Les spéculations vont également bon train sur le fait que les injections de Covid-19 pourraient contenir des traces d’oxyde de graphène, une substance hautement toxique et conductrice.
Les régulateurs des médicaments, avec le soutien des médias grand public, ont nié à plusieurs reprises ces allégations.
Mais ils vous mentaient.
Parce que des preuves récentes ont émergé qui confirment la présence d’oxyde de graphène, une substance hautement toxique et conductrice, dans le vaccin de Pfizer. Et il est venu de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis qui a été contrainte de publier les documents confidentiels de Pfizer sur ordre de la Cour fédérale des États-Unis.
La FDA avait initialement tenté de retarder la publication des données de sécurité du vaccin Covid-19 de Pfizer pendant 75 ans, malgré l’approbation de l’injection après seulement 108 jours d’examen de sécurité le 11 décembre 2020.
Cependant, un groupe de scientifiques et de chercheurs médicaux a poursuivi la FDA en vertu de la FOIA pour forcer la publication de centaines de milliers de documents liés à l’homologation du vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19.
Début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman a ordonné à la FDA de publier 55 000 pages par mois et, depuis lors, PHMPT a publié tous les documents sur son site Web au fur et à mesure de leur publication.
L’un des documents les plus récents publiés par la FDA, enregistré sous le numéro 125742_S1_M4_4.2.1 vr vtr 10741.pdf, confirme l’utilisation de l’oxyde de graphène dans le processus de fabrication du vaccin Pfizer Covid-19.
Dane Wigington, chercheur en ingénierie climatique, affirme que les conditions de sécheresse extrême qui a sévi dans l’ouest des États-Unis sont en train d’être inversées par davantage d’ingénierie climatique. La Californie a été dans le mille. Ce n’est pas une bonne nouvelle parce que nous passons d’un destructeur extrême à l’autre. Voici ce que Wigington explique :
« Nous savons que la technologie existe et est utilisée pour diriger les courants de vent de niveau supérieur et, par conséquent, diriger les courants d’humidité, et ils dirigent l’humidité là où ils ont provoqué des tempêtes de neige consécutives. Il ne fait aucun doute que toutes ces catastrophes soi-disant naturelles sont voulues et conçues par des ingénieurs… Les gens agissent comme si c’était une sorte de théorie marginale, mais c’est pourtant de la science dure. On peut tester la neige et trouver les mêmes choses dans les brevets d’ingénierie climatique. On retrouve aussi de l’aluminium, du baryum, du manganèse, des fibres polymères, du graphène et des tensioactifs. Tout cela se retrouve dans notre neige. La direction de ce flux d’humidité sans nucléation chimique au-dessus de ce matériau nucléé gelé chimiquement crée des inondations en ce moment même où nous parlons. Ce n’est pas discutable, nous avons les preuves scientifiques. Quelle que soit la perspective d’une personne, peut-il y avoir une discussion légitime sur le climat sans aborder d’abord et avant tout l’ingénierie climatique ? La réponse est clairement NON. »
Dès 1956, le Time Magazine avait consacré une publication à la science alors déjà fort prometteuse du « biocontrôle » :
« Une horreur bien connue des amateurs de science-fiction, c’est l’esclave dont les pensées et les actions sont régies par un gadget électronique greffé dans son cerveau. Il pourrait y avoir une part de vérité dans cette fiction affirme l’ingénieur électricien Curtiss R. Schafer, qui conçoit et développe des instruments électroniques pour la Norden-Ketay Corp. de New York. L’électronique, pense-t-il, pourrait épargner beaucoup de travail aux endoctrineurs et aux contrôleurs de la pensée du futur. […]
Le biocontrôle est la nouvelle science du contrôle des processus mentaux, réactions émotionnelles et perceptions sensorielles par des signaux bioélectriques. […] Déjà, grâce au biocontrôle, les scientifiques ont changé le sens de l’équilibre des gens. Et ils ont fait en sorte que des animaux avec le ventre plein aient faim – ou qu’ils aient peur quand ils n’ont rien à craindre. »
« Les neurotechnologies nous permettent de mieux influer sur la conscience et les pensées. Ceci inclut un décodage affiné de ce que l’on pense grâce à de nouveaux produits chimiques et des interventions qui peuvent influencer nos cerveaux pour y corriger les erreurs ou en améliorer le fonctionnement. […] Des technologies spécialisées telles que les microélectrodes modernes sont capables d’enregistrer l’activité d’un neurone individuel – ou de l’activer, quand on en a besoin. […] Pouvoir « lire et écrire dans » le cerveau va créer de nouvelles industries et de nouveaux systèmes de création de valeur… »
Michel Dogna : infolettre
J’ai déjà largement parlé de ce précieux acide aminé concernant la production de glutathion tellement indispensable pour détruire l’oxyde de graphène vaccinal puisqu’ elle en est le précurseur donc le fabricant. Vu qu’elle pénètre facilement au sein des cellules, elle y est omniprésente et doit normalement se maintenir à un taux suffisant pour pouvoir affronter toutes pathogénies toxiques, bactériennes, virales, ou de peroxydation.
L’on pourrait s’étonner que le complexe médico pharmaceutique mondial ne parle guère voire pas du tout de ce couple NAC / L Glutathion en dépit de sa discrète efficacité contre la plupart des agressions extérieures en tant qu’antioxydant majeur …sauf si l’on réalise que le L glutathion est l’ennemi n° 1 du plan actuel de graphénisation généralisée des populations. Je ne vais pas revenir ici sur les désastres vasculaires entre autres dus au graphène et que vous pouvez retrouver en détail sur mon site dans ARCHIVES.
De plus, en augmentant les niveaux de L Glutathion, la NAC, permet la chasse aux radicaux libres pathogènes responsables de nombreuses maladies infectieuses chroniques.
En multi-diffusion sur TV-ADP, JSF, Gutch TV sur Twitch, VK, Odysee, Rumble et Crowdbunker.
En cas de censure sur YouTube et Facebook qui interdisent encore les contenus sur les effets indésirables des injections expérimentales, vous retrouverez une copie de l'emission.
Jacques Bauer est un pharmacien installé en suisse qui a analysé les produits injectables Pfizer, Moderna, Astrazeneca et de nombreux vaccins, ainsi que le sang des injectés. A ce jour, il a collecté une base de données de 1000 échantillons.
Il a participé aux documentaires censurés Hold-On et Hold-Out, les suites de Hold-UP.
Les images sont authentiques, les produits sont authentiques et ont été manipulés avec précaution pour éviter les contaminations.
Pfizer et Moderna ont refusé de répondre à Pierre Barnerias. Il a ensuite eu des problèmes avec son entreprise de production de cinéma. Des membres d'Agora TV qui sont témoins des observation ont reçu des menaces et la police ne nous protège pas.
Extrait AGORA-TV
Après l’alerte initiale des espagnols de la Quinta Columna c’est enfin un labo anglais qui confirme la présence non déclarée de graphène dans les « toxins ».
Presque en fin d’article lien d’une une revue indépendante qui démontre la toxicité du graphène.
Les vaccins Covid-19 ont fait l’objet d’un examen médico-légal au Royaume-Uni et un rapport de laboratoire confirme qu’ils contiennent des nanomatériaux de graphène, qui peuvent pénétrer les barrières naturelles de l’organisme et endommager le système nerveux central, et de l’oxyde de graphène qui peut endommager les organes internes, endomager le sang, déclencher un cancer et provoquer des mutations génétiques, parmi nombre d’autres effets délétères.
Une analyse plus approfondie du Dr Phillipe van Welbergen conclue que le graphène se transmet des vaccinés aux non vaccinés, pouvant détruire les globules rouges et provoquer des caillots sanguins.
Le Dr Philippe montre que des Non-Vaxxinés sont contaminés par le graphène, et il attribue cette contamination par la proximité des Vaxxinés qui émettent du graphène, mais il y a d’autres sources de graphène comme dans les masques chirurgicaux, les tests PCR, les Gels hydroalcooliques… ou même les chemtrail qui apportent du graphène !
Dans sa dernière série de lames d’échantillons de sang prélevés à la fois sur des personnes « vaccinées » et non vaccinées, le Dr Philippe van Welbergen a démontré que le graphène injecté aux personnes s’organise et se développe en fibres et structures plus grandes, acquérant des propriétés magnétiques ou une charge électrique et les fibres montrent des indications de structures plus complexes avec des stries.
Il a également démontré que des « éclats » de graphène sont transmis de personnes « vaccinées » à des personnes non vaccinées ou non vaccinées, détruisant leurs globules rouges et provoquant des caillots sanguins chez les personnes non vaccinées.
Voici l'article initial, ou il réfute ladite hypothèse ainsi qu'un autre intitulé « Parades à l'empoisonnement ».