Billet de Markku Siira.
Le président russe Vladimir Poutine est désormais considéré sans rire en Occident comme le plus grand mal de la planète, comme le nouvel Hitler, etc. Si vous ne dénigrez pas la Russie ou ses dirigeants, vous êtes immédiatement étiqueté « poutiniste » et « antipatriotique ». La dissidence et la remise en question du récit officiel de l’OTAN soutiendraient les objectifs de Poutine.
Dans ses discours, Poutine a pris position contre l’élite occidentale. Au cours des six derniers mois en particulier, le président russe a parlé ouvertement du fait que les politiciens démocratiquement élus ne gouvernent pas en Occident, mais que le véritable pouvoir est exercé par « l’élite mondialiste occidentale », en d’autres termes, par un petit cercle de banquiers centraux et de grands investisseurs.
Or il s'avère que comme Pékin, Washington, Londres et Bruxelles, Moscou répète le même mantra onusien de « développement durable », de « changement climatique », de numérisation et de nécessité de combattre la « pandémie » avec des vaccins.
Trois de ces tentatives pour gagner du terrain détenues par les troupes russes ont échoué. Un axe a été arrêté après avoir pris quelques petits villages sans valeur stratégique. La seule attaque « réussie » a traversé la rivière Inhulet près d’Andriivka en direction du barrage et de la traversée de la rivière qui ferme le réservoir de Kakhovka.
Le plan était fou au départ. Toute la région est une steppe plate et ouverte. Les troupes auraient dû créer un couloir de 50 kilomètres (30 miles) de long à travers des terres hostiles non protégées, sans abri ! Les agglomérations sur le chemin sont pour la plupart des mini-villages agricoles à une ou deux rues avec des maisons à un étage qui offrent peu de protection. Les forces ukrainiennes n’ont aucune capacité de défense aérienne ou d’attaque aérienne pour couvrir l’avancée des troupes. Leurs capacités d’artillerie représentent un dixième de ce que l’armée russe peut fournir dans la région.
Il était évident dès le début qu’il s’agissait d’une mission suicide.
Au-delà de la dimension sécuritaire, qui dépendra des ordres donnés aux Ukrainiens, cette opération a une dimension politique incontournable. Les autorités locales n’ont pas d’illusions sur l’engagement de cette organisation et déjà les déclarations contradictoires fleurissent : entre Grossi, qui appelle à une mission permanente, et les autorités régionales qui ne parlent que d’une mission d’un jour, le combat politique est ouvert.
La raison principale pour laquelle la gauche aime les VE est que le processus visant à forcer les Américains à se convertir au transport électrique détruira à jamais l’incroyable liberté et prospérité associées aux véhicules à essence privés.
L’avenir sera au contraire contrôlé de manière centralisée par de riches élitistes et leurs politiciens corrompus, des bureaucrates avides de pouvoir et des « experts » guidés par leur idéologie.
Lorsque Ransom Olds, en 1901, et Henry Ford, en 1908, ont vendu les premières automobiles américaines produites en série (respectivement la Olds à tableau de bord incurvé et le modèle T), ils ont lancé l’Amérique sur la voie de la première société à route ouverte du monde.
Il a fallu quelques décennies, mais dans les années 1930, la possession d’une voiture était pratiquement un élément de base de la classe moyenne, ce qui signifiait, pour des millions d’Américains, la liberté d’aller où ils voulaient quand ils le voulaient, sans avoir à obtenir la permission préalable du gouvernement.
Bien entendu, personne ne sait exactement ce que ce dossier contient. L’incertitude accroît la quantité de souffre qui entoure le mystère. La publicité donnée à cette découverte soulève quand même une question : les services américains lancent-ils un avertissement à Macron, à distance, pour le garder sous leur influence, notamment pour garantir le « bon traitement » de la crise ukrainienne ?
Si la France et l’Allemagne n’ont pas tenu leurs engagements lors de l’Accord de Minsk II, la Russie s’est préparée durant sept ans à la confrontation actuelle. Elle avait prévu les sanctions occidentales longtemps à l’avance et n’a eu besoin que de deux mois pour les contourner. Celles-ci désorganisent la globalisation états-unienne, perturbent les économies occidentales en brisant les chaînes d’approvisionnement, en faisant refluer les dollars vers Washington et en provoquant une inflation générale, enfin en créant une crise énergétique en Occident. Les États-Unis et leurs alliés sont dans la situation de l’arroseur arrosé : ils creusent eux-mêmes leur tombe. Pendant ce temps, les recettes du Trésor russe ont crû de 32 % en six mois.
A la faveur de quelques timides articles d’une presse qui a consciencieusement regardé ailleurs on apprend, furtivement, que certains pays n’entendent pas vraiment se couler dans le moule que l’Occident avait prévu pour eux : suite à une réunion des BRICS, ces pays en développement rapide qui comptent le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, d’intéressantes dispositions monétaires ont été prises dont on pourrait dire qu’elles remettent profondément en cause l’ordre mondial financier actuel sans que, pourtant, personne ne s’en soit réellement ému.
Jusqu’à présent, les officiels chinois manifestaient en privé leur scepticisme face à la version officielle des attentats du 9/11. Ils ont désormais franchi une étape.
Seuls cheik Zayed, Hugo Chávez, Mahmoud Ahmadinejad, Fidel Castro et Donald Trump s’étaient autorisés à aborder ce sujet en public.
Il s’agit de prolonger l’éclatement de l’URSS, de créer des mouvements séparatistes pour, en définitive, proclamer l’indépendance de vingt régions du pays.
Le 15 août 2022, le président Vladimir Poutine, qui a une conscience aigüe de cette stratégie occidentale, a annoncé la convocation d’une conférence mondiale anti-nazie à Moscou.
Permettez-moi de vous présenter Barbara Baarsma. Barbara est la directrice générale de Rabo Carbon Bank. Oui, vous avez bien lu. Pas Rabo Bank mais Rabo Carbon Bank. Dans cette interview vidéo de 53 secondes, elle plaide en faveur d’un « portefeuille de carbone personnel ». Cela peut sembler anodin, mais lorsque vous entendez ce qu’elle a à dire, vous devriez être inquiet, très inquiet en fait.
Donc, dans sa forme la plus élémentaire, vous ne vous amuserez pas et ne serez pas autorisé à voyager. Mais ne vous inquiétez pas, les élites s’amuseront pour vous.
Ce n’est rien d’autre que du totalitarisme.
« Faisons en sorte que chaque ménage ou chaque citoyen des Pays-Bas reçoive une certaine quantité de droits d’émission de carbone. De cette façon, nous pourrons nous assurer que nous n’émettons pas plus que notre limite annuelle. Vos droits d’émission seront stockés dans un portefeuille de carbone. Ainsi, si je veux prendre l’avion, j’achète des droits d’émission de carbone à quelqu’un qui n’a pas les moyens de prendre l’avion. Par exemple, cette personne pauvre peut ainsi gagner un peu d’argent supplémentaire.
Ou si quelqu’un vit dans une petite maison, il peut vendre ses droits d’émission à quelqu’un qui vit dans une grande maison, de cette façon les personnes pauvres peuvent bénéficier de l’économie verte ».