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Les décès ARNm à Singapour

Réseau InternationalSingapour : Les décès ARNm se voient comme une tumeur au milieu du nez

Réseau International - 11 mai 2025

Cela fait longtemps que je n’ai pas fait tourner la machine à graphique. Je me suis inspiré du travail de Felicittina qui suit l’évolution du nombre des décès, toutes causes confondues, dans plusieurs pays. Dans le lot : Singapour.

   

Singapour est intéressant (5,91 millions d’habitants, tous citadins par définition).

Why ?

Une société très riche (la Suisse de l’Asie du Sud-Est) et organisée au cordeau, propre et OBÉISSANTE.

L’ordre règne à Singapour.

Autre particularité : c’est un melting pot ethnique et religieux. Du malais, du chinois, du blanc, de l’indien. Mais tous se tiennent à carreau, car les systèmes policier et judiciaire sont… performants. Et impitoyables.

Un graffiti sur un mur, un chewing-gum ou un mégot de cigarette jeté au sol et c’est une amende salée immédiate voire des coups de canne (eh oui, une de leur spécialité héritée des british !).

Donc une société ultra sécurisée.

Personne ne s’amuse à foutre le bordel. Personne ne s’avise à emmerder le monde. Brûler des voitures, violer des femmes dans la rue, poignarder des passants… ça n’existe pas. Fin de la parenthèse (qui devrait faire office de recette pour les débiles mentaux européens, mais bien entendu ils sont incapables de comprendre).

Donc une plaque tournante à la fois d’hommes et de pognon en Asie… C’est une fenêtre extraordinaire sur le «Covid». Ainsi que sur les injections «Covid». À la différence des autres pays de la région, Singapour a pu s’offrir… les poisons ARNm (en Thaïlande, Pfizer était réservé exclusivement aux très riches).

Voici son graphique et ensuite je colle le mien. Elle travaille sur 12 mois glissants (sommes des décès de mars 2025 à avril 2024, et ainsi de suite).

Moi, je suis plus psychorigide, je compare le premier trimestre 2025, au premier trimestre 2024, etc.

Première constatation

Elle est fondamentale et elle s’applique à TOUS LES PAYS DE LA RÉGION : il ne s’est RIEN PASSÉ en 2020.

Oui bien sûr, de l’hystérie, des mesures absurdes, de la peur délibérément entretenue… Sans oublier quelques vieillards déjà malades achevés avec de la ventilation mécanique (préconisée par la Chine). Mais aucune «pandémie» tuant femmes, enfants, nourrissons, chats, chiens et oiseaux.

Je répète : PEAU DE BALLE.

Ça la fout mal pour une «pandémie» épouvantablement horrible… Personne n’a osé reconnaître ce fait extravagant et encore moins apporter une ou des explications satisfaisantes…

Deuxième constatation

On voit que jusqu’en 2020, les décès suivent une courbe ascendante régulière. La population vieillit de manière pépère, donc mécaniquement, davantage de Singapouriens décèdent, chaque année.

C’est parfaitement normal. La mort étant le principal effet secondaire délétère… de l’âge.

En revanche, on voit clairement le «changement de vitesse»… à partir de 2021.

Cela se voit comme une tumeur qui clignote sur un nez aviné.

Que s’est-il passé en 2021 ? Une éclipse du soleil ? Les ondes négatives du méchant Poutine et de Orange Man Bad ? Le réchauffement climatique ? Ou alors les Singapouriens se sont tous mis à manger du McDonald et à fumer 2 paquets de Gitane par jour, tout en sniffant le pot d’échappement de leurs véhicules diesel ?

Non. Ne rêvez pas.

Le seul VÉRITABLE changement ponctuel, factuel et très large : les injections ARNm (1 et 2 doses en 2021 et le booster fin 2021 ou début 2022).

Singapour a massivement injecté : fin novembre 2021, 85% de la population avaient reçu 2 doses (source officielle) !

Et Singapour a massivement utilisé Pfizer et Moderna. Le produit chinois ne pèse que 4,7% des injections totales. Ridicule (alors que comme je le disais, en Thaïlande, c’est l’inverse… on a eu principalement l’Astra Zeneca local, autre catastrophe, et 2 produits chinois).

Troisième constatation

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projet d'euthanasie en France

Le Media en 4-4-2Euthanasie sans limites : Demain, dissuader un proche de mourir sera un délit

Le Media en 4-4-2 - 10 mai 2025

Dans les couloirs feutrés de l’Assemblée nationale, un projet de loi aux implications vertigineuses se discute dans une indifférence troublante. Baptisé pudiquement "aide à mourir", ce texte ouvre en réalité la voie à une euthanasie sans garde-fous, où les mots eux-mêmes sont manipulés pour masquer une réalité glaçante : la mort pourrait bientôt devenir une option administrée par l’État.

   

Entre amendements rejetés, délit d’entrave et conflits d’intérêts inavouables, ce dossier révèle une dérive qui a débuté avec l'administration de RIvotril à des personnes âgées qui auraient pu être soignées au lieu d'être entraînées vers la mort par étouffement.

Un texte flou, des dangers concrets

Le projet de loi, présenté comme une avancée humaniste, repose sur des formulations volontairement vagues. Les termes « phase avancée ou terminale », retenus pour définir les conditions d’accès à l’euthanasie, ne correspondent à aucun consensus médical. Pire : des amendements visant à encadrer strictement la pratique – comme l’obligation d’un avis psychiatrique ou l’exclusion des souffrances psychiques – ont été systématiquement rejetés en commission. Cette imprécision calculée laisse la porte ouverte à des dérives effrayantes : demain, un diabétique en phase compliquée ou un adolescent éco-anxieux pourraient-ils se voir proposer une mort « médicalisée » sous prétexte de « souffrance » ?

Censure et délit d’entrave : la liberté en péril
L’article 17 du texte instaure un « délit d’entrave à l’aide à mourir » puni d’un an de prison et de 15 000 euros d’amende. Concrètement, dissuader un proche – même mineur ou dépressif – de recourir à l’euthanasie deviendra un délit. Cela reviendra à tomber dans le crime de non-assistance à personne en danger ou de la non-prévention du suicide selon le code pénal. Respecter la nouvelle loi sur l’euthanasie fera de vous un criminel. Et pourtant un médecin refusant de pratiquer l’injection létale par conscience professionnelle , un parent tentant de raisonner un enfant suicidaire, pourront tous être poursuivis. Cette logique rappelle sinistrement la loi scélérate contre les dérives sectaires de l’ère Covid, où remettre en cause le discours officiel valait trois ans d’emprisonnement et 375 000 euros d’amende. Sauf qu’ici, l’enjeu n’est plus un « vaccin », mais la vie elle-même.

Franc-maçonnerie aux manettes : un conflit d’intérêts flagrant
Comment expliquer une telle opacité ? Peut-être par le rôle central d’Olivier Falorni, rapporteur général du texte… et membre d’honneur de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD), historiquement liée à la franc-maçonnerie. Fondée par Pierre Simon – ancien grand maître du Grand Orient et promoteur de l’avortement – cette organisation milite depuis des décennies pour la légalisation de l’euthanasie. Emmanuel Macron lui-même a salué « l’engagement » des francs-maçons sur ce sujet lors d’un discours récent. Coïncidence ? Dans une démocratie saine, un tel mélange des genres aurait déclenché un scandale. De plus c’est le même Olivier Forlani qui, lors de la période Covid, a posé une question écrite à l’Assemblée le 13 octobre 2020 pour une administration sans restriction de Rivotril pour une « sédation profonde et continue » des personnes âgées. En toute compassion…

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Trump et l'Ukraine

VoltairenetLes enjeux des négociations de Donald Trump avec l’Ukraine

Voltairenet - 08 mai 2025

Le président Donald Trump n’est pas parvenu à apporter la paix en Ukraine comme il croyait pouvoir le faire. Il a découvert une situation bien plus complexe qu’il ne le pensait.

   

Refusant de prendre parti pour l’un ou l’autre camp, il s’est trouvé plongé dans un conflit vieux d’un siècle entre deux frères ennemis ; un conflit que ses prédécesseurs, Barack Obama et Joe Biden, ont alimenté et instrumenté. Il doit donc éclairer ses concitoyens avant de pouvoir débloquer la situation.

près avoir examiné les négociations du président Donald Trump avec l’Iran, nous étudions ici ses négociations avec l’Ukraine. Malheureusement, nous ne disposons pas des documents des « nationalistes intégraux » ukrainiens comme nous avons ceux des « sionistes révisionnistes » israéliens. C’est que l’Ukraine actuelle est véritablement une dictature militaire, tandis qu’en Israël, l’armée est encore le garant de ce qu’il reste de la démocratie face aux « sionistes révisionnistes » de Benyamin Netanyahou.

Le dossier ukrainien est très différent du dossier iranien en ce que les États-Unis n’ont pas de mythes communs avec ce pays comme ils en ont avec Israël. Au Moyen-Orient, le président Donald Trump tente de négocier une paix juste et durable tout en préservant les intérêts d’Israël (et non pas ceux des « sionistes révisionnistes » favorables au Grand Israël). En Ukraine, il refuse de prendre parti pour l’un ou l’autre et s’en tient à une position de stricte neutralité, tandis que ses prédécesseurs, Barack Obama et Joe Biden avaient conclu un accord secret avec les « nationalistes intégraux » contre la Russie. Ici aussi, il doit découvrir la réalité, mais cette fois, il doit en faire prendre conscience à sa propre administration avant de pouvoir conclure quoi que ce soit.

La mise au point de Donald Trump
Le 3 février, les services de Renseignements extérieurs russes (SVR) accusaient l’OTAN de préparer la diffusion de trois informations surprenantes :
• 1,5 milliard d’euros destiné à l’achat de munitions a été détourné par la présidence ukrainienne ;
• 130 000 soldats ukrainiens, morts au combat, continuent pourtant de toucher leurs soldes et de figurer sur les listes électorales ;
• le président non-élu Zelensky a cédé —et non pas vendu— des biens immobiliers à des sociétés étrangères et des compensations lui ont été discrètement versées sur des comptes à l’étranger.

En réponse, le 7 février, le président non-élu Volodymyr Zelensky donnait une interview à Reuters. Il y affirmait que son pays possédait quantité de « terres rares » et proposait de les exploiter avec les Alliés.
Contrairement à leur nom, les « terres rares » ne sont pas « rares » dans le monde, c’est leur raffinage qui l’est. Elles sont indispensables aux nouvelles technologies, civiles et surtout militaires.
Le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, s’est alors rendu à Kiev pour présenter un projet de traité de cession des sous-sols ukrainiens à titre de compensation pour les armes états-uniennes livrées durant la guerre. Il a été fraîchement accueilli par le président non-élu, les armes ayant été données et non pas vendues à terme comme cela avait été initialement envisagé (prêt-bail).

Nous avons tous assisté avec stupéfaction à l’algarade qui opposa le président Donald Trump et son vice-président JD Vance à leur homologue ukrainien non-élu, Volodymyr Zelensky, le 28 février 2025, lors de sa réception dans le bureau ovale de la Maison-Blanche.

L’entrevue s’est terminée sans la signature de l’accord de Scott Bessent prévu sur l’exploitation des « terres rares ». On retiendra que le président non-élu Zelensky a tenté plusieurs fois de placer son narratif, selon lequel la Russie avait envahi l’Ukraine pour l’annexer ; un narratif qui était jusque-là soutenu par l’OTAN. Tandis que ses hôtes l’ont accusé de mener une « tournée de propagande » et, devant ses dénégations, lui ont demandé de respecter l’administration qui essaie d’empêcher la destruction de son pays.

Alors que le Royaume-Uni et des membres de l’UE (sauf la Slovénie et la Hongrie) se réunissaient autour de Volodymyr Zelensky, Washington suspendait, le 5 mars, son partage de Renseignements militaires avec Kiev. Se trouvant soudain plongé dans le noir, Kiev reculait, tout en essayant de ralentir son retrait. En quatre jours, il est apparu que, sans les Renseignements militaires états-uniens, ni les armées ukrainiennes, ni les armées alliées ne pouvaient plus vaincre. Ce choc a profondément remué ces dernières qui se sont alors plusieurs fois réunies pour se concerter sur ce qu’elles devaient faire pour retrouver leur efficacité.

Une période d’incertitude

Après le grave incident de la Maison-Blanche, l’Ukraine a tenté de remplacer l’appui des États-Unis par celui de l’Union européenne, du Royaume-Uni et du Canada. Cependant, ceux-ci n’ont pas de moyens comparables à ceux de l’Oncle Sam.

Le président Donald Trump a joué le chaud et le froid en laissant les Européens au sens large discuter ensemble de ce qu’ils pouvaient faire seuls. Dans un premier temps, il a défendu la représentativité du président Volodymyr Zelensky face à la Russie qui lui reprochait de ne pas avoir organisé d’élections et d’occuper sans droit, ni titre, la présidence ukrainienne depuis la fin de son mandat, en mai 2024. Par conséquent, Moscou faisait valoir que tout accord de paix signé par un dirigeant non-élu pourrait être considéré comme nul et remis en question.
Les Ukrainiens ont fait remarquer au président Trump que leur Constitution empêche la tenue d’élections en période de loi martiale. Mais Donald Trump a été informé par Steve Witkoff que Volodymyr Zelensky reconduisait la loi martiale de trois mois en trois mois pour ne pas organiser d’élections. Il a alors commencé à chercher d’éventuels candidats pour le remplacer et a découvert que la plupart des soldats morts au combat figuraient encore sur les listes électorales. Des élections sont donc impraticables en l’état. La Russie a proposé de les organiser sous la responsabilité des Nations unies. La question n’a pas été tranchée.

Accordant un entretien au Figaro, le président non-élu Volodymyr Zelensky déclarait : « La deuxième motivation [qui me fait tenir], c’est la haine des Russes qui ont tué tant de citoyens ukrainiens. Je sais bien qu’en période de paix, il n’est pas poli d’utiliser ce mot. Mais quand on est en guerre, quand on voit des soldats rentrer sur son territoire et tuer des personnes innocentes, je vous le promets, on peut ressentir cette haine. »
Il a tenu de nombreuses fois des propos similaires, disant qu’il « hait les Russes ». Lorsqu’on lui demande de préciser s’il cherche à dire qu’il hait Vladimir Poutine, il répond, « Non, tous les Russes ! ». Ce faisant, il reprend à son compte le discours des « nationalistes intégraux ». Leur fondateur, Dmytro Dontsov, assurait que les Ukrainiens sont nés pour anéantir la culture et le peuple moscovite ; principe qu’il a mis en œuvre avec ses alliés nazis à la tête de l’Institut Reinhard Heydrich.
Loin d’être un élément de propagande, l’accusation russe de nazification de l’Ukraine est une réalité.

Le président Trump avait secrètement envoyé son ami Steve Witkoff, par ailleurs envoyé spécial pour le Moyen-Orient, discuter d’un premier échange de prisonniers avec Kirill Dmitriev à Saint-Petersbourg, début avril. Durant leur discussion, Dmitriev se présenta comme le patron du fonds d’investissement direct russe, mais aussi comme un Russo-Ukrainien intéressé par les efforts de l’Administration Trump. Ayant rapidement conclu un premier échange, il organisa, en plus, une entrevue inopinée avec le président Vladimir Poutine, le 11 avril. Celui-ci présenta à Witkoff la version russe du conflit. Ce dernier l’écouta avec attention et vérifia immédiatement les informations. Revenu à Washington, il exposa au président Trump l’ampleur de la maldonne : les présidents démocrates Barack Obama et Joe Biden avaient bien conclu un accord avec des néo-nazis pour s’emparer de l’Ukraine. Ces derniers ont persécuté les Ukrainiens russophones. La Russie n’a pas envahi le pays pour l’annexer, mais a appliqué la résolution 2202 du Conseil de sécurité (les accords de Minsk) dont elle s’était portée garante. Au lieu d’aider, fidèles aux démocrates Barack Obama et Joe Biden, l’Allemagne et la France qui s’étaient également portées garantes de l’application de la résolution 2202, avaient consciemment accusé la Russie d’envahir l’Ukraine.
Donald Trump, qui connaissait personnellement Witkoff depuis longtemps et lui faisait confiance, avait instantanément compris la manipulation des démocrates. Comme il avait observé l’attitude de Zelensky contre lui, durant le Russiagate, et son engagement dans la campagne électorale de Biden-Harris, il se forgea rapidement de nouvelles convictions.

Le 14 avril, le président Donald Trump adopta la version Witkoff et déplora que Zelensky ait déclenché la guerre, déclarant : « Vous ne commencez pas une guerre contre quelqu’un 20 fois supérieur et espérez ensuite que des gens vous donneront des missiles ». Le 17 avril, il transmit aux deux parties une proposition de paix que l’Ukraine rejeta et que la Russie prit avec des réserves.

Il reste quatre points de désaccord entre les États-Unis et la Russie :

• Moscou continue à bombarder des cibles militaires en zones civiles durant les négociations. Depuis les conférences de La Haye (1899 et 1907), il est admis que les nations civilisées ne placeront pas d’installations militaires au milieu des civils, les Ukrainiens cependant utilisent leur propre population comme « bouclier humain ». Identiquement, il est admis que, durant des négociations, les deux parties veillent scrupuleusement à ne combattre que des militaires, la Russie a donc tort, elle aussi.

• Washington n’accepte la démilitarisation de l’Ukraine que si des forces étrangères peuvent y assurer la sécurité. Moscou propose donc le déploiement de Casques bleus des Nations unies, tandis que les Alliés exigent de se déployer eux-mêmes. Mais, au vu des épisodes précédents, Moscou considère qu’ils ne veilleront pas à la paix, mais continueront la guerre.

• Moscou entend conquérir la totalité des oblasts ayant voté pour leur adhésion à la Fédération de Russie, alors que Washington considère que les quelques zones non occupées de ces oblasts doivent rester ukrainiennes, les frontières définitives devant être celles du cessez-le-feu.
L’Ukraine organise depuis plusieurs années une manifestation annuelle internationale pour réaffirmer sa souveraineté sur la Crimée, annexée par la Russie, en 2014. Or, lors de l’effondrement de l’Union soviétique, la Crimée avait proclamé son indépendance avant l’Ukraine. Moscou avait continué durant plusieurs années à y payer les fonctionnaires et les retraites jusqu’à ce que le président Boris Eltsine abandonne ce territoire coûteux et que la Crimée accepte de rejoindre l’Ukraine. En 2014, lorsque les « nationalistes intégraux » renversèrent le président élu, la Crimée vota une seconde fois son indépendance, puis son rattachement à la Fédération de Russie. Le président Donald Trump considère ce rattachement comme légal pour deux raisons : d’une part, il s’est agit d’un référendum conforme au droit international et, d’autre part, l’Ukraine n’y a pas fait obstacle à l’époque.

• Kiev entend que la centrale nucléaire de Zaporijjia et le barrage hydroélectrique de Kakhovka, indispensable au refroidissement de la centrale nucléaire, lui soient remis, ce à quoi Moscou s’oppose fermement. Cette revendication contredit le point précédent, puisque ces deux ouvrages sont aujourd’hui contrôlés par la Russie. Selon l’Agence internationale de l’Énergie atomique (AIEA), au début de la guerre, la centrale de Zaporijjia abritait un incroyable stock de plutonium et d’uranium enrichi, accumulé en violation des traités internationaux. La Russie, considérant la centrale comme un objectif prioritaire, l’a prise dès le début de son opération militaire spéciale. Elle est parvenue à récupérer les matières fissiles et à en transférer une partie sur ce qui était à l’époque le territoire russe. De nombreux combats ont eu lieu alors, laissant à penser que tout n’avait pas été enlevé.

Lors des funérailles du pape François, à Rome, le 26 avril, les présidents Trump et Zelensky se rencontraient une nouvelle fois, dans la basilique Saint-Pierre, durant un quart d’heure. Il semble qu’ils convinrent de repartir sur un autre pied ; les États-Unis et l’Ukraine mettant de côté tout ce qui a précédé. Ils ne parleraient plus de guerre, mais d’une trêve d’un mois, et s’engageraient ensemble dans la reconstruction. Bien sûr cette réconciliation ne règlerait pas grand-chose, mais elle permettrait d’envisager la suite sous un nouvel angle.

Échaudée par le non-respect de la résolution 2202 autant que par celui de la récente trêve pascale, la Russie s’est immédiatement dite opposée à une trêve prolongée. Elle a, au contraire, annoncé unilatéralement une interruption des combats à l’occasion de l’anniversaire de la victoire sur le nazisme, le 9 mai ; un affront pour les « nationalistes intégraux » ukrainiens, alliés des nazis, qu’ils se sont empressés de refuser.

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21 000 milliards pour des cités enterrées en cas d'extinction

QactusConstruire d’énormes villes souterraines pour protéger les « élites » !

Qactus - 07 mai 2025

Un haut responsable de Bush dit que 21 000 milliards de dollars ont été dépensés pour construire d’énormes villes souterraines, pour protéger les « élites » !

   

Se préparer au désastre : les États-Unis ont secrètement construit 170 villes souterraines pour les riches « en cas d’extinction »

C’est ce qu’a déclaré Catherine Austin Fitts, employée du ministère américain du Logement et du Développement urbain, dans une interview accordée à Tucker Carlson.

Elle a déclaré que les États-Unis avaient dépensé plus de 21 000 milliards de dollars pour créer un réseau de bases souterraines, de villes et de liaisons de transport entre elles afin que les riches et les puissants puissent y vivre en cas d’« extinction totale de l’humanité ».

Selon Catherine Austin Fitts, tous ces objets sont situés sous terre aux États-Unis, ainsi que sous l’eau qui les entoure.

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le pain blanc est un poison

Égalité et RéconciliationLa baguette : fierté nationale, poison quotidien ?

Égalité et Réconciliation - 29 avr 2025

Parmi tous les mythes modernes, il y en a un qui s’est glissé jusque dans notre assiette : celui de la pyramide alimentaire, et des recommandations fumeuses qui en découlent.

   

Malgré les soi-disant « progrès » de la médecine, les maladies dites du progrès (diabète, obésité, maladies cardiovasculaires, Alzheimer…) explosent partout. Et pas qu’aux États-Unis. Là-bas, tant de gens sont métaboliquement déglingués (traduction : trop de gros), que la réponse est rapide et violente : retour de l’alimentation cétogène dans les hôpitaux (notamment pour les épilepsies, cancers, et obésité morbide), nomination de RFK Jr. à la Santé, ambiance « on reprend le contrôle ».

Et la France dans tout ça ? On continue à bouffer comme si de rien n’était, à croire que les céréales du matin et la baguette sont le pinacle de l’évolution humaine.
Retour à l’aube de l’humanité

Petit rappel anthropologique : pendant 99,9 % de notre existence (c’est-à-dire depuis huit millions d’années que nos ancêtres pré-humains et humains évoluent), les repas ne ressemblaient pas du tout à celui des petits Français bien sages de 2025. À l’époque, c’était carcasses, tubercules, baies acides et éventuellement du miel si un fou grimpait dans un arbre au péril de sa vie. Par exemple, le matin, au p’tit déj, pas de lait UHT, pas de corn flakes ni de Miel Pops, pas de glucose- fructose.
Et la baguette dans tout ça ?

Produit phare, fierté nationale, totem sacré du repas français. On l’entend déjà : « Mais le pain c’est ancestral, donc c’est sain ! » Pas si vite, l’ami.

Premièrement, l’agriculture ne représente qu’une fraction minuscule de notre évolution (10 000 ans vs 8 millions d’années). Deuxièmement, le pain d’aujourd’hui n’a plus grand-chose à voir avec le pain d’antan. Nous sommes passés d’un pain au levain, fait avec des blés anciens (épeautre, amidonnier, engrain), à une baguette blanche, gonflée, molle, hyper raffinée, bourrée de pesticides, de résidus métalliques et d’additifs dont personne ne peut prononcer le nom. Bref : un aliment pas du tout « ancestral ».
Question subsidiaire : pourquoi il n’y a pas la liste des ingrédients du pain en boulangerie ? Pas d’étiquette, pas de scandale ?
La baguette, ce sucre déguisé

Une baguette classique, c’est environ 70 g de glucides, soit l’équivalent en sucre de quatre à cinq canettes de Coca-Cola (33 cl).

Oui, les types de sucres varient, mais l’effet glycémique est similaire, voire pire côté baguette :

• Index glycémique du Coca : 65
• Index glycémique de la baguette : entre 85 et 95

La charge glycémique de la baguette explose tous les compteurs !

Et ça, pour beaucoup de Français, c’est tous les jours ; matin, midi, soir, et parfois même au « quatre-heures ». Quelles conséquences métaboliques d’une consommation de pain blanc régulière ?

Résultat attendu : pic de sucre → pic d’insuline → fringale → re-sucre → fatigue → inflammation chronique → pré-diabète → diabète → jackpot (pour Big Pharma).
Alors, on fait quoi ?

Si vous êtes accro au pain, passez au pain au levain : fermentation plus lente, meilleure digestibilité, moindre impact glycémique. Et choisissez une farine bio, moulue sur meule de pierre, à base de blés anciens (épeautre, khorasan, etc.) : plus de nutriments, moins de polluants. Certains devront probablement faire plus de 100 km pour trouver un tel pain (réellement « ancestral » pour le coup).

Mais surtout : variez votre alimentation, votre corps mérite mieux que de la colle blanche industrielle à chaque repas.

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L'archevêque Vigano sur le pape

Aube DigitaleLe pape François, illégitimement installé via un coup d’État au Vatican

Aube Digitale - 28 avr 2025

L’archevêque Carlo Maria Viganò explique comment les mondialistes ont coopté l’Église catholique pour faire avancer le programme libéral radical, dans une interview puissante censurée par les médias locaux.

   

Le pape François, alias Jorge Mario Bergoglio, était un pontife illégitime mis en place par le Nouvel Ordre Mondial mondialiste pour orienter l’Église catholique politiquement vers la gauche, a déclaré l’archevêque Carlo Maria Viganò dans une récente interview qui a été censurée par les diffuseurs locaux.

Mgr Viganò, qui a été excommunié du Vatican l’année dernière, a été récemment interviewé par l’émission de télévision italienne « Fuori dal Coro » à la suite du décès du pape François ; cependant, sans explication, l’émission n’a pas diffusé son segment.

Dans son interview, l’archevêque a expliqué comment la structure de pouvoir mondialiste avait besoin de l’influence du Vatican pour faire avancer son programme libéral radical, en soulignant comment la mafia de Saint-Gall, de concert avec l’État profond américain, a orchestré la démission du pape Benoît XVI, qui s’opposait au programme libéral, et a installé Bergoglio.

L’interview de Viganò a été publiée pour la première fois sur le site The Gateway Pundit. Lisez-la ci-dessous :

Voici l’interview demandée par la rédaction de « Fuori dal Coro » sur Mediaset pour l’épisode d’hier, 23 avril. Sans aucune explication et sans aucune excuse de la part de la rédaction, mon intervention n’a pas été diffusée. Je la mets à disposition ici.

1. Excellence, quelle est votre évaluation du Pape Bergoglio ?

Au cours des dernières décennies, un lobby subversif s’est emparé des leviers du pouvoir dans les gouvernements et les institutions, afin d’exécuter le plan antichrétien et maçonnique de la Révolution. Les agences gouvernementales – comme nous le savons de ce qui émerge également aux États-Unis d’Amérique – se sont immiscées dans la vie de diverses nations, en organisant et en finançant le soi-disant « Agenda 2030 » de la Fondation Rockefeller et du Forum économique mondial, qui consiste en la destruction de la famille, la marchandisation de la vie humaine, la corruption morale des enfants et des jeunes, l’exploitation des travailleurs et la privatisation de tous les services qui, jusqu’aux années 1990, étaient garantis – sans motif de profit – par l’État : santé, infrastructures, défense, communications, éducation. Pour mener à bien ce coup d’État global, la collaboration (rémunérée, bien sûr) de fonctionnaires corrompus, de politiciens, de médecins, de juges et d’enseignants corrompus a été nécessaire.

L’Église catholique, qui s’était déjà alignée sur la mentalité mondaine avec le concile Vatican II, était cependant restée fermement ancrée sur certains principes non négociables, par exemple en matière de morale sexuelle ou de respect de la vie humaine, de la conception à la mort naturelle. Benoît XVI était clairement opposé au projet mondialiste et n’aurait jamais dérogé à ces principes en légitimant l’idéologie LGBTQ, l’idéologie du genre, les folies pseudo-sanitaires de l’OMS en matière de modification génétique et de dépopulation mondiale, ou encore l’islamisation de l’Europe par substitution ethnique. Il fallait donc éliminer Joseph Ratzinger et le remplacer par un « pape » qui – comme l’espérait le collaborateur d’Hillary Clinton, John Podesta – allait promouvoir l’Agenda 2030, ratifier la fraude climatique et convaincre les fidèles du monde entier de se faire inoculer un sérum dont on sait aujourd’hui qu’il a été conçu pour éliminer ou pathologiser la plus grande partie de l’humanité.

Ce coup d’État du Vatican a été rendu possible (et nous le savons par les aveux de ses protagonistes, dont le controversé cardinal Danneels) par les manœuvres de la mafia de Saint-Gall, qui, de concert avec l’État profond américain, a poussé Benoît XVI à la démission et a réussi à nommer Jorge Mario Bergoglio à la plus haute fonction de l’Église catholique.

L’usurpation de Bergoglio n’est ni plus ni moins que celles qui ont permis au lobby mondialiste d’imposer des chefs de gouvernement aux ordres du Forum de Davos dans l’Italie de Conte et Draghi, la France de Macron, l’Angleterre de Johnson et Starmer, l’Espagne de Sanchez, l’Irlande de Martin, le Canada de Trudeau, l’Australie d’Arden, les États-Unis d’abord des Clinton et Obama puis de Biden, et dans l’Union européenne de von der Leyen. Tous ces dirigeants n’ont pas accédé au pouvoir de manière légitime, mais plutôt par le biais de magouilles, de fraudes électorales ou de manipulations du consensus ; et ils exercent ce pouvoir contre les citoyens et contre les institutions qu’ils devraient représenter.

Et tous ces gens, sans exception, sont largement compromis et soumis au chantage, de sorte qu’ils sont contraints d’obéir s’ils ne veulent pas voir leurs crimes et perversions mis en lumière. Et ni Bergoglio ni ses acolytes ne font exception à cet égard.

Le jugement que tout catholique est amené à formuler sur cette « papauté » – qui n’en était pas vraiment une mais qui n’en avait que l’apparence – ne peut être que terrible, à tous points de vue. L’Église de Rome, après ces douze années de tyrannie, est dévastée par les scandales, la corruption, les violations des droits de l’homme – je pense à l’accord avec la dictature communiste de Pékin – et par une gestion ratée sur tous les fronts. Les timides critiques de certains cardinaux et évêques sur les hérésies et les scandales de Bergoglio n’ont en rien entamé ce régime global qui considère les gouvernants du monde comme ses alliés – opposés au bien des citoyens et des croyants.

2. Le jour de la mort du pape François, vous avez écrit un billet sur X dans lequel vous définissez les déclarations que Bergoglio a confiées à Eugenio Scalfari comme des « délires hérétiques ». Pouvez-vous expliquer pourquoi ?

Selon Scalfari, Bergoglio lui a confié qu’il ne croyait pas à l’enfer et qu’il était convaincu que les bonnes âmes sont sauvées en « fusionnant » avec Dieu, tandis que les âmes damnées sont détruites, dissoutes dans le néant. Cela contredit à la fois l’Écriture Sainte et le Magistère catholique, qui enseignent que chaque âme, au moment de la mort physique, fait face au Jugement particulier et est récompensée par la félicité éternelle (en passant éventuellement par le Purgatoire) ou punie par la damnation éternelle, en fonction de la façon dont elle s’est comportée dans sa vie et de son état d’amitié ou d’inimitié avec Dieu au moment de son décès. C’est pourquoi j’ai parlé de délires hérétiques : ils s’ajoutent à la très longue liste d’inepties et d’hérésies que nous avons tous eu à subir ces dernières années.

3. A quoi faites-vous référence lorsque vous parlez de « ses héritiers… les subversifs » ?

Bergoglio s’est entouré de personnages corrompus et soumis au chantage, qu’il a utilisés avec désinvolture pour obtenir ce qu’il voulait. Il s’est moqué, a dénigré et offensé des cardinaux et des évêques honnêtes. Il a protégé et couvert des enquêtes sur des prélats accusés de crimes graves. Il a promu toute la chaîne des prélats américains, corrompus et ultra-progressistes, tous liés à l’ancien cardinal McCarrick, qui occupent aujourd’hui les principaux diocèses américains et des postes clés au Vatican. Il a levé l’excommunication de son frère jésuite Marco Rupnik, dont les affaires honteuses avaient scandalisé les plus modérés. Il a persécuté tous ses opposants, y compris moi, en m’excommuniant, en violation de la loi et de la justice. Tous ces gens sont encore à leur place, ils continuent à démolir l’Église et se préparent, avec le prochain Conclave, à achever la tâche qui leur a été confiée : transformer l’Église du Christ en une organisation œcuménique et syncrétiste d’origine maçonnique qui apporte son soutien au Nouvel Ordre Mondial.

4. Selon vous, le pape François est un antipape, un non-pape. Pouvez-vous expliquer pourquoi ?

Le cardinal qui est élu lors d’un conclave comme successeur de Pierre doit exprimer son acceptation et son consentement à assumer les fonctions propres à la papauté.

Je pense que l’acceptation de la papauté par Bergoglio était erronée parce qu’il considérait la papauté comme quelque chose d’autre que ce qu’elle est ; comme le conjoint qui se marie à l’église en excluant les objectifs spécifiques du mariage, annulant ainsi le mariage précisément en raison de son défaut de consentement.

Bergoglio a obtenu son élection par la fraude, abusant de l’autorité du pontife romain pour faire exactement le contraire de ce que Jésus-Christ a confié à saint Pierre et à ses successeurs : confirmer les fidèles dans la foi catholique, paître et gouverner le troupeau du Seigneur, et prêcher l’Évangile à tous les peuples. Toutes les actions de Bergoglio en matière de gouvernement et d’enseignement – depuis sa première apparition à la loggia du Vatican où il s’est présenté avec ce troublant « Buona sera » – se sont déroulées dans une direction diamétralement opposée au mandat pétrinien : il a dénaturé le Depositum Fidei, il a semé la confusion et conduit les fidèles dans l’erreur, il a dispersé le troupeau, il a déclaré que l’évangélisation des peuples était une « absurdité solennelle », la condamnant comme du prosélytisme, et il a systématiquement abusé du pouvoir des Saintes Clés pour délier ce qui ne peut l’être et lier ce qui ne peut l’être.

Le Pape n’est pas le maître de l’Eglise, mais le Vicaire du Christ : il doit exercer son autorité dans les limites établies par Jésus-Christ et conformément aux fins voulues par Dieu : avant tout, le salut des âmes par la prédication de l’Evangile à toutes les créatures, et par les Sacrements.

Un Pape ne peut donc pas se considérer autorisé à « réinventer » la Papauté, à la « relire en clé synodale », à la « moderniser », à la démembrer à volonté, à en changer la Foi ou la Morale. S’il pense que la papauté lui permet de modifier l’institution qu’il préside, il se trouve par le fait même dans une situation de vice de consentement (vitium consensus) qui annule son apparente élévation au ministère pétrinien, car ce qu’il a accepté n’est pas la papauté catholique telle qu’elle a toujours été comprise depuis saint Pierre, mais plutôt une idée personnelle de la « papauté ».

C’est pourquoi je suis convaincu que le rôle subversif joué par Bergoglio – même considéré dans le contexte international plus large du coup d’État mondialiste – fait de lui un usurpateur, un antipape, un non-pape, précisément parce qu’il était parfaitement conscient de vouloir altérer la papauté en la transformant en quelque chose d’autre et en lui donnant des objectifs qui ne sont pas ceux de la papauté : du culte de l’idole Pachamama à la communion des divorcés et à la bénédiction des couples homosexuels, de l’immigration à la promotion des vaccins, de la propagande climatique à la transition de genre.

D’autre part, nous en avons la confirmation par ceux qui louent Bergoglio non pas pour avoir été un pape catholique, mais pour les empanadas de la population transgenre de Torvaianica ou pour sa chaleureuse amitié avec Emma Bonino.

5. Quel sera l’avenir de l’Église maintenant que le pape François est mort ?

La mort de Bergoglio cristallise, pour ainsi dire, une situation d’illégitimité généralisée. Sur les 136 cardinaux électeurs, 108 ont été « créés » par lui, ce qui signifie que quel que soit le pape élu lors du prochain conclave – même s’il s’agissait d’un nouveau saint Pie X – son autorité sera compromise par le fait qu’il aura été élu par de faux cardinaux, créés par un faux pape. C’est pourquoi, il y a quelque temps, j’ai demandé à mes frères dans l’épiscopat de clarifier ces aspects avant de procéder à l’élection d’un nouveau pape.

Certes, la situation est désastreuse et humainement sans solution. Toutefois, en tant qu’évêque et successeur des Apôtres, je ne peux m’empêcher de rappeler à tous que l’Église, qui est le Corps mystique du Christ, est destinée à affronter la passio Ecclesiæ à l’exemple du Seigneur. C’est précisément à partir de cette passion – où tout semblera perdu comme en ce Vendredi saint d’il y a 1 992 ans – que l’Église renaîtra, se régénérera et se purifiera.

En ces jours où nous célébrons Pâques, chaque catholique trouve dans le triomphe du Christ sur la mort et le péché les raisons de sa propre fidélité à l’Évangile. Notre Seigneur nous a dit, peu avant d’affronter sa Passion : N’ayez pas peur : Je suis vainqueur du monde.

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Dernière modification par Nathan - 56 ans il y a
L'OMS avoue une explosion de décès suite aux injections

Réseau InternationalVaxxins : L’OMS avoue que les décès covid ont explosé après la vaccination

Réseau International - 26 avr 2025

Vaccins efficaces ? L’OMS avoue que les décès Covid ont explosé après la vaccination et plus les pays étaient vaccinés plus les décès augmentaient.

   

🚨 NOUVELLE ÉTUDE – Les données de l’OMS révèlent une augmentation spectaculaire des décès dus au COVID-19 dans le monde après la vaccination de masse

📍 Les décès ont augmenté dans toutes les régions de l’OMS après le déploiement du vaccin

📍 Augmentation de 1275% des décès dans le Pacifique occidental après la vaccination de masse

📍 Les pics de mortalité les plus élevés sont observés dans les zones les plus fortement vaccinées

⚠️ La vaccination de masse contre le COVID-19 a non seulement complètement échoué, mais a considérablement aggravé la situation

De nombreux rapports sur l’impact de la vaccination sur les décès liés à la pandémie de COVID-19 étaient des projections réalisées alors que l’urgence mondiale se développait. Un nombre croissant de chercheurs indépendants ont attiré l’attention sur la nature subjective et les biais inhérents aux modèles mathématiques utilisés pour ces prévisions, qui pourraient compromettre leur exactitude lorsque la surmortalité était l’indicateur privilégié.
Objectif

Les décès dus à la COVID-19 ont été comparés entre les périodes pré-vaccinales et vaccinales afin d’observer l’impact de la vaccination sur la trajectoire des décès dus à la COVID-19 dans le monde entier pendant l’urgence pandémique.
Méthodes

Cas de COVID-19, décès et taux de vaccination dans la base de données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) jusqu’au 7 juin 2023, le taux de létalité pour 1000 pour la période pré-vaccinale (CFR1) et celui pendant la période de vaccination (CFR2) ont été comparés pour toutes les régions de l’OMS, tandis que les tests de corrélation entre le pourcentage de changement dans les décès dus au COVID-19 et les variables d’intérêt ont été examinés.
Résultats

Français Les décès dus à la COVID-19 ont augmenté avec une couverture vaccinale allant de 43,3 % (Afrique) à 1 275,0 % (Pacifique occidental). Les régions du Pacifique occidental (1,5 %) et de l’Afrique (3,8 %) ont contribué le moins aux décès cumulés mondiaux dus à la COVID-19 avant les vaccins, tandis que les Amériques (49,9 %) et l’Europe (27,6 %) ont enregistré les chiffres les plus élevés. Les Amériques (39,8 %) et l’Europe (34,1 %) ont représenté plus de 70 % des décès mondiaux dus à la COVID-19 malgré une vaccination élevée, et le pourcentage d’augmentation de la mortalité due à la COVID-19 et le pourcentage de personnes âgées de ≥ 65 ans étaient significativement corrélés (0,48) en Afrique.
Conclusion

La mortalité due à la COVID-19 a augmenté à l’ère de la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée.

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Dernière modification par Nathan - 56 ans il y a
ARNm - destruction de la glande pinéale

Aube DigitaleVaccinés à l'ARNm : la glande pinéale est complètement détruite

Aube Digitale - 22 avr 2025

Un pathologiste italien découvre que des protéines de pointe endommagent la glande pinéale, responsable de la régulation du sommeil, de l’humeur et des hormones.

   

Les personnes ayant reçu les vaccins contre le COVID-19 à ARNm pourraient présenter des sautes d’humeur et des déséquilibres hormonaux en raison des dommages causés à la glande pinéale par les protéines spike, affirme un chercheur de premier plan.

Fabio Zoffi, fondateur de Zero Spike, une organisation qui étudie la toxicité et la désintoxication des protéines spike, a décrit la découverte d’un pathologiste italien montrant que les protéines spike endommagent la glande pinéale, un organe de la taille d’un petit pois situé à l’intérieur du cerveau qui régule le sommeil, l’humeur et les hormones, provoquant ainsi des changements de personnalité erratiques chez les personnes vaccinées.

« Je voudrais ajouter un commentaire sur le changement de personnalité, la dépression et toutes ces choses », a déclaré Zoffi à un groupe de chercheurs lors d’une table ronde de la People’s Health Alliance en août 2023.

« C’est tout à fait réel. Et nous avons identifié les raisons de la théorie », a déclaré Zoffi, « et certains médecins en Italie ont, certains pathologistes ont confirmé que la protéine spike, malheureusement, attaque et détruit également le système endocrinien. C’est-à-dire les glandes qui produisent les hormones, et les hormones sont à l’origine de nos émotions, de nos sentiments et de toutes ces choses. »

Zoffi poursuit : « Un pathologiste italien de Venise a publié dans un journal que tous les cerveaux qu’il avait examinés, il avait trouvé la glande pinéale complètement détruite chez toutes les personnes qui avaient été vaccinées.

« Ainsi, la protéine spike est également très dangereuse pour le système endocrinien. C’est pourquoi les gens ont ces changements de personnalité. »

Au cours de la conversation, Zoffi a évoqué les résultats de tests de laboratoire montrant que la NAC (N-acétylcystéine) augmentée était très efficace – jusqu’à 99,8 % – pour aider à détoxifier les spike proteins.

C’est une excellente nouvelle pour tous ceux qui ont souffert de troubles de l’humeur après avoir été vaccinés, ou qui regrettent de l’avoir été.

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Dernière modification par Nathan - 56 ans il y a

Aube DigitaleL'outil Recall enregistre et indexe l’activité des utilisateurs

Aube Digitale - 20 avr 2025

Microsoft élargit son outil Recall toujours vigilant, alimenté par l’IA, qui enregistre et indexe l’activité des utilisateurs.

   

Une machine à mémoire intégrée déguisée en commodité, Recall transforme discrètement chaque moment passé sur votre clavier en un historique consultable.

L’effort renouvelé de Microsoft pour déployer Recall, une fonctionnalité de Windows 11 basée sur l’intelligence artificielle qui enregistre automatiquement l’activité de l’utilisateur toutes les quelques secondes, ravive de vives inquiétudes parmi ceux qui se concentrent sur la vie privée numérique et la sécurité personnelle.

Initialement suspendu à la suite d’une tempête de réactions négatives l’année dernière, Recall est revenu discrètement dans une version préliminaire de Windows 11 (Build 26100.3902), désormais disponible pour certains testeurs. L’outil prend des clichés de l’écran de l’utilisateur à intervalles réguliers et crée une chronologie consultable de tous les éléments, de l’utilisation des applications aux sites web visités en passant par les documents consultés. Alors que Microsoft le présente comme un outil pratique, les défenseurs de la vie privée y voient un mécanisme de surveillance déguisé.

L’entreprise affirme que l’outil est sûr. Pour accéder aux instantanés stockés, les utilisateurs doivent se connecter et s’inscrire à Windows Hello. Microsoft décrit cette fonctionnalité comme un moyen de « retrouver rapidement une application, un site web, une image ou un document en décrivant simplement son contenu ». L’entreprise précise que les utilisateurs peuvent interrompre l’enregistrement et choisir ce qui est sauvegardé.

Mais ces assurances tombent à plat pour ceux qui mettent en garde contre les conséquences plus larges. Le fait que l’option Recall soit facultative n’empêche pas l’exposition des données de personnes qui ne l’ont jamais activée. Si une personne dont le rappel est activé reçoit une photo privée, un message ou un document sensible, celui-ci sera silencieusement capturé, analysé et indexé par l’outil, quelle que soit l’intention de l’expéditeur ou les outils de protection de la vie privée utilisés.

La capacité de cette fonction à stocker et à cataloguer des données de manière aussi complète soulève une série de questions juridiques, éthiques et de sécurité. Les avocats, les gouvernements et les opérateurs de logiciels espions obtiendraient un niveau d’accès sans précédent à la vie numérique d’un utilisateur, non pas par la force brute ou l’hameçonnage, mais grâce à un outil intégré qui crée essentiellement une chronologie de l’activité de l’ordinateur.

Pour ceux qui se méfient de la pénétration croissante de l’IA dans l’informatique quotidienne, Recall est devenu un cas d’école. Les critiques l’ont décrit comme faisant partie d’une tendance plus large où les entreprises injectent des fonctions d’IA dans des plateformes existantes non pas pour servir les utilisateurs, mais pour stimuler l’engagement, la collecte de données ou le verrouillage.

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Dernière modification par Nathan - 56 ans il y a
endocrino-psychologie

Égalité et RéconciliationL’endocrino-psychologie : aux confins de la biologie et de la psyché

Égalité et Réconciliation - 19 avr 2025

Et si nos émotions et nos décisions n’étaient pas dictées uniquement par le cerveau ? Une discipline méconnue, l’endocrino-psychologie, dévoile comment nos glandes influencent en profondeur notre esprit.

   

L’endocrino-psychologie, concept développé par Jean du Chazaud à partir des travaux du Dr Jean Gautier (1891-1968) propose une lecture intégrée du fonctionnement humain, en analysant l’impact du système endocrinien sur les dynamiques psychiques et comportementales. Elle s’inscrit dans une perspective holistique, où les glandes endocrines influencent – sans déterminer – les fonctions cognitives, affectives et physiques.

Selon cette approche, le libre arbitre ne disparaît pas, mais il est conditionné par l’équilibre hormonal propre à chaque individu. Le Dr Gautier a ainsi identifié quatre grands types glandulaires, chacun corrélé à des caractéristiques psychologiques et somatiques spécifiques :

- L’hypophysaire : rationnel, réfléchi, organisé
- Le thyroïdien : sensible, vif, adaptable
- Le surrénalien : énergique, instinctif, orienté vers l’action
- Le génital interstitiel : équilibré, volontaire, altruiste

Ces profils ne sont pas exclusifs : chaque individu incarne un agencement particulier de ces quatre influences, comparables aux instruments d’un orchestre dont l’harmonie conditionne l’équilibre global.

L’endocrino-psychologie insiste sur le rôle du mode de vie dans le maintien de cet équilibre glandulaire. Ainsi, les facteurs environnementaux, émotionnels et comportementaux influencent directement la régulation hormonale, et par extension, les dynamiques de la pensée, de l’action et de la liberté intérieure.

Au Bon Sens vous propose d’approfondir la compréhension de ce subtil dialogue entre l’organique et le psychique par la lecture des ouvrages de Jean du Chazaud aux éditions Exuvie.

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Dernière modification par Nathan - 56 ans il y a
Christine Anderson - AFD

Revolution 2030 : autre sourcePolitique : Le véritable pouvoir est entre les mains de forces obscures

Revolution 2030 : autre source - 12 avr 2025

L’eurodéputée allemande Christine Anderson, du parti Afd, a récemment fait part de son point de vue sur les forces cachées qui façonnent la gouvernance mondiale. « Je ne sais pas qui est vraiment derrière tout cela », a-t-elle admis.

   

L’eurodéputée allemande Christine Anderson a récemment partagé son point de vue sur les forces cachées qui façonnent la gouvernance mondiale. « Je ne sais pas qui est vraiment derrière tout ça », a-t-elle admis :

« Ce n’est pas Ursula von der Leyen, ce n’est pas elle qui prend les décisions. Ce n’est pas Bill Gates, ni même Klaus Schwab. Ce ne sont pas eux qui prennent les décisions. Ce sont juste les visages publics, ceux qui se montrent devant les caméras et propagent ces absurdités totalitaires. »

L’eurodéputée allemande Christine Anderson a partagé son point de vue sur les forces cachées qui façonnent la gouvernance mondiale
Selon la député Anderson qui s’est fait connaître pendant la pseudo-pandémie covidesque pendant laquelle elle a combattu les mesures liberticides et les mandats de vaccination mis en place par les technocrates et gouvernements européens, le véritable pouvoir réside dans un groupe insaisissable qu’elle appelle, faute d’un terme plus approprié, les « misanthropes mondialistes » :

« Je n’ai aucune idée de qui ils sont, mais ce sont eux qui tirent les ficelles. Nos gouvernements élus ? De simples marionnettes qui font tout ce que ces figures obscures leur dictent. »

Selon elle, leur objectif ultime est clair :

« Ils veulent un gouvernement mondial unique, qui transformera nos sociétés libérales, ouvertes et démocratiques, fondées sur des individus libres, en un système collectiviste dans lequel les gens ne sont que des pièces malléables, à déplacer selon les besoins. »

Pour Mme Anderson, cette mise en place d’une gouvernance mondiale explique l’existence même de l’Union Européenne
Pour Mme Anderson, ce programme explique l’existence même de l’Union européenne.

« Regardez l’Europe, poursuit-elle. Ce petit continent, riche de sa mosaïque de cultures, de traditions, d’histoires et de langues, est fier de ses habitants. Impossible de les convaincre d’abandonner leurs États-nations et leur souveraineté au profit d’un gouvernement mondial. Ils résisteraient. L’UE a donc été créée pour servir de tremplin. »

Elle fait référence au prétexte historique en soulignant le discours des européistes :

« Oh, nous avons eu tant de guerres ici, nous devons nous unir en tant qu’Europe pour y mettre fin, disent-ils. C’est vrai, mais c’est une excuse commode. Les institutions européennes absorbent de plus en plus de pouvoir, conditionnant les Européens à accepter l’étape suivante : un gouvernement mondial à part entière. »

Christine Anderson voit cela comme une érosion progressive et délibérée de l’identité nationale et de la liberté individuelle, orchestrée par ce qu’elle appelle des « misanthropes mondialistes ». « Il ne s’agit pas de paix », conclut-elle. « C’est une question de contrôle. »

Une analyse plus que pertinente.

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Dernière modification par Nathan - 56 ans il y a
Linky for never

Le Media en 4-4-2Compteur Linky, obligatoire mais sans installation forcée

Le Media en 4-4-2 - 08 avr 2025

Comment résister en toute légalité ? Me David Guyon

   

Le compteur Linky, sujet de nombreuses polémiques, est bel et bien obligatoire. Cependant, son installation ne peut être imposée par la force. Maître David Guyon dans les subtilités de cette obligation légale qui divise.

Le compteur Linky est déployé massivement depuis 2015 sur le territoire national. Bien que son installation soit obligatoire, les citoyens ne peuvent être contraints de l’accepter chez eux. Cette nuance juridique soulève des questions sur la protection de la vie privée et la sécurité énergétique. Enedis, gestionnaire du réseau électrique, se trouve ainsi face à un dilemme : assurer la continuité énergétique tout en respectant le domicile privé.

Les opposants au Linky invoquent des raisons de santé publique et de sécurité, tandis que les partisans mettent en avant les avantages économiques et écologiques. La question reste ouverte : comment concilier obligation légale et respect des libertés individuelles ?

Le compteur Linky
Plus cher
L’investissement de 5,7 milliards d’euros a été intégralement répercuté sur la facture des consommateurs. C’est le cadeau de la France et de l’Europe à Atos et Enedis en échange de l’installation de 35 millions de compteurs Linky.
Gourmand en énergie
Les gains réels en termes d’économies d’énergie sont estimés à seulement 1 % de la consommation. Le rapport de la Cour des Comptes a estimé que le dispositif profite principalement à Enedis en raison des économies importantes sur les opérations de relève et de maintenance. Des gains estimés à plusieurs centaines de millions d’euros par an.
Polluant
Les nouveaux compteurs Linky ont nécessité l’utilisation de ressources comme des métaux rares et des composants électroniques pour leur fabrication. Leur durée de vie est estimée entre 15 et 20 ans, contre 60 ans pour les anciens compteurs électromécaniques.

par Yoann

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