Avant de procéder à un prélèvement d’organes, les équipes médicales ont l’obligation de consulter le registre national des refus de dons d’organes.
Aujourd’hui, la plupart des CHU refuse des greffes d’organes aux non vaccinés Covid-19, ce qui est totalement inadmissible.
Lors du Live de BonSens, a été évoqué par Maitre Diane Protat le cas d’une femme [Madame X] retirée des listes d’attente de greffes de reins par le CHU de Dijon faute d’être vaccinée contre la COVID-19. Elle a saisit le Tribunal Administratif de Dijon, mais quelques jours avant l’audience, le CHU de DIJON a pris la décision de « changer ses pratiques » et l’a ré-intégrée (ainsi que d’autres patients dans la même situation) sur la liste d’attente des greffes en lui faisant signer un document indiquant qu’elle reconnaissait les dangers de ne pas être vaccinée lorsque l’on est en attente de greffe.
L’exception française, autrefois synonyme de raffinement esthétique et de finesse d’esprit, de galanterie pleine de truculence et de respect pour l’Éternel féminin, ne s’applique plus aujourd’hui qu’à signaler des monstruosités dont plus aucun pays au monde n’oserait prétendre qu’elle font sens.
Entendre l’Académie de médecine (prostituée et corrompue), le Ministre (du naufrage) de la santé prétendre que la-dite suspension se justifie « par des motifs scientifiques et éthiques » donne franchement la nausée. Sans parler du toupet obscène en ce sens d’énergumènes comme le « Pr » Philippe Juvin, lequel avait, souvenons-nous en, bruyamment loué l’étude Surgsiphere contre l’hydroxychloroquine montée par une actrice porno et associés avant d’être piteusement rétractée…
La posture française sur cette question est à la science ce que le fascisme est au respect des droits humains, le viol à l’amour ou la pédophilie à l’éducation…
Le naturopathe suisse George Della Pietra a lancé un nouveau service « SafeBlood Donation » pour fournir du sang propre et non vacciné aux patients ayant besoin de transfusions.
Étant donné que l’approvisionnement général en sang est désormais contaminé par du sang chimique « entièrement vacciné » et chargé de protéines de pointe, la demande de sang pur monte en flèche. Pietra a apparemment vu là une excellente occasion de fournir du sang pur, qui est maintenant plus demandé que jamais.
Qualifiant la campagne d’injection massive du coronavirus (Covid-19) de Wuhan de « crime du siècle », Pietra estime que les injections de covidés à ARN messager (ARNm) « contaminent » le sang et détruisent le système immunitaire.
Si une personne non vaccinée reçoit une transfusion de sang contenant de l’ARNm, des protéines de pointe et tout ce qui est contenu dans ces flacons, elle pourrait également être contaminée, d’où la création du service SafeBlood Donation.
Le Conseil national de la Refondation de Macron n'est pas le Conseil national de la Résistance. François Braun n'est pas Jean Moulin et ceux qui veulent une médecine pour qui peut payer des dépassements ne sont pas ceux qui voulaient une médecine pour tous les citoyens. L'ordre des médecins a collaboré. Il continue et la prétendue Refondation n'est qu'une destruction.
Au contraire, les cancers précoces constituent une menace croissante pour la population mondiale, selon un nouveau rapport publié cette semaine dans la revue Nature Reviews Clinical Oncology.
« Au cours des dernières décennies, l’incidence des cancers précoces, souvent définis comme des cancers diagnostiqués chez des adultes de moins de 50 ans… a augmenté dans de nombreux pays », ont constaté les auteurs de l’étude.
Si les auteurs admettent que l’accès accru aux dépistages a contribué à cette hausse, ils affirment que l’exposition précoce à des produits chimiques nocifs, parfois même in-utero, contribue probablement à l’augmentation des taux de cancer. Le coupable, selon eux, est que l’environnement humain a considérablement changé au cours du siècle dernier et que, combiné à des modifications du régime alimentaire, du mode de vie et du microbiome, la cause de cette hausse pourrait bien être la civilisation elle-même.
Les conclusions du gouvernement britannique ont été révélées dans un rapport détaillé du ministère de la Santé et des Affaires sociales du pays, intitulé "Summary of the Public Assessment Report for COVID-19 Vaccine Pfizer/BioNTech", mis à jour le 16 août. Le document a été publié par l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du gouvernement.
La section "Conclusions sur la toxicité" du rapport explique pourquoi le ministère recommande de ne pas administrer le vaccin aux femmes enceintes et allaitantes.
Comme tant d'autres, le chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital de Garches aurait pu être doucettement infâme et se complaire dans un silence prudent, alors qu'il savait que notre pays faisait fausse route et que la pandémie de Covid-19 était gérée à rebours du bon sens, en laissant les médecins traitants au bord du chemin et en remisant au placard les vieux traitements, "pas assez chers, pas assez chics", au profit de prétendus vaccins, pourtant en phase expérimentale, néanmoins utilisés à très grande échelle, sans même prendre en compte les effets indésirables et les décès qu'ils engendraient.
Mais voilà ! Le professeur Perronne n'était pas simplement un praticien et un enseignant. Il était aussi, il était surtout l'homme qui avait géré les crises sanitaires sous trois présidents de la République successifs : Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande. Décidant de peser dans le débat public, il pouvait même caresser l'espoir d'être entendu.
Nous avions convenu dans un précédent entretien avec Vincent Pavan, président de cette seconde association, que nous suivrons leur méthode afin de comprendre en quoi leur message « Un accident cardiovasculaire pour 100 injections (ou myocardite, péricardite, angio-œdème…). La santé de nos enfants vaut plus que des vaccins expérimentaux » est pertinent. Également membre du Conseil scientifique indépendant, Emmanuelle Darles l'accompagne pour détailler leur calcul à l’occasion de ce débriefing.
Certains professionnels de santé s'indignent que de tels panneaux puissent être visibles en pleine rue.
Le message est sans ambiguïté : les vaccins contre le Covid seraient dangereux. Un message qui s'affiche sur environ neuf panneaux différents à Toulouse. C'est la mairie qui avance ce chiffre, d'après plusieurs remontées de terrain. France Bleu Occitanie est en mesure de confirmer l'existence de deux d'entre eux. Le premier est apparu dès le mois de juillet, sur le boulevard de l'Embouchure, aux Minimes, près du commissariat central. Un autre est visible depuis peu dans le quartier des Trois Cocus.
Des agents de police dans des véhicules d’intervention armés, formés aux premiers secours et aux défibrillateurs, sont utilisés pour transporter les patients victimes d’un arrêt cardiaque à l’hôpital, car les ambulances sont « incapables de faire face » à la demande.
Bienvenue en Grande-Bretagne 2022 !
Maintenant que la saison des plages est à nos portes, un nouveau phénomène déchirant se produit : des vacanciers en bonne santé meurent d’une « urgence médicale » soudaine et inattendue.
Dans le monde entier, des plagistes s’effondrent en marchant sur la plage ou en se baignant. Beaucoup d’entre eux font des arrêts cardiaques et meurent. Le blogueur Tom Stahl rapporte : « Début juillet, en seulement 24 heures, au moins 11 vacanciers sont tombés morts sur des plages italiennes. » Combien d’autres cas se sont produits qui n’ont pas été rapportés dans les journaux ?