Est-il possible d'évoquer un effondrement des naissances ? Peut-on constater des signes inquiétants à propos de décès concernant les nouveaux-nés en Europe ? Réponses, données et statistiques à l'appui.
L’Europe a un problème de fertilité. La cohérence des données est stupéfiante. Partout où nous disposons de données sur les naissances mois par mois, il manque de nombreux bébés depuis le début de l’année 2022. Tout se passe comme si les femmes avaient été rendues malades à partir de la moitié de l’année 2021, bloquant leur fertilité de manière suffisamment massive pour se répercuter dans les statistiques de naissances. Heureusement qu’il a suffisamment été répété que la vaccination est sûre et efficace, sinon il ne fait aucun doute que des journalistes ou instituts auraient fini par se poser des questions, voire même, étudier un peu les données disponibles. Mais puisque la vaccination est sûre et efficace, nous pouvons sans risque étudier les données à notre disposition.
Si on se place dans un exemple complètement fictif, où de nombreuses femmes se feraient injecter une substance nocive, on devrait observer plusieurs phénomènes. Tout d’abord, il y aurait de fortes chances d’observer un pic de naissances au moment de l’injection des femmes enceintes à partir de leur 3ème trimestre. Le fait d’être malade peut engendrer des accouchements prématurés. La prématurité est une des premières causes de mortalité infantile. Il n’existe pas de statistiques en ligne sur la prématurité. En revanche, l'étude de la mortalité infantile peut donner des indices permettant de savoir si quelque chose d’anormal se passe au moment de l’accouchement. Une fois passé ce pic de naissances, on s’attend à un effondrement de la natalité. Les femmes malades perdent leur fécondité. Cette perte de fécondité est visible par le dérèglement des menstruations. Il peut s’agir d’une perte totale ou partielle des règles, ou inversement d’une surabondance des pertes de sang. Une fois cela en tête, il convient d’étudier ce qui se passe au sein des pays permettant l’accès aux données.
Des tests controversés menés dans un hôpital d’une petite ville du Kenya permettent de progresser dans la mise au point d’un programme de gestion biométrique de la vaccination des nouveau-nés.
La nouvelle méthode vise à ce que, dès qu’un enfant naît et reçoit son premier vaccin, un balayage biométrique de quatre de ses doigts soit effectué. En plus des empreintes digitales des bébés, les données biométriques de la voix de leurs soignants sont également recueillies.
L’objectif est de contrôler les identités et de gérer les antécédents en matière de vaccination, ont indiqué les responsables du projet, précisant que le système est censé être utilisé pendant les 24 premiers mois de la vie des bébés et suivre l’administration de huit vaccins et d’un complément.
Les empreintes digitales et les données vocales seront ensuite prétendument supprimées, a promis le groupe qui développe le système biométrique.
La société d’authentification biométrique NEC, l’Institut de recherche médicale du Kenya (KEMRI) et l’université japonaise de Nagasaki se sont associés en 2019 pour développer le programme, qui fait actuellement l’objet d’essais cliniques à l’hôpital du sous-comté de Kinango, à Kwale, au Kenya.
Les essais, qui ont débuté en septembre et devraient durer jusqu’en mars, ont concerné un total de 1 000 nouveau-nés et leurs soignants. Même si les essais ne sont pas terminés, les premiers résultats arrivent maintenant, que les trois partenaires décrivent comme « très encourageants ».
Natalité : « Une baisse significative des naissances caractérise le premier semestre 2022. Dans 15 pays, cette baisse est supérieure à 4%, et dans 7 pays, supérieure à 10%. »
Est-elle liée aux campagnes de vaccination covid ? « Une corrélation négative significative entre la baisse des taux de natalité et la fréquence des vaccinations est constatée dans 14 des 18 pays ». Attention : rho de Spearman = basé sur le rang, pas sur les données chiffrées.
Le cas de la Suisse est l’une des plus spectaculaires. La baisse de la natalité y est massive, et intervient dans une période qui correspond très bien à la vaccination des femmes en âge de procréer avec un décalage de 9 mois.
Un nombre inquiétant de nouveaux-nés sans système immunitaire aux virus respiratoires se retrouvent en unité de soins intensifs. Selon certains médecins, les bébés nés durant la pandémie de Covid-19 nécessitent des soins intensifs puisqu’ils sont "confrontés à des virus qu’ils n’avaient jamais rencontrés auparavant", comme la grippe, la covid ou le VRS.