Des milliers de Canadiens manifestaient contre la réponse à la COVID-19 et les mandats de vaccination dans un mouvement qui ne se produit qu’une fois par génération.
Pourtant, après trois semaines de manifestations contre les politiques destructrices du Premier ministre Justin Trudeau, le gouvernement canadien a invoqué la Loi sur les mesures d’urgence, jamais utilisée auparavant, qui lui a donné le pouvoir de geler les comptes bancaires des manifestants, de les arrêter et de disperser brutalement les manifestations dans la capitale. C’était un moment controversé, regardé par le monde entier.
Un an plus tard, la Commission sur l’état d’urgence, dirigée par le juge Paul Rouleau et chargée d’enquêter sur le recours à la Loi sur les mesures d’urgence et sur d’autres questions connexes, a publié son rapport complet le 17 février. « Le rapport de 2 092 pages en cinq volumes déposé au Parlement vendredi », a rapporté la CBC, « est probablement le compte rendu le plus complet qui sera jamais produit sur les troubles de l’année dernière, et il fournit un verdict objectif qui fait autorité sur la décision historique de Justin Trudeau d’invoquer la Loi sur les mesures d’urgence. “La décision d’invoquer la loi était appropriée,” écrit Rouleau. »
Des messages WhatsApp privés publiés ces derniers jours montrent comment des responsables britanniques de la santé, dont l’ancien ministre de la santé Matt Hancock, ont pris des décisions concernant la COVID-19 en se fondant sur l’opportunisme politique plutôt que sur la science, comme l’ont prétendu publiquement les responsables de la santé.
Les messages « soulèvent de nouvelles questions vitales sur la gestion de la pandémie à l’approche d’une enquête publique sur la réponse à la COVID-19 »et révèlent « des détails dévastateurs sur la réponse à la pandémie qui étaient restés secrets jusqu’à présent », selon The Telegraph, qui a obtenu l’archive de plus de 100 000 messages de – surnommés« The Lockdown Files » [Les dossiers de confinement]– de la journaliste Isabel Oakeshott..
Mme Oakeshott est coauteure du livre de M. Hancock intitulé « Pandemic Diaries: The Inside Story of Britain’s Battle Against COVID ».
M. Hancock a été le premier membre du gouvernement britannique à annoncer un confinement, dans des déclarations faites le 16 mars 2020, sur la base des conseils du groupe consultatif scientifique pour les situations d’urgence [Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE)]. Le confinement a officiellement commencé une semaine plus tard.
Les messages révèlent comment les fonctionnaires ont pris de manière informelle des décisions concernant les confinements, les mandats de port de masques, la distanciation sociale et l’isolement, les quarantaines, la distribution de vaccins et une foule d’autres questions liées à la COVID-19, et comment ces décisions ont été motivées par des considérations politiques.
Plus de 174 000 décès ont été enregistrés en Australie en 2022, soit 12 % de plus que prévu.
Selon les données de l’Institut des actuaires, il s’agit de l’une des plus fortes surmortalités en dehors de la pandémie depuis 80 ans.
Sur les 20 000 décès supplémentaires, 10 300 ont été directement attribués au Covid-19 et 2 900 ont été liés au virus d’une manière ou d’une autre.
Les 6 600 décès supplémentaires restants n’étaient pas liés au Covid-19, selon les données.
Ils étaient plutôt liés aux maladies cardiaques et au cancer.
Karen Cutter, du groupe de travail de l’Institut sur la mortalité due au Covid-19, a déclaré que ces niveaux “ne correspondent pas aux niveaux normaux de fluctuation en période non pandémique”.
Elle a déclaré que l’Institut pensait que le virus jouait un rôle dans de nombreux cas de surmortalité, même ceux qui n’étaient pas directement attribués au Covid.
“Tout d’abord, le risque de mortalité est plus élevé après une infection aiguë par le Covid, et la plupart des Australiens ont maintenant contracté le Covid-19”, a-t-elle déclaré à news.com.au.
Des recherches antérieures ont montré que toute personne ayant contracté le Covid risque de mourir 18 mois après l’infection.
Des scientifiques chinois ont découvert que toutes les personnes qui contractent le virus ont un risque accru de problèmes cardiaques mortels, notamment d’insuffisance cardiaque, d’accident vasculaire cérébral, de fibrillation auriculaire, d’infarctus du myocarde et de cardiopathie.
Dimanche, un membre du comité éditorial du Wall Street Journal (WSJ) a reproché à la presse et aux responsables de la santé publique – qui affirment aujourd’hui que l’« immunité naturelle » protège contre la COVID-19 – d’avoir passé trois ans à dénigrer l’immunité naturelle malgré les preuves accablantes qui la soutiennent.
Dans son article d’opinion du WSJ intitulé « Three Years Late, the Lancet Recognizes Natural Immunity ? » – Allysia Finley a écrit :
« La défense de l’immunité naturelle par l’étude du Lancet correspond à un modèle pandémique : La cléricature de la santé publique rejette un argument qui menace ostensiblement son autorité ; elle est finalement contrainte d’assouplir sa position face à des preuves irréfutables ; et pourtant, pas une seule fois elle ne reconnaît que ses opposants avaient raison. »
Mme Finley a commencé son éditorial par une citation d’un article de la NBC du 16 février décrivant les conclusions du Lancet :
« L’immunité acquise à partir d’une infection Covid est aussi protectrice que la vaccination contre les maladies graves et le décès, selon une étude. »
L’étude a montré qu’une infection antérieure offrait une protection de 78,6 % contre la réinfection par les variantes originales Wuhan, Alpha ou Delta à 40 semaines, et de 36,1 % contre Omicron. La protection contre les maladies graves est restée autour de 90 % dans toutes les variantes après 40 semaines. Ces résultats signifient que l’immunité naturelle offre une protection égale ou supérieure à deux ou trois doses de vaccins à ARNm, comme le rapporte The Defender.
Un pilote a perdu la vie en plein vol et son partenaire a cru qu’il lui faisait une blague.
Un instructeur de vol est décédé des suites d’une crise cardiaque lors d’un vol. Son copilote pensait que son partenaire lui faisait une blague en faisant semblant de dormir. Les événements se sont produits le 29 juin 2022, mais cette histoire a récemment été rapportée par la UK Air Accidents Branch (cellule d’enquête sur les accidents d’avions civils au Royaume-Uni).
Le pilote avait les artères bouchées.
Selon le rapport, le copilote de l’avion a passé quelques minutes à côté du cadavre de son collègue qui avait posé sa tête sur son épaule. Au bout d’un certain temps et après s’être rendu compte que ses tentatives de réanimation étaient vaines, l’homme a effectué un atterrissage d’urgence. Il a appelé les services médicaux et les pompiers, mais rien n’a pu être fait pour ranimer le pilote.
Les vaccins anti Covid peuvent déclencher des tumeurs à croissance rapide et des maladies auto-immunes – telle est la mise en garde d’une pathologiste spécialisée depuis 25 ans dans le diagnostic du cancer du sein, le Dr Ute Krüger. Tout au long de sa carrière, elle a toujours rencontré une marge de fluctuation normale en ce qui concerne la taille et le degré des tumeurs. Cette marge a toutefois été brutalement interrompue par l’introduction sur le marché des vaccins Covid (2021), réputés sûrs. Les cas de tumeurs cancéreuses à croissance rapide et de types multiples se sont accumulés…
Elle est utilisée en médecine vétérinaire depuis des années contre des virus comme celui de la pseudo rage porcine ou l’encéphalite équine vénézuélienne, tous deux virus à ARN comme le Sars-Cov-2. Son action sur les importines, empêchant les virus de pénétrer dans les cellules, est connue et reconnue depuis 1972, tout comme son action contre le choc cytokinique responsable des décès du Sars-Cov-2, comme le montre nombre d’études et comme l’écrit aussi le Vidal.
Alors que l’ivermectine a démontré en 2020 son efficacité dans de nombreux témoignages et dans toutes les études publiées dans l’année, début 2021 a eu lieu la plus grande manipulation sanitaire de l’histoire. La France semble y avoir joué un rôle non négligeable pour rayer l’ivermectine de la pharmacopée, bien qu’ayant démontré ses possibilités tout en étant un des médicaments les plus sûrs qui soit.
La montée en puissance de l’ivermectine au second semestre 2020, faisait qu’elle représentait un grave danger pour l’industrie pharmaceutique qui avait investi des milliards dans la recherche contre le covid. Il fallait donc mettre un terme à cette thérapeutique croissante, sans concurrence, sinon l’hydroxychloroquine que les politico-financiers aidés de « médecins » avaient déjà réussi à faire taire.
Les chercheurs ont constaté que la protection post-infection – connue sous le nom d’immunité naturelle – était forte et restait significative dans le temps. Contre les variantes Wuhan, Alpha et Delta, la protection contre la réinfection était de 85 % après quatre semaines, de 78 % après 40 semaines et de 55,5 % après 80 semaines.
Cette protection a chuté plus rapidement contre le sous-variant Omicron BA.1, tombant à 36 % à 40 semaines, et la protection contre la maladie symptomatique est également tombée en dessous de 50 %.
Mais les chercheurs ont constaté que la protection contre la maladie grave était forte contre toutes les souches, y compris la sous-variante BA.1.
Les sujets naturellement immunisés bénéficiaient d’une protection de 88,9 % contre la BA.1 à 40 semaines, ce qui était en fait plus élevé que contre les souches antérieures.
Est-il possible d'évoquer un effondrement des naissances ? Peut-on constater des signes inquiétants à propos de décès concernant les nouveaux-nés en Europe ? Réponses, données et statistiques à l'appui.
L’Europe a un problème de fertilité. La cohérence des données est stupéfiante. Partout où nous disposons de données sur les naissances mois par mois, il manque de nombreux bébés depuis le début de l’année 2022. Tout se passe comme si les femmes avaient été rendues malades à partir de la moitié de l’année 2021, bloquant leur fertilité de manière suffisamment massive pour se répercuter dans les statistiques de naissances. Heureusement qu’il a suffisamment été répété que la vaccination est sûre et efficace, sinon il ne fait aucun doute que des journalistes ou instituts auraient fini par se poser des questions, voire même, étudier un peu les données disponibles. Mais puisque la vaccination est sûre et efficace, nous pouvons sans risque étudier les données à notre disposition.
Si on se place dans un exemple complètement fictif, où de nombreuses femmes se feraient injecter une substance nocive, on devrait observer plusieurs phénomènes. Tout d’abord, il y aurait de fortes chances d’observer un pic de naissances au moment de l’injection des femmes enceintes à partir de leur 3ème trimestre. Le fait d’être malade peut engendrer des accouchements prématurés. La prématurité est une des premières causes de mortalité infantile. Il n’existe pas de statistiques en ligne sur la prématurité. En revanche, l'étude de la mortalité infantile peut donner des indices permettant de savoir si quelque chose d’anormal se passe au moment de l’accouchement. Une fois passé ce pic de naissances, on s’attend à un effondrement de la natalité. Les femmes malades perdent leur fécondité. Cette perte de fécondité est visible par le dérèglement des menstruations. Il peut s’agir d’une perte totale ou partielle des règles, ou inversement d’une surabondance des pertes de sang. Une fois cela en tête, il convient d’étudier ce qui se passe au sein des pays permettant l’accès aux données.
Le CDC confirme que 100 % des décès signalés liés au vaccin Covid-19 ont été causés par seulement 5 % des lots produits et que la majorité d’entre eux ont été envoyés dans des États républicains rouges des États-Unis.
Le 31 octobre, nous avons révélé en exclusivité comment une enquête du système américain VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) a révélé qu’un nombre extrêmement élevé d’effets indésirables et de décès avaient été signalés à de nombreuses reprises pour des numéros de lots spécifiques des vaccins Covid-19, ce qui signifie que les lots mortels de ces injections expérimentales ont maintenant été identifiés.
Cette enquête a également permis de découvrir que 130 numéros de lots différents du vaccin Pfizer Covid-19 distribués dans plus de 13 États ont causé en moyenne 639 fois plus de dommages, d’hospitalisations et de décès que les 4 289 numéros de lots différents du vaccin Pfizer distribués dans 12 États ou moins.
Toutefois, la conclusion la plus choquante de l’enquête était que 100 % des décès liés au vaccin Covid-19 signalés au VAERS avec des numéros de lot identifiés avaient été causés par seulement 5 % des lots produits. Mais les résultats profondément troublants ne s’arrêtent pas là, car nous avons décidé de procéder à une analyse plus approfondie des données du VAERS sur les vaccins Covid-19, et nous avons découvert que la majorité des lots les plus mortels ont clairement été envoyés dans des États rouges contrôlés par les républicains à travers les États-Unis.
Ce ne sont pas les médias ni européens ni français qui auraient intenté une telle action.
Cela en dit d’ailleurs plus long que tous les discours sur la réalité de la démocratie en Europe et sur la transparence des institutions européennes.
Si je suis en lutte contre la Commission de Bruxelles, ce n’est pas parce que j’ai en moi un sentiment profondément anti-européen, mais parce que l’Europe telle qu’elle est conçue ne peut que nous mener à la négation des droits des peuples et à une immense corruption puisque la Commission Européenne, c’est LE lieu des arrangements entre amis, loin, très loin de contrepouvoirs démocratiques et judiciaires pourtant tellement nécessaires.
L’Union Européenne, c’est la création volontaire d’une immense lessiveuse au service de quelques puissants non élus et contre les peuples.
L’Europe de Bruxelles, en ce sens n’est plus synonyme de paix, ni de prospérité, et cela commence sacrément à se voir.
La requête du New York Times, le premier média à révéler l’affaire des SMS en avril 2021, a été déposée le 25 janvier, mais est seulement visible depuis lundi (13 février) sur le registre public de la Cour de justice des Communautés européennes.
En septembre 2021, le comité de coordination et de maintenance de la ICD-10 s’est réuni pour discuter des nouveaux codes ICD-10 que le National Center for Health Statistics (NCHS) des CDC voulait créer pour marquer les personnes comme « partiellement vaccinées contre le COVID-19 », « non vaccinées contre le COVID-19 » et « autre statut de sous-immunisation ».
Les codes ICD-10 , stockés dans le dossier médical d’un patient, sont utilisés par les médecins pour catégoriser les patients et les prestataires d’assurance pour la facturation.
Les codes ICD-10-CM ont été introduits par les CDC pour suivre les patients non vaccinés, partiellement vaccinés et ceux qui entrent dans la catégorie « autre statut de sous-immunisation ». Le comité de la CIM-10 a déclaré que les personnes ayant eu des réactions indésirables à un vaccin dans le passé seraient classées comme non vaccinées ou partiellement vaccinées, même si elles ne peuvent pas recevoir d’autres vaccins ou rappels. Les nouveaux codes ont été mis en œuvre en avril 2022.