Elle est utilisée en médecine vétérinaire depuis des années contre des virus comme celui de la pseudo rage porcine ou l’encéphalite équine vénézuélienne, tous deux virus à ARN comme le Sars-Cov-2. Son action sur les importines, empêchant les virus de pénétrer dans les cellules, est connue et reconnue depuis 1972, tout comme son action contre le choc cytokinique responsable des décès du Sars-Cov-2, comme le montre nombre d’études et comme l’écrit aussi le Vidal.
Alors que l’ivermectine a démontré en 2020 son efficacité dans de nombreux témoignages et dans toutes les études publiées dans l’année, début 2021 a eu lieu la plus grande manipulation sanitaire de l’histoire. La France semble y avoir joué un rôle non négligeable pour rayer l’ivermectine de la pharmacopée, bien qu’ayant démontré ses possibilités tout en étant un des médicaments les plus sûrs qui soit.
La montée en puissance de l’ivermectine au second semestre 2020, faisait qu’elle représentait un grave danger pour l’industrie pharmaceutique qui avait investi des milliards dans la recherche contre le covid. Il fallait donc mettre un terme à cette thérapeutique croissante, sans concurrence, sinon l’hydroxychloroquine que les politico-financiers aidés de « médecins » avaient déjà réussi à faire taire.
Dernièrement, des médecins libéraux ayant prescrit ces médicaments ont reçu une convocation par leur conseil départemental de l’Ordre des médecins. Mettant en cause leur décision de prescription, l’organisme prévoit rien de moins que des conseils de discipline. Le début d’une nouvelle « chasse aux sorcières à grande échelle », estime le médecin généraliste, Grégory Pamart, toujours suspendu depuis le 15 septembre suite à son refus de recevoir la vaccination contre le Covid-19.
« La chasse aux sorcières à grande échelle a commencée. L'ordre multiplie les convocations.
Mort annoncée de l'article 5 du code de déontologie (indépendance des médecins), un pas de plus vers une médecine de protocole.
Qui restera pour vous soigner ? »
Christian Vélot est un biologiste et homme politique français, maître de conférences en génétique moléculaire à l’Université Paris-Sud et responsable d'une équipe de recherche au centre scientifique d'Orsay. Il est également membre du conseil scientifique du CRIIGEN, administrateur aux côtés de Jacques Testart de Fondation Sciences Citoyennes et de la Maison des Lanceurs d'Alerte, et, de 2012 à 2015, conseiller régional d'Île-de-France. Il est souvent présenté comme un lanceur d'alerte à propos des OGM.
« Ce qui m'inquiète est qu'on ait recours à ces technologies sans aucun recule, sur une pandémie mondiale, donc de très nombreuses personnes vont être concernées... »
Il est reproché au Dr Benoît Ochs
– d’avoir affirmé que les masques étaient toxiques,
– d’avoir manqué de respecter les mesures sanitaires en effectuant des visites à domicile,
– d’avoir un avis très réticent par rapport aux vaccins.
Il lui est en fait reproché d’avoir eu le courage de respecter le serment d’Hippocrate : « Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité. »
« Dans ma patientèle il n'y a eu aucun mort »
C19HCQ analyse toutes les études significatives concernant l'utilisation de l'hydroxychloroquine pour le COVID-19. Les méthodes de recherche, les critères d'inclusion, les critères d'extraction des effets (les résultats les plus graves sont prioritaires), toutes les données des études individuelles, les réponses PRISMA et les méthodes statistiques sont détaillées dans l'annexe 1 de cette méta-analyse.
« Il y a une nouvelle étude sur 10000 patients traités en ambulatoire pour lesquels on voit une différence extrêmement significative. La mortalité est extrêmement basse »
Trois auteurs de l'étude publiée dans le Lancet, critique sur l'hydroxychloroquine, font volte-face. «Nous ne pouvons plus nous porter garant de la véracité des sources des données primaires», écrivent les trois auteurs au Lancet le 4 juin, mettant en cause le refus de la société les ayant collectées, Surgisphere, de donner accès à la base de données.
Publiée le 22 mai dans The Lancet, l'étude concluait que l'hydroxychloroquine n'était pas bénéfique aux malades du Covid-19 hospitalisés et pouvait même être néfaste. Sa parution avait eu un retentissement mondial et des répercussions spectaculaires, poussant notamment l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à suspendre les essais cliniques sur l'hydroxychloroquine contre le Covid-19. Mais, après de nombreuses critiques mettant en cause la méthodologie de l'étude, y compris de la part de scientifiques sceptiques sur l'intérêt de l'hydroxychloroquine dans le traitement du Covid-19, l'OMS a annoncé le 3 juin la reprise des essais cliniques avec cette molécule.
L'étude du Lancet sur l'hydroxychloroquine constitue un excellent révélateur de ce qu'est notre nomenklatura, de ses travers et de ses limites systémiques dans un monde en mutation fulgurante. Nous savons désormais que sans un profond (et probablement très brutal) renouvellement des élites, la France accélèrera son long déclin.
« Très souvent, Raoult a rappelé que sa démarche n'était pas de faire de la recherche, mais de trouver des solutions en tâtonnant. Cette affirmation a tapé là où la construction intellectuelle de nos élites souffre. Car notre nomenklatura n'est pas éduquée dans l'idée qu'un bon gouvernement consiste à soulager les misères du peuple. »