Une bévue de sa ministre, Lolwah Al-Khater, venue suivre les négociations à Tel-Aviv, montre, au contraire, que Doha exerce une autorité sur le Hamas. Les nouveaux membres du cabinet de guerre israélien ont découvert avec surprise que le Qatar avait participé au complot de Benjamin Netanyahu pour préparer l’attaque contre Israël, le 7 octobre 2023.
La bévue de Lolwah Al-Khater
Lolwah Al-Khater, ministre qatarie à la Coopération internationale, s’est rendue à Tel-Aviv, le 25 novembre 2023. C’était la première fois qu’un officiel qatari visitait Israël. Elle a été reçue par le cabinet de guerre pour résoudre les problèmes d’application de l’accord sur les échanges d’otages. Elle s’est également rendue à Gaza.
Habituée aux discussions avec David Barnea, directeur du Mossad, elle ne semble pas avoir saisi que le cabinet de guerre ne comprend pas seulement des fidèles du Premier ministre Benjamin Netanyahu. Sans se cacher, elle a alors, pour gagner du temps, pris des décisions au nom du Hamas, sans en référer à lui.
Les membres de l’ancienne opposition qui ont rejoint le cabinet d’urgence et ont assisté à cette discussion, ont été choqué de la voir sortir de son rôle de médiatrice et de laisser entrevoir ses liens d’autorité sur le Hamas, branche palestinienne de la Confrérie des Frères musulmans.
À la sortie de cette réunion, Joshua Zarka, directeur général adjoint des Affaires stratégiques du ministère israélien des Affaires étrangères, a déclaré qu’Israël « réglera ses comptes avec le Qatar » dès qu’il aura terminé son rôle de médiateur. En effet, si le Qatar a la possibilité de donner des ordres au Hamas, il ne peut masquer plus longtemps sa responsabilité dans l’attaque du 7 octobre. Non seulement, ce n’est pas un médiateur, mais c’est un ennemi des Israéliens.
Revenons un instant sur l’identité du Qatar.
Note : l'article est long.
Préparez-vous à un voyage au cœur des ténèbres, où la science-fiction devient réalité et où les véritables horreurs de la nanotechnologie sont révélées.
Dans cet exposé qui fait froid dans le dos, nous dévoilons la vérité malveillante qui se cache derrière les nanorobots de graphène dissimulés dans les vaccins COVID-19.
Préparez-vous à naviguer dans les eaux traîtresses des risques inconnus et à découvrir les dangers potentiels que recèle cette minuscule technologie. [...]
L'énigme des nanobots en graphène :
Cachée dans les profondeurs des vaccins COVID-19, une énigme attend d'être découverte : les nanobots de graphène. Ces entités microscopiques, composées d'oxyde de graphène, possèdent un sombre programme qui menace la santé et l'autonomie humaines.
Dans le vaste paysage des avancées scientifiques, une énigme se détache : les nanorobots de graphène. Ces entités microscopiques, fabriquées à partir du matériau extraordinaire qu'est le graphène, ont captivé l'imagination des chercheurs et des innovateurs du monde entier. Pourtant, derrière leur potentiel apparemment miraculeux se cache une réalité troublante et inquiétante, qui pourrait façonner l'avenir de l'humanité de manière imprévue et dangereuse.
Le graphène, une couche unique d'atomes de carbone disposés dans un réseau bidimensionnel, possède des propriétés remarquables qui ont ouvert la voie à des percées révolutionnaires dans divers domaines. Sa résistance, sa flexibilité et sa conductivité en font un matériau convoité pour des applications allant de l'électronique à la médecine. Cependant, l'intégration du graphène dans des nanorobots porte cette merveille technologique à un tout autre niveau.
Ces robots minuscules, mus par la puissance de la nanotechnologie, ont la capacité de naviguer sur le terrain complexe de notre corps avec une précision sans précédent. Leurs applications potentielles semblent infinies : administration ciblée de médicaments, réparation de tissus, détection de maladies et même interfaces neuronales. Mais comme pour toute avancée technologique majeure, des questions se posent quant aux risques potentiels et aux conséquences involontaires qui peuvent accompagner ces créations apparemment remarquables.
L'un des aspects préoccupants des nanorobots de graphène réside dans leur potentiel d'infiltration et de manipulation. En naviguant dans notre système sanguin, ces agents microscopiques ont la capacité d'interagir avec nos cellules, nos tissus et même notre ADN. La perspective d'une manipulation intentionnelle ou d'effets secondaires involontaires suscite des inquiétudes quant à l'invasion de notre autonomie corporelle et au risque de dommages irréversibles.
En outre, les implications du déploiement et de l'utilisation à grande échelle des nanorobots en graphène dans la société sont entourées d'ambiguïté. La possibilité d'une surveillance subreptice, d'un suivi ou d'une altération de nos fonctions physiques et cognitives devient une réalité déconcertante. À mesure que ces nanorobots s'intègrent dans notre vie quotidienne, la frontière entre l'action humaine et le contrôle technologique s'estompe, donnant naissance à un monde dystopique où notre essence même est manipulée et exploitée.
L'énigme des nanorobots de graphène inquiète à mesure que l'on se demande qui détient le pouvoir de créer et de contrôler ces entités microscopiques. Sont-ils uniquement entre les mains de scientifiques et de novateurs bienveillants qui s'efforceraient d'améliorer le sort de l'humanité ?
Ou bien des intentions malsaines se cacheraient-elles derrière des portes closes, motivées par la soif de contrôle et de domination ? Pour percer ce mystère, il faut procéder à un examen critique des forces en présence et des dynamiques de pouvoir sous-jacentes qui façonnent le développement et le déploiement des nanorobots en graphène.
Dans notre quête du progrès scientifique, nous devons faire preuve de prudence et d'éthique. La transparence, la responsabilité et un dialogue ouvert deviennent essentiels pour s'assurer que les dangers potentiels des nanorobots de graphène soient reconnus, traités et atténués. Des garanties doivent être mises en œuvre pour protéger les droits individuels, la vie privée et l'autonomie corporelle dans un monde de plus en plus imbriqué dans les technologies de pointe.
Alors que nous naviguons dans l'énigme des nanorobots de graphène, nous devons rester vigilants et nous interroger sur les motifs et les conséquences de leur existence. Dans la poursuite d'un avenir meilleur, nous devons peser les avantages par rapport aux risques potentiels et avancer sur la voie du progrès avec sagesse et discernement.
[...]
À l’instar de nombreux autres pays, la Nouvelle-Zélande a connu un pic de surmortalité sans précédent au cours des deux dernières années.
En raison de mandats stricts et d’une forte pression gouvernementale pendant la pandémie de Covid, la grande majorité de la population néo-zélandaise est entièrement vaccinée.
Les données officielles montrent que 95,8 % de la population néo-zélandaise éligible âgée de 12 ans et plus a reçu une dose d’ARNm anti Covid.
Alors qu’un pourcentage stupéfiant de 94,7 % de la population néo-zélandaise âgée de 12 ans et plus est considéré comme entièrement vacciné.
Un administrateur de la base de données du gouvernement néo-zélandais, qui a contribué à cataloguer les données officielles sur les personnes vaccinées, a révélé des informations explosives.
Le lanceur d’alerte a dévoilé des données officielles du gouvernement qui montrent que le pic de surmortalité enregistré dans le pays est lié à la campagne d’injections anti covid.
Selon le statisticien lanceur d’alerte, qui se fait appeler « Winston Smith« , un grand nombre de Néo-Zélandais vaccinés sont aujourd’hui décédés.
Winston Smith travaillait sur un programme d’enregistrement des indemnisations vaccinales pour les prestataires de soins.
Grâce à son accès unique, il a pu déterminer avec précision comment les décès ont commencé à se produire peu de temps après l’introduction des vaccins.
Le spécialiste des technologies de l’information a fait ces révélations lors d’une récente interview avec la journaliste d’investigation Liz Gunn.
Au cours de l’entretien, M. Smith a expliqué comment il avait établi la corrélation entre les vaccins administrés et les décès qui s’ensuivaient.
Nous avons le plaisir de vous informer que Profession-Gendarme figure en très bonne place au centre de cette carte.
Comme nous sommes des gens ayant un minimum d’éducation, pour une fois nous nous sentons obligés de remercier vivement ce très cher Rudy de ne pas nous avoir oublié.
Nous vous invitons à consulter sa publication avec la carte citée ci-dessus sur le lien suivant : https://www.conspiracywatch.info/conspiracymap/#/graph
Un grand merci à ce très cher Rudy Reichstadt de nous avoir mâché le travail et de nous permettre ainsi de consulter les sites les plus importants de la défense de nos Libertés et de la Vérité.
Pour en savoir davantage sur sa « méthodologie et son approche » qualifiant lui même son travail d’information et de veille critique d’être à juste titre « SANS EQUIVALENT » nous vous invitons à suivre ce lien : Cartographie du web conspirationniste francophone : méthodologie et approche
Par cette publication « Rudy » semble faire ce que l’on nomme de l’autosatisfaction, c’est à dire la satisfaction de lui même. (Synonymes de autosatisfaction : vanité, fatuité, prétention, suffisance, triomphalisme, infatuation )
N’oublions pas non plus l’argent du contribuable qu’il a facilement gagné et détourné à son profit, exemple entre autres le Fond Marianne.
Comme Slay News l’a rapporté, le Canada possède certaines des lois les plus libérales au monde en matière d’euthanasie.
Ces dernières années, le gouvernement a de plus en plus assoupli les lois qui, à l’origine, visaient à donner aux malades en phase terminale la possibilité de mourir.
Toutefois, l’élargissement de ces lois signifie que des personnes peuvent désormais être euthanasiées pour des problèmes beaucoup moins graves tels que la dépression, le fait d’être sans-abri ou la maladie mentale.
Les lois ont même été étendues aux « mineurs matures » et il est envisagé de les étendre aux enfants en bas âge.
Un rapport a révélé que le nombre moyen de citoyens euthanasiés au Canada a grimpé en flèche ces dernières années.
Selon le récent rapport de Santé Canada sur le suicide assisté par le gouvernement, l’euthanasie a représenté 4,1 % des décès au niveau national l’année dernière.
Ce chiffre représente une augmentation significative par rapport aux 3,3 % enregistrés en 2021.
Le rapport 2022 sur l’assistance médicale à la mort (AMM) a été publié en octobre dernier.
Il révèle que l’euthanasie a coûté la vie à environ 45 000 Canadiens depuis sa légalisation en 2016.
Quelque 1 018 Canadiens ont été tués par un suicide assisté par le gouvernement en 2016.
En 2022, ce chiffre avait grimpé en flèche pour atteindre le chiffre alarmant de 13 241.
Cela signifie qu’en moyenne, 36 personnes ont été euthanasiées par jour au Canada l’année dernière.
Cela signifie également que le taux de croissance annuel moyen est de 31,1 % depuis 2019.
Selon les données, au moins 81 % des demandes écrites de MAID ont été acceptées.
Cependant, sur les 19 % restants, seuls 3,5 % des demandeurs ont été considérés comme non admissibles à la MAID, un chiffre en baisse depuis 2019.
De nombreuses personnes à qui l’on a refusé le suicide assisté par le gouvernement l’ont été en raison d’un manque de capacité du patient.
Fait alarmant, ces personnes auraient autrement été euthanasiées s’il y avait suffisamment de lits disponibles.
C'est une excellente nouvelle que de constater ce désastre de la campagne de vaccination extrêmement coûteuse contre le papillomavirus malgré une propagande phénoménale du gouvernement qui a utilisé les médias et la peur pour pousser des jeunes enfants pas du tout concernés par la maladie à se faire injecter des soupes douteuses fabriquées par l’industrie pharmaco-chimique. Il est donc très utile d’informer nos concitoyens et de continuer à faire ce travail de contre propagande. Il n’est pas question d’imposer quoi que ce soit mais de proposer aux gens de réfléchir et de se renseigner correctement avant de faire un choix sanitaire qui peut avoir des conséquences graves sur leur santé. Il est possible à chacun de vérifier ces informations en multipliant les lectures et les recherches.
Nous en profitons du coup pour vous rappeler l’existence de la conférence du Dr Gérard Délépine présentant son livre Hystérie vaccinale. Gardasil et cancers : un paradoxe, dans lequel il parle longuement de cette mascarade sanitaire qui n’a absolument aucune base scientifique et qui est dangereuse pour la santé de nos enfants.
01:30– Ukraine, pourquoi la Russie a gagné :
• Pogledi
• Manifeste de Maximilian Krah
• Salon du livre russe
• Manifestation pour le Donbass
• Conférence à Québec
• Ici Moscou !
08:12– Échec de la censure contre Russia Today :
• Esthétique de The Economist
09:35– Russie : accélération conservatrice et anti-impérialiste :
15:55– Économie :
• Dédollarisation
• Braquage à l’américaine sur Binance
• Crise économique allemande
• Varsovie vs Kiev
• Chômage russe
22:55 – Politico-diplomatique :
• Mort de Kissinger
• Pologne vs OSCE
• Les deux Corées
• Amitié russo-anglo-saxonne
• Buts de guerre russes
28:58 – Armement :
• Supériorité russe en guerre électronique
• Supériorité russe en puissance de feu
• Supériorité russe en production de drones
• Contre-offensive en mer Noire
• BTR-60 roumain pour l’Ukraine
• Radars US au printemps
• Abrams le fragile
• Démonstration de force iranienne
36:20 – Considérations militaires générales
• US Army vs Moyen-Orient
• Boris Johnson le fauteur de guerre
• La défaite est toujours orpheline
• Stéphane Audrand, La croisière s’amuse
• 1 200 000 Ukrainiens morts ou disparus ?
• Âge moyen dans l’armée ukrainienne : 54 ans
• La digue d’Ancel vs réalité
• Zelensky vs réalité
50:00 – Carte des opérations militaires
Aucun pays du monde, surtout du Sud, ne désire suivre ces deux tarés. Face à eux, la paire Xi-Poutine fait figure de stabilité et de raison.
Les russophobes des médias mainstream sont comme un poulet sans tête : alors que même les forces de l’OTAN reconnaissent que la guerre contre la Russie ne peut être gagnée, et qu’il faut peut-être revoir le plan initial un peu trop optimiste de démembrement de la Grande Russie, les propagandistes de bas étage continuent de cracher sur la paix mondiale et d’entretenir idéologiquement la nécessité d’une guerre dont les peuples ne veulent pas, à commencer par le peuple français.
Le peuple français est ami du peuple russe, et ni Colonna ni Macron n’y changeront rien. C’est inscrit dans notre ADN historique et culturel, et tout ce qui va contre cette amitié sera sans avenir.
Malgré la résistance héroïque des propagandistes les plus radicaux qui distillent le mensonge mondialiste en plateau, le discours comment à changer, notamment sur Israël.
« Nous nous battons actuellement pour la liberté, pas seulement celle de la Russie mais celle du monde entier. Nous déclarons ouvertement que la dictature d’une hégémonie, maintenant visible de tous, devient obsolète. Elle est allée trop loin, et représente un danger significatif pour les autres.
La majorité du monde reconnaît à présent cette réalité. Je répète, notre pays est sur le point d’établir un ordre mondial plus juste, je veux appuyer sur le fait que sans une Russie souveraine et forte, il ne peut y avoir d’ordre mondial stable et durable. »
«C'est notre pays, le monde russe, qui a plusieurs reprises dans l'histoire, s’est opposé à ceux qui prétendent aujourd'hui être les maîtres du monde», a déclaré ce 28 novembre Vladimir Poutine, lors d’une allocution aux participants de la XXVe séance plénière du Conseil mondial du peuple russe. «Nous sommes contre une dictature, une hégémonie», a notamment précisé le chef d’Etat. «C’est notre pays qui aujourd’hui est aux avant-postes de la justice mondiale», assure-t-il.
«Sans une Russie souveraine, il n’y a pas d’ordre mondial possible», a-t-il poursuivi, pointant du doigt l’Occident. Face à un pays «vaste et diversifié», dont la «diversité de cultures, de traditions et de coutumes» constitue à ses yeux un «énorme avantage concurrentiel», Vladimir Poutine a mis en garde contre un Occident, qui selon lui «en principe, n'a pas besoin d'un pays aussi grand et plurinational que la Russie, avec ses traditions, ses cultures, ses langues».
Les Occidentaux «sont contre tous les peuples de la Russie»
Des Occidentaux, ou plus précisément des élites occidentales, dont il fustige la vision du monde. «La Russie, ils la considèrent comme une prison des peuples», a-t-il lancé. «La russophobie, d'autres formes de racisme et le néonazisme sont pratiquement devenues l’idéologie des élites dirigeantes occidentales», a estimé le dirigeant russe. Une approche, selon lui, non seulement dirigée contre les Russes, mais également «contre tous les peuples de la Russie».
«N’importe quelle ingérence de l’extérieur – ou toute tentative de générer des conflits religieux – sera combattue», a mis en garde Vladimir Poutine. «Nous lutterons contre le terrorisme comme instrument de lutte contre nous, nous réagirons», a-t-il insisté. «Nous ne permettrons pas de diviser la Russie qui doit être une», a encore assuré le président russe.
Kissinger passera le reste de l’éternité à concevoir de vaines ruses diplomatiques et des stratagèmes visant à accroître les chances inexistantes de l’Enfer de vaincre le Paradis.
Lors d’une conférence de presse annonçant cette nomination, Satan a déclaré que même s’il savait qu’il n’avait aucune chance en enfer de réussir dans sa guerre mondiale contre Dieu, il espérait néanmoins que Kissinger, en injectant des notes de gravité et de realpolitik dans les efforts stratégiques et diplomatiques infernalement désespérés du Royaume du feu de l’enfer, rendrait au moins cette entreprise vouée à l’échec plus intéressante.
De retour sur Terre, le président américain Joe Biden a exprimé l’espoir que la mission de Kissinger en Enfer ouvrirait un nouveau chapitre dans les relations entre les États-Unis et l’Enfer. «Puisque nous venons de payer Israël pour qu’il assassine 20 000 civils palestiniens, et que nous lui avons fourni les armes, le Diable doit regarder les États-Unis avec tendresse à ce moment critique de notre histoire», a déclaré Joe Biden. «Nous avons bon espoir que Henry Kissinger négociera bientôt un accord inaugurant une nouvelle ère dans laquelle les États-Unis et le Diable travailleront en étroite collaboration pour atteindre nos objectifs communs. Comme je l’ai toujours dit, si Kissinger peut aller en Chine, il peut très bien aller en enfer».
Pour les autorités judiciaires russes, il apparaît inacceptable que Meta relaye des contenus appelant au meurtre de citoyens russes.
Un porte-parole du groupe américain Meta, société mère de Facebook, Instagram et WhatsApp, est inculpé par contumace en Russie. Un tribunal russe a ordonné lundi 27 novembre 2023 le placement d’Andy Mark Stone en détention provisoire, au lendemain de son inscription dans la liste des personnes recherchées par Moscou, qui considère Meta comme organisation “extrémiste". Andy Mark Stone est accusé de “promouvoir des activités terroristes” et les faits qui lui sont reprochés remontent à mars 2022. Stone est le deuxième haut responsable du groupe californien à subir des représailles de la part Moscou, qui accuse la firme d’avoir adopté des pratiques hostiles à la Russie. Le premier n’est autre que Mark Zuckerberg, placé sur une liste noire des personnes interdites d’entrée sur le territoire russe.
Les autorités russes, qui ont bloqué peu après l’invasion de l’Ukraine les réseaux sociaux de Meta, ont qualifié, dès mars 2022, la firme américaine “d’extrémiste”. Un tribunal moscovite a affirmé avoir “constaté que la société diffusait des contenus appelant à la violence extrémiste contre les citoyens russes”, en “violant” leurs droits et en constituant “une menace pour le système constitutionnel de la Fédération de Russie”. La cour reproche également à la société mère de Facebook son “incapacité à bloquer les contenus appelant à la violence” et ce, malgré les demandes des autorités, politiques et judiciaires, de les retirer.
Salutaire !
L'émission complète est disponible en VOD sur Kontre Kulture : https://kontrekulture.com/produit/soral-a-presque-toujours-raison-episode-25-novembre-2023/
« La communauté LGBT n’existe pas : elle n’existe ni juridiquement ni dans les faits. (...) Il y a une guerre ouverte entre les lesbiennes et les homosexuels, d’autant plus d’ailleurs, une lesbienne se définit parce qu’elle n’a pas du tout envie de se faire baiser par un homme, et un gay se définit parce que le sexe des femmes le dégoûte ! Donc la communauté LGBTQ+, c’est une usine à gaz où personne n’a vraiment d’intérêt commun. (...) Ça aussi, c’est du communautarisme abusif. »