Vidéo assez terrifiante qui parle d’une étude réalisée par un collectif de scientifiques internationaux qui a analysé des milliers de doses de vaccin Covid-19 afin de savoir ce qu’elles contenaient. Surprise !
Aucune ne contenait de l’ARN messager comme on pouvait s’y attendre. Ils ont plutôt retrouvé beaucoup de graphène, molécule ultra toxique qui n’a strictement rien à faire dans ces injections. On comprend mieux, beaucoup mieux, pourquoi ils veulent absolument injecter la planète entière, même les tranches d’âges qui ne sont pas du tout concernées par la maladie. L’étude a été réalisée avec un microscope électronique au laser qui permet des agrandissements très importants avec des résultats d’une grande précision (Raman Microscopy). Et encore, comme confirmé par d’autres études, un nombre important de métaux lourds a été trouvé dans ces échantillons comme le tungstène, le chrome, le fer, le sodium (hautement électroconducteur), le strontium, le magnésium, les nanoparticules d’or et d’argent, le plomb, l’antimoine, l’aluminium, l’étain !
Des dispositifs nanoélectroniques basés sur l'ADN synthétique sont bien embarqués dans les vaccins Pfizer et Cie... Bien que non mentionnés dans la composition du vaccin, en raison d'un vide juridique probablement entretenu (La législation n'a pas évolué depuis 20 ans), ces dispositifs sont inoculés à l'insu des personnes « vaccinées ».
Petit récapitulatif sur les adresses MAC bluetooth des injectés, les nanorouteurs et nanoantennes, l'oxyde de graphène, les nano-poulpes ou hydres...
Il venait de prendre d’assaut le Parlement luxembourgeois pour dénoncer l’orchestration. Parlement où il a également affirmé publiquement avoir traité vingt-et-un patients vaccinés par des technologies ARNm, décédés des suites de Creutzfeldt-Jakob.
À peine un mois après avoir dénoncé un phénomène, suivant ses premières révélations sur le danger de l’activation électromagnétique de molécules semblables au graphène contenues dans les technologies ARNm (4), à savoir la dégénérescence de messagers ARN en prions similaires à ceux ayant provoqué la vache folle, le professeur Montagnier s’en allait finir ses jours à l’hôpital américain de Neuilly.
N’ayant eu de cesse de s’engager dans un combat unifiant la recherche de pointe au bon sens ainsi qu’à la sagesse des médecines du vivant, il annonçait clairement lors d’une assemblée luxembourgeoise commençant doucement à prendre des allures de Nuremberg .
« Nous sommes partis du principe d’Hippocrate, primo non nocere – avant tout ne pas nuire – pour arriver à une médecine qui fait des morts, c’est à dire une médecine iatrogène. Je suis absolument contre. »
Le lait maternel de cinq des onze femmes examinées contenait de l’ARNm. Cette étude a été publiée le 26 septembre dans la revue médicale à comité de lecture JAMA Pediatrics.
Les scientifiques soulignent que plusieurs groupes vulnérables, dont les jeunes enfants et les mères allaitantes, ont été inexplicablement exclus des essais du vaccin ARNm Covid-19.
Les CDC conseillent aux femmes qui allaitent de prendre le vaccin Covid-19, bien qu’il n’ait pas été étudié si l’ARNm peut être transmis aux bébés de moins de six mois par l’allaitement.
Jérémie Mercier : Est-ce que la spike se transmet sexuellement d’un vacciné à un non vacciné ?
Docteur Benoit Ochs : Obligatoirement oui. Pourquoi ? J’ai la chance d’avoir Hervé Seligmann qui est avec moi et qui a fait une étude justement sur la transmission de la spike et qui essaye de regarder si il y a une corrélation entre la vaccination et les les infections et la transmission des infections. Il est probable qu’il y est une contagiosité. Mais de toute façon sur la plan sexuel les spermatozoïdes peuvent obligatoirement transporter la spike et les cellules de Sertoli, qui sont des cellules très très importantes, peuvent transporter la spike mais peuvent transporter l’ARN qui est transmis par le vaccin.
Nous avons maintenant la preuve scientifique que les injections d’ARNm Covid-19 peuvent causer le cancer des ovaires, du pancréas et du sein.
La voie de réparation de l’ADN de recombinaison homologue est l’un des mécanismes que le corps utilise pour empêcher vos cellules de devenir cancéreuses en réponse au stress environnemental.
L’un des composants les plus importants de cette voie est la protéine tumorale P53 (p53), la « gardienne du génome ». Il protège nos cellules des dommages cellulaires. Sous le stress cellulaire, p53 entre en action, régulant l’expression des gènes pour contrôler la réparation de l’ADN, la division cellulaire et la mort cellulaire. C’est le gène le plus souvent muté dans le cancer.