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Branco l’anti-Attal

Égalité et RéconciliationJuan Branco : "J’ai vécu le fascisme sous Emmanuel Macron"

Égalité et Réconciliation - 20 juin 2024

J’ai vécu le fascisme sous Emmanuel Macron.

   

J’ai été ciblé par des procédures politiques lancées par un membre du pouvoir, Aurore Bergé, pour avoir écrit un livre, Crépuscule, qu’elle considérait comme une incitation à la commission de crimes et délits. Un livre que personne n’éditait. Un livre qui ouvrait la voie, enfin, à une critique d’un régime avarié, face auquel tout le monde se taisait.

J’ai été, de ce fait, ciblé par des « agences d’intelligence économique », des barbouzes, des opérations d’influence, montées par des êtres payés des fortunes pour détruire ma vie, ma réputation, mon intimité.

J’ai été placé sur écoute, géolocalisé, physiquement suivi par des services de police, puis de renseignement, mobilisés pour me surveiller, m’intimider, m’impressionner, parce que j’avais osé défendre des êtres qui avaient révélé l’impudeur du pouvoir.

J’ai eu droit à des opérations visant à détruire mon intimité, relayées par des années d’instructions judiciaires en continu, qui, y trouvant prétexte, iraient jusqu’à chercher mes relevés de note universitaires pour les faire fuiter, convoquer ma mère, ma soeur, mes amoureuses pour leur faire parler de mon intimité.

J’ai connu l’isolement, la brisure que cela suscitait.

Jusqu’à entendre une femme, dans mon lit, me susurrer : « j’ai été envoyée ».

En tant qu’avocat, défendant tout ce que la terre de France générait de dissidents et d’opposants, j’ai vu des dossiers pénaux disparaitre, des personnes condamnées pour des actes qu’elles n’avaient pas commis.

Des fausses accusations pulluler.

Je l’ai dénoncé.

L’impunité. La laideur. La violence.

L’indifférence à la vérité.

J’ai dû partir en exil, après une énième convocation aux fins de placement en garde à vue. Après d’interminables campagnes de calomnies et de pressions, orchestrées par une presse aux ordres qui s’indifférait de la vérité, des années durant, en un harcèlement permanent.

Moi qui étais avocat, docteur en droit, diplômé des plus grandes écoles de ce pays, courtisé et recruté en ses plus puissantes institutions, j’ai vu mille mensonges se déployer dans le seul but de rompre, isoler, briser.

Jusqu’à me voir menacé d’être radié, là encore, pour avoir dit la vérité.

Jusqu’à me voir menacé de quinze ans de prison pour des faits qui en rien ne le justifiaient.

Engagé auprès de mes clients, qui eux-mêmes s’opposaient au pouvoir, j’ai été ciblé pour les fragiliser.

Enlevé et emprisonné à cinq mille kilomètres de chez moi, cagoulé, menoté, accusé de terrorisme, de complot et d’attentat, menacé de prison à perpétuité, par un régime croupion que l’Elysée soutenait, qui mille autres déjà détenait, et qui massacrait dans l’indifférence de ceux qui nous gouvernaient.

J’ai vu à mon retour la censure. L’intimidation.

Les journalistes qui tremblaient, hésitaient, effaçaient.

Des articles disparaître. D’autres, ne jamais paraître.

Des journalistes tout abandonner.

Dans le cadre de ces procédures bidons, j’ai été convoqué à des expertises psychiatriques et psychologiques dont les auteurs admettaient à voix basse être sous intense pression et ne pas savoir comment s’en dépêtrer.

Tremblant pour eux, pour moi, pour nous.

J’ai vu la rumeur croître, puis s’imposer.

Je n’ai, longtemps, au cours de cette période, pas même pu ouvrir un compte, parce que j’avais défendu un dissident, Julian Assange, et que TRACFIN avait décidé qu’il s’agissait là de quelque chose qui devait inquiéter, plus que les milliards qui chaque année sont siphonnés.

Ce n’est pas du complotisme. Ce n’est pas de la psychopathologie.

Ce sont des faits, documentés, accumulés, année après année.

J’ai connu le fascisme, sous Emmanuel Macron.

Alors, on pourra me raconter tout ce qu’on voudra. Il n’y a rien qui désormais ne puisse m’inquiéter, à moi et à ceux qui ont traversé ces mondes sans céder. A tous ces êtres qui auront eu le privilège, au cours de ces années, d’y résister.

Nous savons ce qu’est ce pouvoir. Sa brutalité. Son usage de la violence, l’intimidation, la corruption, pour faire taire, acheter, effacer, qui le menacerait.

Nous savons ce que sont ces êtres, derrière les visages maquillés, les costumes bien ajustés.

Nous savons leur laideur, leur absence de limites et respectabilité.

Ces êtres sans honneur qui n’ont que faire de la République et de sa démocratie.

Des Français.

Eux et leurs marchands d’idées, ces employés que vous ne cessez d’entendre bêler à la radio et à la télévision, invoquant des spectres du siècle passé, des concepts abstraits, pour vous orienter par l’angoisse et l’inquiétude, vous parlant « d’extrêmes » alors qu’ils vivent en une abondance sans pareil à l’échelle de l’histoire, doivent être ignorés.

Ce sont eux qui, extrêmes, servent un pouvoir avarié.

Eux qui ont tout pillé. Eux qui, avec nos finances, se sont gavés, tandis que tout autour de nous, chacun des piliers de notre société, s’effondrait.

Eux qui nous ont distrait, jour après jour, semaine après semaine, mois après mois, avec des polémiques orchestrées pour semer la haine et nous diviser.

Nous sommes à la veille de la liberté, et d’une nouvelle forme de souveraineté. Demain une nouvelle ère. Je vous ai fait part du chemin qui me semblait le plus indiqué.

Mais face à la sauvagerie de nos élites, seul le premier pas compte :

Les dégager.

Il sera bien temps ensuite de tout le reste féconder. En une terre à nouveau libre.

En une terre où il sera à nouveau possible d’agir et de penser.

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Israël - Palestine : guerre ?

Réseau InternationalIsraël - Palestine

Réseau International - 09 oct 2023

Qui peut s’étonner que la guerre mondiale ait ici franchi une nouvelle marche

   

«Le gouvernement fasciste de Netanyahou porte l’entière responsabilité de la dangereuse escalade». (Parti communiste d’Israël et Hadash)

Dans une déclaration concernant l’escalade rapide de la confrontation militaire entre le Hamas et les forces israéliennes survenue aujourd’hui, le Parti communiste d’Israël (MAKI) et le Hadash blâment la politique d’occupation criminelle du gouvernement d’extrême droite de Netanyahou, soulignant les graves dangers qu’elle pose pour la paix dans la région.

«Les crimes du gouvernement de droite fasciste visant à perpétuer l’occupation conduisent à une guerre régionale qui doit être stoppée».

Cette position du Parti communiste d’Israël et Hadash devrait être celle de tous les partis communistes et nul ne peut ignorer les faits et leurs conséquences prévisibles. Parce que si l’on veut la paix on ne peut pas ignorer qui est à l’origine de la guerre.

Le Premier ministre israélien dit «nous sommes en guerre» après les attaques du Hamas par «terre, air et mer». Il précise : il ne s’agit pas simplement d’une opération, c’est une guerre et ce criminel qui a tout fait pour en arriver là à l’instar des autres impérialistes veut profiter de l’occasion pour éradiquer définitivement le peuple palestinien quitte à détruire son propre peuple le peuple israélien qu’il n’a cessé de limiter au seul peuple juif. La démocratie pour les juifs, la prison pour les autres. C’est Netanyahou qui après Begin en est le fleuron, celui qui a porté jusqu’à l’incandescence la haine comme seule identité juive et il a eu des soutiens de plus en plus larges, de plus en plus irresponsables qui se sont présentés comme les seuls défenseurs des juifs. Cette corruption identitaire s’est cru tout permis dans le contexte du pseudo triomphe du capitalisme et de son bras armé, l’impérialisme occidental, avec les USA et l’OTAN.

Aujourd’hui alors que nous assistons à un basculement historique avec la fin de la militarisation du dollar ces explosions se multiplient sur toute la planète.

C’est un scénario qui se répète partout non seulement en Amérique latine, en Afrique, en Asie, au Moyen Orient, mais hier dans le Caucase avec la malheureuse Arménie et bien sûr avec l’Ukraine. Ceux qui ont partout encouragé ces brasiers ce sont les États-Unis et les «alliés». Qui ignore qu’ils ont fait d’Israël un état de l’impérialisme etasunien, celui-ci ne tient désormais que par la seule volonté des États-Unis et il a été insufflé au peuple juif tout ce qui avait causé sa perte depuis des millénaires, le racisme et les pogromes comme seule réponse à la revendication légitime du peuple palestinien.

Alors que la résistance palestinienne affronte ce gouvernement criminel d’extrême-droite, il est essentiel que les internationalistes du monde entier s’expriment, se mobilisent et agissent pour dénoncer les États-Unis, y compris les États de l’UE, la Grande-Bretagne et toutes les puissances complices de ce qui se passe depuis tant d’années et qui a fait qu’en Israël l’extrême-droite se soit crue de plus en plus protégée. Comme partout dans le monde, les 3,8 milliards de dollars d’aide militaire américaine chaque année, la propagande impérialiste qui jour après jour se déverse dans notre presse et qui crée de fait les conditions de l’injustice, allant jusqu’à soutenir des régimes ouvertement nazis et corrompus comme ceux de Zelensky en Ukraine ou des tortionnaires en Amérique du sud, représente-t-elle réellement ce qui va vers la paix ? Alors qu’Israël et la Palestine aurait pu bénéficier de deux puissances comme la Chine et la Russie réellement éprise de paix, le régime de Netanayou a soutenu en sous-main toutes les manipulations bellicistes y compris dans le Caucase, en Afrique… Alors que de plus en plus nombreux sont les juifs qui refusent d’être enrôlés dans la guerre impérialiste ils doivent le faire à titre individuel et sans pouvoir dire que le peuple juif comme tous les peuples a besoin d’états, de nations qui ne soit pas ethnicisés, ni relevant d’une religion, mais de construire la nation dans la diversité des origines, comme un lieu d’égalité et de conquête de droits pour tous, et ça aurait été possible avec le socialisme, le vrai, celui qui crée la coopération et le développement.

Que vous le vouliez ou non les seuls systèmes aptes à imposer la paix est celui de nations ayant des États avec à leur tête des partis communistes avec un projet qui tend vers l’égalité, le développement, dans le respect mutuel des origines, ce qui a été réalisé en URSS, en Yougoslavie et qui ne peut pas exister dans le capitalisme, l’impérialisme. Tout ce qui est possible est un espace de négociation en lien avec le droit international et pas avec des blocus, des sanctions, des répressions fascistes.

Dans l’affrontement géopolitique entre l’impérialisme étasunien en crise profonde et un monde multipolaire, tout a été fait malgré la Chine et la Russie pour qu’Israël et les juifs de la planète se rangent dans le camp de la mort et de la guerre. D’autres peuples sont pris aujourd’hui dans cet affrontement qui nous mène à la guerre mondiale et à des exterminations de masse. Mais ils seront balayés comme des fétus de paille s’ils n’acceptent pas cet espace de négociation et de droit, d’égalité, de justice.

Il est clair que personne, aucun communiste, aucun progressiste ne peut souhaiter ce qui est en train de se passer ici, pas plus que personne ne peut souhaiter ce qui a été construit dans le Caucase, en Ukraine, en Syrie, mais le déplorer ce n’est pas se tromper d’adversaire et encourager à la poursuite du crime.

Les faits événementiels : le Hamas s’est emparé de plusieurs villages dans le sud d’Israël, et Tel-Aviv a mené des frappes aériennes sur Gaza, au moins 200 Israéliens et 230 Palestiniens tués. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré : «Nous sommes en guerre, ce n’est pas une opération». Ce criminel a au moins raison là-dessus il ne s’agit pas d’une action isolée des Palestiniens même si Gaza, cette prison à ciel ouvert, entretenue comme un prurit parait le lieu de l’explosion, celle de desperados n’ayant plus rien à perdre après le traitement des Palestiniens à la mosquée al-Aqsa. Gaza est l’une des zones les plus densément peuplées de la planète, avec 2 millions de personnes vivant sur 140 miles carrés. Israël restreint sévèrement la quantité de nourriture, de carburant et d’eau à laquelle la population de Gaza peut accéder, et les dirigeants corrompus des Palestiniens, loin de résoudre le problème l’aggravent.

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Ecosse - climatofascisme

Le Media en 4-4-2Climatofascisme : 16 millions d’arbres abattus pour développer des parcs éoliens

Le Media en 4-4-2 - 21 juil 2023

16 millions d’arbres ont été abattus sur des terres publiques en Écosse pour faire place à des éoliennes, a admis un ministre du parti politique écossais SNP (Scottish National Party), dans le cadre d’une campagne majeure pour ériger davantage de turbines rotatives.

   

C’est une drôle de façon de faire de l’écologie…

En effet, Mairi Gougeon, la secrétaire aux Affaires rurales, a estimé que 15,7 millions d’arbres avaient été abattus depuis 2000 sur des terres actuellement gérées par l’agence Forestry and Land Scotland (FLS) – l’équivalent de plus de 1 700 par jour. Un chiffre qui donnera le tournis aux écologistes qui combattent le nucléaire et prônent l’installation des éoliennes.

Mairi Gougeon a insisté sur le fait qu’il y avait une présomption de planification en faveur de la protection des forêts et que les promoteurs d’éoliennes étaient censés entreprendre une « plantation compensatoire ailleurs ». À la bonne heure !

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pensée unique

Réseau InternationalLa fin de la démocratie et la montée de la pensée unique

Réseau International - 06 juil 2023

L’État éthique est défini comme la forme institutionnalisée par les philosophes Hobbes et Hegel, dans laquelle l’institution étatique est la fin ultime vers laquelle les actions des individus doivent tendre pour la réalisation d’un bien universel.

   

Au fil du temps, cependant, le concept d’État éthique a pris une composition différente et en est venu à revêtir une dimension totalitaire dans laquelle le bien et le mal sont le résultat d’une imposition indépendante de ce qui devrait être le contrat de base entre l’État et le citoyen. Thomas Hobbes est considéré comme le père de la philosophie politique moderne avec sa prise de distance par rapport à la réflexion du monde classique sur la socialité et la politique de l’homme ; Hobbes inaugure la méthode contractualiste où les hommes trouveront des règles communes en sacrifiant une partie de leur liberté en échange de la protection et du respect des règles établies et se référeront à un seul grand représentant institutionnel qu’il définit comme le Léviathan ; en ce sens, Hobbes est défini comme le principal théoricien de l’État absolu ou de l’absolutisme dans lequel le souverain est considéré comme étant au-dessus de la loi universelle.

Après Hobbes, Hegel (illustration), le philosophe idéaliste, définit l’État comme une substance éthique consciente d’elle-même ; l’État est la plus haute expression de l’éthique, une théorie qui contraste fortement avec le droit naturel et le contractualisme de la philosophie politique moderne. L’État, affirme Hegel, est la source de la liberté et de la norme éthique pour l’individu, il est la fin suprême et l’arbitre absolu du bien et du mal.

Cependant, l’État hégélien n’est pas un véritable État absolutiste et totalitaire, mais une unité organique vivante qui doit s’adapter aux circonstances évolutives naturelles de la société humaine. Pour Hegel, l’État éthique est le dernier moment de l’esprit subjectif et objectif, Hegel affirme que la liberté est et reste à tout moment la condition historique de la philosophie depuis la Grèce antique. Pour Hegel, une combinaison du bien commun et du bien personnel doit être trouvée dans l’État dans les limites dues à l’interaction des individus. La position de Hegel a ensuite été contrée par la critique de Karl Popper, qui a défini l’État éthique comme une société fermée, par opposition à l’État de droit propre à une société ouverte.

La théorie de l’État éthique a ensuite été reprise au XXe siècle pour expliquer les États fasciste et communiste, qui étaient en fait des États totalitaires dans lesquels les libertés individuelles étaient réprimées selon les règles supérieures du «Léviathan» de Hobbes.

Les constitutions démocratiques successives qui ont régi l’État de droit jusqu’au siècle dernier fondent leur existence sur un équilibre fragile entre le droit et la liberté, entre l’intérêt général et la protection des minorités qui s’oppose à la pensée unique.

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à la rue

Anthropo-LogiquesDes suspendus, des (in)humains et des chiens…

Anthropo-Logiques - 21 déc 2022

Voir la France s’enfoncer dans sa psychose paranoïaque est une véritable vision d’horreur pour tout esprit qui n’a pas encore été infecté par cette nouvelle peste brune, savamment inoculée par des « élites » perverses et corrompues.

   

L’exception française, autrefois synonyme de raffinement esthétique et de finesse d’esprit, de galanterie pleine de truculence et de respect pour l’Éternel féminin, ne s’applique plus aujourd’hui qu’à signaler des monstruosités dont plus aucun pays au monde n’oserait prétendre qu’elle font sens.

Entendre l’Académie de médecine (prostituée et corrompue), le Ministre (du naufrage) de la santé prétendre que la-dite suspension se justifie « par des motifs scientifiques et éthiques » donne franchement la nausée. Sans parler du toupet obscène en ce sens d’énergumènes comme le « Pr » Philippe Juvin, lequel avait, souvenons-nous en, bruyamment loué l’étude Surgsiphere contre l’hydroxychloroquine montée par une actrice porno et associés avant d’être piteusement rétractée…

La posture française sur cette question est à la science ce que le fascisme est au respect des droits humains, le viol à l’amour ou la pédophilie à l’éducation…

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Faschisme en Autriche

Profession GendarmeDictature sanitaire en Autriche, la police et l'armée protestent

Profession Gendarme - 19 déc 2022

La police et l’armée autrichiennes refuseraient de mettre en œuvre la « dictature de la santé » et défileraient pour protester contre cette situation.

   

L’Autriche a été projetée au premier plan des médias cette semaine, alors qu’elle se transforme en ce qui est devenu un État policier enveloppé dans une crise humanitaire. La société autrichienne est divisée en deux : les citoyens sont séparés et discriminés selon qu’ils ont subi ou non un traitement médical.

Les vaccinés sont autorisés à jouir de leurs droits tandis que les non-vaccinés sont confinés chez eux, ne pouvant sortir qu’avec la permission de la classe dirigeante. À partir de lundi, l’Autriche a placé en confinement des millions de citoyens non entièrement vaccinés. Un tiers de la population entière est désormais confiné chez lui et ne peut sortir que dans des cas particuliers.

Comme on pouvait s’y attendre, le confinement des personnes vaccinées n’a pas permis de freiner l’augmentation du nombre de cas et le chancelier autrichien Alexander Schallenberg envisage maintenant un confinement de tout le pays – de tout le monde.

Naturellement, ce n’est pas Schallenberg et le reste de ses ministres du cabinet exécutif qui feront appliquer ces mesures de confinement et ces mandats. Ce sera la classe des exécutants – la police et l’armée – autrement connue sous le nom de « suiveurs d’ordre ».

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coup d'état - farce allemande

Le courrier des stratègesLa kolossale farce du coup d’Etat empêché en Allemagne

Le courrier des stratèges - 10 déc 2022

Les pouvoirs publics allemands l'ont échappé belle ! Une noire conspiration se tramait, qui voulait s'emparer du Parlement, rétablir la monarchie, avec l'aide des antivax, de Poutine et des amis de Trump !

   

Mais grâce à la valeureuse police allemande, au renseignement intérieur et à la vigilance civique toujours en éveil, notre ami Olaf va pouvoir rester chancelier et notre autre grande amie, Annalena, continuer à pouvoir apprendre l'histoire militaire et la géographie de l'Europe et du monde pour faire son job de ministresse des Affaires Etrangères. Le fascisme est toujours renaissant mais les femmes et les hommes de progrès veillent: no pasaran! Une fois qu'on a ri un bon coup, on comprend cependant que, derrière le scénario farcesque, qui consiste à prendre les citoyens allemands pour des imbéciles, se profile une intimidation d'envergure contre tous ceux qui critiquent l'incompétence du gouvernement allemand et son aliénation à Washington, Davos et Pékin.

Le coup d’Etat était presque parfait

A vrai dire, la seule chose hilarante dans le scénario proposé, c’est que les ingrédients attendus y sont. Je ne résiste pas au plaisir de citer le copié-collé du très macroniste Figaro, sous le titre “L’Allemagne déjoue un complot d’extrême-droite” – rien que ça ! Accrochez-vous à la table, fou-rire assuré.

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