Aurélie Moy est jeune ingénieure polytechnicienne spécialisée en développement durable. Elle a eu cette idée de village de Tiny Houses en 2018 alors qu’elle concevait sa propre Tiny House SuSy (diminutif de Sustainable Systems – Systèmes Durables en anglais). Disposant d’un grand terrain familial de 3500m² près du centre-ville de Saint-Brieuc, la jeune femme a décidé de créer le premier village de Tiny Houses afin de promouvoir ce mode de vie plus respectueux de l’environnement.
En effet, vivre en Tiny House c’est faire le choix du minimalisme, vivre avec moins de possessions matérielles pour vivre heureux.
Les maisonnettes du Ty village sont construites en ossature en bois et fabriquées avec des matériaux principalement naturels, renouvelables et locaux. Elles sont bien isolées pour permettre aux habitants d’y vivre à l’année.
Ce mode de vie minimaliste s’accompagne bien trop souvent de difficultés administratives. Même si, depuis la loi ALUR, les Tiny Houses sont reconnues comme des habitats légers, les propriétaires de Tiny Houses ont toujours du mal à obtenir les autorisations pour s’installer.
En créant ce village, Aurelie a souhaité rendre ce mode de vie accessible à ceux qui souhaitent expérimenter la vie en Tiny House. Après avoir bataillé avec la mairie pour obtenir le permis d’aménager, Ty village a pu accueillir ses 5 premières Tiny Houses en 2019. Aujourd’hui, il y en a une vingtaine. Les Tiny Houses sur le terrain sont actuellement en location pendant la période scolaire pour les étudiants. En été, elles sont disponibles à la semaine ou à la nuit pour les touristes et les curieux qui souhaitent tester la vie en Tiny House. En plus de ces locations de Tiny Houses, Ty Village souhaite aussi proposer des terrains à la location pour les propriétaires qui veulent s’installer sur un terrain. Des emplacements sont ainsi disponibles pour accueillir des propriétaires et leur tiny.
Mais grâce à la valeureuse police allemande, au renseignement intérieur et à la vigilance civique toujours en éveil, notre ami Olaf va pouvoir rester chancelier et notre autre grande amie, Annalena, continuer à pouvoir apprendre l'histoire militaire et la géographie de l'Europe et du monde pour faire son job de ministresse des Affaires Etrangères. Le fascisme est toujours renaissant mais les femmes et les hommes de progrès veillent: no pasaran! Une fois qu'on a ri un bon coup, on comprend cependant que, derrière le scénario farcesque, qui consiste à prendre les citoyens allemands pour des imbéciles, se profile une intimidation d'envergure contre tous ceux qui critiquent l'incompétence du gouvernement allemand et son aliénation à Washington, Davos et Pékin.
Le coup d’Etat était presque parfait
A vrai dire, la seule chose hilarante dans le scénario proposé, c’est que les ingrédients attendus y sont. Je ne résiste pas au plaisir de citer le copié-collé du très macroniste Figaro, sous le titre “L’Allemagne déjoue un complot d’extrême-droite” – rien que ça ! Accrochez-vous à la table, fou-rire assuré.
Aujourd’hui, rachetée de nombreuses fois et reprise en main par différents directeurs artistiques, chaque fois moins talentueux que les précédents, comme le veut notre époque chaque jour un peu plus médiocre, la société Balenciaga est au centre d’un énième scandale.
Ce n’est pas la première fois que l’on relie élite, personnel politique ou people à la pédocriminalité. Que l’on se rappelle les affaires Podesta/Clinton, le Pizzagate, les affaires Epstein ou encore – géographiquement plus proche de nous – les enfants du juge Roche, l’affaire Luc Ferry, ou les mœurs douteuses d’un Frédéric Mitterrand ou d’un Pierre Bergé.
Après la crise économique de 1929, le monde entier était convaincu, à juste titre, que le capitalisme d’alors était fini. L’Union soviétique, seule, proposait une alternative, le bolchévisme. Bientôt les États-Unis en imaginèrent une seconde, les réformes structurelles du New Deal, puis l’Italie promut une troisième solution, le fascisme. Les grands capitalistes anglo-saxons choisirent de soutenir un nouveau régime, proche du fascisme, le nazisme. Ils pensaient que l’Allemagne attaquerait l’URSS, préservant ainsi leurs intérêts aussi bien menacés par les collectivisations bolchéviques que par les réformes économiques US. Cependant rien ne fonctionna comme prévu puisque l’Italie, l’Allemagne et le Japon formèrent l’Axe avec leur propre logique et que la guerre ne fut pas enclenchée contre les Soviétiques, mais contre les grandes fortunes qui la préparèrent.
Dans l’imaginaire collectif, nous ne tenons pas pour responsables les grands capitalistes anglo-saxons qui soutinrent le nazisme à ses début. Au contraire, nous nous souvenons des peuples britannique et états-unien comme ayant participé à la victoire.
Cette politique de longue date ne s’appliquait pas aux informations erronées fournies par les responsables gouvernementaux, qui mentaient régulièrement sur des sujets tels que la transmission, les masques, l’efficacité des vaccins, les effets secondaires ou toute autre « science » qui s’avérait manifestement fausse.
« À compter du 23 novembre 2022, Twitter n’applique plus la politique relative aux informations trompeuses COVID-19.
Alors que la communauté mondiale affronte ensemble la pandémie de COVID-19, Twitter aide les gens à trouver des informations fiables, à se connecter avec d’autres personnes et à suivre ce qui se passe en temps réel. »
Cette tendance qui a commencé à s'affirmer en juin 2022, c'est-à-dire 9 mois après l'atteinte des 85% de taux de vaccination dans la population, est devenue catastrophique depuis le mois d'août, c'est-à-dire depuis les premiers effets de la troisième dose. Pour l'instant, l'INSEE ne donne aucune explication à ce trou d'air inquiétant pour l'avenir démographique du pays.
C’est pour cela, et non pas pour ses capacités en hydrocarbures, que le président Biden l’a proclamé « Plus grand Allié Non-Otan des États-Unis »
La Coupe du Monde FIFA 2022 au Qatar cache une tragique réalité sur laquelle le courant dominant politico-médiatique a fait tomber une chape de silence. Avant tout le fait que ce soit cet émirat du Golfe qui ait été choisi par la FIFA pour organiser la World Cup 2022. La FIFA, la Fédération internationale de football, est profondément corrompue, au point que ses hauts administrateurs ont été arrêtés pour fraudes, racket et recyclage d’argent. Il n’y a donc pas à s’étonner que la FIFA, alors qu’elle a choisi le Qatar, a expulsé la Russie du Mondial. La Coupe du Monde 2022 est la plus couteuse de l’histoire : le Qatar y a dépensé 220 milliards de dollars (par rapport aux 4 milliards dépensés par l’Allemagne pour organiser les Mondiaux de 2006).
Alors que la critique de la presse donne une note de 1,8, en revanche du côté des spectateurs la note est de 4,2. Nous rappelons à la presse que la moyenne par séance du film "Le monde d'après" est de 90 spectateurs, alors que la moyenne française est de 9 personnes. On peut en conclure que son succès est indéniable. "Je fais dix fois mieux que ce que fait le cinéma actuellement", nous dira Laurent Firode.
En marge de ce système — et voulant rester libre —, le réalisateur Laurent Firode bricole de main de maître sans subventions, hors des circuits classiques : « Je pense qu’il y a un moyen de contourner ce système omniprésent, qui ne crée que des films toujours semblables. »
Que l’on pense par exemple à l’indignation de certains politiciens face à l’usage par des esprits critiques des mots « dictature » ou « tyrannie » sanitaires…
Pourtant, la dictature est bien depuis la Rome antique cette suspension (normalement temporaire) des droits et libertés habituelles. Un état d’urgence ou d’exception qui court-circuite les processus habituels de la démocratie et de l’état de droit est bien techniquement un régime de dictature.
Et piloter la soi-disant réponse à un phénomène (présenté de manière fallacieuse comme les présentations précédentes l’ont montré) depuis un « Conseil défense » militaire, protégé par un secret n’ayant aucune raison valable d’exister, relève bel et bien de la tyrannie. Là encore au sens précis du terme, qui décrit la captation du pouvoir exécutif par une personne ou un petit groupe mettant en échec le fonctionnement institutionnel normal.
Toutes ces réalités -déjà bien problématiques-, il fallait la connaissance et l’expertise d’une personne comme Ariane Bilheran pour nous éclairer à leur sujet.
Normalienne, philosophe (avec une spécialisation en philosophie politique et morale), Ariane est de surcroît docteur en psychopathologie. Ses thématiques de recherche dans cette discipline ont couvert (en autres) la psychopathologie de l’autorité et de la paranoïa ainsi que les phénomènes de manipulation et d’emprise, à petite comme à large échelle.
C’est dire si elle possédait en amont de ce qui nous est arrivé toutes les clés de lecture et de compréhension nécessaires à porter une analyse précise et pertinente.
Elle l’a fait en publiant plusieurs séries d’articles (dont Chroniques du totalitarisme et Psychopathologie du totalitarisme) et différents ouvrages qui feront date (dont bien sûr Le débat interdit, rédigé en tandem avec Vincent Pavan) ainsi qu’en donnant de nombreuses interviews et conférences.
Des centaines d'ouvriers ont défilé mercredi devant l'usine et ont fait face à des policiers, lesquels étaient armés de matraques et habillés en combinaisons intégrales de protection blanches.
Dans la foulée, les autorités de Zhengzhou ont ordonné une grande campagne de dépistage dans plusieurs districts de la ville. Ces quartiers sont confinés pour cinq jours à partir de vendredi minuit.
En clair, les habitants du centre-ville ne sont plus autorisés à quitter la zone sans un test PCR négatif et l'autorisation des autorités locales. Il leur est conseillé de ne pas sortir de chez eux, "sauf si nécessaire".
Ces mesures concernent plusieurs quartiers, touchant environ la moitié des habitants de Zhengzhou. Elles ne couvrent pas la zone de l'usine d'iPhone, où les ouvriers sont déjà soumis à des restrictions depuis plusieurs semaines.