Ici, des conteneurs dégueulent de déchets. Là, des sacs attendent bien alignés le long d’un immeuble. Ailleurs, un énorme amas s’étale jusque sur la rue. Partout, du plastique noir, vert, jaune, bleu ou rose… Les monceaux d’ordures qui font le siège des trottoirs parisiens depuis quinze jours ont parfois l’allure d’œuvres d’art à la gloire de notre surconsommation. De quoi déclencher une prise de conscience ?
« On n’a pas besoin de la situation actuelle pour prendre conscience qu’on consomme trop ! » tranche Florent, qui réside rue de la Bienfaisance, dans le 8e arrondissement de la capitale, à quelques encablures de l’Élysée. « Ces poubelles non ramassées, c’est hyper désagréable », grimace le jeune homme, visiblement impatient de revoir les éboueurs. « C’est sûr qu’on commande beaucoup en ligne, mais on essaie de limiter nos achats, d’acheter en local. Dans nos bureaux, on a mis en place le recyclage, etc. », énumère-t-il avant de filer à un « meeting ».
Lee tourisme demeure aujourd’hui la première industrie – car c’est bien d’une industrialisation des loisirs dont on parle – de la planète. Avec 1,4 milliard de touristes internationaux (contre 25 millions en 1950) et 1 700 milliards de dollars d’exportation en 2019, le secteur concentrait – avant le Covid-19 – 10 % du PIB mondial et un emploi sur dix. Première également en impact écologique : l’industrie émet à elle seule 8 % des gaz à effet de serre de la planète.
A se rappeler que le tourisme de masse fut inventé par l’Italie fasciste et l’Allemagne nazie, qui développèrent dans l’entre-deux-guerres agences de voyages et moyens de transport pour organiser et contrôler le temps libre de leurs populations et acheter la paix sociale.
« Le tourisme transforme toute réalité et tout sentiment réellement vécus en simple curiosité et, tout au plus, en émotion stimulée par sa mise en vitrine. Il transforme le réel en représentation. »
Dans Fashion, Catherine Dauriac – en collaboration avec Isabelle Brokman – expose ainsi les nombreux faits et chiffres vérifiés qui jonchent de honte le secteur de la mode dans le plus grand des silences. Car pendant que nous faisons la sourde oreille, que le sujet nous paraît trop anxiogène, et qu’acheter avec insouciance nous semble plus confortable, l’industrie qui fabrique nos vêtements jetables continue de semer l’horreur, en maltraitant notamment des vies humaines et non-humaines, des étendues de terre, des cours d’eau, l’air, la biodiversité,…
« Notre civilisation est addict à la mode, encore plus qu’au sucre.
Nous achetons de plus en plus de vêtements. Nos armoires débordent, alors que nous ne portons qu’un tiers de notre vestiaire. Nous sommes affamé·es de nouveauté, de style, de fringues.
Sur l’internet, nous n’avons jamais autant commandé. »
« Se rendre à la COP21 avec des grosses limousines, c'est comme manifester contre la pollution en brûlant des pneus. »
« La vie s’achève, mais le travail jamais. »
Le but des Licoornes est de répondre aux besoins des citoyens sur des secteurs majeurs comme l'alimentation, la mobilité, l'énergie... et tout cela en respectant au mieux l'environnement.
Les Licoornes sont des start-ups qui appartiennent à leurs clients, leur premier but n'est pas la lucrativité mais la transition écologique et sociale.
Visiter le site des Licoornes.
« On veut remettre en question le modèle basé sur la surconsommation »
Mr Mondialisation est un groupe de réflexion informel et citoyen francophone à visée internationale. Mr Mondialisation, c’est également ce personnage masqué et anonyme imaginé et interprété par son fondateur depuis plus de 10 ans. Son objectif principal est d’alimenter le débat libre dans la sphère publique autour des grands sujets mondiaux et locaux de notre temps.
« Faire attention à comment on produit et comment on ne produit pas c’est important, mais il est aussi indispensable de porter un regard critique sur la manière dont l’argent qui est gagné est redistribué. Avec mes amis, on a donc eu l’idée de reverser plus de la moitié des bénéfices à des associations environnementales et sociales. »
Comme au Texas en février, où de nombreuses installations électriques avaient été paralysées par un froid extrême, faisant flamber les prix en Bourse.
Cette vidéo ne concerne que l'objet, mais pas l'infrastructure nécessaire au fonctionnement de cet objet qui est au moins aussi néfaste. Vous pouvez vous renseigner sur le site Robin des Toits
« La technologie sans fil, bombarder nos cellules de champs électromagnétiques complexes, pulsés et modulés, perturbe ces courants de vie. L'ensemble du processus d'alimentation, de respiration, de digestion et de production d'énergie - le processus de la vie - est ralenti. Nous en voyons les conséquences partout. »
La liste des contaminants qui ne constituent en aucun cas un médicament est édifiante : aluminium, tungstène, acier inoxydable, chrome, magnésium, titane, nickel... Cela pose question. Que font-ils là ? Ces particules sont-elles placées intentionnellement dans les vaccins ?
« Les analyses effectuées montrent que dans tous les échantillons contrôlés, les vaccins contiennent des corps étrangers non biocompatibles et bio-persistants qui ne sont pas déclarés par les fabricants, mais contre lesquels le corps réagit quoi qu'il en soit. Cette nouvelle enquête représente un nouveau contrôle de qualité qui peut être adopté pour évaluer la sécurité d'un vaccin. Notre hypothèse est que cette contamination est involontaire, puisqu'elle est probablement due à des composants ou des procédures pollués de processus industriels — par exemple, des filtrations — utilisés pour produire des vaccins. »
Découvrez les principes et les valeurs des ressourceries et le réseau national de ces lieux alter-mondialistes, mais aussi des offres d'emploi,
Nous n'héritons pas de la terre de nos parents, nous l'empruntons à nos enfants.
L'article est bâti autour d'une étude menée par la Royal Society for Public Health (RSPH). Elle indique que les réseaux sociaux Instagram et Snapchat sont les pires en matière de bien-être et de santé mentale pour les 12-24 ans.
« La vie c'est ce qu'il se passe quand tu lèves la tête de ton smartphone. »