Dans un récent article, l’écrivain américain Joe Allen, spécialiste du transhumanisme, commence sa réflexion en déclarant que les croyants surmontent la peur de la mort grâce à leur foi. Pour les croyants, « le mystère de la mort est un rite de passage« , écrit Joe Allen. Au lieu de cela, explique-t-il, « pour le matérialiste, il n’y a que ce monde, au-delà duquel ceux qui meurent rencontrent l’anéantissement total. Le cerveau se dissout dans le néant. La conscience s’arrête avec le Big Zero à la fin de nos vies. Et tous les êtres sensibles et tous les souvenirs de notre existence attendent le Grand Zéro à la fin de l’univers. »
Grâce à des implants directement intégrés à notre corps, nous pourrions ainsi améliorer nos performances intellectuelles et physiques, mais aussi tout bonnement notre existence. Des idées séduisantes sur le papier, mais qui font craindre à certains de terribles dérives.
Pour les détracteurs du transhumanisme, il ne s’agit bien sûr pas de renier tout recours à la science ni de prôner l’obscurantisme. Intégrer la technologie directement à notre corps pourrait de plus avoir un intérêt médical certain.
À mesure que ces technologies vont progresser, de nombreux problèmes éthiques risquent néanmoins de se poser. Où se situera la limite entre le médical destiné à corriger une anomalie et une transformation dénaturante du corps humain ?
Critique de la politique sanitaire durant l’épidémie de Covid-19, le Dr Louis Fouché fonde dès l'automne 2020 le collectif ReinfoCovid, un site de ré-information qui interroge les décisions des autorités de santé : masques, confinements, vaccination. Très vite, suivent d’autres initiatives dont CoviSoins, un réseau de soins pluridisciplinaires et ambulatoires destiné à permettre une prise en charge à tous les stades de la maladie afin d’assurer une meilleure réhabilitation des patients. Aujourd’hui, Louis Fouché publie un nouveau livre intitulé « Agonie et renouveau du système de santé : mirage d’une médecine algorithmique transhumaniste et frémissement d’un retour au soin » paru aux éditions Exuvie et préfacé par le professeur Didier Raoult.
Le médecin revient sur notre plateau pour nous le présenter dans ce nouvel "Entretien essentiel".
Jean-Dominique Michel sur le Pass Carbone : « L’OMS, Soros, Klaus Schwab, Rockefeller ont un héritage nazi ». Resté très longtemps prudent à ce sujet, Jean-Dominique Michel formule certaines hypothèses...
« Le Forum Economique Mondial a des ressemblances extrêmement troublantes avec le nazisme. C’est la même idéologie… Le transhumanisme et le nazisme, c’est la même idéologie. Les sous-hommes, les surhommes, le fait qu’il faut tout contrôler, qu’il faut avoir pris possession de la vie des individus dans chaque recoin… Les nazis se sont réinfiltrés après la guerre dans le gouvernement américain, dans les équipes de recherche scientifique américaines. A l’Onu, Kurt Waldheim, était un ancien nazi. L’un des premiers commissaires de la commission européenne était un nazi. L’OMS a un héritage nazi. Georges Soros a un héritage nazi. On voit le nazisme ressortir de partout, ce sont souvent les mêmes sur le plan héréditaire. Klaus Schwab est le fils d’un dignitaire nazi qui utilisait des prisonniers dans ses usines… »
Nous avons déjà démontré dans un précédent article que l’Intelligence Artificielle était une grave illusion, puisqu’aucune machine ne dispose d’un corps mental ou corps de l’intelligence.
L’être humain dispose de quatre corps : un corps physique (le seul connu de la science), un corps éthérique ou corps des forces de vie, un corps astral ou corps des émotions, sentiments, sensations et désirs, et un corps mental, ou corps des pensées, de l’intelligence, du discernement, du jugement sain, des Idéaux et des Vertus.
Quant à la machine (ou ordinateur), elle dispose d’un corps physique qui imite le corps physique humain avec plus ou moins de ressemblance et de basses imitations, et d’un corps anti-éthérique ou corps des forces de mort… et c’est tout : ni corps astral, ni corps mental pour la pensée et l’intelligence !
l n’existera jamais de véritable I.A., car l’intelligence est bien trop compliquée pour nos machines actuelles, qui n’en sont encore qu’au stade de la préhistoire !
Et ce n’est pas tout : la mise en œuvre est déjà en cours. Un message qui nécessite des nerfs solides.
L’historien militaire israélien Yuval Noah Harari est auteur et professeur à la faculté d’histoire de l’Université hébraïque de Jérusalem. Des personnalités telles que Barack Obama, Angela Merkel, Emmanuel Macron et Sebastian Kurz, qui font appel à lui comme source d’inspiration et comme conseiller, font l’éloge de cet homme. Klaus Schwab, le fondateur du Forum économique mondial (FEM) et auteur du livre « Covid-19 : La Grande Réinitialisation » (« Covid-19 The Great Reset »), décrit Yuval Noah Harari comme un brillant futurologue. Lors de ses interventions au Forum économique mondial en 2018 et 2020 ou au Forum de la démocratie d’Athènes en 2020, Harari a parlé du développement technologique et de ce qu’il signifie pour la société, la politique, la religion et l’idéologie.
Dans ses conférences, il rappelle régulièrement qu’il est désormais possible, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, d’observer et de suivre des personnes à tout moment et en tout lieu. À une vitesse très élevée, les algorithmes de l’IA traitent d’énormes quantités d’informations et ont le potentiel de tout mémoriser et de reconnaître dans les données des modèles pour des analyses liées à la personnalité.
« Un système qui nous comprend mieux que nous nous comprenons nous-mêmes peut prédire nos sentiments et nos décisions, peut manipuler nos sentiments et nos décisions et il peut finalement prendre des décisions à notre place. »
Écrit en 2020 pendant l’état d’urgence sanitaire, « le grand virage de l’humanité » annonçait déjà que la société de contrôle numérique, qualifiée de « foutur », vers laquelle ces mesures semblaient nous conduire, était en train de disparaître au profit d’un nouveau futur qualifié de « futé lumineux », sur la base de l’observation de « traces du futur » dans les évènements ayant précédé la crise.
Dans ce dernier futé lumineux, l’homme s’éveille enfin à la véritable nature de sa réalité et apprend à se relier à plus grand que lui, non pas dans une démarche religieuse mais plutôt spirituelle et laïque, par une connexion retrouvée avec son âme et son esprit. Cela se produit d’autant plus vite que la vraie science finit par admettre les fondements rationnels de ces deux derniers concepts spirituels, comme l’explique ce livre en seconde partie.
Où en est-on aujourd’hui ?
Moi qui ai consacré une partie de ma vie au « changement climatique », j’ai fini par comprendre que cette thématique était également une manipulation des élites mondialistes pour parvenir à leur Agenda de dictature mondiale transhumaniste.
Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de problème écologique, mais ce n’est en fait pas le sujet puisque leur intention n’est pas d’y remédier.
Je ne suis donc pas surpris que les mêmes qui veulent :
• soigner l’ensemble de la population à coup d’injection,
• combattre toutes les « dictatures » du monde en renversant les régimes,
• éteindre la désinformation en censurant tous les discours alternatifs,
• sauver la démocratie en achetant les médias et les élections ;
veulent également sauver la planète en imposant des restrictions climatiques.
« Tout ce que les dirigeants ont à faire, c’est de dire au peuple qu’ils ont quelque chose à craindre. Pointez du doigt la source de leur peur, et vous pourrez obtenir des humains qu’ils fassent tout ce que vous désirez. Vous pouvez les rendre obéissants. »
Les normes de sécurité des essais cliniques et le consentement éclairé seront éradiqués car ils empêchent de libérer universellement les technologies d’édition de gènes nécessaires pour fusionner les humains avec L’IA. Afin d’atteindre les objectifs sociétaux du Nouvel Ordre Mondial, les crimes contre l’humanité ne sont pas seulement légaux, mais obligatoires.
Avertissement. Le dossier transmis ici est exceptionnellement documenté et précis. Je le reprends pour enrichir la réflexion et l’hypothèse de travail autour de la transhumanisation des peuples. Toutefois, aussi longtemps que nos autorités sanitaires refuseront de faire procéder à des analyses indépendantes du contenu de fioles contenant les produits à injecter, nous serons incapables d’affirmer si, et dans quelle mesure, la liste des éléments indésirables listés dans ce document ont pollué la production industrielle des injections réalisées depuis une année.
Quant aux injections, elles ne sont aucunement des vaccins, mais sont de la haute biotechnologie, avec du nanohydroxide ou oxyde de graphène, des nanotransmetteurs, des nano senseurs ainsi que des "choses" nanométriques de type parasitaire, inconnues même des chercheurs confirmés qui les analysent en ce moment dans le monde entier.
L'article est un bon récapitulatif sur la dangerosité des injections actuelles.