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Nanobots - transhumanisme

Profession GendarmeLes Ondes Électromagnétiques agissent sur les Nanorobots !

Profession Gendarme - 27 avr 2024

Les Ondes Électromagnétiques agissent sur les Nanorobots des Vaxx pour modifier notre Comportement et créer les Maladies programmées par les Ondes !

   

Mike Adams, chercheur et militant, avec le Dr Alphonzo Monzo, médecin naturopathe américain spécialisé dans la biophysique et la nanotechnologie en tant qu’arme, et son interaction avec la biologie : Par nanotechnologie, nous entendons de petites machines générées naturellement ou en présence d’un champ électromagnétique.

Elles s’auto-assemblent et peuvent se répliquer à l’intérieur du corps.

Il s’agit d’une arme.

Le danger est que nous ne la connaissons pas.

L’information est en train de sortir, il y a donc de l’espoir.

La nanotechnologie crée des maladies et modifie le comportement.

Elle interagit avec les ondes électromagnétiques !

Source : Changera4

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la grande transformation

Réseau InternationalLa Grande Transformation détruit les fondements de notre vie

Réseau International - 26 avr 2024

Et vise à transformer les humains en robots.

   

L’intelligence artificielle (IA) – il n’y a guère de mot-clé qui revienne plus souvent lorsqu’il est question de visions d’une société hautement technologique et progressiste. Elle n’est pas seulement censée nous simplifier la vie et nous décharger de certaines tâches : les visionnaires les plus audacieux du développement technologique de la Silicon Valley, comme Raymond Kurzweil et Elon Musk, espèrent même qu’elle permettra de réaliser le vieux rêve faustien de dépasser les limites du corps humain.

Grâce à la technologie, l’homme devrait pouvoir devenir un surhomme et augmenter ses capacités cognitives de manière exponentielle, selon Elon Musk, le patron de Tesla, de la plate-forme X et aussi de Neuralink. Sa puce «Neuralink», directement implantée dans le cerveau humain – selon les propres dires de Musk, un essai sur l’homme est déjà en cours – devrait dans un premier temps aider à traiter les maladies graves du cerveau.

Et si l’on en croit le directeur du développement technique de Google (qui fait partie du géant américain de la technologie Alphabet), Raymond Kurzweil, le progrès technique ne devrait pas seulement nous donner la vie éternelle, mais aussi, dans le cadre de «l’Internet de tous les objets», nous conduire à des connaissances insoupçonnées dans le cadre d’un décollage soudain du progrès, ce que l’on appelle la singularité.

Cette avant-garde du transhumanisme veut atteindre la vie éternelle avant la fin du monde en transformant peu à peu l’homme lui-même en machine ou en téléchargeant son esprit dans un cloud. Parallèlement, de plus en plus de scientifiques comme Geoffrey Hinton et de philosophes comme Alexander Douguine et Alain de Beonist mettent en garde contre les dangers de l’IA – il est donc temps de me pencher sur les possibilités et les dangers de l’IA.

La Grande Transformation

Ces idées trouvent un soutien enthousiaste non seulement aux États-Unis, mais aussi parmi les élites occidentales, qui se sont regroupées autour du Forum économique mondial de Klaus Schwab. Dans le cadre de leur «grand redémarrage» (Great Reset), proclamé dans le sillage des mesures COVID-19 en juillet 2020, les sociétés occidentales – et, selon leur volonté, le monde entier – doivent être transformées dans le sens du nouveau libéralisme 2.0, que certains observateurs qualifient de «socialisme des milliardaires».

Schwab et son co-auteur Thierry Malleret parlent ouvertement de la nécessité de capter la conscience des gens, car c’est la seule façon d’impulser un changement social majeur. Une transformation verte massive de l’économie, une réduction de la population et une alimentation «respectueuse du climat» avec des insectes au lieu de la viande. «Vous ne posséderez rien et vous serez heureux !» est le slogan moqueur des gens de Davos. C’est précisément là qu’interviennent les derniers développements technologiques, qui s’imbriquent avec des stratégies de censure telles que le politiquement correct et la «cancel culture».
L’algorithme, clé de la domination totale des mondialistes

Aux yeux des transhumanistes, l’homme n’a pas d’âme divine ou de libre arbitre, mais n’est qu’un ensemble d’algorithmes – des règles d’action pour résoudre un problème ou une classe entière de problèmes – et peut donc non seulement être compris comme un ordinateur, mais aussi programmé (c’est-à-dire manipulé). Le politiquement correct prend alors la fonction d’un tel algorithme pour limiter la pensée autonome des gens et les transformer eux-mêmes en machines obéissant à la volonté des élites libérales.
Cybernétique : comment les gens deviennent volontairement esclaves de la technologie

Dans la tradition de la cybernétique, des entreprises comme Google/Alphabet, mais aussi les gouvernements européens, sont donc intéressés par la collecte d’un maximum de données sur leurs citoyens, non seulement pour mieux les surveiller dans le sens de «l’homme transparent» et ainsi étouffer dans l’œuf les mouvements dissidents, mais aussi pour mieux les contrôler.

Des entreprises mondialistes comme Google/Alphabet – dont le nom est devenu synonyme de recherche sur Internet – obtiennent ces données avec une facilité déconcertante et sans pression : des milliards d’utilisateurs alimentent chaque jour le moteur de recherche du groupe avec leurs données, utilisent leurs programmes de messagerie, etc. que Google transforme à son tour en monnaie sonnante et trébuchante, comme les médias sociaux tels que Facebook et Instagram, qui en savent parfois plus sur leurs utilisateurs que ces derniers eux-mêmes. Le sacrifice volontaire de la vie privée et de l’anonymat fait du simple citoyen un gibier potentiel pour les entreprises internationales.

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Vexille 2007 VF

Revolution 2030 : autre sourceExtrait du fillm Vexille (2007)

Revolution 2030 : autre source - 19 mar 2024

Film d'animation de science-fiction japonais réalisé par Fumihiko Sori, sorti le 18 août 2007.

   

Extrait du fillm Vexille (2007) en français.

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la tentation de l'IA

Sott : Sign of The TimesIA : la tentation transhumaniste

Sott : Sign of The Times - 26 fév 2024

Ce que l'on appelle l'intelligence artificielle (IA) commence à peine à envahir notre monde du travail, mais aussi tous les autres domaines de notre vie quotidienne.

   

Nous ne parlons encore que de programmes vocaux de plus en plus sophistiqués - c'est-à-dire de robots textuels comme ChatGPT ou "Alexa" d'Amazon - et de générateurs d'images comme Image Creator, Midjourney ou Leonardo. Mais comme le développement est exponentiel à l'ère du numérique, l'IA deviendra de plus en plus puissante dans un avenir proche, effectuera de plus en plus de tâches jusqu'ici réservées à l'intelligence humaine et se rapprochera encore plus de nous, au sens littéral du terme. L'assistant vocal d'Amazon, Alexa, et une foule d'appareils ménagers "intelligents" nous indiquent la direction à prendre. Nous nous entourons d'un cocon de plus en plus dense de vampires de données numériques qui ne font rien de moins que de s'emparer de notre identité.

Il ne faut pas oublier que tout cela n'a rien à voir avec "l'intelligence", c'est-à-dire la compréhension de relations complexes. En réalité, il ne s'agit que de processus complexes de calcul (algorithmes) qui reposent sur la probabilité avec laquelle, par exemple, un mot donné est suivi d'un autre dans le flux de texte, ou avec laquelle certains éléments structurels sont associés les uns aux autres dans la structure des graphiques ou des images. L'IA "apprend" ces probabilités mathématiques au fur et à mesure de son optimisation, pour finalement fournir, après un nombre infini d'heures de travail, des résultats qui doivent se rapprocher le plus possible des opérations du cerveau humain, c'est-à-dire de la pensée. On peut s'attendre à des améliorations drastiques des performances dans ce domaine à l'avenir.

Un autre aspect important, que l'on perd facilement de vue, est que tous les petits "bots", qu'il s'agisse de programmes de texte, de dialogue ou de graphisme, font partie de l'agenda transhumaniste. En fin de compte, il s'agit de rendre le cerveau humain "lisible" pour les ordinateurs et de pouvoir transférer des données dans les deux sens - du cerveau à l'ordinateur (ou aux supports de stockage), mais aussi de l'ordinateur au cerveau, par exemple au moyen d'une puce implantée. Des fichiers d'images et de textes calculés à grands frais pourraient un jour devenir le support intermédiaire décisif. L'objectif final est - outre la possibilité de contrôle total de l'humanité - la possibilité de mémoriser la conscience humaine, afin de la rendre indépendante de son existence physique et finalement immortelle. Hollywood en parle depuis de nombreuses années, et des intervenants tels que le journaliste israélien Yuval Harari ("Homo Deus", 2017), qui est également un invité apprécié du Forum économique mondial de Klaus Schwab, font des déclarations sans équivoque à ce sujet.

L'un des chercheurs les plus en vue dans la recherche de l'"interface homme-machine" est d'ailleurs Elon Musk. Depuis 2017 déjà, il fait étudier, sous l'égide d'une société spécialement créée à cet effet, Neuralink, les possibilités de relier le cerveau humain aux ordinateurs. Il s'agit d'une "interface directe avec le cortex cérébral". En 2020, en pleine année Corona, Musk a présenté au public le prototype de sa puce cérébrale : huit millimètres d'épaisseur, 23 millimètres de diamètre.

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Les Huxley

Géopolitique profondeDe la science à la fiction : le sombre monde des Huxley

Géopolitique profonde - 11 fév 2024

Avant l’ère de la surveillance généralisée, des fake news ou des bébés sur mesure, un livre visionnaire, quasi prophétique est né : «Le meilleur des mondes» d’Aldous Huxley.

   

Un titre familier pour de nombreuses personnes. Tout le monde ou presque connaît ce nom de Aldous Huxley, justement grâce à cet ouvrage. Pourtant son aïeul Thomas Henry Huxley et son frère Julian Huxley sont eux aussi de sacrés personnages.

Le chef-d’œuvre de Aldous Huxley, «Le Meilleur des mondes», près de quatre-vingt-dix ans après sa publication, demeure une œuvre visionnaire d’une rare puissance. Son impact, loin de s’estomper avec le temps, n’a fait que se renforcer, gagnant en pertinence au fil des décennies et des évolutions sociétales.

On retrouve ce phénomène avec l’œuvre «1984» de Georges Orwell, un auteur aussi largement connu et lu encore aujourd’hui. Cette pertinence accrue s’explique en partie par sa capacité à anticiper avec une acuité presque prophétique des thèmes et des enjeux qui sont aujourd’hui au cœur de nos préoccupations contemporaines.

Cependant, comme c’est souvent le cas, l’art a tendance à éclipser la science et cela se vérifie dans la famille Huxley. En effet, malgré la renommée littéraire de Aldous, les figures scientifiques de Thomas Henry Huxley (1825–1895), son grand-père, et de Julian Huxley (1887–1975), son frère aîné, demeurent moins connues. Pourtant, ces derniers ont, chacun à leur époque, marqué profondément le monde de la science par des théories audacieuses et révolutionnaires.

Thomas Henry, souvent surnommé «le Bulldog de Darwin», a joué un rôle déterminant dans la défense et la promotion de la théorie de l’évolution, tandis que Julian, biologiste éminent, a été un pionnier dans les domaines de l’éthologie, de la conservation de la nature, et un précurseur dans la réflexion sur le transhumanisme.

Bien que leurs contributions scientifiques soient parfois occultées par le succès littéraire de Aldous, les idées et les théories de Thomas Henry et Julian Huxley continuent encore de résonner dans le monde scientifique et au-delà. Leur héritage intellectuel soulève des questions controversées et des débats éthiques dans divers domaines, de la biologie à la philosophie, révélant les aspects problématiques et les dilemmes moraux associés à cette famille pour le moins exceptionnelle.

L’impact et l’influence de cette famille ne s’arrête pas seulement à ces 3 personnages, d’autres membres de la famille Huxley ont marqué leur temps chacun à leur manière.

Par exemple Sir Crispin Tickell, arrière-petit-fils de Jessica Huxley. Il a servi en tant qu’ambassadeur britannique aux Nations unies et a joué un rôle de premier plan dans diverses institutions européennes. Cette lignée, ancrée profondément dans les sphères scientifiques, culturelles et politiques mondiales, est le symbole d’une influence étendue et d’une intelligence remarquablement mise au service de son idéologie.

Le WWF, l’ONU, l’UNESCO ou encore la Commission européenne, tous ses organismes ont été plus que largement influencés par cette famille dont l’histoire est aussi fascinante que déroutante.

Dans ce reportage, nous remonterons le temps et examinerons comment leur quête de connaissance et leurs différents engagements ont façonné des générations et influencé des institutions clés à travers le monde. Leur histoire est une fenêtre sur les dynamiques du changement et de l’innovation, reflétant les complexités d’une famille qui a été à la fois célébrée pour ses contributions scientifiques et scrutée pour ses opinions controversées.

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implant neuralink

Réseau InternationalLa société Neuralink de Musk a implanté le premier implant dans le cerveau humain

Réseau International - 01 fév 2024

La société de neurotechnologie de l’entrepreneur américain Elon Musk, Neuralink, a implanté pour la première fois un implant dans le cerveau humain.

   

«Le premier humain a reçu un implant de Neuralink hier et il se remet bien», publie sur X Elon Musk.

«Les premiers résultats montrent une détection prometteuse des pics neuronaux», rajoute-t-il.

«Notre mission : Créer une interface cérébrale généralisée pour redonner de l’autonomie à ceux dont les besoins médicaux ne sont pas satisfaits aujourd’hui et libérer le potentiel humain de demain», annonce le site de Neuralink.

«Notre interface cerveau-ordinateur est entièrement implantable, esthétiquement invisible et conçue pour vous permettre de contrôler un ordinateur ou un appareil mobile partout où vous allez», est-il précisé.

L’entrepreneur a ajouté que le premier produit de Neuralink s’appelle Telepathy. Cela permettra à une personne de contrôler son téléphone et son ordinateur grâce au pouvoir de la pensée. «Les premiers utilisateurs seront des personnes qui auront perdu le contrôle de leurs membres», a déclaré Elon Musk.

Neuralink recrute des candidats : «Si vous souhaitez savoir si vous pourriez être admissible aux essais cliniques Neuralink en cours et/ou futurs, envisagez de rejoindre notre registre de patients».

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humains modifiés

The DefenderDes humains génétiquement modifiés ?

The Defender - 01 déc 2023

Les scientifiques tirent la sonnette d’alarme alors que le Royaume-Uni approuve une thérapie CRISPR pour traiter une maladie du sang.

   

Les autorités de régulation britanniques ont approuvé cette semaine la première thérapie CRISPR pour le traitement des humains et les autorités de régulation américaines pourraient approuver la thérapie - conçue pour traiter les troubles sanguins - dès le mois de décembre. Dans le même temps, la société américaine à l'origine d'une autre technologie CRISPR, l'"édition de bases", a fait état d'une étude initiale réussie, bien que deux des dix sujets aient subi des crises cardiaques, entraînant la mort d'un participant à l'essai.

Les autorités de régulation britanniques ont approuvé jeudi une thérapie utilisant la technologie d’édition de gènes CRISPR pour traiter deux maladies du sang. Les régulateurs fédéraux américains sont sur le point d’approuver ce même traitement en décembre.

La thérapie exa-cel, qui porte le nom de marque Casgevy, est la première thérapie CRISPR pour l’homme à être approuvée pour le marché.

CRISPR est une technologie d’édition de gènes qui agit comme une paire de “ciseaux génétiques”, permettant aux scientifiques de modifier des sections d’ADN en “coupant” des portions spécifiques et en les remplaçant par de nouveaux segments. Annoncé pour la première fois dans un article de 2012, CRISPR est considéré comme un moyen simple et peu coûteux de modifier les gènes.

Ses inventeurs ont reçu le prix Nobel de chimie en 2020. Ces dernières années, les applications dans le domaine de la manipulation des plantes et les recherches sur une éventuelle utilisation chez l’homme ont proliféré, la technologie étant présentée comme une solution potentielle à des problèmes allant des maladies à la sécurité alimentaire, en passant par le changement climatique.

Mais cette recherche a été très controversée, et une longue série d’articles a été publiée détaillant les effets involontaires de l’ édition de gènes CRISPR, qui s’est avérée produire de nombreux types de dommages graves et involontaires à l’ADN.

Casgevy est conçu pour traiter deux maladies du sang : la drépanocytose et la bêta-thalassémie. La drépanocytose, également connue sous le nom d’anémie falciforme, survient le plus souvent chez les personnes d’origine africaine ou caribéenne. Elle peut provoquer des douleurs débilitantes.

Les personnes atteintes de bêta-thalassémie, qui peut provoquer une anémie légère ou grave, peuvent avoir besoin de transfusions sanguines régulières.

Ces deux maladies génétiques sont dues à des erreurs dans les gènes de l’hémoglobine, une protéine qui permet aux globules rouges de transporter l’oxygène dans le corps, et elles peuvent toutes deux être fatales.

La thérapie, développée par Vertex Pharmaceuticals et CRISPR Therapeutics, a été approuvée après un essai sur la drépanocytose qui n’a suivi que 29 participants sur un total de 45 pendant 16 mois. Vingt-huit des personnes suivies n’avaient plus de douleurs au bout d’un an, selon Nature.

Dans l’essai clinique pour la bêta-thalassémie, 39 des 42 participants à l’essai n’ont pas eu besoin de recevoir de transfusion de globules rouges pendant au moins 12 mois après avoir reçu Casgevy. Ils ont généralement besoin de transfusions sanguines toutes les trois à cinq semaines.

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Alain Soral – Les 4 Cavaliers de l’Apocalypse

Égalité et RéconciliationAlain Soral – Les Quatre Cavaliers de l’Apocalypse

Égalité et Réconciliation - 25 nov 2023

Si on cherche de quoi parle l’Apocalypse de Jean, les Quatre Cavaliers de l’Apocalypse, ce sont ceux-là, on les a sous les yeux, et ils sont coalisés comme vecteurs du Nouvel Ordre mondial, pour nous amener à quoi ? À un esclavage terminal.

   

Deuxième extrait gratuit de SAPTR #25 !

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humanité 2.0

Réseau InternationalHumanity 2.0 : Le Vatican au cœur du mouvement transhumaniste

Réseau International - 22 juin 2023

Humanité artificielle et Code transhumain

   

Père Philip Larrey, président de l’association Humanity 2.0. Cette entité créée par le pape François porte le nom du célèbre livre de Ray Kurzweil «Humanity 2.0» ou «The Singularity is Near» est un livre de 647 pages de Raymond Kurzweil. Il s’agit d’une mise à jour de ses précédents ouvrages «L’Ère des machines spirituelles» (en anglais «The Age of Spiritual Machines» (1999) et «L’Ère des machines intelligentes» (en anglais «The Age of Intelligent Machines»). Il y décrit sa vision de la singularité technologique, à travers la combinaison de trois sciences principales : la génétique, les nanotechnologies, et la robotique (dont l’intelligence artificielle).

[...]

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embryons humains synthétiques

Aube DigitaleLa science crée des embryons humains synthétiques

Aube Digitale - 19 juin 2023

Des scientifiques ont créé des embryons humains synthétiques dans le cadre d’une avancée majeure

   

L’exploit remarquable a consisté à créer en laboratoire des embryons humains synthétiques à partir de cellules souches.

Les scientifiques espèrent que ces embryons, qui éliminent totalement la nécessité d’un ovule ou d’un spermatozoïde, offriront une occasion unique d’étudier et de mettre au point des traitements pour diverses maladies génétiques.

Cela dit, ces travaux soulèveront probablement un certain nombre de questions éthiques, d’autant plus que la création d’embryons humains synthétiques est contraire à la législation en vigueur dans un certain nombre de pays.

Il serait certainement illégal de les implanter dans un véritable utérus et on ne sait pas exactement jusqu’où ils pourraient se développer dans ces circonstances.

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fragmentation de l'être humain

Réseau InternationalFragmentation de l’être humain, fragmentation de la santé et OGM

Réseau International - 04 mars 2023

Afin de vouloir mieux maîtriser et diriger la société humaine, l’idéologie prédominante incite à tout fragmenter.

   

Une illustration flagrante en a magnifié le processus ces trois années de covidémie. Afin de donner l’illusion de maîtriser la situation, le système politico-médiatique a divisé la population entre corona-positifs, corona-« vaccinés » et corona-sceptiques. L’art médical a été annihilé et la notion si connue de « le microbe n’est rien, le terrain est tout » (A. Béchamp) a été niée. Les finances ont été investies massivement dans un produit brandi comme une panacée, fragmentant ainsi la richesse des nations et la santé des populations.

Un auteur décrit très clairement « La fragmentation dans la science et la société » à la page 173 :

« Si la science et la technologie sont entachées de défauts et ont des répercussions préjudiciables à la société, c’est qu’elles reflètent une grave imperfection de la société même : la fragmentation. Aucune activité humaine, aucun élément de l’univers n’est – pas plus que l’homme lui-même – comparable à une île ; et pourtant nous traitons tous ces « fragments » comme s’il s’agissait d’entités distinctes sans considérer comment ils s’articulent en « touts ». La fragmentation est profondément ancrée dans la pensée et le langage humains. (…)

Une solution : Il faudrait donc maintenant, estime-t-on, que la société reprenne en main la science dans son ensemble pour faire en sorte qu’elle serve effectivement l’intérêt de l’humanité et pour chercher à réduire l’écart qui la sépare des autres aspects de la vie. »

La fragmentation obéit aussi à des critères politiques qui se dissocient des différents secteurs de la société tout en s’appuyant sur certains qui sont de connivence. Nous apprenons que « La HAS donne son feu vert à la levée de l’obligation vaccinale pour les soignants » :

« La Haute autorité de santé (HAS) recommande de « lever l’obligation de vaccination » contre le Covid-19 en vigueur depuis 18 mois pour les soignants et les autres professionnels concernés. »

Comment une autorité de santé peut-elle aussi longtemps restreindre à ce point les besoins sanitaires d’une population et étouffer la conscience de tant de professionnels de la santé ?

La recherche médicale est aussi terriblement segmentée, autant par l’origine des financements que par l’objectif recherché. Un exemple nous en est donné par une étude lancée au sujet du covid long avec un objectif très délimité.

« Un essai clinique, coordonné par les HUG, est en cours afin de tester un médicament susceptible de traiter le Covid Long. Ou plus exactement, une certaine catégorie de personnes atteintes par ce nouveau mal. Le recrutement a commencé pour inclure les 200 patients répondant à tous les critères de participation (qui sont forcément bien délimités et peu représentatifs de l’entièreté des malades). Mais d’autres critères sont aussi pris en compte, comme la présence d’une certaine protéine dans l’organisme. Elle s’appelle « HER-W ENV ». La protéine qui se cache derrière ce nom quelque peu barbare est suspectée d’être responsable de nombreux cas de Covid Long ; on la retrouve chez plus d’un patient sur quatre affecté par la maladie. »

D’autres établissements hospitaliers participent à cette étude qui est destinée à tester une molécule s’attaquant à ladite protéine, afin de la neutraliser. Quelle réduction, quelle fragmentation de la complexité de l’organisme humain !

Un être humain est un micro-univers qui se révèle dans un corps connecté à une âme et à un esprit. La technicité actuelle cherche à le réduire en une Intelligence Artificielle (IA).

Dans la ligne droite du 1.4.2023, Radio Courtoisie expose très pertinemment : « Votre QI n’est pas votre liberté de pensées, de raisonner. Mettre une puce pour augmenter le QI à 250 consiste à prendre le contrôle de votre intellect. Votre cerveau humain sera soumis à ce QI. On peut être ainsi contrôlé et hacké. La puce électronique vous enlève le libre arbitre. »

C’est un exemple fort que le transhumaniste ne fait qu’augmenter l’homme de façon fragmentée.

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Ressources anti-humaines

Réseau InternationalRessources anti-humaines

Réseau International - 21 fév 2023

Étant donné que les médias se concentrent actuellement sur la vie extraterrestre, un article avec une approche non-humaine semblait approprié…

   

Il ne s’agit pas des « extraterrestres » en tant que tels, qui, semble-t-il, ne feront pas encore leurs débuts officiels, mais plutôt du fait que la scène mondiale se prépare à leur apparition, comme c’est le cas depuis de très nombreuses années grâce aux offres surnaturelles spectaculaires d’Hollywood. Certains des films familiaux les plus durables et les plus appréciés de tous les temps – par exemple « ET » – et certaines des émissions de télévision les plus cultes et les plus populaires – « X-Files » – ont un message très clair et sans compromis : les extraterrestres sont réels, votre gouvernement les dissimule, mais un jour, bientôt, ils prendront contact…

Nous sommes préparés à l’invasion extraterrestre à travers nos écrans, tout comme nous avons été préparés à la « pandémie » de Covid (et au concept de « pandémie » en général) de la même manière. « Alerte », « World War Z », « Contagion » (dont un jeune ami m’a dit qu’il avait été projeté à sa classe de géographie lorsqu’il était à l’école vers 2015, et sur lequel Matt Hancock a confirmé plus tard qu’il avait « basé sa réponse à la pandémie ») – tout cela vise à manucurer l’esprit de masse pour qu’il accepte que les maladies mortelles qui se propagent lorsque les gens se respirent les uns les autres sont une chose réelle que nous devons craindre. Si ce concept ne nous avait pas été présenté par le cinéma, aucun d’entre nous ne l’aurait jamais cru, car il va à l’encontre de toute notre expérience directe et vécue. En bref, si les « pandémies mortelles transmises par la respiration » étaient une réalité, alors, dans une société aussi mobile et transitoire que la nôtre, nous serions tous constamment malades, et les emplois très exposés au public, comme l’hôtellerie ou la salle des arrivées de l’aéroport d’Heathrow, seraient plus dangereux que d’être en première ligne dans une zone de guerre.

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