Les services de renseignement intérieur allemands gèrent des centaines de faux comptes d’extrémistes de droite sur les médias sociaux, selon un rapport du journal allemand Süddeutsche Zeitung. Ces faux agents incitent à la fois à la haine et à la violence, indique le rapport.
« C’est l’avenir de la collecte d’informations », a déclaré un agent au journal.
Les recherches du journal ont permis de découvrir que le gouvernement a fortement investi dans les « agents virtuels » depuis 2019 en utilisant l’argent des contribuables.
Le lavage de cerveau par omission a une longue histoire. Le massacre de la Première Guerre mondiale a été autocensuré par des journalistes qui ont été anoblis pour leur conformité. Certains l’ont avoués dans leurs mémoires. En 1917, le rédacteur en chef du Manchester Guardian, CP Scott, confiait au premier ministre Lloyd George : « Si les gens savaient vraiment [la vérité], la guerre serait arrêtée demain, mais ils ne savent pas et ne peuvent pas savoir ».
Le refus de voir les gens et les événements comme ceux des autres pays les voient est un virus médiatique en Occident, aussi débilitant que le Covid. C’est comme si nous voyions le monde à travers un miroir sans tain, dans lequel « nous » sommes moraux et bienveillants et « eux » ne le sont pas. C’est une vision profondément impériale.
Ces dernières années, certains des meilleurs journalistes ont été écartés du grand public. « Défenestré » est le mot utilisé. Les espaces autrefois ouverts aux non-conformistes, aux journalistes à contre-courant, aux diseurs de vérité, se sont fermés.
Un groupe de milliardaires « philanthropes » américains consacrent des millions de dollars à la recherche en psychologie comportementale pour inciter à se faire vacciner contre le covid-19. Il s’agit d’une énorme opération de communication appelée Projet Mercury. Son slogan est « Ensemble, nous pouvons construire un environnement d’information plus sain ».
S’il faut y voir essentiellement un coup de communication, le chef de l’État prépare surtout les Français à une nouvelle cure d’austérité. Décryptage.
Le président français a d’abord évoqué la fin des « liquidités sans coût » dont il faudra « tirer les conséquence en terme de finances publiques ». Comme prévu, le gouvernement reprend donc son agenda austéritaire. Une nouvelle fois, « la crise » fera office de parfaite excuse pour mettre en place une politique néolibérale. Pour essayer de montrer qu’il n’est pas un idéologue, le président rappelle son plan de solidarité lors de la crise du Covid-19, le fameux « quoi qu’il en coûte ». Toute honte bue, ce plan a largement été instrumentalisé pour tenter de démontrer l’existence d’une fibre sociale dans ce gouvernement. Le ministre de l’économie, Bruno Lemaire, n’a d’ailleurs de cesse de répéter que la France a été la plus généreuse d’Europe lors de cette crise.
Nul n’est plus désespérément ignorant que celui qui croit faussement être informé.
Nul n’est plus désespérément victime de la propagande que celui qui ne sait pas qu’il est soumis à de la propagande.
Vivre dans une démocratie occidentale libérale signifie avoir la liberté de critiquer la tyrannie de son gouvernement, mais au lieu de cela, passer son temps à critiquer la tyrannie des gouvernements étrangers que votre gouvernement n’aime pas.
La liberté d’expression dans une démocratie libérale occidentale signifie que vous avez la liberté de dire ce que vous voulez sur les abus de votre gouvernement, et que la presse a la liberté de vous marteler de propagande pour s’assurer que vous ne le fassiez jamais.
Le propre du déferlement totalitaire, c’est justement que l’idéologie prime la réalité. Peu importent les faits, le discours délirant des élites se suffit à lui-même. Elles peuvent dire tout et son contraire, tordre le bras autant qu’elle veulent aux données et aux faits, affirmer en rafales des mensonges éhontés, who cares ? La beauté du délire est qu’il anéantit notre humaine condition et donc précisément notre soumission au réel !
Le fait est tout sauf anodin : dans ses fonctions de ministre de la santé, Olivier Véran avait ainsi multiplié les mensonges et les expressions honteuses sans la moindre vergogne et avec les encouragements sonores de la petite frappe qui lui tient lieu de chef (« Tiens bon, on les aura ces connards !« ).
« La violence trouve son seul refuge dans le mensonge, et le mensonge son seul soutien dans la violence. »
Dans cet article très argumenté, l’auteur ne tarit pas d’éloges et ne cache pas son admiration pour la manière « révolutionnaire » dont l’Armée Russe a conduit son opération jusqu’à présent. De quoi faire tousser le Haut commandement otanien et la « meute » mainstream.
« Dans le même temps, le programme de frappes de missiles a exploité une capacité qui n’était rien moins que révolutionnaire. Qu’ils soient nouveaux ou anciens, ces efforts ont été menés d’une manière qui démontre une profonde appréciation des trois domaines dans lesquels les guerres sont menées. En d’autres termes, les Russes ont rarement oublié qu’en plus d’être une lutte physique, la guerre est à la fois un concours mental et un argument moral. »
Nous avons même l’impression, à la visualisation de cette vidéo, que la sécheresse de 1976 était largement plus grave que ce que nous vivons aujourd’hui et pourtant l’industrie de l’époque était beaucoup moins dense et intense qu’ aujourd’hui. À l’époque, la population mondiale dépassait à peine les 3 milliards et la Chine ne possédait par l’industrie actuelle. Il y avait infiniment moins de véhicules, d’avions dans le ciel et de bateaux, sans oublier la consommation électrique qui a explosé depuis.
Au début de cette semaine, l’Agence européenne des médicaments (EMA) n’a pas seulement lancé l’évaluation du renouvellement des autorisations de mise sur le marché conditionnelles des vaccins Spikevax (Moderna), Nuvaxovid (Novovax) et Comirnaty (BioNTech/Pfizer). L’EMA a également lancé l’évaluation de l’utilisation de Comirnaty chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans.
L'OTAN est connue pour être une structure militaire, chargée de la protection des pays ayant signé le Traité de l'Atlantique nord.
On a vu avec les réseaux stay-behind qu'elle s'est aussi mêlée de politique et de propagande, mais c'était encore discret. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas : l'OTAN dispose d'un « Centre d'excellence de la communication stratégique » (STRATCOM) qui forme les journalistes et leur fournit des outils pour exercer cette nouvelle et étrange forme de « journalisme » qu'est le « fact checking ».
On voyait bien dans les derniers exercices « pandémiques » que les préoccupations étaient de plus en plus focalisées sur le contrôle de l'information pour faire accepter les mesures liberticides variées et permettre la « vaccination ».
Cet inventaire suffit à montrer que cela ne peut pas être le fruit du hasard.
La crise sanitaire a vu l’ensemble des médias répéter à l’unisson les mêmes mantras, invitant les mêmes savants, depuis reconnus incompétents dans les domaines où ils s’exprimaient. Tout le monde l’a observé : aucun pluralisme mais une élimination systématique des opposants, un discrédit et l’opprobre sur les savants réfractaires. L’alignement des grands médias et leur promotion des thèses des gouvernements en sont une preuve éclatante, partout en Occident.
« On a beaucoup donné la parole à des experts, des journalistes ou des éditorialistes qui n’avaient pas plus de compétences médicales que vous et moi »
Les Africains, eux, ont échappé à l’injection mondialiste, tout simplement parce qu’ils sont insolvables, et ça les sauve. Les pauvres seront bientôt en meilleure santé que nous, les riches.
Le Système médiatico-politique est en train de nous habituer à la pénurie, pour nous tenir en laisse, vu que la colère est montée de deux grands crans depuis 2018 (Gilets jaunes, plus antivax et antipass). Il y a donc pénurie de tout, même de chauffage (à venir), mais pas de pseudo-vaccins, ni de désinformation. Là, on frise la surproduction. Visez un peu ce qu’on a récolté ce 28 juin 2022, où dans un monde normal, les Français se soucient de leurs vacances à venir. Là, on ne sait même pas si on devra enfiler une tenue NBC en plein mois d’août.
« J’ai toujours rêvé que dans nos réfrigérateurs ou congélateurs, nous disposerions un jour de différents flacons contenant de l’ARN messager. Et que si par exemple, vous vous brûlez la main en cuisinant, il suffirait de prendre le flacon adéquat qui contient l’ARN messager codant une protéine utile à la guérison et de se l’administrer. »