Dans un élan audacieux vers un internet libre et ouvert, Rumble – la plateforme de partage de vidéos en plein essor – a fait avancer sa mission avec le lancement beta de Rumble Cloud, une livraison anticipée par rapport au calendrier prévu par l’entreprise, au cœur du marché des services en nuage.
Cette étape importante de Rumble, lancée aujourd’hui, constitue l’épine dorsale d’une nouvelle autoroute de l’infrastructure destinée à soutenir l’internet sans entraves. C’est un phare pour ceux qui sont laissés dans le froid par la censure et les tactiques de tarification douteuses de Big Tech dans le domaine des services en nuage.
Rumble s’est concentré sur la construction d’un cadre solide capable de soutenir l’activité de streaming et de vidéo à grande vitesse de l’entreprise. L’infrastructure désormais en place ne répond pas seulement aux besoins complets de Rumble en matière de vidéo, mais sert également de tremplin pour plonger dans le marché des services dématérialisés, ce qui lui permettra de rivaliser avec des entreprises telles qu’Amazon et Google.
Elle exploitera la capacité disponible et la convertira en un service basé sur le cloud profitable à une nouvelle base de clients, ce qui lui permettra de réaliser des économies d’échelle.
99% des données numériques passent par le câble sous-marin
Ou plutôt les câbles sous-marins, le site spécialisé TeleGeography en dénombre 486, contre moins de la moitié en 2009. Les premiers câbles ont été posés au XIXème siècle entre l’Europe et le continent américain à la suite du développement du télégraphe. Depuis 1988 les câbles classiques en cuivre sont remplacés par de la fibre optique. Les enjeux géopolitiques sont évidents, sans câble plus de communication possible, et la Chine et les Etats-Unis s’affrontent ouvertement via leurs opérateurs.
Traditionnellement les grands opérateurs téléphoniques étaient les opérateurs des câbles sous-marins. Liés à la téléphonie, ils les fabriquaient, les posaient, les entretenaient, les surveillaient et souvent les exploitaient. Ces opérateurs tels Alcatel Submarine Networks, Louis Dreyfus Travocean, Orange Marine, Telefonica, sont devenus minoritaires ou réduits au rang d’associés. Depuis une quinzaine d’années les entreprises de la silicone vallée y ont investi massivement, répondant à leurs besoins croissants de transferts de données, à l’atteinte de nouveaux marchés dans les pays du tiers-monde et permettant également un contrôle de l’information. Ils posent ouvertement un défi à la souveraineté numérique des Etats.
Voici quelques stratégies à l'intention des parents pour aider les enfants à résister à la pression de la conformité.
Loin d’être des réponses fragmentaires ou simplement opportunistes à une « pandémie » commode, ces agressions contre les enfants – et les adultes aussi – sont le reflet d’un programme de contrôle à long terme bien financé visant à la mise en œuvre des identités numériques, le scoring social et « la surveillance et le suivi complets de chaque être humain grâce aux mécanismes déjà en place ».
Lors du rassemblement « Defeat the Mandates » en janvier 2022, le président de la Children’s Health Defense et avocat en chef des litiges, Robert F. Kennedy Jr, a affirmé que « personne dans l’histoire de la planète n’a jamais réussi à se conformer pour échapper à un contrôle totalitaire » et a rappelé au public que « chaque fois que vous vous conformez, vous vous affaiblissez ».
M. Kennedy a également averti, « ils viennent pour nos enfants ».
Comme s’il s’agissait d’une confirmation, des nourrissons, des enfants de maternelle et des étudiants ont été harcelés tout au long de l’année pour recevoir des injections contre la COVID-19, qui leur ont causé des dommages atroces, malgré les preuves accablantes que ces vaccins devaient être retirés du marché de toute urgence.
Conscients de ces dangers et d’autres qui entourent leurs enfants, un nombre croissant de parents ont reconnu la nécessité de la non-conformité.
En gardant la non-conformité comme mot d’ordre pour 2023, voici quelques actions qui pourraient faire une réelle différence dans l’année à venir.
« Nous pouvons dire non à la conformité avec les vaccins pour le travail, non à l’envoi des enfants à l’école avec des tests et des masques forcés, non aux plateformes de médias sociaux censurées, non à l’achat de produits des entreprises qui font faillite et cherchent à nous contrôler. Ces actions ne sont pas faciles, mais vivre avec les conséquences de l’inaction serait bien plus difficile. En faisant appel à notre courage moral, nous pouvons arrêter cette marche vers un État policier mondial. »
La Haut-Commissaire aux droits de l'homme, Michelle Bachelet, a publié un communiqué de presse accompagnant un rapport sur le sujet, visant particulièrement les technologies de reconnaissance faciale qui “présentent un risque grave pour les droits de l'homme”, jusqu'à ce que « des garanties adéquates soient mises en place ». Pendant ce temps, la Quadrature du Net dénonce cet acte comme un cheval de Troyes.