En effet, dans une publication YouTube, celui qui a été révoqué par le ministre de l’intérieur, explique qu’une jeune policière prénommée Alexia s’est suicidée. On aperçoit alors une jeune femme qui se filme avant son passage à l’acte et donne des explications sur son choix de mettre fin à ses jours.
Face à cette problématique, plusieurs associations se mobilisent pour lutter contre le fléau des suicides dans la police nationale, dont SOS Policiers en Détresse (PEPS-SOS), Assopol, Alerte police en souffrance (APS), et l’Amicale de la Police Nationale, qui propose également un “réseau d’écoute et de soutien”. Ensemble, ces initiatives visent à apporter un soutien essentiel aux policiers confrontés à des difficultés psychologiques.
Si vous ou l’un de vos proches éprouvez des pensées suicidaires, n’hésitez pas à contacter le 3114, le numéro national de prévention du suicide, opérationnel 24h/24, 7j/7, où des professionnels sont à l’écoute.
Les fonctionnaires de police victimes d’agressions ou de menaces peuvent également bénéficier d’une ligne d’écoute dédiée au 0800 95 00 17, accessible tous les jours de 5 heures à 23 heures. Pour un soutien psychologique continu, une cellule d’assistance est disponible 24h/24 au 0805 230 405. Il est important de souligner que ces services garantissent l’anonymat, la confidentialité et sont entièrement gratuits.
Il y a un danger croissant de la pratique de l’euthanasie chez les jeunes, comme le montre le cas récent d’Olympe, une jeune femme atteinte de troubles de la personnalité et de psychiatrie qui a annoncé sa décision de mettre fin à ses jours par suicide assisté. Elle a expliqué être fatiguée de vivre avec ses troubles mentaux et son passé difficile, mais cette décision soulève des questions sur l’état de notre société et les options de soins disponibles pour les personnes atteintes de troubles mentaux graves.
Dans un récent épisode de CHD.TV intitulé « Good Morning CHD », trois médecins canadiens – les docteurs Charles Hoffe et Stephen Malthouse et Chris Shaw, Ph. – ont discuté de la normalisation inquiétante au Canada, depuis 2016, de l’ « assistance médicale à mourir » (« AMM ») et de l’approbation peut-être imminente par leur gouvernement de cette pratique pour les « mineurs matures » qui demandent la mort sans que les parents soient informés ou consentants.
« Le suicide assisté par un médecin », « le suicide assisté », « l’aide à mourir » et l’euthanasie – chacun ayant des connotations juridiques légèrement différentes – font tous référence à des interventions médicales visant à accélérer la mort, la principale distinction étant « qui accomplit l’acte final et fatal ».
Et c’est tellement vrai, tellement évident qu’une récente tribune du Monde revient sur ce qui est maintenant un but affiché de l’écologie de combat, à savoir la réduction active de l’Humanité.
Peu importe que les dernières projections raisonnables montrent une réduction naturelle drastique (plus de 50%) de la population d’ici 2100 ; pour les activistes malthusiens du climat, pas de doute : éliminer rapidement une partie de la population constituerait une vraie solution pour lutter contre un réchauffement climatique qu’ils continuent de voir dans des phénomènes disparates et à l’aune de prophéties plus ou moins catastrophistes pourtant régulièrement repoussées (nous devions tous mourir brûlés ou noyés en 2000, puis 2010, puis 2020 puis … bientôt, promis juré craché).
Et pourtant le monde continue, regardant, mais aveugle, écoutant, mais sourd, prenant le silence pour du confort, les flammes qui avancent pour un avenir radieux.
Sur l’île néerlandaise de Texel, qui se trouve à l’extrémité sud d’une ligne d’îles séparant la mer des Wadden de la mer du Nord, une importante colonie de reproduction d’oiseaux marins appelés sternes de Sandwich (« grandes sternes » en néerlandais) a fait la une des journaux le mois dernier en mourant. Sur les 7 000 oiseaux qui nichaient dans la réserve naturelle de De Petten jusqu’à la fin mai, il n’en restait plus aucun à la mi-juin. 3 000 cadavres d’oiseaux ont été collectés, les autres étant morts ou ayant abandonné leur nid.
Super interview de Julien, un Gendarme qui nous racontera quel est le ressenti a l’intérieur de la Gendarmerie actuellement et :
- quelle est sa situation professionnelle.
- son point de vue sur la violence policière au sein des manifestations pacifique .
- des petits conseils pour les citoyens pour s’approcher aux policiers et gendarmes.
Ne manquez pas cette interview et partager-là autour de vous.