Des cas de thromboses et de CIVD (coagulation intra vasculaire disséminée) ont été détectés avec l’analyse de sang et le taux de D Dimères de certains vaccinés.
L’homéostasie correspond à la capacité d’un système à maintenir l’équilibre de son milieu intérieur, sauf si un élément extérieur vient le perturber.
Dans certains cas, une perturbation du milieu intérieur a crée l’apparition d’un cancer avec des composants de la MEC dérégulés observables au cours de la progression tumorale.
La fibronectine est l’un de ces composants du matrisome tumoral. Ce grand dimère glycoprotéique à domaines multiples, exprimé dans un large éventail de cancers humains, est assemblé par des forces cellulaires en un réseau fibrillaire qui fournit un échafaudage obligatoire pour le dépôt d’autres protéines matricielles et des sites de liaison pour la fonctionnalisation par des facteurs solubles dans le microenvironnement tumoral.
Les D-dimères sont des fragments de fibrine, principale composante des caillots sanguins. Les D-dimères apparaissent dans le sang quand des caillots se dissolvent.
Les conditions pouvant entraîner des taux élevés de fibrine et de D-dimères sont :
phlébites
thromboses artérielles
AVC
coagulation intravasculaire disséminée (formation anormale d’un grand nombre de petits caillots)
infarctus du myocarde, grossesse, maladie du foie, etc.
Ces pathologies concernent les effets secondaires de la vaccination constatés sur le site Eudravigilance. L’Agence européenne des médicaments est responsable de la coordination du système EudraVigilance, conçu pour la notification des effets indésirables.
(Les obligations en matière de notification des différentes parties prenantes sont définies dans la législation de l’UE, notamment le règlement (CE) n° 726/2004, la directive 2001/83/CE telle que modifiée, la directive 2001/20/CE et le règlement (UE) 536/2014 du Parlement européen et du Conseil du 16 avril 2014 relatif aux essais cliniques de médicaments à usage humain et abrogeant la directive 2001/20/CE)
La fibronectine est une glycoprotéine, sa particularité essentielle est de former des complexes moléculaires avec le collagène, le fibrinogène et la fibrine. La fibronectine intervient dans l’adhésion des cellules entre elles. En présence d’un virus oncogène, les cellules transformées perdent la propriété de sécréter la fibronectine, ce qui favoriserait la tendance invasive des cellules. (Les virus oncogènes sont des virus ayant la capacité de rendre cancéreuse la cellule qu’ils infectent)
Il est très facile d’attribuer au virus Sars Cov 2 la responsabilité des cancers en expliquant que la « tempête de cytokines » ouvre la voie à l’émergence de cellules souches cancéreuses dans les organes cibles. En même temps, il faut considérer que la protéine spike du vaccin est peut être responsable des même effets, étant donné que l’infection par le SRAS-CoV-2 se produit dans plusieurs organes et que des cellules souches cancéreuses se développent dans plusieurs organes.
Il existe sept virus qui induisent des tumeurs. Il s’agit du papillomavirus humain, des virus de l’hépatite B et C, des gamma-herpès virus (Epstein-Barr), du polyomavirus des cellules de Merkel et du virus de la leucémie humaine à lymphocytes.
Les fabricants de trois médicaments populaires pour la perte de poids, qui présentent tous des risques connus pour la santé physique et mentale, ont annoncé la semaine dernière qu’ils testaient ces produits sur des enfants dès l’âge de 6 ans.
Novo Nordisk, fabricant d’Ozempic et de Wegovy, et Eli Lilly, fabricant de Mounjaro, ont obtenu l’autorisation de mise sur le marché de ces médicaments aux États-Unis et dans l’Union européenne (UE) pour les personnes âgées de 12 ans et plus.
Novo Nordisk aurait déjà entamé des essais de phase 3 sur des enfants de 6 à 12 ans, en testant son produit Saxenda, une version plus ancienne et moins puissante de ses médicaments les plus vendus. Eli Lilly a commencé à recruter des enfants pour ses essais la semaine dernière.
Un porte-parole d’Eli Lilly a déclaré à Bloomberg : “Nous nous engageons certainement à innover dans ce domaine pour répondre aux besoins de tous les segments de la population qui sont touchés”.
Vous découvrirez à travers cette vidéo les aspects historiques et scientifiques qui attestent de la cohérence de cette approche. Rejeté de notre arsenal de soin, elle a depuis retrouvé ses lettres de noblesse et un nombre croissant de personnes l'utilisent pour recouvrer sa forme physique et son bien-être, en particulier pour le traitement d'un grand nombre de maladies chroniques.
Ces patients fabriquaient, inspectaient, réparaient ou utilisaient des équipements à micro-ondes. Certains travaillaient dans des installations radar, d’autres pour des stations de radio ou de télévision, ou des compagnies de téléphone. D’autres encore faisaient fonctionner des appareils de chauffage et d’étanchéité à radiofréquence utilisés dans un nombre croissant d’industries à l’aide de la technologie mise au point pendant la Seconde Guerre mondiale.
Arthur Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner les prétentions gouvernementales et industrielles concernant la soi-disant innocuité des champs électromagnétiques.
Des études suggèrent un lien entre une maladie à prions incurable et mortelle, connue sous le nom de maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), et les vaccins COVID-19.
Les chercheurs pensent que la région prion de la protéine spike de la variante originale Wuhan COVID-19 a été incorporée dans des vaccins à ARNm et des vaccins à vecteur adénovirus – administrés à des centaines de millions d’humains – et qu’elle peut provoquer un nouveau type de MCJ sporadique à progression rapide.
L’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par le Dr Anthony Fauci, a versé l’an dernier 9,8 millions de dollars à des chercheurs gouvernementaux pour tester un traitement contre la variole du singe, selon le National Pulse.
Selon les National Institutes for Health (NIH), qui supervisent le NIAID, la recherche a commencé le 28 septembre 2020 et se terminera le 27 septembre 2025. Son objectif est de réaliser un “essai randomisé, contrôlé par placebo, sur la sécurité et l’efficacité du tecovirimat pour le traitement des patients atteints de la maladie du virus du monkeypox.” Il n’est pas clair si la subvention prévoyait des paiements en 2020.
Les autorités ukrainiennes s'entêtent à cacher l'existence même de ces laboratoires. Et les gens paniquent à cause de l'apparition de maladies inconnues... Dans quelle mesure ces locaux sont-ils protégés contre la fuite de virus dangereux ?
À savoir aussi, la Russie se prépare à des événements médicaux majeurs où des médecins devront être recrutés dans tout le pays. Lire l'article à ce sujet ici.
« Opérations militaires spéciales Biolabs »