Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
condamnation de pharmaciens

InsolentiaeCondamnation de pharmaciens ayant géré la pénurie de médicaments

Insolentiae - 19 mai 2025

Des pharmaciens condamnés pour avoir géré la pénurie de médicaments imposée par l’incurie du gouvernement !.

   

« Antoine Prioux et Eliza Castagné, un couple de pharmaciens basés en Corrèze, ont été condamnés à une interdiction d’exercer de six mois, dont quatre avec sursis, pour avoir délivré des médicaments à l’unité en dehors du cadre réglementaire. »

Une manière de travailler stupide et des règles crétines imposées par les « ordres » ou les ARS ou les gouvernements !

« Aujourd’hui, le modèle économique de la pharmacie est contre-productif. Plus les gens sont malades, consomment ou gaspillent des médicaments, plus on gagne d’argent », dénonce le pharmacien.
Antoine Prioux est en colère. Le pharmacien a été condamné, avec sa femme et collègue Eliza Castagné, à six mois d’interdiction d’exercer, dont quatre avec sursis, par le Conseil régional de l’Ordre des Pharmaciens de Nouvelle-Aquitaine le 30 avril. La cause ? Avoir délivré des médicaments à l’unité en dehors du cadre réglementaire.

Depuis une pénurie de Prednisolone, un dérivé de la cortisone, en 2019, le couple de pharmaciens, ayant chacun une officine en Corrèze, a choisi de recourir, dans certains cas, à une délivrance à l’unité. « Dans les pathologies aiguës, les médecins prescrivent souvent trois comprimés de Prednisolone par jour pendant trois jours. La moitié de la boîte va donc finir à la poubelle alors que je n’en reçois que trois par semaine, et donc que certains malades n’y auront pas accès. »

Pour contourner le problème, Antoine Prioux et sa femme rusent : ils découpent le blister contenant les médicaments pour ne donner que le nombre exact de cachets prescrits par le médecin. Ils conservent l’autre partie, y notent le numéro de lot et la date de péremption, puis la donnent au prochain client ayant une prescription. « Il n’y a aucun enrichissement personnel », insiste le pharmacien, qui le fait en dehors du chemin classique via la Sécu.

En 2020, le couple élargit sa technique à d’autres classes de médicaments, « mais beaucoup plus rarement », tient à préciser Antoine Prioux. « On a commencé à le faire avec les antibiotiques pour lutter contre l’antibiorésistance. Puis avec les anxiolytiques, somnifères et antalgiques opioïdes, comme le Tramadol, qui donnent lieu à des risques d’addiction ou de troubles cognitifs. »

Résister, transgresser, pour faire évoluer les choses ! « Toutes les avancées sont d’abord des formes de résistance »

« Evidemment, en ayant recours à cette combine, Antoine est en dehors des clous. Et il le sait très bien. « On revendique le fait de ne pas être dans le cadre légal mais on l’argumente. Aujourd’hui, le modèle économique de la pharmacie est contre-productif. Plus les gens sont malades, consomment ou gaspillent des médicaments, plus on gagne d’argent. On n’en peut plus de ce système. Alors on met des choses en place. Toutes les avancées sont d’abord des formes de résistance. »

La réglementation française n’autorise que dans certains cas bien précis la dispensation à l’unité des médicaments, comme les antibiotiques, notamment au gré des différentes pénuries. Dernièrement, l’ANSM a demandé aux pharmaciens de recourir à la délivrance à l’unité d’un antipsychotique, la Quétiapine, en rupture depuis février. « Cela montre bien que ça a un intérêt considérable », appuie Antoine Prioux. »

« Cette condamnation nous met en colère car ça fait des années qu’on essaie de travailler avec le Conseil de l’Ordre sur des dispositifs innovants et qu’on obtient des fins de non-recevoir. Il faut en arriver à une forme de désobéissance civile pour que tout le monde trouve la situation scandaleuse. » Le pharmacien s’étonne d’injonctions paradoxales. Alors qu’il se trouvait en chambre disciplinaire, au même moment, l’Ordre des pharmaciens relayait la campagne de l’ANSM expliquant que les Français consomment des anxiolytiques et des somnifères sur une trop longue durée.

Les « ordres » font respecter les règles… ils en sont les gardiens !

Et c’est bien le problème.

Nous sommes dans un monde qui bouge et qui va vite.

Nous sommes dans un monde devenu bien plus complexe qu’autrefois où ces ordres ont été créés.

Nos moyens évoluent à la hausse ou à la baisse. Nous produisions nos médicaments, maintenant nous importons tout ou presque, et comme nous ne voulons pas payer le prix fort, nous subissons des pénuries et des absences de livraison ! Résultat, nous manquons de tout mais nous appliquons les mêmes règles qu’autrefois.

C’est la même chose avec les médecins. Les profs demandent toujours des certificats médicaux pour justifier l’absence d’un élève et il n’y a pas de médecin. Le temps d’avoir un RDV un mois plus tard, votre gamin est soit mort soit totalement guéri ce qui est généralement heureusement le cas.

Quand vous arrivez aux urgences dans un hôpital c’est une infirmière ou un infirmier qui regarde si vous avez l’air d’un mourant urgent ou d’un mourant qui peut attendre. Cette première « orientation » vitale par nature est rarement faite par un médecin. Mais une fois enregistré, une infirmière ne peut pas décider d’une radio à faire passer à un gosse qui s’est tordu la cheville. Il faut attendre 8 heures le médecin puisqu’une blessure à la pâte n’est pas urgente… ce qui est vrai.

Bref, nous appliquons des règles de temps de prospérité à des temps de disettes !

Et cela évidemment ne fonctionne pas.

Toutes nos institutions manquent d’agilité.

De flexibilité.

Et d’une recherche systématique de la simplicité préalable à l’efficacité.

C’est pour cette raison que notre effondrement est en cours et que nous serions bien incapables de gagner une guerre contre la Russie et même contre nos propres narco-trafiquants !

Gérer les pénuries en donnant les médicaments à l’unité est une excellente idée.

Pas légale dans la législation actuelle datant des temps de prospérité mais une idée tout de même excellente.

Ce n’est pas ces pharmaciens qu’il faut condamner.

Ce sont les règles de temps de prospérité qu’il faut vite adapter aux temps de disette.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
rhume vasoconstricteurs interdits

Égalité et RéconciliationHumex, Actifed, Dolirhume... La vraie raison cachée de leur soudaine mise à l’index !

Égalité et Réconciliation - 26 oct 2023

D’aucuns lecteurs attentifs de la presse de grand chemin (dite « mainstream » en franglais) auront tiqué à la lecture d’une information qui s’est étalée en gros titre ces derniers jours et qui concernait la dangerosité nouvelle et inattendue de certains produits pharmaceutiques très courants vendus sans ordonnance depuis des décennies.

   

Certes, de nombreux courageux médecins lanceurs d’alerte ont déjà relevé depuis fort longtemps l’inutilité et même la dangerosité de nombre de médicaments. Que l’on pense aux Professeurs Philippe Even et Bernard Debré et leur Guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux qui valut la radiation du premier et la vindicte publique du second. Sans même parler de la récente crise sanitaire, dont le statisticien Pierre Chaillot rappelle qu’elle fut une pandémie de... gens testés positifs !

Ainsi donc titre la presse, reprenant probablement un communiqué AFP, lui-même probablement téléguidé depuis le sommet de l’État, nous annonçant en plein commencement des maladies ORL de l’hiver qui arrive.

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
OMS prise de pouvoir

Réseau InternationalLa prise de pouvoir de l’OMS dans le monde

Réseau International - 29 avr 2023

La nouvelle réglementation sanitaire internationale de l’OMS et le traité sur les pandémies, une tyrannie sanitaire inédite dans l’histoire de l’humanité.

   

Prise de pouvoir mondiale de l’OMS : méfiez-vous du nouveau règlement sanitaire international et du traité sur la pandémie, une tyrannie sanitaire jamais connue auparavant dans l’histoire de l’humanité.

M. Andrew Bridgen, membre du Parlement britannique, dénonce le nouveau Règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS et le Traité sur la pandémie comme une prise de pouvoir sans précédent – privant les 194 pays membres de l’OMS, le monde entier, de leur souveraineté sur les questions de santé nationale.

Le nouveau Règlement sanitaire international et le Traité sur la pandémie transféreraient le pouvoir de décider ce qu’est une pandémie et ce qui exige le statut d’urgence de santé publique de portée internationale (USPPI), et littéralement comment toute question de santé doit être traitée au directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) – soit un mandat illimité de diktat.

Le directeur général de l’OMS peut décider d’une interdiction pure et simple, accompagnée de sanctions, de l’utilisation de médicaments « interdits par l’OMS », même leur efficacité a dûment été prouvée. C’est précisément ce qui s’est passé pendant la dite pandémie COVID-19. Les médecins et les pharmaciens n’étaient pas autorisés à prescrire, recommander et vendre des médicaments efficaces contre la COVID, car l’OMS l’interdisait.

Ce pouvoir de l’OMS serait élargi en tant que loi internationale, ou plutôt en tant qu’« Ordre reposant sur des règles », le nouveau concept tyrannique choisi par l’élite, pour contourner littéralement toutes les lois nationales et internationales.

Le RSI et le Traité sur la pandémie seront tous deux soumis au vote de la prochaine Assemblée mondiale de la santé, du 21 au 30 mai 2023. Le vote est prévu le 24 mai 2023. Une majorité des deux tiers est nécessaire pour que le traité soit adopté par les 194 membres de l’Assemblée.

Regardez cette vidéo de 20 minutes de M. Andrew Bridgen, député britannique, expliquant au Parlement britannique pourquoi il faut voter contre le nouveau RSI de l’OMS et le traité sur les pandémies.

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
corps médical non réintégré ?

Égalité et RéconciliationLe syndicat des infirmiers s’oppose à la réintégration les soignants non-vaccinés

Égalité et Réconciliation - 02 avr 2023

Le 30 mars 2023, la Haute Autorité de santé (HAS) préconisait la fin de l’obligation vaccinale contre le Covid-19 pour les professionnels de santé, tout en expliquant (pour ne pas trop se dédire) que le vaccin était fortement recommandé...

   

Elle admettait néanmoins que l’épidémie de covid était à un niveau très faible. De plus, selon elle, 86 % des personnels soignants ont fait leur première dose de rappel (soit 2 doses sur 4 en tout) dans les Ehpad et 89 % chez les médecins libéraux. La réintégration souhaitée ne concernerait que 1 000 infirmiers sur 4 000 soignants non vaccinés. Le gouvernement, par la bouche du ministre François Braun, a indiqué qu’il suivra cette préconisation.

Dès le lendemain, le syndicat national des professionnels infirmiers réagissait avec virulence. Voici un extrait du communiqué du SNPI, qui s’oppose à la préconisation de la HAS de réintégrer les personnels non vax des hôpitaux et des Ehpad.

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
narratif sanitaire

Kairos MédiaDécrypter le totalitarisme sanitaire

Kairos Média - 11 déc 2022

Ariane Bilheran et Vincent Pavan sont respectivement psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie et mathématicien, maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille. Nous les avons rencontrés suite à la publication de leur ouvrage : Le débat interdit. Langage, covid et totalitarisme

   

Alexandre Penasse : Dans votre ouvrage, vous indiquez que l’épisode sanitaire repose sur deux axiomes : primo, la référence informatique de Nils Ferguson dans la modélisation de l’épidémie ; secundo, la conclusion que la seule possibilité de lutter contre la diffusion du virus consiste à diminuer le nombre de contacts. C’était le début du « narratif ». Quid de cette matrice dans laquelle on est rentré ?

Vincent Pavan : Les simulations numériques de Ferguson vont justifier la prise de décision, en particulier en France. Ferguson est un escroc introduit dans le milieu académique, qui était déjà à la manœuvre à l’OMS en 2009, au moment de la grippe H1N1. Ce fiasco était un peu une répétition générale de ce qu’on a vécu avec le covid. Une commission d’enquête nommée par le Sénat avait conclu à la fausseté de ses prédictions. À nouveau, ses fausses simulations sont allées dans le sens des décisions du gouvernement. L’épidémiologie ne se laisse pas modéliser. La complexité dans la transmission du virus nous échappe complètement et n’est pas susceptible de rentrer dans une épidémiologie « newtonienne ». Le « sans contact » ne repose sur rien. Il a été utilisé pour séparer les gens les uns des autres, imposer le masque et la « distanciation sociale », faire cette publicité atroce de l’enfant qui va embrasser sa grand-mère et l’envoie ainsi mourir à l’hôpital. Ce n’est pas un problème sanitaire mais un prétexte sanitaire.

Ariane Bilheran : Oui, la crise politique s’est manifestée par l’apologie de l’état d’exception, une notion qu’on doit au philosophe Giorgio Agamben, qui a d’ailleurs immédiatement réagi. Il nous explique que quelque chose d’anormal se passe dans les États contemporains : au nom d’une urgence réelle ou supposée, la proclamation de l’état d’exception permet de suspendre ou supprimer nos droits fondamentaux. Ceci pose deux questions : 1) A‑t-on le droit, au nom de la nécessité, de suspendre les droits humains ? La philosophie politique y a répondu par la négative. 2)Lanécessitéenétait-ellevraimentune?L’humanitéétait-elle vraiment en danger de mort ? L’état d’exception est totalitaire, comme le nazisme, qui fonctionnait par décrets mais jamais dans la logique du droit. Quand les politiques commencent à interdire le débat, la controverse et les avis divergents, nous ne sommes plus en démocratie. 

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
Documentaire : Died Suddenly

Stew PetersDocumentaire : Died Suddenly - Mort soudainement (VOSTF)

Stew Peters - 02 déc 2022

Documentaire visible sur Rumble : nécessite un VPN ou équivalent

Pourquoi ne les croyons-nous jamais ? Depuis des siècles, l'élite mondiale diffuse ses intentions de dépeupler le monde - jusqu'à les graver dans la pierre. Et pourtant... nous ne semblons jamais les croire.

Le réseau Stew Peters est fier de présenter DIED SUDDENLY, des cinéastes primés Matthew Skow et Nicholas Stumphauzer. Ils sont à l'origine de WATCH THE WATER et THESE LITTLE ONES, et présentent aujourd'hui un film accablant sur la vérité concernant le plus grand génocide de masse de l'histoire de l'humanité.

   

Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
Sébastien Recchia

Profession GendarmeMots de Sébastien Recchia en direction des vendus

Profession Gendarme - 29 nov 2022

Texte magnifique, plein de douceur et de justesse dans les mots de Sébastien Recchia en direction des vendus.

Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
pulsion de mort

MondialisationLégalisation de l’euthanasie et pulsion de mort de notre société

Mondialisation - 20 nov 2022

La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort.

   

Ne nous laissons pas instrumentaliser une énième fois pour aboutir à une décision déjà prise par le président au prétexte d’un retard sur la Belgique ou autre, pays dans lequel les dérives lourdes sont pourtant bien souvent signalées.

« L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures.Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. »

Jacques Attali

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
peur artificielle

HashtableL’absolue nécessité de la peur

Hashtable - 09 sep 2022

Alors que l’automne n’est même pas encore entamé, tout le monde semble vouloir parler déjà d’hiver. Le maître-mot de cette rentrée et des mois qui viennent sera la peur.

   

Car oui, vous n’y couperez pas : vous aurez peur de manquer de chaleur, de nourriture, de lumière. Vous aurez peur que l’Europe soit irradiée ou qu’un conflit nucléaire éclate.

Nos élites nous rappellent, par leur incroyable talent prévisionniste, que gouverner c’est prévoir, vous allez voir ce que vous allez voir.

D’ailleurs, on a vu : ayant su prévoir – avec un brio inégalé – que la France pourrait largement se passer de nucléaire grâce à sa batterie de moulins à vent et de petits panneaux solaires, nos formidables politiciens arrivent à présent et très progressivement à la conclusion que les premiers mois de 2023 pourraient être marqués par autant de tensions dans les rues qu’il n’y en aura plus aucune dans les câbles EDF.

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
OMS - le plan

Le Libre PenseurLe Plan : documentaire choc révélant que la pandémie était préparée à l’avance

Le Libre Penseur - 12 juin 2022

L’Organisation mondiale de la santé a un programme officiel pour dix ans de pandémies en cours, de 2020 à 2030. Ils peuvent déclarer une pandémie quand ils le souhaitent. Pendant les pandémies, l’OMS devient un gouvernement mondial efficace, annulant les constitutions et les lois de toutes les nations du monde.

   

Le plan est limpide. En 30 min ce documentaire vidéo explosif reprend toutes les preuves prouvant l’existence de la « plandémie » qui ont été collectées depuis le début du Covid (Sauf peut-être pour les frenchies, le fait que la loi d’urgence sanitaire a été déposé le 6 décembre 2019 par un sénateur pro-Agenda 2030), un covidiste qui ne renierait pas son culte après cela est tout bonnement irrécupérable.

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
OMS suite à l'échec fin mai 2022

The Epoch TimesL’OMS s’oriente vers de plus grandes modifications des règles mondiales

The Epoch Times - 12 juin 2022

La pression visant à renforcer le pouvoir de l’Organisation mondiale de la santé reste une menace majeure, selon les experts, pour la souveraineté nationale et l’autonomie des pays, malgré le revers essuyé lors de la 75e Assemblée mondiale de la Santé à Genève fin mai.

   

Après quelques modifications mineures du Règlement sanitaire international approuvées lors de la réunion du mois dernier, l’OMS et les gouvernements membres travaillent sur de nouveaux amendements de grande portée aux règles mondiales. Celles‑ci seront présentées en septembre.

Dans le même temps, les dirigeants de l’OMS et les gouvernements membres élaborent un nouveau traité international sur les pandémies. Cet accord international imminent, qui est encore en cours de rédaction, devrait conférer de nouveaux pouvoirs étendus à l’OMS s’il est approuvé.

« Il s’agit d’une nouvelle prise de pouvoir totalitaire de la part des CDC [centres de contrôle et de prévention des maladies], de l’OMS, de Bill Gates, de Big Pharma, de l’industrie de la guerre biologique, de la République populaire de Chine et d’autres, qui veulent imposer leur tyrannie médicale à la race humaine »

Francis Boyle, professeur de droit international à l’Université de l’Illinois

accéder à l'article