En prévision d’une déclaration prochaine pour une nouvelle fausse pandémie, il était nécessaire de neutraliser les trouble-fête désormais identifiés à l’occasion de la première fausse pandémie à but essentiellement génocidaire. La chasse aux sorciers et aux sorcières était officiellement ouverte contre les Pr Didier Raoult, les Alexandra Henrion-Caude, les Pr Christian Perronne, les Dr Louis Fouché, les Dr Nicole et Gérard Delépine, les Jean-Marc Sabatier, les Pierre Chaillot, les Michel Jean-Dominique et tous les autres qui ont été la voix de l’honnêteté médicale et scientifique.
Des cohortes de fonctionnaires disciplinés et nécessairement décérébrés allaient ainsi débarquer à l’IHU de Marseille avec tambours et trompettes pour une « perquisition » spectaculaire à grand renfort de propagandes sur les médias inféodés au système. Il fallait d’urgence traîner dans la boue, la réputation du Pr Didier Raoult, déployer à tout prix la diffamation, décrédibiliser pour de bon la parole dissidente de ce scientifique et de tous ceux qui le soutiennent, car la proclamation imminente d’une nouvelle fausse pandémie devait obtenir cette fois-ci le résultat escompté.
Pour le programme génocidaire de l’OMS, il n’était plus acceptable que des gens comme Didier Raoult puissent encore avoir le droit à la parole et qu’ils puissent une nouvelle fois être à l’origine d’une résistance qui a empêché les salauds, les ordures et les pervers au pouvoir, d’obtenir ce qu’ils voulaient : un génocide suffisant, satisfaisant, efficace sur les populations maintenues dans un dressage et la croyance au narratif innocent de l’Agenda 2030 (programme pour la dépopulation)…
Prise de pouvoir mondiale de l’OMS : méfiez-vous du nouveau règlement sanitaire international et du traité sur la pandémie, une tyrannie sanitaire jamais connue auparavant dans l’histoire de l’humanité.
M. Andrew Bridgen, membre du Parlement britannique, dénonce le nouveau Règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS et le Traité sur la pandémie comme une prise de pouvoir sans précédent – privant les 194 pays membres de l’OMS, le monde entier, de leur souveraineté sur les questions de santé nationale.
Le nouveau Règlement sanitaire international et le Traité sur la pandémie transféreraient le pouvoir de décider ce qu’est une pandémie et ce qui exige le statut d’urgence de santé publique de portée internationale (USPPI), et littéralement comment toute question de santé doit être traitée au directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) – soit un mandat illimité de diktat.
Le directeur général de l’OMS peut décider d’une interdiction pure et simple, accompagnée de sanctions, de l’utilisation de médicaments « interdits par l’OMS », même leur efficacité a dûment été prouvée. C’est précisément ce qui s’est passé pendant la dite pandémie COVID-19. Les médecins et les pharmaciens n’étaient pas autorisés à prescrire, recommander et vendre des médicaments efficaces contre la COVID, car l’OMS l’interdisait.
Ce pouvoir de l’OMS serait élargi en tant que loi internationale, ou plutôt en tant qu’« Ordre reposant sur des règles », le nouveau concept tyrannique choisi par l’élite, pour contourner littéralement toutes les lois nationales et internationales.
Le RSI et le Traité sur la pandémie seront tous deux soumis au vote de la prochaine Assemblée mondiale de la santé, du 21 au 30 mai 2023. Le vote est prévu le 24 mai 2023. Une majorité des deux tiers est nécessaire pour que le traité soit adopté par les 194 membres de l’Assemblée.
Regardez cette vidéo de 20 minutes de M. Andrew Bridgen, député britannique, expliquant au Parlement britannique pourquoi il faut voter contre le nouveau RSI de l’OMS et le traité sur les pandémies.
Des messages WhatsApp privés publiés ces derniers jours montrent comment des responsables britanniques de la santé, dont l’ancien ministre de la santé Matt Hancock, ont pris des décisions concernant la COVID-19 en se fondant sur l’opportunisme politique plutôt que sur la science, comme l’ont prétendu publiquement les responsables de la santé.
Les messages « soulèvent de nouvelles questions vitales sur la gestion de la pandémie à l’approche d’une enquête publique sur la réponse à la COVID-19 »et révèlent « des détails dévastateurs sur la réponse à la pandémie qui étaient restés secrets jusqu’à présent », selon The Telegraph, qui a obtenu l’archive de plus de 100 000 messages de – surnommés« The Lockdown Files » [Les dossiers de confinement]– de la journaliste Isabel Oakeshott..
Mme Oakeshott est coauteure du livre de M. Hancock intitulé « Pandemic Diaries: The Inside Story of Britain’s Battle Against COVID ».
M. Hancock a été le premier membre du gouvernement britannique à annoncer un confinement, dans des déclarations faites le 16 mars 2020, sur la base des conseils du groupe consultatif scientifique pour les situations d’urgence [Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE)]. Le confinement a officiellement commencé une semaine plus tard.
Les messages révèlent comment les fonctionnaires ont pris de manière informelle des décisions concernant les confinements, les mandats de port de masques, la distanciation sociale et l’isolement, les quarantaines, la distribution de vaccins et une foule d’autres questions liées à la COVID-19, et comment ces décisions ont été motivées par des considérations politiques.
Il y est stipulé que « les mesures sanitaires ne sont autorisées que dans le respect des droits de l’homme en vigueur, de la dignité et des libertés fondamentales des personnes ». Or, on s’efforce aujourd’hui de supprimer cette formulation.
« L’OMS et la Suisse – quelle suite ? » C’est sous ce titre qu’une manifestation organisée par Urs Hans de « Public Eye on Science » a eu lieu le 13 janvier 2023 à Turbenthal dans le canton de Zurich. Dans la première conférence, Astrid Stuckelberger, ancienne collaboratrice de l’OMS, a présenté les principales questions fondamentales relatives à la pandémie dite de « Covid ». Ensuite, l’avocat zurichois Philipp Kruse a résumé les événements depuis 2020. Il a remis en question les mesures relevées depuis le début de leur déclaration, par exemple : sur quelles bases la pandémie s’appuie-t-elle ? Quels ont été les effets des mesures prises ?
Kruse se penche ensuite sur l’OMS, une organisation privée dont le siège est à Genève. Celle-ci publie ce qu’on appelle le « Règlement sanitaire international », auquel la plupart des États se sont conformés. Dans sa version actuelle, les mesures ne sont par exemple autorisées que dans le respect des droits de l’homme en vigueur, de la dignité et des libertés fondamentales des personnes. Or il est aujourd’hui envisagé de supprimer, entre autres, cette formulation. Qu’est-ce qui se cache derrière ces propositions d’amendement ?
Quelles en seraient les conséquences ?
Ce ne sont pas les médias ni européens ni français qui auraient intenté une telle action.
Cela en dit d’ailleurs plus long que tous les discours sur la réalité de la démocratie en Europe et sur la transparence des institutions européennes.
Si je suis en lutte contre la Commission de Bruxelles, ce n’est pas parce que j’ai en moi un sentiment profondément anti-européen, mais parce que l’Europe telle qu’elle est conçue ne peut que nous mener à la négation des droits des peuples et à une immense corruption puisque la Commission Européenne, c’est LE lieu des arrangements entre amis, loin, très loin de contrepouvoirs démocratiques et judiciaires pourtant tellement nécessaires.
L’Union Européenne, c’est la création volontaire d’une immense lessiveuse au service de quelques puissants non élus et contre les peuples.
L’Europe de Bruxelles, en ce sens n’est plus synonyme de paix, ni de prospérité, et cela commence sacrément à se voir.
La requête du New York Times, le premier média à révéler l’affaire des SMS en avril 2021, a été déposée le 25 janvier, mais est seulement visible depuis lundi (13 février) sur le registre public de la Cour de justice des Communautés européennes.
À mesure que la 5G se déploie sans consultation en France et dans le monde, avec une multiplication des antennes-relais et des satellites, et une croissance exponentielle de l'utilisation d'objets connectés, il est important de se demander comment cet electrosmog peut affecter notre santé.
Basé sur son parcours personnel en tant qu’ingénieur devenu électro-hypersensible, Anthony partage les résultats de ses recherches sur les effets potentiellement négatifs souvent ignorés des ondes électromagnétiques, allant du courant électrique alternatif aux antennes-relais de la 5G, en passant par la radio, les radars, les satellites, la 2G/3G/4G, le Linky, la Wi-Fi, etc. Les ondes électromagnétiques peuvent présenter un risque pour la santé des EHS, mais aussi pour tous les êtres vivants.
Les corps sont entreposés dans une cour de sablage du Conseil alors que les morgues des hôpitaux atteignent leur pleine capacité. Le groupe frigorifique, niché dans un coin du site, est gardé 24h/24.
Des véhicules hospitaliers ont été vus livrer et récupérer les morts à l’hôpital le plus proche, situé à 15 minutes en voiture à Salisbury, dans le Wiltshire. Deux autres unités ont été installées au Royal Liverpool Hospital.
Des morgues temporaires – généralement à l’intérieur de conteneurs d’expédition de 40 pieds et contenant chacune environ 35 corps – ont été vues pour la dernière fois au plus fort de la pandémie, alors qu’il y avait au moins 1000 décès par jour. Bien que, pas à ce rythme, des chiffres sombres ont montré que la semaine de Noël était la plus meurtrière en Angleterre et au Pays de Galles depuis près de deux ans.
Il y a eu plus de 1600 décès au-dessus de la norme, car le temps froid, la recrudescence des infections grippales, les longues attentes pour les ambulances devant gérer les accidents et les urgences, se sont combinés pour augmenter les taux de mortalité d’un cinquième.
C’était la troisième semaine consécutive qu’il y avait plus de 1000 décès supplémentaires en Angleterre et au Pays de Galles. Le Royal College of Emergency Medicine a affirmé que la flambée des décès était sans aucun doute liée à des retards record pour les soins d’urgence. Il disait : « Si vous ne pouvez pas amener une ambulance à quelqu’un qui a une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral, certains de ces patients pourraient en mourir. »
Vous souvenez-vous quand les dirigeants mondiaux parlaient de peur d’une « pandémie de non-vaccinés » et que l’année dernière, il y aurait eu un hiver horrible pour eux ?
Eh bien, il semble maintenant que l’OPPOSÉ se produise. Les vaccinés sont ceux qui s’infectent et meurent du covid. Et pas seulement cela, nous constatons des niveaux élevés de surmortalité qui semblent sans rapport avec le covid.
Il y a de nouvelles données en provenance d’Australie qui sont vraiment une bombe, prouvant que les vaccins sont au mieux absolument inutiles. En fait, ils semblent être négatifs.
100% des patients hospitalisés pour Covid étaient vaccinés
Notez ceci, 100% des personnes hospitalisées pour covid en NSW Australie (New South Wales, État du sud-est de l’Australie), ont été vaccinées. C’est exact. Les non vaccinés représentaient 0% des personnes hospitalisées pour covid. Pas une seule personne non vaccinée n’a été hospitalisée.
Vous vous souvenez quand ils ont dit que les injections d’ARNm empêcheraient les gens d’être hospitalisés ? Eh bien, comme pour tout ce qu’ils ont dit, il s’avère que c’était un mensonge. Pire encore, il semble que plus les gens ont eu de rappels, plus ils sont hospitalisés.
Ce projet avance. Nous publions aujourd'hui la version "conceptuelle" de ce texte, qui doit entrer en négociation avec les Etats à partir de février 2023.
Ce texte d’une grosse trentaine de pages devrait donc être discuté, si l’on en croit l’OMS, en février 2023.
On notera qu’il pose quelques principes très mondialistes.
En voici le contenu...
Il y a actuellement une pandémie électrohypersensible. En France par exemple on est à peu près à 5% d'électrosensibles en France et ce pourcentage ne fait que croître ce qui représente plusieurs millions d'individus qui sont intolérants à des basses intensités de champs électromagnétiques. Et c'est la même chose au niveau du monde c'est des centaines de millions d'électrohypersensibles dans le monde.
18 septembre 2022, le président américain, Joe Biden, a déclaré sur CBS : « la pandémie est terminée » au grand dam des commentateurs des médias complices de la propagande terrorisante du gouvernement depuis plus de 30 mois. Les fabricants de vaccins ont immédiatement perdu 9 milliards de dollars avec la chute de 9% de la valeur marchande de leurs actions.
Il n’y avait aucune raison médicale objective de se faire injecter ces médicaments préventifs abusivement présentés fallacieusement comme « vaccin » et mis sur le marché trop rapidement alors que leurs essais n’étaient pas terminés (ils le seront peut-être en 2023).
Maintenant que ces pseudo vaccins se sont révélés inefficaces tant pour la protection individuelle (vacciné, vous n’êtes pas protégé !) que pour la prévention de la transmission (vacciné, vous pouvez quand même contaminer vos proches) et potentiellement dangereux et que l’épidémie est terminée, il est scandaleux de continuer à promouvoir ces injections expérimentales inutiles dont la balance avantages/risques penche indiscutablement du côté des risques.