au programme d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle.

   

François DUBOIS appelle à la sensibilisation des parents sur l'hypersexualisation croissante des contenus destinés aux enfants, notamment dans les programmes éducatifs. Il met en lumière les risques pour l'enfance et plaide pour une éducation affective et relationnelle respectueuse. Soulignant l'importance de la vigilance parentale et de l'action collective pour protéger nos enfants.

Je lance cet appel à destination de tous les parents afin de les sensibiliser sur la question de la protection de l’enfance.

Nous constatons avec effarement un nombre de dérives croissantes en lien avec l’hypersexualisation des contenus destinés aux enfants et issus des programmes EAS (éducation à la sexualité, dès la primaire) de l’éducation nationale. Le nouveau Premier ministre, Gabriel Attal, fort de son sens des priorités, a annoncé peu de temps après sa nomination, le 20 janvier, qu’un nouveau programme d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle s’appliquera dans les établissements scolaires à la rentrée 2024.

Les enfants sont confrontés de plus en plus jeunes à une « éducation » sexuelle, dont le contenu est tributaire de l’intervenant externe qui les dispense (souvent une infirmière). Il y a absence de contrôle du message dispensé, d’où parfois la constatation de certaines dérives qui rentrent sous le joug de la loi.

Autre problème, il est difficile, voire impossible, pour un parent d’obtenir les contenus des séquences. Qui plus est, ces programmes ne sont pas systématiquement annoncés à l’avance et sont souvent insérés entre deux cours, ce qui les rend difficiles à contourner.

Restons dans l’univers scolaire (sur lequel nous, parents, n’avons que peu la main). France 3 a relayé une information relative à une classe de CM1 et une classe de CM2 de L’Union (Haute-Garonne) qui ont participé à un spectacle au cours duquel des dessins à caractère sexuel ont été projetés. La situation est malaisante : des enfants dansent devant leurs parents avec en arrière-plan des dessins édulcorés de partouzes ou de femmes se faisant caresser la poitrine… Y a-t-il eu dépôt de plainte des parents ? Je ne le sais pas, mais je l’espère.

Je vais donc commencer par faire un rappel à la loi en citant l’article 227-22 du Code pénal :

« Le fait de favoriser ou de tenter de favoriser la corruption d’un mineur est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. Ces peines sont portées à sept ans d’emprisonnement et 100 000 euros d’amende lorsque […] les faits sont commis dans les établissements d’enseignement ou d’éducation ou dans les locaux de l’administration. »

L’article du Code pénal ne définit hélas pas explicitement le terme corruption. Est-ce volontaire, sachant qu’il est bien plus précis pour définir les termes constitutifs d’autres infractions ?

On entend cependant par la corruption, l’exposition du mineur à la sexualité et l’encouragement prodigué à ce mineur d’avoir une activité sexuelle de quelques manières que ce soit.

La notion de consentement n’entre pas en jeu ici et l’intention coupable relève, bien entendu, exclusivement du majeur mis en cause. L’incrimination de la corruption de mineur a pour but de préserver le sentiment de pudeur des mineurs en le protégeant contre certains actes tendant à éveiller leurs pulsions sexuelles.

Par un arrêt de la Chambre criminelle du 8 février 2017 (16-80.102), la Cour de cassation précise que le délit de corruption de mineur n’est pénalement punissable que si l’auteur des faits a eu en vue la perversion de la jeune victime et non pas seulement la satisfaction de ses propres passions.

L’affaire de L’Union (Haute-Garonne) ne déroge pas à la règle. N’y a-t-il pas exposition perverse à des mineurs à la sexualité ? N’y a-t-il pas un encouragement, une incitation faite au mineur à s’ouvrir à ce genre de pratiques, ou du moins, à les intégrer comme une nouvelle norme ? Les adultes responsables de cette mise en scène peuvent-ils seulement prétendre n’avoir à aucun moment présumé du caractère pervers et corrupteur de cette dernière ?

Certains témoignages font parfois état de dérives flagrantes. Ainsi aurait-on largement outrepassé le stade des explications préventives (MST, contraception etc.) ou biologiques (mécanismes de la reproduction etc.) pour faire l’étalage de pratiques sexuelles, telles que la sodomie, les rapports homosexuels, ou la fellation à des enfants parfois extrêmement jeunes qui ne sont pas encore suffisamment construits et normés pour transiter de façon aussi brutale de leur monde asexué (ante puberté) vers la réalité et l’impudicité des rapports adultes.

Imposer l’explication extrêmement détaillée d’une sexualité « loisir » sans que les enfants soient prêts pour cela, et sans qu’ils soient demandeurs, est non seulement d’une grande violence, mais peut s’avérer extrêmement perturbant voir traumatisant pour eux.

N’importe quel adulte devrait être conscient de cela. Dans ce cas précis, qu’y a-t-il d’autre que de la perversion à vouloir ainsi corrompre les jeunes enfants en leur imposant de telles visions ?

Je ne m’adresse pas aux parents éveillés qui agissent déjà à leur échelle de façon concrète pour protéger leurs petits.

Mon appel s’adresse avant tout à ceux qui n’osent pas franchir le pas de la contestation en public, soit par sentiment d’impuissance, soit parce qu’ils ne voient pas le danger que représente l’hypersexualisation des rapports à l’enfance pour notre société.

Père de trois enfants et confronté il y a peu à cette situation avec mon épouse, nous nous sommes rendu compte que nous étions seuls à émettre des doutes, poser des questions et exiger les contenus de cette fameuse « éducation à la vie sentimentale et sexuelle » qui devait être dispensée à notre fillette de onze ans. Suite à cela, l’établissement a transformé le nom de l’intervention sur pronote en « éducation à la vie sentimentale »…

Après avoir sondé les autres parents d’élèves, nous nous sommes aperçus que malgré cette inertie globale, une majorité d’entre eux étaient en accord avec nous. Faute d’avoir pu obtenir (malgré nos tractations) un contenu quelconque ou un résumé de l’intervention, notre fille n’y assista pas. Principe de précaution simple pour la protéger d’une éventuelle atteinte illégale. Mais quel dommage qu’elle fut la seule absente alors que la majorité des parents n’en pensait pas moins ! L’objectif ici n’était pas un boycott intégral, mais d’exiger plus de clarifications et de transparence. Notons qu’aux dires de ma fille, certains de ses camarades lui ont rapporté s’être sentis mal à l’aise car, malgré le nom transformé par l’établissement en « éducation à la vie sentimentale » (probablement pour apaiser les autres parents), on aurait parlé exclusivement de rapports sexuels aux petits.

Pourquoi cette passivité de parents pourtant en désaccord sur le fond ? Une majorité de Français est désorientée. Tourmentée par un chaos géopolitique la plongeant dans un contexte socio-économique moribond, cette majorité vit désormais dans la peur du lendemain.

Accaparée par ses difficultés du quotidien, elle n’a plus forcément l’énergie pour se battre. Évoluant dans une société en perte de repères, victime d’une vaste entreprise de déconstruction et de propagande idéologique, elle éprouve de plus en plus de difficultés à discerner les causes pour lesquelles il serait pourtant juste et nécessaire de se battre.

Dressée depuis 2020 à se confiner, à être tracée, à obéir aveuglément au diktat médiatico-pharmaceutique, cette majorité constitue aujourd’hui un archétype de société conformiste puisque pusillanime. Ce triste constat n’est flatteur que pour Orwell, qui, hélas, avait vu juste.

C’est cette majorité à qui je m’adresse. C’est cette majorité qui a besoin d’être encouragée et d’être aidée.

C’est aussi cette majorité qui n’a parfois pas encore compris à quel point le combat pour la protection de l’enfance est essentiel à la défense de nos intérêts. Ce combat est capital pour ne pas perdre le contrôle de notre avenir. Un peuple fort est un peuple qui peut se projeter dans l’avenir et s’identifier dans le passé. Un peuple fort est un peuple qui ne se laisse pas asservir et qui demeure souverain : un peuple fort est le prérequis indispensable à toute démocratie.

De la promotion scolaire de l’idéologie transgenre[2], en passant par la découverte prématurée de pratiques sexuelles débridées, le sexe devient omniprésent et omnipotent pour nos enfants. Inévitable composante sociale de nos sociétés occidentales progressistes, il inonde le net, la télévision, la mode, et maintenant, l’école. Il doit prévaloir dès le plus jeune âge et le gouvernement actuel fait de l’hypersexualisation des enfants son cheval de bataille.

Gageons qu’il s’agira avant toute chose d’un cheval de Troyes !

La déconstruction par l’hypersexualisation de la société[3] est en ce sens une arme redoutable pour nous fragmenter dans des logiques idéologiques et individualistes de niches qui complexifieront les rapports sentimentaux, généreront de l’instabilité familiale et, bouleversement anthropologique majeur, conduiront à la disparition de la généalogie par l’ouverture des marchés de la GPA et de la PMA.

Ainsi atomisée, la société du futur sera dans l’impossibilité de constituer un bloc stable et contestataire défendant des valeurs communes pour s’opposer à une élite organisée cherchant à la spolier, à l’asservir et à l’exploiter. Le totalitarisme s’installe toujours de façon insidieuse.

Il est grand temps que la propagande idéologique nauséabonde qui s’abat sur nos enfants cesse enfin. Cela ne peut passer que par des actions de parents responsables qui osent défier le système quand ils estiment qu’il expose leurs enfants à un danger. Force doit rester à la loi tant que celle-ci œuvre encore pour la protection de l’enfance ; les parents ne doivent pas hésiter à saisir la justice dès lors que les atteintes sont suffisamment caractérisées. Il s’agit d’un combat pour nos enfants et pour leur avenir.

ADJ (e.r) François DUBOIS

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la semaine de Naïm - la technologie

NaïmJusqu'ici tout va bien - La semaine de Naïm

Naïm - 20 fév 2024

Entre l'arrivée du casque de réalité virtuelle et l'omniprésence des écrans, Naïm nous livre sa vision de notre société où la dépendance aux nouvelles technologies devient une réalité préoccupante.

   

Et ça a le mérite de bien l'énerver et de le rendre encore plus drôle.

« Vous savez que les Steve Jobs et compagnie, ils interdisent les écrans à leurs gosses ? C’est comme si un vendeur de bagnoles te disait : « Oui, bien sûr, monsieur, vous pouvez aller l’essayer. » « Ouais, ah non, je pars avec vous, il est fou, je monte pas là-dedans moi ! Vous êtes malade ou quoi ? ». C’est comme si une ministre de l’éducation nationale mettait ses gosses dans le privé. »

Naïm

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enfants prostitués à Davos

Profession GendarmeDavos WEF enfants prostitués par milliers

Profession Gendarme - 29 jan 2024

Les enfants prostitués sont « complètement réservés » à Davos, selon un initié du WEF

Des milliers d’enfants ont été transportés par avion au Forum économique mondial sous le couvert de l’obscurité pour le sommet annuel de l’élite mondiale dans le rapport alpin suisse de Davos, selon des initiés du Forum économique mondial qui révèlent l’ampleur horrible du vice choisi par l’élite ?

Des dizaines de jets privés ont été transformés en transporteurs d’enfants pour transporter les enfants à travers les frontières et dans la tanière des vipères, selon des sources proches du dossier. Aucun de ces enfants n’a de passeport et la majorité d’entre eux n’ont aucune pièce d’identité. Leur passé est inconnu et leur avenir ne vaut pas la peine d’être pensé.

Cela fait des années que nous mettons en garde le monde contre l’industrie du trafic sexuel d’enfants. Pendant ce temps, l’élite s’est cachée à la vue de tous et a poursuivi son plan visant à normaliser et finalement à légaliser la pédophilie. Ce mal ne peut pas continuer. Nous avons besoin de votre aide pour démanteler une secte pédophile vieille de 9 000 ans, adoratrice de Satan. Les rituels sataniques sont devenus traditionnels à l’ouverture des sommets de Davos et l’élite devient de plus en plus impudique lorsqu’il s’agit de s’y frotter le visage. Le thème de cette année est « Reconstruire la confiance » – et sera suivi par 3 000 invités, dont de nombreux membres parmi les plus notoires de la cabale.

Mais lorsqu’ils se rendent au sommet mondialiste exclusif, les participants ne se contentent pas de discuter des conflits mondiaux, de l’économie, de la technologie et de la façon dont ils peuvent asservir la race humaine et inaugurer le Nouvel Ordre Mondial. Ils se lient également et construisent des ponts les uns avec les autres lors de soirées et de fêtes de premier plan. En fait, selon un initié, ces parties sont la partie la plus importante de l’ensemble du sommet.

Nous savons déjà ce qui se passe au grand jour.

Il n’y a que de la cocaïne, du champagne, du caviar et de beaux morceaux de viande

– tandis que l’élite complote pour interdire au reste d’entre nous de consommer autre chose que des insectes, des insectes et de l’eau de toilette recyclée.

C’est bunga bunga, selon les médias grand public. Mais en réalité, la situation est beaucoup plus sombre. Beaucoup, beaucoup plus sombre. La demande de travail du sexe monte en flèche chaque année lors de la réunion des dirigeants mondiaux et des magnats des affaires qui viennent du monde entier pour se côtoyer. Ce que les médias ne vous disent pas, c’est que la majorité de ces travailleuses du sexe sont mineures. Et beaucoup d’entre eux sont extrêmement jeunes.

Il a déclaré que plus de 1 000 vols de jets privés sont arrivés et ont quitté les aéroports desservant Davos en janvier et qu’environ 12 d’entre eux étaient remplis d’enfants mineurs victimes de la traite.

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surveillance des enfants par l'IA

The DefenderNormaliser la surveillance dès le plus jeune âge

The Defender - 03 jan 2024

Normaliser la surveillance dès le plus jeune âge : De plus en plus d’écoles utilisent la reconnaissance faciale et les technologies d’IA pour surveiller les enfants.

   

Les parents et les élèves sont de plus en plus préoccupés par l’utilisation des technologies d’intelligence artificielle (IA) en classe, en particulier la technologie de reconnaissance faciale, selon une enquête du Center for Democracy and Technology (Centre pour la démocratie et la technologie, CDT ).

Le rapport du CDT, publié le 12 décembre, révèle que plus de la moitié des parents et des élèves interrogés s’inquiètent de l’utilisation de la reconnaissance faciale et d’autres technologies d’intelligence artificielle, y compris les systèmes de localisation, dans les écoles.

Les enseignants, qui ont également été interrogés, ont montré un degré d’acceptation plus élevé des technologies.

Selon le rapport, un nombre croissant d’écoles ont mis en place de tels outils.

Les partisans de ces technologies affirment qu’elles peuvent contribuer à protéger les environnements scolaires contre les menaces violentes, telles que les tireurs dans les écoles.

Les défenseurs de la vie privée soutiennent que les technologies qui présentent un risque pour la vie privée et les données personnelles des élèves n’ont pas prouvé qu’elles renforçaient la sécurité dans les écoles..

Un fossé profond entre les écoles, les parents et les élèves

Selon le CDT, “des outils de sécurité expérimentaux et potentiellement dangereux sont utilisés sans tenir compte des préoccupations des élèves et des parents”, y compris des technologies “que nous considérions auparavant comme trop extravagantes”.

Il s’agit notamment de l’analyse prédictive, de la surveillance à distance, de la reconnaissance faciale, du partage des données des forces de l’ordre, des systèmes de détection d’armes et de la géolocalisation des étudiants.

Poussées par [l’industrie de] l’IA, ces technologies “sont déployées dans les écoles pour répondre aux fusillades de masse, à la crise de la santé mentale des jeunes et à d’autres menaces permanentes pour la sécurité du personnel et des élèves”, a déclaré le CDT – une tendance “alarmante” selon laquelle les écoles poursuivent le déploiement de ces technologies en dépit des “niveaux élevés d’inquiétude” des parents et des élèves.

Ces “niveaux élevés d’inquiétude” étaient évidents dans les résultats de l’enquête:

58 % des parents et 55 % des élèves (et 33 % des enseignants) sont préoccupés par l’utilisation de caméras de reconnaissance faciale pour vérifier qui devrait être autorisé à entrer dans un bâtiment scolaire ou qui est autorisé à s’y trouver.
71 % des parents et 74 % des élèves (et 36 % des enseignants) se sont dits préoccupés par l’utilisation de ces technologies pour localiser physiquement les élèves.
60 % des parents et 58 % des élèves (et 31 % des enseignants) s’inquiètent de l’utilisation de caméras d’IA “pour remarquer des mouvements physiques inhabituels ou irréguliers”.
55% des parents et 45% des élèves (et 27% des enseignants) ont exprimé leur inquiétude quant à l’utilisation de ces technologies pour détecter les coups de feu dans l’enceinte de l’école.
69 % des élèves et des parents (et 36 % des enseignants) sont préoccupés par le fait que les données relatives aux élèves sont analysées afin de prédire quels élèves sont les plus susceptibles de commettre un crime, un acte violent ou un acte d’automutilation.
66 % des parents et 65 % des élèves (et 38 % des enseignants) ont exprimé leur inquiétude quant à la possibilité que les informations scolaires des élèves, telles que leurs notes et leur assiduité, soient communiquées aux forces de l’ordre.
68 % des parents et 71 % des élèves (et 37 % des enseignants) s’inquiètent de l’utilisation de ces technologies pour surveiller les comptes de médias sociaux des élèves.

Ces résultats montrent “un profond décalage entre les priorités des écoles, des parents et des élèves en ce qui concerne les décisions d’achat d’edtech [educational data and technology] “, écrit le CDT.

Les écoles utilisent les fonds de récupération COVID pour acheter des technologies de surveillance

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Russia - no smartphone at school

Le Media en 4-4-2Poutine signe une loi interdisant l’utilisation du téléphone portable en classe

Le Media en 4-4-2 - 21 déc 2023

La Douma russe valide un amendement éducatif crucial, mettant fin à l’utilisation des smartphones dans les écoles dès décembre 2024.

   

De nos jours, dans les écoles, l'image d'élèves absorbés par leurs téléphones est devenue la norme, qu'ils soient jeunes ou adolescents. Cependant, la Russie vient d'opérer un changement radical : l'interdiction des smartphones dans les écoles primaires et secondaires.

La Douma a approuvé un amendement à la « loi sur l’éducation », imposant une interdiction stricte des outils de communication, dont les smartphones, au sein des établissements scolaires. Cette modification entrera officiellement en vigueur dès le 1er décembre 2024, marquant ainsi un tournant radical dans les politiques éducatives du pays.

Le document a été publié sur le portail officiel d’information juridique.

Conformément à cette réglementation, l’utilisation des téléphones portables sera strictement réservée à des fins éducatives ou en cas d’urgence. L’année dernière, la Russie avait déjà proscrit l’usage des téléphones portables en classe dans les écoles primaires et secondaires, une mesure visant à prévenir la distraction des élèves et à maintenir leur concentration sur le contenu des cours.

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Sophie Cha - alerte enfants essouflés

Le Media en 4-4-2Les enfants ne parviennent plus à courir, ils sont vite essoufflés

Le Media en 4-4-2 - 17 déc 2023

« Les enfants ne parviennent plus à courir, au bout d’une minute, ils sont essoufflés ! » : Un médecin-conseil démissionne pour lancer l’alerte.

   

Sophie Cha a récemment choisi de rendre sa blouse blanche, démissionnant de son rôle de médecin-conseiller au sein de la DRAJES de Bretagne. Son départ programmé pour le 31 décembre s'avère être un cri d'alerte percutant.

Durant huit ans, elle a occupé cette fonction cruciale au sein de la Délégation Régionale Académique Jeunesse Engagement et Sport de Bretagne, relevant une détérioration constante de la situation. Le constat est grave : la condition physique des jeunes s’est amenuisée de 25% en 40 ans, un déclin inquiétant aux conséquences potentiellement fatales.

Sophie Cha met en lumière le constat alarmant des professeurs d’éducation physique : les jeunes ne parviennent plus à des prouesses simples, comme courir plus d’une minute sans être essoufflés, ou réaliser des mouvements de base comme une roulade. Cette tendance, constatée depuis plus de deux décennies, menace sérieusement la santé future de cette génération.

Les recommandations de l’OMS indiquent que les enfants et adolescents devraient pratiquer au moins 60 minutes d’activité physique soutenue par jour, ainsi que des activités musculaires et osseuses trois fois par semaine. Cependant, plus de trois quarts des adolescents ne respectent pas ces recommandations, constate Sophie Cha.

Cette dégradation se manifeste dès le plus jeune âge : les enfants sont de plus en plus sédentaires, préférant être transportés en poussette plutôt que de marcher. Ce manque d’activité impacte la constitution osseuse et la santé globale des enfants, alerte la médecin.

Elle pointe du doigt les dispenses d’éducation physique, pourtant officiellement abolies depuis 1988, mais toujours appliquées en pratique. Pour Sophie Cha, le sport devrait être traité comme toute autre matière obligatoire, sans dispensation systématique. Elle souligne le paradoxe : on n’exempte pas un élève en difficulté en mathématiques, on l’aide à progresser, pourquoi ne serait-ce pas le cas pour le sport ?

Cette régression physique des jeunes a des répercussions non seulement sur leur santé physique, mais aussi sur leur santé mentale. Les enquêtes épidémiologiques révèlent une augmentation alarmante des troubles mentaux chez les jeunes, avec des prescriptions d’antidépresseurs et d’anxiolytiques en hausse exponentielle.

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Israël impuissante

Réseau InternationalImpuissants face aux combattants, ils bombardent les civils

Réseau International - 28 nov 2023

Suite à l’action surprenante de la résistance palestinienne, qui a dérouté le pouvoir sioniste et ses soutiens, Tsahal dévoile au monde sa démence contre les civils par son incapacité à affronter les combattants avec loyauté.

   

Face à quelques milliers de combattants (2000/3000), sous les yeux du monde entier, cette armée n’a rien pu faire de significatif contre des hommes à moto et en parapentes qui ont réussi à anéantir son mythe d’invulnérabilité en se permettant de faire des prisonniers, mettant aussi dans l’embarras leurs soutiens occidentaux qui voient s’annihiler leurs fables humanistes tant vantées.

Les sionistes et leurs mentors sont conscients que sans les aides anglo-saxonnes (principalement américaines), Israël se désagrège !
Un génocide ! Incapables d’affronter les combattants, ils bombardent les civils !

Les Israéliens ne seront désormais jamais tranquilles si les Palestiniens ne recouvrent pas leurs droits imprescriptibles. Notamment, cette fois-ci, lorsqu’on observe ces bombardements de vengeance, défiant les règles de la guerre en détruisant les infrastructures civiles, tuant des milliers de civils ! Ils en sont, selon diverses sources, à plus 14 500 personnes tuées, dont près de 6000 enfants et 4000 femmes ainsi que plus de 35 000 blessés ; au moins 200 membres du personnel soignants tués ; une centaine de personnes de l’UNRWA tuées ; 64 journalistes ; 18 000 enfants déclarés orphelins ; plus de 75 hôpitaux, cliniques et Centres de soins endommagés ; 200 000 logements détruits ; 250 écoles bombardées ! Selon le rapport présenté par la Directrice exécutive de l’ONU-femmes, Sima Sami Bahous, «67% des morts sont des femmes et des enfants… toutes les heures, on tue deux mères, et sept femmes toutes les deux heures». Des monstres ! Toutes les manipulations de l’information consistant à falsifier la réalité du génocide – aidé par la presse sioniste ou servile, européenne en particulier française – n’ont pas eu d’effet sur le soutien de la majorité des États qui savent qu’Israël est une entité colonialiste et que les Palestiniens défendent leur pays spolié et leur dignité en luttant contre une colonisation de peuplement des plus démoniaque. Une colonisation qui vise, stratégiquement, à éliminer les descendances (bébés, enfants et les femmes) pour dissoudre la «cause palestinienne» par la disparition du Palestinien. «Une terre sans peuple» quoi ! L’écueil, voire le piège, est que les Palestiniens ne seront jamais seuls !
Les génocidaires seront traqués jusqu’à payer pour leurs crimes !

Tous les responsables directs et indirects identifiés seront traqués jusqu’à ce qu’ils paient leurs crimes ! Aucune force alliée de l`axe Anglo-Saxon et de France ne pourra leur porter secours. Même avec le concours de tous les milliardaires de la diaspora juive et autres qui tiennent la finance internationale, ils ne pourront pas s’échapper ou dévier le processus d’évolution historique du monde ! En plus, ils ne sont pas stupides pour ne pas distinguer les économies virtuelles spéculatives des économies réelles et s’adapter suivant des cadres appropriés. Quand la «cause sioniste» s’opposera à leurs intérêts, elle ne sera plus leur priorité. Les langues se délient déjà comme celle de Derek Penslar, professeur d’histoire juive à Harvard qui affirme dans un entretien1 que : «Les juifs américains considèrent désormais Israël comme un enfant à charge et à risque».

Le monde sait que ces êtres arrogants et sans morale sont une espèce humaine démoniaque qui ne reconnaît le droit à la vie qu’à leur catégorie. Les autres êtres n’ont aucune valeur, ou ne le sont que le temps de les exploiter, les dépouiller, jusqu’à les rendre esclaves ou mourir ! Même les chrétiens arméniens font l’objet d’expropriation2 à Jérusalem par la force de police aidée par les colons en armes !

Si la situation infernale a fait réagir des États et autres associations ou personnalités par des dépôts de plaintes à la Cour Internationale de Justice (on cite 500) et par une lettre de démission de Craig Mokhiber3, directeur du Bureau de New York du Haut-Commissariat aux droits de l’homme, c’est que ce système unilatéral de domination du monde est en train de finir ! On peut donc déduire qu’après l’échec magistral acté des Atlantistes en Ukraine, l’impossibilité de mener la guerre vers l’Asie du fait de la puissance de la Chine, la fin de l’Hégémon va se jouer en Palestine – berceau des religions monothéistes – pour cause d’imposture érigée en système impérial de domination du monde ! Le Sommet extraordinaire des BRICS, du 21 novembre, sur le génocide à Gaza4, auquel ont participé également l’Arabie saoudite, l’Argentine, l’Égypte, l’Éthiopie, l’Iran, les Émirats arabes unis et le secrétaire général des Nations unies, doit donner à réfléchir sérieusement aux conséquences qui peuvent en découler.

Les Palestiniens ne se plieront jamais, car ils n’ont plus rien à perdre après avoir perdu leurs parents, leurs enfants, leurs proches. Ils ne leur restent que mourir en martyrs. Dans ces conditions, ils ne peuvent que souhaiter une guerre globale dans cette région.

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Arrivée en France du film "Sound of Freedom"

France SoirArrivée en France du film "Sound of Freedom"

France Soir - 05 nov 2023

Après un succès retentissant aux Etats-Unis, le film Sound of Freedom, réalisé par Alejandro Monteverde, arrive sur les écrans français. Il sortira dans les salles le 15 novembre, cinq jours avant la Journée internationale des droits de l’enfant, célébrée le 20 novembre.

   

Les plus impatients peuvent cependant acheter des places pour la projection en avant-première publique du 7 novembre à 20 heures, à l’UGC Normandie, avenue des Champs-Élysées. Nous avons vu ce film qui a déjà fait couler beaucoup d’encre, pas toujours dans le sens souhaité par ses auteurs.

"En tant que coscénaristes du film Sound of Freedom, il a été difficile de voir la controverse partisane nous détourner de l’intention profonde de notre travail : utiliser le pouvoir du cinéma pour sensibiliser à la réalité de la traite des enfants", déplorent Alejandro Monteverde (également réalisateur du film) et Rod Barr dans une tribune publiée le 14 août 2023 dans The Hollywood Reporter.

"Nous avons été sidérés de découvrir la polémique qui a entouré la sortie du film aux États-Unis en juillet dernier, tant l’écart avec le contenu du film était grand", commente en écho le distributeur, Saje Distribution.

Une polémique arrivée jusqu’en France, puisque avant même la sortie du film dans l’Hexagone, des médias ont évoqué les "thèses complotistes" qu'il relaierait selon eux.

Il n’en est rien. Sound of Freedom est avant tout un film d’action haletant, inspiré de la vie de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure des États-Unis, affecté à l’unité chargée de la lutte contre la pédocriminalité sur Internet. Après des missions d’infiltration pour combattre le tourisme sexuel impliquant des enfants, Tim Ballard démissionne en 2013 pour créer Opération Undergroung Railroad, une fondation dont l’objet est de sauver les enfants victimes de réseaux les réduisant à l’esclavage sexuel.

Avec Sound of Freedom, le spectateur suit le héros, incarné par Jim Caviezel, dans son travail d’agent fédéral puis dans de périlleuses opérations de sauvetage qui le conduiront en Amérique du Sud.

Un thriller captivant inspiré de faits réels.

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Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
médicaments amaigrissants

The DefenderDes médicaments amaigrissants pour les enfants de 6 ans

The Defender - 28 oct 2023

Les fabricants des populaires médicaments amaigrissants Ozempic, Wegovy et Mounjaro s'apprêtent à commercialiser leurs produits auprès d'enfants de 6 ans. Les experts soulignent que les risques à long terme de ces médicaments sont inconnus et qu'ils pourraient exacerber notre "culture de l'alimentation toxique".

   

Les fabricants de trois médicaments populaires pour la perte de poids, qui présentent tous des risques connus pour la santé physique et mentale, ont annoncé la semaine dernière qu’ils testaient ces produits sur des enfants dès l’âge de 6 ans.

Novo Nordisk, fabricant d’Ozempic et de Wegovy, et Eli Lilly, fabricant de Mounjaro, ont obtenu l’autorisation de mise sur le marché de ces médicaments aux États-Unis et dans l’Union européenne (UE) pour les personnes âgées de 12 ans et plus.

Novo Nordisk aurait déjà entamé des essais de phase 3 sur des enfants de 6 à 12 ans, en testant son produit Saxenda, une version plus ancienne et moins puissante de ses médicaments les plus vendus. Eli Lilly a commencé à recruter des enfants pour ses essais la semaine dernière.

Un porte-parole d’Eli Lilly a déclaré à Bloomberg : “Nous nous engageons certainement à innover dans ce domaine pour répondre aux besoins de tous les segments de la population qui sont touchés”.

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