Dans un récent article, l’écrivain américain Joe Allen, spécialiste du transhumanisme, commence sa réflexion en déclarant que les croyants surmontent la peur de la mort grâce à leur foi. Pour les croyants, « le mystère de la mort est un rite de passage« , écrit Joe Allen. Au lieu de cela, explique-t-il, « pour le matérialiste, il n’y a que ce monde, au-delà duquel ceux qui meurent rencontrent l’anéantissement total. Le cerveau se dissout dans le néant. La conscience s’arrête avec le Big Zero à la fin de nos vies. Et tous les êtres sensibles et tous les souvenirs de notre existence attendent le Grand Zéro à la fin de l’univers. »
« La tentation de déraciner, la fureur destructrice en Europe de raser les églises, les crèches, les statues est très étrange.
« Placer en chaque homme une dignité égale qu’elle que soit son origine était le fondement de la chrétienté, pour les croyants et les non-croyants… La peur de la mort est le lot actuel de l’Occident et seule permet d’expliquer la folie covidiste.
« Le sens du sacré est fondamental dans la vie de chacun d’entre nous. Et s’il est perdu, la société l’est aussi. La mort s’oppose à la naissance, mais pas à la vie. Se savoir naître, se savoir mourir. Noël est la forme archétypique du mystère de la vie. La naissance dans l’émerveillement et l’incompréhension de ce mystère. Évacuer Noël est étonnant, qu’on soit chrétien ou non.
A force de persévérance l’analyste allemand Tom Lausen a marqué un beau coup. Après avoir obtenu et analysé les données de la KVB, l’association des caisses d’assurance maladie, qui comprend 72 millions d’assurés, et constaté le décuplement des ‘morts subites inexpliquées’ en 2021 et 2022, soit depuis le début de la vaccination Covid, l’expert est parvenu à faire remonter son dossier explosif jusqu’au niveau fédéral. La conférence de presse du 12 décembre où il a présenté les données indiquant que les chiffres des décès et de différentes autres maladies sont absolument hors norme, a été suivie d’une interpellation au parlement fédéral par des députés de l’opposition. Les partis de la majorité sont sur la sellette et contre-attaquent en force.
Dans un récent épisode de CHD.TV intitulé « Good Morning CHD », trois médecins canadiens – les docteurs Charles Hoffe et Stephen Malthouse et Chris Shaw, Ph. – ont discuté de la normalisation inquiétante au Canada, depuis 2016, de l’ « assistance médicale à mourir » (« AMM ») et de l’approbation peut-être imminente par leur gouvernement de cette pratique pour les « mineurs matures » qui demandent la mort sans que les parents soient informés ou consentants.
« Le suicide assisté par un médecin », « le suicide assisté », « l’aide à mourir » et l’euthanasie – chacun ayant des connotations juridiques légèrement différentes – font tous référence à des interventions médicales visant à accélérer la mort, la principale distinction étant « qui accomplit l’acte final et fatal ».
Les soldats ukrainiens n’ont jamais eu la moindre chance de résister à la puissance de l’armée russe. Pas la moindre. Cela était évident dès le début de la guerre. Il est illogique que le gouvernement ukrainien et ses partisans aient tenté de résister à cet assaut.
L’« Occident » aurait dû abandonner et faire les concessions que la Russie avait exigées. Il devra les faire de toute façon.
En quoi notre société faisait-elle déjà l’expérience d’une forme de « dégénérescence » avant l’irruption de la crise sanitaire ?
L'émergence du phénomène totalitaire est-elle le produit d’une société malade, qui a perdu ses repères ?
Comment les peuples ont-ils été dépossédés de leur capacité à exercer leur esprit critique ?
En quoi nous a-t-on supprimé le droit de mener une « vie héroïque » ?
Quelles sont les principales caractéristiques des personnes susceptibles de participer activement au phénomène totalitaire ? Quels sont les profils de celles qui sont, au contraire, en mesure de lui résister ?
En quoi est-il important de faire un travail sur soi pour être capable de résister à l’embrigadement ?
Le phénomène totalitaire n’agit-il pas comme un aiguillon qui exige que nous revoyions à la hausse l’échelle de nos valeurs et notre conception de la vie ?
En quoi vivons-nous « le prolongement de notre fermeture de cœur » ? Pourquoi la charité est-elle “le remède au totalitarisme” ?