Joe Biden a fait ces remarques lors d’une apparition dans l’émission 60 Minutes dimanche.
Ce n’est pas la première fois que la déclaration de M. Biden ne semble pas avoir été planifiée, et la Maison Blanche s’est précipitée pour limiter les dégâts.
À la grande surprise de tous, l’administration refuse de renoncer aux pouvoirs qu’elle s’est octroyés en imposant une urgence de santé publique, qui ne sera pas levée.
« Nous avons toujours un problème avec le Covid. Nous y travaillons encore beaucoup. C’est – mais la pandémie est terminée »
Un nombre inquiétant de nouveaux-nés sans système immunitaire aux virus respiratoires se retrouvent en unité de soins intensifs. Selon certains médecins, les bébés nés durant la pandémie de Covid-19 nécessitent des soins intensifs puisqu’ils sont "confrontés à des virus qu’ils n’avaient jamais rencontrés auparavant", comme la grippe, la covid ou le VRS.
Le plan est limpide. En 30 min ce documentaire vidéo explosif reprend toutes les preuves prouvant l’existence de la « plandémie » qui ont été collectées depuis le début du Covid (Sauf peut-être pour les frenchies, le fait que la loi d’urgence sanitaire a été déposé le 6 décembre 2019 par un sénateur pro-Agenda 2030), un covidiste qui ne renierait pas son culte après cela est tout bonnement irrécupérable.
Le 28 mai, jour de clôture de la 75e Assemblée mondiale de la santé, grand-messe annuelle qui a rassemblé à partir du 22 mai les 194 États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à Genève en vue de décider de sa politique, l'Alliance internationale pour la justice et la démocratie a organisé au Club de la presse de Genève une conférence de presse intitulée "La centralisation du pouvoir dans les mains de l'OMS menace la démocratie".
Retransmise sur le site Internet de l’association Children’s Health Defense, fondée par l’avocat Robert Kennedy Jr., l’objectif de l’évènement visait à sonner l’alerte sur les amendements au règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS proposés par Washington, pour l’instant rejetés, et sur le "traité sur les pandémies" en cours d’élaboration par l’institution.
Selon Smith, la pandémie a déjà fait progresser les réglementations technocratiques au détriment de la démocratie. Au cours des deux dernières années, les applications de suivi créées par les gouvernements, la recherche des contacts, les mouvements contrôlés, les passeports vaccinaux, ainsi que les restrictions et les pressions exercées sur les personnes non vaccinées ont compromis la liberté partout dans le monde, dit-il.
Les causes de cette hausse des prix, et des pénuries, sont multiples : grèves, manques de personnel, mauvaises récoltes, etc. Les produits principalement concernés sont notamment le poulet, le blé et le café. Aux États-unis, des témoignages se rependent.
Cette commission a été mise en place par l’European Forum for Vaccine Vigilance, des scientifiques, avocats, intellectuels, professionnels de santé, fonctionnaires et citoyens. Ils ont adopté à l’unanimité la création d’une Commission d’Enquête Citoyenne Internationale à Paris et téléconférence lors de la 1ère réunion du Conseil scientifique international et français d’évaluation de la politique COVID-19. Découvrez en plus ici.
Il fait référence à un document, un rapport publié par la Fondation Rockefeller en 2010. Le document original, en anglais, est accessible ici. Une partie en a été traduite, elle est disponible ici.
L'article se base sur les dires de M. Andoh et est étayé par la réflexion de son auteur. Il est également question d'un tas d'autres virus : HPV, Ebola, Zika, HIV...
Un virus plutôt fébrile, des fabricants de vaccins incompétents, des politiciens menteurs qui changent d'avis comme de chemise, une escroquerie intellectuelle sur l'immunité collective, des clusters de vaccinés, l'inutile et dangereuse vaccination des enfants...
Vous découvrirez une vidéo et des citations de passager qui ont été détenus contre leur gré et sans raisons : certains étaient négatifs aux tests covid-19 !
« Auschwitz, c'est une chose impossible mais qui a eu lieu : une invraisemblable vérité. »
Le SPI-B fournit des conseils indépendants et spécialisés en matière de sciences comportementales au Groupe de conseil scientifique pour les urgences (SAGE), qui conseille à son tour les ministres et les fonctionnaires de l'ensemble du gouvernement. Ces conseils visent à anticiper et à aider les gens à adhérer aux interventions recommandées par les experts médicaux ou épidémiologiques. (Enfin normalement !)
« La peur était nécessaire pour encourager la conformité, et des décisions ont été prises sur la façon d'augmenter la peur. La façon dont nous avons utilisé la peur est dystopique. »