La présente analyse a été effectuée par Marc Vanguard, qui produit chaque semaine des statistiques sur la France. Cette fois-ci c’est un bien triste constat de l’éducation nationale en berne qui est fait.
Ce qui suit est une série de messages postés sur X par Vanguard, vous pouvez lire les mêmes messages sur X et vous abonner à son compte
Le Miserere ou Miserere mei, Deus, selon l'incipit du Psaume 50, est une œuvre de polyphonie composée vers 1638 pour le chœur de la chapelle Sixtine par Gregorio Allegri, chapelain du pape Urbain VIII.
L'œuvre illustre bien les propos émis par le pianist Étienne Guéreau dans sa capsule sur l'effondrement du niveau musical.
D’aucuns datent la « fin » de la musique au début des années 70’ (on écoutera la vidéo « mélomane » d’Alain Soral en renvoi Kontre Kulture), d’autres moins sévères rajouteront une à deux décennies pour la faire terminer dans les années 90’. Bien sûr, quelques soient les époques choisies, tout le monde s’accordera pour dire que surgissent ci et là des perles, sans remettre toutefois en question le fait que de manière générale la musique n’a plus rien à dire.
Cette affirmation va faire hurler, probablement. Mais qu’on y pense : peut-on infiniment créer du neuf avec un matériau fini ? Les douze demi-tons de notre gamme, même s’ils permettent bien d’autres choses que les gammes majeure et mineure (pensons aux différents modes lydien, phrygien, myxolydien, etc.), n’offrent qu’une créativité limitée, d’autant plus si on se restreint à la musique tonale. Le clavier bien tempéré a le tempérament bridé !
Ce que vient de dire Charles Wyplosz, a été dit dans le quotidien de référence suisse Le Temps.
Bien évidemment que les banques sont fragiles, structurellement en réalité.
C’est le modèle économique même des banques qui les rend fragiles et pas uniquement la cupidité des méchants banquiers ou des vilains capitalistes !
Par définition, génétiquement, une banque de dépôts récupère et collecte les dépôts des uns pour faire des crédits aux autres. Voilà le métier, particulièrement passionnant au demeurant, du banquier et à titre personnel j’ai pris beaucoup de plaisir comme banquier à financer des entreprises, de l’activité, des investissements et de l’activité profitable au plus grand nombre.
Par définition, la banque n’a jamais, jamais tout l’argent correspondant aux dépôts de ses clients. Elle utilise presque tout… moins les 10 à 12 % de réserves !
Par définition si tous les clients veulent récupérer leur argent en même temps, aucune banque, aucune n’a les moyens de répondre à ce besoin de liquidités immédiat. AUCUNE.
Par définition, quelle que soit la régulation mise en place aucune banque ne peut rembourser la totalité des dépôts en quelques jours et JAMAIS une banque ne sera en mesure de le faire.
Alors quand on vous dit que les banques sont solides, on raconte n’importe quoi, parce que la vérité, la réalité, le modèle économique lui-même des banques signifie qu’elles sont génétiquement fragiles.
Ce n’est ni bien, ni mal.
Cette tendance qui a commencé à s'affirmer en juin 2022, c'est-à-dire 9 mois après l'atteinte des 85% de taux de vaccination dans la population, est devenue catastrophique depuis le mois d'août, c'est-à-dire depuis les premiers effets de la troisième dose. Pour l'instant, l'INSEE ne donne aucune explication à ce trou d'air inquiétant pour l'avenir démographique du pays.
Eh bien, il faudrait évacuer les douze millions d’habitants de la région. Car pas d’électricité, c’est pas d’eau courante, pas d’essence dans les stations services (les cuves sont enterrées, et les pompes sont électriques), les supermarchés (3 jours de réserve) non approvisionnés, les hôpitaux idem etc. Après trois jours maximum, il faut commencer à vivre sur ses réserves, ou alors avoir un point de chute bien approvisionné quelque part, et les moyens d’y aller.
Pas de téléphone (les antennes-relais fonctionnent à l’électricité), pas d’Internet, pas de télé ni de radio non plus, sauf la radio par ondes courtes, mais qui a un poste de radio à ondes courtes ? Je vous dis pas la panique. La zombie apocalypse en live.
Ceci étant, le pire n’est pas toujours sûr. Je vois plutôt un effondrement économique, moins dramatique mais dont le résultat final sera le même.
Alors que l’Europe affiche un optimisme de façade en prévision de l’hiver qui s’annonce, signalant qu’elle a plus qu’assez de gaz en stock pour compenser la perte de l’approvisionnement russe, même dans le scénario du « plus grand froid », en coulisses, la plus grande économie d’Europe se prépare tranquillement au pire des scénarios, à savoir des foules en colère et des faillites si des pannes d’électricité empêchent la population d’avoir accès à des liquidités.
La décomposition du joug bruxellois de bureaucrates non élus est déjà visible depuis longtemps et son effondrement a été prédit il y a des années. Il y a d’abord eu le Grexit (qui a été évité au dernier moment à un coût énorme), puis le Brexit, qui s’est effectivement produit, et ensuite une jungle alphabétique de Frexit, Italexit, Nexit, Dexit, Polexit, etc. Aujourd’hui, la question est la suivante : après le Royaume-Uni, qui sera le prochain ? Un choix populaire est la Hongrie. Mais qui sait ? En dehors du Royaume-Uni, pays aux prises avec des problèmes d’imbécillité, trois pays de l’UE, la Bulgarie, l’Estonie et l’Italie, connaissent déjà des turbulences politiques.
Tout porte à croire qu’il ne s’agit là que du « début des problèmes ». L’hiver arrive en Europe le 1er décembre avec de probables émeutes de la faim, des pillages et des désobéissances civiles massives, provoquées par le refus et l’incapacité de payer des factures d’énergie qui s’envolent à cause du refus de l’élite millionnaire européenne d’acheter du gaz russe. La seule issue est que les pays européens se libèrent des chaînes des USA pour retrouver leur place naturelle en tant que partie du monde eurasien, ou plutôt afro-eurasien. Cette libération mérite un signe. Il n’y a pas de signe plus actuel – ou plus indigène au monde occidental – que le signe « Z ».
Explications...
Vous (et moi) nous avons un budget, et quand on ne le tient pas bien, généralement le banquier vous appelle (c’est quand vous vous entendez bien avec lui, sinon, il vous enverra juste les prélèvements de frais et des courriers à 15 euros pièce).
L’état c’est différent, ce qui veut dire que ce n’est pas pareil.
L’état, lui, grâce à tous les Mozarts de la finance qui se sont succédés à la tête de notre pays pour le ruiner, fait un budget. Un budget qui évidemment ne sera pas tenu, et vous trouverez toujours une bonne raison pour ne pas tenir votre budget, surtout quand c’est pas vous payez mais les « zotres ». Les « zotres » c’est les « zimpozables », les riches qui payent des « nimpots » tous beaux et tous chauds.
Ils le préparent depuis des années sous vos yeux qui n’en croient pas une miette, après le Covid et les injections mortelles, la guerre en Ukraine repris à grand renfort médiatique par les mondialistes satanique qui leur procure là, la meilleure couverture et excuse pour poursuivre leurs plans de dépopulation mondiale, voici la famine organisée sous vos yeux.