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keke rose

Xavier-Louis de IzarraUn Kéké Rose affronte seul(e) un Gros Ours noir

Xavier-Louis de Izarra - 14 mar 2024

Cette vidéo est la fidèle description de mon dernier rêve, particulièrement terrifiant !

   

Xavier-Louis de Izarra nous partage son rêve hallucinant dans un pays gouverné par un président pervers habillé de rose au comportement irresponsable, engagé dans une confrontation risquée avec une superpuissance nucléaire, ignorant les conséquences catastrophiques pour son propre peuple.

Le cauchemar se dévoile alors dans toute son horreur lorsque Xavier-Louis nous plonge au cœur de la population, une masse apathique et anesthésiée par un produit toxique qu’on avait dû leur injecter quelques mois auparavant. Dans cette vision dystopique, les citoyens semblent figés dans une inertie mortelle, indifférents à leur sort imminent, telles des marionnettes manipulées par une main invisible.

Dans un régime corrompu et décadent, entre tricheries électorales, relations extraconjugales et intrigues politiques, le portrait qui se dessine est celui d’un despote dénué de toute éthique, prêt à sacrifier son peuple pour assouvir ses propres désirs.

Yoann - Le Media en 4-4-2

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moral vs loi

Le Media en 4-4-2On peut savoir qu'une loi n'est pas morale et refuser de l'appliquer

Le Media en 4-4-2 - 14 oct 2023

Interview de François Dubois - ancien gradé de la gendarmerie.

   

Au cours de cet entretien, François Dubois évoque sans filtre les raisons de son départ de la gendarmerie, exposant les failles du système et les tensions vécues au sein de l’institution. Il souligne également les enjeux éthiques et les pressions subies face à l’obligation vaccinale imposée aux militaires. Une discussion franche et poignante révélant les complexités morales au sein des forces de l’ordre.

« À un moment donné, il y a la loi, et puis il y a ce qu’on estime être l’ordre moral des choses. Je pense que cet ordre moral est en fait supérieur au droit. À un moment donné, le droit ne fait pas tout. On peut savoir qu’une loi n’est pas morale, et dans ce cas, il est possible de la refuser, de refuser de l’appliquer. »

François Dubois

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pensée unique

Réseau InternationalLa fin de la démocratie et la montée de la pensée unique

Réseau International - 06 juil 2023

L’État éthique est défini comme la forme institutionnalisée par les philosophes Hobbes et Hegel, dans laquelle l’institution étatique est la fin ultime vers laquelle les actions des individus doivent tendre pour la réalisation d’un bien universel.

   

Au fil du temps, cependant, le concept d’État éthique a pris une composition différente et en est venu à revêtir une dimension totalitaire dans laquelle le bien et le mal sont le résultat d’une imposition indépendante de ce qui devrait être le contrat de base entre l’État et le citoyen. Thomas Hobbes est considéré comme le père de la philosophie politique moderne avec sa prise de distance par rapport à la réflexion du monde classique sur la socialité et la politique de l’homme ; Hobbes inaugure la méthode contractualiste où les hommes trouveront des règles communes en sacrifiant une partie de leur liberté en échange de la protection et du respect des règles établies et se référeront à un seul grand représentant institutionnel qu’il définit comme le Léviathan ; en ce sens, Hobbes est défini comme le principal théoricien de l’État absolu ou de l’absolutisme dans lequel le souverain est considéré comme étant au-dessus de la loi universelle.

Après Hobbes, Hegel (illustration), le philosophe idéaliste, définit l’État comme une substance éthique consciente d’elle-même ; l’État est la plus haute expression de l’éthique, une théorie qui contraste fortement avec le droit naturel et le contractualisme de la philosophie politique moderne. L’État, affirme Hegel, est la source de la liberté et de la norme éthique pour l’individu, il est la fin suprême et l’arbitre absolu du bien et du mal.

Cependant, l’État hégélien n’est pas un véritable État absolutiste et totalitaire, mais une unité organique vivante qui doit s’adapter aux circonstances évolutives naturelles de la société humaine. Pour Hegel, l’État éthique est le dernier moment de l’esprit subjectif et objectif, Hegel affirme que la liberté est et reste à tout moment la condition historique de la philosophie depuis la Grèce antique. Pour Hegel, une combinaison du bien commun et du bien personnel doit être trouvée dans l’État dans les limites dues à l’interaction des individus. La position de Hegel a ensuite été contrée par la critique de Karl Popper, qui a défini l’État éthique comme une société fermée, par opposition à l’État de droit propre à une société ouverte.

La théorie de l’État éthique a ensuite été reprise au XXe siècle pour expliquer les États fasciste et communiste, qui étaient en fait des États totalitaires dans lesquels les libertés individuelles étaient réprimées selon les règles supérieures du «Léviathan» de Hobbes.

Les constitutions démocratiques successives qui ont régi l’État de droit jusqu’au siècle dernier fondent leur existence sur un équilibre fragile entre le droit et la liberté, entre l’intérêt général et la protection des minorités qui s’oppose à la pensée unique.

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témoignage d'un médecin

Anguille sous rocheTémoignage : Un médecin s’exprime

Anguille sous roche - 19 avr 2023

Un médecin s’exprime : « Ils ont délibérément abaissé les normes de soins pour les personnes non vaccinées »

   

Je suis un médecin qui s’est opposé aux fausses histoires qui circulent autour du Covid et, pendant un certain temps, j’ai eu l’impression d’avoir perdu.

Avant que le Covid ne devienne une réalité publique, je travaillais avec succès comme chirurgien traumatologue et médecin de l’unité chirurgicale de soins intensifs dans l’hôpital qui avait diagnostiqué le premier cas de Covid en Amérique. J’étais l’un des chirurgiens les plus expérimentés d’une équipe de 12 chirurgiens. L’hôpital et la communauté médicale avaient déjà été confrontés, avant l’apparition du Covid, à divers écarts par rapport à la réalité, avec des récits tels que « le racisme partout » et « la diversité tant qu’elle soutient la déviance », mais cela ne semblait pas avoir d’incidence dramatique sur les soins prodigués aux patients.

En 2018-2019, je suis tombée sur un système de fraude perpétré par certains médecins administratifs de notre hôpital, qui a causé des dommages aux patients, et j’ai donc dénoncé l’administration de notre hôpital pour fraude. De la même manière, j’ai observé et découvert d’autres problèmes liés qui ont causé des dommages aux patients par divers autres fournisseurs que j’ai essayé de mettre en lumière dans notre hôpital. J’ai été « récompensé » par 12 plaintes déposées contre moi en l’espace de deux semaines, en guise de représailles. Ces plaintes m’accusaient d’avoir enfreint presque tous les aspects du comportement professionnel et de l’éthique. Elles faisaient suite à l’envoi par l’une des administratrices d’un courriel demandant à ses collègues de « se débarrasser du Dr Miller ». Aucune de ces allégations n’a été retenue (elles étaient toutes fausses au départ), et j’ai continué à faire mon travail au mieux de mes capacités dans cette situation hostile, mais cela devenait de plus en plus difficile. Finalement, chaque plainte a été rejetée parce qu’elle n’était pas fondée.

Puis, en février et mars 2020, notre hôpital a accueilli un grand nombre de patients Covid, avec une véritable recrudescence de patients malades au début du mois de mars. Quelques semaines plus tard, l’affaire a fait la une des journaux, mais seulement après que le virus eut dépassé son point d’inflexion dans notre hôpital et que notre système de santé n’ait pas été menacé d’insuffisance de ressources. Les choses sont alors devenues complètement folles avec le battage médiatique et la peur – encore une fois, c’était après que la véritable vague infectieuse ait été passée.

Soudain, les résultats et les données sur la qualité de notre hôpital nous sont devenus cachés et opaques. Auparavant, presque toutes les données étaient ouvertement partagées et discutées lors des réunions d’assurance qualité. L’hôpital nous a imposé un récit qui n’était que pure folie et qui allait à l’encontre de toutes les observations et de toutes les données disponibles auparavant. Voici un exemple qui fait froid dans le dos.

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Didier Raoult chez France Soir

France SoirDidier Raoult : La liberté de ne pas obéir est une chance considérable

France Soir - 10 avr 2023

L'Entretien essentiel - Le professeur Didier Raoult nous fait l’honneur d’un Entretien essentiel exceptionnel, à l’occasion de la publication de son “Autobiographie”.

   

Signe des temps, le microbiologiste et infectiologue a présenté son ouvrage sur le réseau social Twitter, où il compte près d'un million d’abonnés.

Pour l’occasion, Didier Raoult cite la philosophe américaine d’origine russe Ayn Rand : "Vous pouvez ignorer la réalité, mais vous ne pouvez pas ignorer les conséquences d'ignorer la réalité".

Quelle est la réalité ? Dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire, elle n’est pas celle du politique et de son narratif. Cette réalité, celle du story-telling et de l’instant, le professeur Raoult ne s’en est jamais préoccupé.

Il claque la porte du conseil scientifique au début de la crise sanitaire. Il défie les autorités sanitaires (et une ministre), lorsqu’il leur démontre la possibilité de mettre rapidement en place, avec ses équipes et les moyens du bord, un système de testing à grande échelle. Il accueille au sein de l’IHU Méditerranée les malades de tous horizons au lieu de les laisser seuls, confinés, sans solution et dans la peur.

Dans l'urgence, il élabore un protocole de soin, en recourant notamment au repositionnement thérapeutique de molécules bien connues et libres de tout brevet. Et ce n’est aucunement à cause de ce fait d’armes dans la guerre contre la Covid que Raoult recevra un blâme de la part du Conseil National de l’Ordre des Médecins.

Selon l’Ordre, le professeur aurait été peu confraternel dans ses déclarations à l’encontre de certains de ses chers collègues…

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belle lettre d'une étudiante en médecine

Profession GendarmeMagnifique lettre d’une étudiante en médecine qui écrit au président de l’ordre

Profession Gendarme - 16 juil 2022

Demande d’un RDV pour échanger sur les raisons qui me font arrêter mes études de médecine

   

Après AgroParisTech les carabins semblent prendre conscience de la folie qui a saisi leurs aînés devenus covidistes fous.

Magnifique lettre d’une étudiante en médecine qui écrit au président de l’ordre de son département pour lui expliquer pourquoi elle abandonne ses études de médecine en 4 ième année sous forme de commentaire du serment d’Hippocrate qui remet bien l’église au milieu du village.

Mérite d’être diffusée largement et en particulier aux associations ou syndicats d’étudiants en médecine.

« Comment prononcer les mots suivants « Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. » ou encore « Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. », alors que nous avons tous pu constater durant ces deux années à quel point le milieu politique et médical est parfois corrompu et ce au plus haut niveau, par les laboratoires pharmaceutiques et les cabinets de conseil privés ? »

Zoé Bruder - étudiante en 4e année de médecine

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