Alors que la loi santé précise qu’une obligation généralisée n’est plus envisageable sans discussion préalable par les députés, le ministre se débrouille pour continuer à nous l’imposer alors que l’épidémie est terminée, les traitements précoces reconnus et l’inefficacité du masque de la population évidente !1,2 SON RÔLE PROPRE EST DÉMASQUÉ.
Constamment réactivée, l’obligation du port du masque provoque un retour du traumatisme. Ce masque n’est pas seulement une fausse protection, mais bien une poursuite de la destruction de notre Humanité, vers le transhumanisme.
Plus grave encore qu’en première analyse :
« L’obligation du port généralisé du masque est emblématique de la gestion de la “pandémie”. Cette contrainte n’est pas de nature sanitaire et témoigne d’un hors sens. C’est un commandement se présentant, en même temps, comme une loi et la destruction de celle-ci. Elle est le passage à l’acte d’une sortie du Politique.
Les raisons de l’obligation peuvent se résumer au fait que, sans elle, il n’y aurait aucun signe manifeste de “l’extrême gravité » supposée de la covid. La centralité du port du masque réside dans le fait, qu’en nous rappelant constamment la « pandémie », la contrainte nous place dans le regard du pouvoir nous confisquant notre intime »
Au total, l’équipe a enregistré 114 incidents dans 23 pays entre avril 2020 et décembre 2021, avec une majorité importante de rencontres impliquant des oiseaux.
Les animaux les plus fréquemment signalés comme étant pris dans des EPI étaient des oiseaux, les cygnes tuberculés étant les plus souvent repérés.
« Il est crucial que nous identifiions les possibilités d’améliorer nos infrastructures de gestion des déchets, afin de prévenir des fuites similaires lors des inévitables futures pandémies »
La conclusion de l’étude est sans appel : "Contrairement à l'idée reçue selon laquelle le nombre de morts diminuerait grâce aux masques puisqu’ils permettent de réduire les taux d’infection, les résultats de cette étude démontrent que ce n’est pas le cas". Et pour cause : le nombre de morts aurait augmenté en raison de l’obligation du port du masque, peut-on lire : "Les résultats de cette étude suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50% par comparaison avec les comtés qui n’ont pas adopté cette mesure".
Juliette Deschateaux est la fondatrice du site des Étudiants Militants Libres et Unis.
Certains masques ne présenteraient pas leur composition et ceux contenant du graphène pourraient être extrêmement nocifs pour la santé.
« Les chercheurs ont étudié les impacts négatifs potentiels de l'inhalation de graphène microscopique sur les mammifères. Dans une expérience de 2016, des souris avec du graphène placé dans leurs poumons ont subi des lésions localisées du tissu pulmonaire, une inflammation, la formation de granulomes (où le corps essaie de murer le graphène) et des lésions pulmonaires persistantes, similaires à ce qui se produit lorsque les humains inhalent de l'amiante. Une étude différente de 2013 a révélé que lorsque des cellules humaines étaient liées au graphène, les cellules étaient endommagées. »
Chronologie des faits de ce jour – Lycée secteur Colmar (68)
Le professeur de math, a renvoyé 6 élèves car ils n’avaient pas le masque sur le nez (en dessous du nez) ;
La proviseure a complété en disant à ces élèves de revenir uniquement au lycée en ayant fait un test PCR !
De plus, ce même professeur de math, a donné dans ce même cours, la fiche d’exercice dont copie en pièce jointe = incitation à se faire vacciner ! on ne peut pas être plus clair.
Le cours d’après était un cours de français où les élève restants ont signalé cet incident et cette prof a été « choquée » ; ils ont discuté avec cette prof pendant presque une heure de cet incident et elle leur a également parlé du doctothon et d’avoir l’esprit « critique » – heureusement qu’il y a encore quelques « spécimens » qui tiennent le coup, ça doit pas être évident pour cette prof, merci à elle.
Jean-Claude Paye et Tülay Umay analysent les conséquences psychologiques de cette pratique. Ils s’interrogent aussi sur l’étrange ressemblance entre d’un côté les covidés et les jihadistes masqués et, de l’autre, entre les réponses politiques à la Covid et à la terreur.
Le port du masque traduit un renoncement à rester des êtres humains.