L'analyse de sang vivant et des globules rouges est connue depuis longtemps.
Par contre la diminution de leur mobilité vis à vis des champs électromagnétiques dégagés par les téléphones mobiles est moins bien connue par le monde médical.
Pourtant, ils s'agglutinent dans les capillaires du cerveau ce qui entraine une diminution d'oxygène et dans un deuxième temps, un dysfonctionnement des neurones.
Christophe MERGAULT père de deux enfants, informaticien, militant EHS hors norme et diabétique, qui consomme 4 fois plus d'insuline depuis que les Linky ont été installés dans son quartier s’est opposé à la société anonyme ENEDIS afin de rétablir un courant propre non rayonnant en mode conduit pour certains EHS en shuntant les concentrateurs des compteurs connectés Linky.
Ses actes salutaires légitimes de salubrité publique contre cette nouvelle pollution irradiante délétère l’honorent, mais suite à une délation, dans un procès de David contre Goliath il est financièrement sévèrement condamné.
La violence de ce procès tient au fait qu'il était jugé d'avance, en effet le verdict était prêt le jour même, même si le juge après un moment d’hésitation décida de ne le donner que quelques jours après.
Cette précipitation signifie que les documents fournis au juge soit plus de 2000 pages concernant des informations scientifiques sur la nocivité de la Linky Dirty Electricity injectée par les concentrateurs, ses conséquences graves sur la santé, ainsi que les preuves vivantes données par de nombreux témoignages de personnes Electro Hyper Sensibles, ont été balayés d'un revers de main !
Il a été cliniquement démontré que l’utilisation régulière du téléphone entraîne une détérioration de la matière grise, la partie du cerveau qui permet les mouvements moteurs, la mémoire et les émotions.
Ce phénomène est probablement dû aux champs électromagnétiques de radiofréquence (CEM-RF) émis par les smartphones.
Une étude suisse menée en 2015 indique que l’exposition aux CEM-RF émis par les téléphones portables était liée à des problèmes de mémoire.
Ces patients fabriquaient, inspectaient, réparaient ou utilisaient des équipements à micro-ondes. Certains travaillaient dans des installations radar, d’autres pour des stations de radio ou de télévision, ou des compagnies de téléphone. D’autres encore faisaient fonctionner des appareils de chauffage et d’étanchéité à radiofréquence utilisés dans un nombre croissant d’industries à l’aide de la technologie mise au point pendant la Seconde Guerre mondiale.
Arthur Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner les prétentions gouvernementales et industrielles concernant la soi-disant innocuité des champs électromagnétiques.
La politique de santé publique relative aux maladies à coronavirus (COVID-19) s’est concentrée sur le virus du syndrome respiratoire aigu sévère coronavirus 2 (SRAS-CoV-2) et ses effets sur la santé humaine, tandis que les facteurs environnementaux ont été largement ignorés.
En considérant la triade épidémiologique (agent-hôte-environnement) applicable à toutes les maladies, les chercheurs ont étudié un facteur environnemental possible dans la pandémie de COVID-19 : le rayonnement radiofréquence ambiant des systèmes de communication sans fil, y compris les micro-ondes et les ondes millimétriques. Le SRAS-CoV-2, le virus à l’origine de la pandémie de COVID-19, est apparu à Wuhan, en Chine, peu de temps après la mise en place d’un système de radiations de communications sans fil de cinquième génération (5G) à l’échelle de la ville.
L'intérêt du document de Glaser de 1972 est de contrer les déclarations selon lesquelles il n'existe pas de recherches "crédibles" montrant les effets non thermiques. Il s'agit d'une fausse déclaration promue par ceux qui, soit ne connaissent pas la littérature, soit ne veulent pas admettre que ce rayonnement, aux niveaux auxquels nous sommes actuellement exposés, peut être nocif.
Des recherches crédibles existent, elles existent depuis des décennies et elles ont été largement ignorées par les responsables de la santé publique et professionnelle.
Le document de Glaser est téléchargeable ici.
Note : Ce document est "non classifié" et "a été approuvé pour une diffusion et une vente publiques ; sa distribution est illimitée"