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macron va-t-en guerre

VoltairenetParis 2024 et Berlin 1936 au service d’un impossible rêve impérial

Voltairenet - 09 mai 2024

Thierry Meyssan : Emmanuel Macron n’a jamais eu d’égard pour la culture française.

   

Lors de sa première campagne électorale, il n’a cessé de la brocarder. Son ambition passait par la présidence de la République française, mais, à ses yeux, elle ne prenait de sens que dans l’Union européenne. Durant ses deux mandats, il n’a résolu que peu de problèmes français, mais a construit avec patience la transformation de l’UE en un empire d’une trentaine d’États.

Dans son esprit, les prochains Jeux Olympiques seront l’occasion de manipuler les masses pour magnifier les « États-Unis d’Europe » de sorte qu’elles seront spontanément prêtes à la dissolution des États-membres de l’UE.

Lors de son discours programmatique de La Sorbonne, il y a sept ans, il déclamait : « Quelques semaines après les élections européennes [de 2024], Paris accueillera les Jeux olympiques. Mais ce n’est pas Paris qui reçoit. C’est la France et avec elle, l’Europe qui feront vivre l’esprit olympique né sur ce continent. Ce sera un moment de rassemblement unique, une occasion magnifique de célébrer l’unité européenne. En 2024, l’Hymne à la joie retentira, et le drapeau européen pourra être fièrement arboré aux côtés de nos emblèmes nationaux ».

Oui, les Jeux Olympiques de 2024 à Paris seront l’occasion pour lui de mettre en scène sa vision du monde : à chaque victoire d’un État-membre, l’hymne européen devrait être joué, si rien n’entrave ce dessein. Sans aucun doute, l’UE serait alors la puissance victorieuse. Il réaliserait ainsi le rêve du chancelier Aldolf Hitler à Berlin en 1936. Il en a d’ailleurs déjà repris les codes. Ainsi, le relais de la flamme olympique, qui n’existait pas lors des Jeux originels, est une survivance du nazisme. Le chancelier allemand avait souhaité magnifier les corps des Aryens et traverser les Balkans, préfigurant ses conquêtes à venir. Le président français entend mobiliser les Français derrière son impossible rêve européen pour mieux les manipuler dans les semaines à venir. Il a d’ailleurs confié la réalisation de la torche à Usinor, désormais dénommé ArcelorMittal, comme son prédécesseur l’avait confiée au groupe d’armement Krupp.

Ne vous inquiétez pas, je ne compare pas Emmanuel Macron à Adolf Hitler pour sous-entendre que le président français serait raciste, mais cette allusion historique sera utile à la suite de mon propos. Pour le moment, retenez qu’il y aura des athlètes russes, mais pas d’hymne russe, et aucun champion inscrit au nom de l’Union européenne, mais des hymnes européens.

Pour comprendre le piège qui se prépare et dans lequel nous allons probablement tous tomber, il faut retracer ses étapes précédentes.

Lors de son discours du 27 septembre 2017, il déclarait : « Nous avons tourné la page d’une forme de construction européenne. Les pères fondateurs ont construit l’Europe à l’abri des peuples, parce qu’ils étaient une avant-garde éclairée, parce qu’on pouvait peut-être le faire, et ils ont avancé prouvant ensuite que cela fonctionnait ». Il posait alors les principes d’une mise en scène à laquelle nous avons assisté, parfois participé, sans comprendre.

• Le 25 juin 2018, il lançait l’Initiative européenne d’intervention. Il ne s’agissait pas d’un programme de l’UE. Au moins la moitié des États membres n’en voulait pas, y compris l’Allemagne. Aussi au départ, neuf États seulement y participèrent, dont le Royaume-Uni pourtant sur le départ de l’UE. Ils sont 14 aujourd’hui. Cette initiative est aujourd’hui à l’œuvre dans le Golfe persique (European Maritime Awareness in the Strait of Hormuz ou EMASoH). Elle initie une « capacité d’action autonome de l’Europe, en complément de l’Otan ».
La Mission européenne de l’Allemagne était, selon les nazis, de protéger les peuples d’Europe du bolchévisme. Aujourd’hui, la Mission de l’Union européenne, selon Emmanuel Macron, est de les protéger de la Russie.

Comprenez bien : il n’a jamais été question de créer une armée pour la défense collective des États-membres. C’est même tout le contraire auquel on assiste : la guerre en Ukraine est le prétexte à de gigantesques transferts d’armes, de sorte qu’aujourd’hui plus aucun État-membre n’a les moyens de se défendre plus de deux jours s’il était attaqué conventionnellement par un État développé. Contrairement aux discours sur le renforcement de la puissance militaire, le ministère français des Armées a, selon la Cour des Comptes, supprimé 3 599 postes de militaires l’année dernière. En définitive, nous sommes déjà, et deviendrons encore plus, dépendants des États-Unis et du Royaume-Uni, c’est-à-dire de l’Otan.

• Le 4 mars 2019, Emmanuel Macron publiait une tribune libre appelant à la création d’une « Conférence pour l’Europe afin de proposer tous les changements nécessaires à notre projet politique ». Elle devait « associer des panels de citoyens, auditionner des universitaires, les partenaires sociaux, des représentants religieux et spirituels ». Afin de définir « une feuille de route pour l’Union européenne traduisant en actions concrètes ces grandes priorités ». Notez que le président Macron écrivait « ces grandes priorités » avec un « c » et non pas un « s », afin de préciser que la Conférence devait exprimer les moyens de parvenir à un but qu’elle ne choisirait pas elle-même, mais qui lui était imposé.

Il s’agit de la reprise du Grand débat national qui a suivi la révolte des « Gilets jaunes ». 10 134 réunions publiques furent organisées, 19 899 cahiers de doléances furent ouverts, 16 337 mairies y participèrent, 569 000 contributions détaillées furent rédigées. Toutes ces discussions et cette paperasse finirent à la poubelle.

• Quelques mois plus tard, l’Allemande Ursula von der Leyen, présenta le programme de son administration, le 16 juillet 2019, en disant que « L’Europe est comme un long mariage. L’amour ne se développe pas nécessairement dès le premier jour, mais cela dépend ».

À partir de ce moment-là, l’Élysée et l’administration bruxelloise commencèrent à travailler à la transformation de l’Union en un « Empire », les communiquants disent plus joliment en une « fédération ». Il était clair qu’il ne serait pas possible de faire adopter ce bouleversement par voie de référendum. Aussi, l’administration Von der Leyen entendait procéder par étape : modifier les règles d’adoption par une procédure simplifiée puis, plus tard, dissoudre les États-membres et leur substituer un État centralisé.

• Durant son premier mandat, le président Emmanuel Macron a visité chacune des 28 capitales de l’UE. C’était sa campagne électorale pour justifier sa désignation à venir.

• D’avril 2021 à mai 2022, 830 « citoyens » européens se réunirent pour débattre de « L’avenir de l’Europe ». Cette conférence, ouverte par le président Emmanuel Macron, produisit 49 propositions et 326 mesures adressées aux présidents du Parlement, du Conseil et de la Commission.

Premières remarques : cette présentation des faits masque de vrais problèmes. Pour donner une apparence de légitimité au processus en cours, il s’agit de donner l’illusion que l’Empire européen n’est pas une idée venant d’en haut, mais un ardent désir des populations européennes. On parle donc de « citoyens » européens alors qu’il n’y a ni État européen, ni Peuple européen, donc pas de « citoyens » du tout. Les participants furent tirés au sort, ce qui donne l’illusion de leur représentativité et de la légitimité de leurs décisions. Or, dans la pratique, ils ont été rémunérés avec nos impôts alors qu’ils ne formaient pas une institution européenne. Ils ont adoptés certaines mesures dont ils ont longtemps discutées, mais ont aussi voté à la va-vite ce que Paris et Bruxelles souhaitaient qu’ils adoptent et qui va à l’encontre de leurs intérêts.

• Le 25 mars 2022, le Conseil européen, alors présidé par Emmanuel Macron, adoptait la Boussole stratégique. Celle-ci a d’abord défini des menaces, d’où elle a tracé les lignes directrices de sa stratégie. Elle a débouché sur la mise en place d’une Force de réaction rapide de 5 000 hommes.

• Le 9 juin 2022, le Parlement européen, après avoir adopté divers textes relatifs à la Conférence pour l’avenir de l’Europe, adopta une résolution (P9_TA(2022)0244) convoquant une Convention pour la révision des Traités, en application de l’article 48 du traité UE (Traité de Nice).

• Les 10 et 11 mars 2022, Emmanuel Macron convoquait une réunion informelle du Conseil européen à Versailles. Les chefs d’État et de gouvernement y ont approuvé la création d’un budget de soutien à l’Ukraine et le programme de changement de dépendance énergétique.

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société : mort et renaissance

Réseau InternationalMort et renaissance

Réseau International - 06 mai 2024

Une société s’en va, une autre arrive.

   

Celle qui s’en va est celle du World Economic Forum, celle qui veut réduire à 500 millions d’habitants la population terrestre, sans doute pour que 50 millions vivent encore dans la jet society.

Sans doute, cette perspective est fausse. Parce qu’il est difficile de contrôler les sociétés. On peut, certes, formater les gens, les décérébrer, ce qui est tenté, avec succès depuis 50 ans, mais le flux croissant des refuznikis contrarie le système, profondément.

De plus, cette «jet society», n’est qu’une écume. Elle n’existe que parce que le reste de la société peut la porter, par sa technicité, son savoir-faire, et son utilité.

Aujourd’hui, cette jet society se révèle, de plus en plus, superflue et inutile. Aucune utilité réelle, des dominants sociaux simplement, qui savent y faire en matière de manipulation, mais quand le substrat, lui-même, décline, cette «upper class», va décliner dans les mêmes proportions. À l’image de Macias Nguéma, mort à la fin des années 1970 et qui avait tellement concentré la richesse dans son palais, que la quasi-totalité de la monnaie locale y était dans des caisses, et que rien ne circulait en dehors. Rien n’y circulait, d’ailleurs, en dedans non plus…

C’était des bouts de papiers colorés…

Donc, cette caste, macroniste jusqu’au bout des ongles, ne se plaint de rien, de plus en plus réduite, elle est accablée de douceurs, bonbons et délices. Caricature, son biotope ou merdier, c’est surtout l’intérieur du périphérique parisien, et les ghettos de riches.

Aujourd’hui, le coût de l’éducation aidant, surtout dans les pays anglos, le travail manuel est en regain.

Pourquoi ? Parce que la distribution gratuite de diplômes de niveaux bacs, partout dans le monde, dévalue ces diplômes, réservant aux Zeureux titulaires, des métiers de grouillots. Dans le meilleur des cas, fonctionnaire, dans le pire, caissier au superprimou géant. C’est général et ça se généralise. Je me souviens de cette série indienne, ou le lycée aidait les lycéens à avoir le bac, en leur donnant, tout bonnement, les résultats. Un jour, un policier honnête arrêtât le phénomène et refusât l’enveloppe, cette année-là, personne n’eût le bac.

Donc, aux USA, on sombre dans le travail manuel, qui, visiblement, rapporte plus et il est moins onéreux qu’attraper des diplômes qui pour beaucoup, ne débouchent sur rien. Là aussi, dans la série Gilmore Girls, on voit des trentenaires issus de facs onéreuses, mais qui ne font rien.

Ils sont cons, ils «renoncent à l’université», où ils auraient appris des choses inutiles, au profit de réels métiers où, souvent, ils sont rémunérés dans leur formation, que ce soit en apprentissage, ou pas. En plus, ils gagnent correctement leur vie.

Cela indique un changement de société, où la réussite n’est plus la réussite universitaire, qui ne débouche sur rien, et qui, de fait, devient de plus en plus médiocre. Les étudiants notant leurs enseignants, on finit par déboucher sur le phénomène indien. La vie professionnelle et l’enseignement professionnel, hier synonyme d’échec, elle, est plus basique. Un mauvais n’y gagne pas sa vie, et on revoit le phénomène des années 1950, ceux-là «migrent», d’emplois divers en emplois divers…

Autoconsommation aidant le métier le plus demandé aux USA est celui de réparateurs d’éoliennes. Effectivement, solaire et renouvelables en tous genres, ça aide pas mal ceux qui n’aiment pas voir trop leurs factures d’énergies augmenter, même si ces nouveautés anciennes, ne couvrent pas tout…

L’immobilier, lui, suit le mouvement général. Adossé à la bulle bancaire, il n’était soutenu que par un déluge de prêts bancaires. Se loger est un impératif, mais le monde de l’immobilier et du bâtiment, devra, impérativement, muter.

Quant à la bourgeoisie macroniste, elle aura le sort des hautes classes passées ; «L’histoire, c’est le cimetière des aristocraties» (Vilfredo Pareto).

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The Millenials

Echelle de JacobLes Millenials attendent que quelqu'un fasse la révolution à leur place

Echelle de Jacob - 05 mai 2024

Tout est de la faute du bug du millénaire.

   

Mattia Madonia, écrivain de Catane et représentant de la génération millenial, a découvert les raisons de la crise d'une société immobile (qui se dirige en fait, et rapidement, vers le déclin) qui n'accorde pas d'espaces et de perspectives à ceux qui ne font pas partie de la génération du baby-boom.

"La génération entière, écrit Madonia dans The Vision, qui était censée conduire la fortune de la planète au cours de ces vingt-quatre années, en gros ceux qui sont nés entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990, a souffert de son propre "bug". Par rapport aux générations précédentes, la société a entravé ou empêché leur équilibre professionnel, relationnel, affectif, voire existentiel. Une génération fantôme, écrasée par les pressions du capitalisme et les crises qui ont marqué les deux dernières décennies. C'est le Millennial Bug, et nous en payons encore les conséquences".

Tout cela est vrai, bien sûr. Mais il faudrait que quelqu'un - son père et sa mère, par exemple, s'il a la chance de les avoir encore - lui explique que les générations précédentes ont conquis leurs droits. Et puisqu'il est écrivain, Madonia pourrait lire les livres d'autres auteurs plus anciens (la presse existait déjà) qui ont raconté 68 ou 77. Le changement n'était pas donné, mais obtenu avec des heurts, des protestations, des morts même.

Les bonnes familles italiennes du début des années 60 auraient voulu des enfants polis et bien peignés, avec costume et cravate, de bonnes études et des carrières professionnelles sûres et ordonnées. Des mariages heureux et des petits-enfants à élever dans le respect des principes. Cela ne s'est pas passé comme ça, et peut-être que cela s'est mal passé. Mais les générations qui ont occupé les places qui comptaient et excluaient l'"équilibre existentiel" ne se sont pas allongées sur le canapé en attendant des concessions qu'elles n'avaient même pas demandées. Elles n'avaient peut-être pas de smartphones ou de tablettes, mais elles vivaient avec leurs pairs et c'est avec leurs pairs qu'elles se sont rebellées. Étrange mot que celui de "rébellion". Peut-être est-ce l'un de ceux qui ne figurent plus parmi les rares que connaissent les nouveaux jeunes. Remplacée par les pleurnicheries, l'impolitesse, la résignation.

"71 % des millennials interrogés en Italie ne croient pas en la possibilité de fonder une famille et 73 %, poursuit Madonia, considèrent qu'il est impossible d'acheter une maison dans un avenir immédiat. En outre, 79 % des millennials considèrent que la flexibilité du travail est fondamentale, avec la possibilité de travailler à distance et avec des horaires moins rigides, se déclarant même prêts à quitter leur emploi pour trouver un travail à taille humaine. Parmi les différentes demandes formulées, la semaine de travail de quatre jours se distingue. Pour conclure l'étude, 42 % des millennials se considèrent comme très "anxieux et stressés", et comme préoccupations pour l'avenir, ils placent en tête de liste les craintes concernant leur santé mentale, le changement climatique et les dommages causés à l'environnement, le coût de la vie et le chômage.

C'est bien, c'est mal. Tous sont conscients des problèmes. Et même de leurs propres craintes et désirs. Et alors ? Est-ce que papa et maman doivent trouver des solutions ? Peut-être les grands-parents ? Pourtant, les millénials devraient désormais être capables de s'essuyer les fesses tout seuls. Ils devraient pouvoir s'habiller seuls. Et s'ils veulent quelque chose, ils devraient avoir le courage et la capacité de le prendre. Notamment parce que les baby-boomers sont vieux et impuissants. Mais le risque pour les millennials est que, pendant qu'ils se complaisent dans la douleur de l'injustice qu'ils ont subie, la génération Z vienne remplacer les personnes âgées. D'autre part, la résistance des boomers dans les lieux de pouvoir se heurte à l'âge et à la fin de vie...

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surveillance des messageries cryptées

Aube DigitaleL’UE imposent des ordres de balayage en masse aux messageries cryptées

Aube Digitale - 04 mai 2024

Le dernier projet de l’UE prévoit une surveillance stricte des services de communication axés sur la protection de la vie privée, ce qui suscite l’inquiétude des défenseurs de la protection de la vie privée dans le domaine numérique.

   

La dernière fuite, publiée pour la première fois par le site Contexte, est un document de travail de l’actuelle présidence belge de l’UE qui concerne un projet de méthodologie et de critères pour la catégorisation des risques des services.

Les choses évoluent rapidement à Bruxelles, du moins sur cette question – le projet a été publié le 10 avril à l’intention des délégations des Etats membres et devait être discuté cinq jours plus tard par le groupe de travail sur l’application de la loi.

Mais selon Patrick Breyer, eurodéputé et opposant de longue date au « contrôle des conversations », les choses évoluent dans le sens d’un « redoublement », par divers moyens, du contrôle et/ou de la suppression de ce qu’il appelle « les services qui permettent aux gens de se protéger ».

Il s’agirait de services cryptés axés sur la protection de la vie privée et d’applications de messagerie qui, selon la méthodologie présentée dans le document, recevraient des notes inférieures sur l’échelle de risque si les gens peuvent les utiliser sans compte ou avec des pseudonymes, des VPN, TOR, le cryptage, des crypto-monnaies – en d’autres termes, de manière à rendre la surveillance et le suivi difficiles, voire impossibles.

L’UE n’aime pas du tout cela et prévoit donc de pouvoir (et même probablement) infliger à ceux qui obtiennent de mauvais résultats l’ordre de scanner tous les contenus.

Toutefois, ceux qui ne se concentrent pas sur les discussions privées mais qui « s’engagent principalement dans la communication publique » (c’est-à-dire qui sont déjà ouverts à la surveillance et à la collecte de données, de sorte que les ordres de détection conduisant à un balayage complet ne sont pas vraiment nécessaires) obtiendront de meilleurs résultats.

La logique de l’UE est ici cohérente, puisque ceux qui ne collectent pas de données sur les utilisateurs sont automatiquement condamnés à obtenir de moins bonnes notes. L’UE n’apprécie pas non plus le partage décentralisé de contenu (comme les plates-formes P2P).

En effet, comme le fait remarquer Breyer, avocat allemand et membre du Parti Pirate, le P2P rend inutiles les tentatives d’analyse des sites serveurs.

Une telle méthodologie diabolise les services tels que les plateformes de torrenting (P2P), TOR, ProtonMail, etc.

« Ce document révèle que le gouvernement de l’UE pousse à la surveillance de masse et sape le cryptage de services essentiels pour les citoyens, les ONG, les avocats, etc.

En revanche, l’approche du Parlement européen n’autoriserait que l’interception des conversations des personnes liées aux abus sexuels sur les enfants, tout en imposant beaucoup plus de mesures de sécurité que le Conseil ne fait que mentionner dans ce document sans les rendre obligatoires », a ajouté Breyer avant de conclure : « Nous, les Pirates, ne cesserons pas de nous battre pour que les services de sécurité soient accessibles à tous :

« Nous, les Pirates, ne cesserons pas de nous battre pour notre droit fondamental à la confidentialité de la correspondance numérique et au cryptage sécurisé.

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Dieudonné - Palestine

Le Media en 4-4-2Dieudonné : Palestine

Le Media en 4-4-2 - 04 mai 2024

Dieudonné interprète un poème dédié à la Palestine et rend hommage à son ami Claude Nougaro.

   

C’est au terme de son spectacle « J’ai fait l’con » en 2008 que Dieudonné interprète pour la première fois ce poème dédié à la Palestine tout en rendant hommage à son ami Claude Nougaro décédé en 2004. En ces temps de conflit, il était impossible de ne pas négliger cet hommage poignant de la part de l’humoriste le plus talentueux de sa génération. Dans un registre différent, il nous rappelle ici la souffrance d’un peuple désespéré.

Hamid a 22 ans et il décide d’aller se faire sauter au milieu de ceux qu’il considère comme l’envahisseur.

Je suis né ici sur ce bord de méditerranée Dans ce paradis ensoleillé Palestine ! Palestine ! C’est ici que mon père, que mon grand père et tous ceux d’avant sont enterrés Dans la chair de ta terre, Palestine ! C’est dans la maison en ruine là-bas au milieu du champ d’oliviers C’est là que nous avons chanté, ri, dansé, vibré même Comme les cordes de cette guitare manouche Pincés au cœur, cueillis comme des fleurs C’est là que nous avons pleuré aussi, pleuré Difficile d’expliquer pourquoi on est attaché à un endroit Jusqu’à ce qu’une armée débarque chez toi Au début, ils ont tiré en l’air, ça faisait du bruit, c’était gentil Et puis après ils ont tué mon père, et puis mon oncle, et puis mon frère Ont fait brûler la maison, détruit jardins et plantations pour y installer leurs colons Nous, femmes et enfants déportés jusqu’à ce camp de réfugiés Sales, froids, on y était entassés. Seul au loin, le son de cette guitare tzigane me donnait encore la force de résister La force de respirer Mélodie des gens du voyage, musique des déracinés, elle m’a fait oublier le mal J’avais 10 ans, ça fait 12 ans et me voila maintenant une bombe scotchée sur le bidon Aspirée dans ce grand siphon. Liberté pour toi Palestine ! Je vais vous faire danser joyeux colons sur le son de mon canon Aujourd’hui je suis chef d’orchestre réglant ma note sur celle du temps Ce temps gitan sur lequel je virevolte encore en joyeux papillon J’arrive, j’arrive frissonnant destin Tel un coup de cymbale ponctuant les violons Et ma Palestine ! Tu me vois descendre de l’autocar au milieu de tous ces regards ?! Y’a mon cœur, y’a la peur, y’a ce son de guitare Anonyme passant je souris à l’enfant et puis au milieu de la rue je te vois belle inconnue C’est toi, je t’ai choisie, vais-je te prendre par la taille et faire danser nos entrailles ? J’entends d’ici les cris d’effrois déchirer le silence provoqué par ce doigt Y’a mon souffle qui s’accélère, manque d’oxygène, ton regard qui me fixe Tu comprends, ton sac qui tombe, la pomme qui roule Reculer ? Il est trop tard petite Y’a mon doigt qui se crispe Puisqu’on ne peut vivre tous les deux : Crevons ensemble. Palestine !

 

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câbles sous-marins - GAFAM

Sott : Sign of The TimesPrès de la moitié du trafic internet mondial concerne désormais les bots

Sott : Sign of The Times - 01 mai 2024

Thales, leader de la cybersécurité qui protège à grande échelle et à travers le monde les applications critiques, les API et les données, annonce aujourd'hui la publication de son rapport Imperva Bad Bot 2024,une analyse mondiale du trafic automatisé des bots sur internet.

   

En 2023, près de la moitié (49,6 %) de tout le trafic internet provenait de bots, une augmentation de 2 % par rapport à l'année précédente, et le plus haut niveau signalé par Imperva depuis que la société a commencé sa veille du trafic en 2013.

Alors que la proportion du trafic des utilisateurs humains est descendue à 50,4%, celle des bots malveillants a augmenté pour la cinquième année consécutive, passant de 30,2% en 2022 à 32% en 2023. Ce trafic automatisé coûte aux entreprises des milliards de dollars chaque année en raison d'attaques contre les sites Web, les API et les applications.

Parmi les tendances clés identifiées dans le rapport Imperva Bad Bot 2024 figurent :

La moyenne mondiale du trafic de bots malveillants a atteint 32 % : l'Irlande (71 %), l'Allemagne (67,5 %) et le Mexique (42,8 %) ont enregistré les niveaux les plus élevés de trafic de bots malveillants en 2023. Les États-Unis ont également enregistré un ratio légèrement plus élevé (35,4 %) par rapport à 2022 (32,1 %).
L'utilisation croissante de l'IA générative est liée à l'augmentation du nombre de bots simples : l'adoption rapide de l'IA générative et des grands modèles de langage (LLM) a entraîné une augmentation du volume de bots simples, passant de 33,4% en 2022 à 39,6 % en 2023. La technologie utilise des bots d'extraction automatisée de données en ligne et des robots d'indexation 2 automatisés pour alimenter les modèles d'entraînement et permet aux utilisateurs sans connaissance technique d'écrire des scripts automatisés pour leur propre usage.
Le piratage de compte utilisateur est un risque persistant pour les entreprises : les attaques de prise de contrôle de compte (ATO) ont augmenté de 10 % en 2023 par rapport à l'année précédente. De plus, 44 % de l'ensemble des attaques ATO visaient les points de terminaison des API, contre 35 % en 2022. De toutes les tentatives de connexion sur internet, 11 % étaient associées à une tentative de piratage de compte utilisateur. En 2023, les secteurs ayant connu le plus grand nombre de ces attaques étaient les services financiers (36,8 %), les voyages (11,5 %) et les services commerciaux (8 %).
Les API représentent un vecteur de choix pour les attaques : les menaces automatisées ont causé 30 % des attaques d'API en 2023. Parmi elles, 17 % étaient des bots malveillants exploitant les vulnérabilités de logique métier : une faille dans la conception et l'implémentation de l'API qui permet aux attaquants de manipuler des fonctionnalités légitimes pour accéder à des données sensibles ou à des comptes d'utilisateurs. Puisqu'elles sont un accès direct à ces données sensibles, les API sont une cible privilégiée par les cybercriminels qui utilisent des bots automatisés pour les trouver et les exploiter.
Chaque secteur est touché par les bots : pour la deuxième année consécutive, le secteur du gaming (57,2%) a enregistré la plus grande proportion de trafic de bots nuisibles. En parallèle, le commerce de détail (24,4 %), les voyages (20,7 %) et les services financiers (15,7 %) sont ceux ayant subi le plus grand nombre d'attaques de bots. La proportion de bots malveillants évolués, capables d'imiter le comportement humain et d'échapper aux systèmes de défense, était, quant à elle, la plus élevée sur les sites d'affaires juridiques et gouvernementaux (75,8 %), de divertissement (70,8 %) et de services financiers (67,1 %).
Le trafic de bots malveillants provenant des fournisseurs d'accès à internet (FAI) résidentiels passe à 25,8 % : les premières techniques d'évasion des bots malveillants consistaient à se faire passer pour un navigateur internet utilisateur couramment utilisé par de véritables utilisateurs humains. Ces bots représentaient 44,8 % de l'ensemble du trafic de bots malveillants au cours de la dernière année, contre 28,1 % il y a seulement cinq ans. Les acteurs évolués allient des agents utilisateurs mobiles à l'utilisation de FAI résidentiels ou mobiles. Les proxys résidentiels permettent aux opérateurs de bots d'échapper à la détection en faisant croire que l'origine du trafic est une adresse IP résidentielle légitime, attribuée par un fournisseur de services internet.

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Allemagne : criminalisation de la vérité

Réseau InternationalLa criminalisation de la vérité a été intronisée publiquement

Réseau International - 30 avr 2024

Le masque tombe.

   

Le diable est le confusionniste par excellence, celui qui lance de la confusion en permanence. Le mot grec «diabolos» ne signifie rien d’autre. Le mensonge est donc ce qui est particulièrement diabolique. Il sème la discorde, dresse les hommes les uns contre les autres, bouleverse l’ordre naturel. Dans l’évangile de Jean 8, 44, le diable est à juste titre qualifié de «père du mensonge».

En Allemagne, le mensonge est devenu encore un peu plus loi depuis ces dernières semaines. Plus précisément, il est devenu une religion d’État qui exige la soumission. En effet, depuis vendredi, date à laquelle le Bundestag a adopté la loi dite «d’autodétermination», toutes les personnes vivant en Allemagne sont désormais tenues par la loi de croire les mensonges flagrants, de les tenir pour vrais, ou du moins de se taire à leur sujet.

Celui qui ouvre néanmoins la bouche et fait remarquer, à juste titre, que Gabriele s’appelle en réalité Hans-Günther, risque de payer une amende pouvant aller jusqu’à 10 000 euros s’il appelle désormais une personne par son sexe biologique alors qu’il/elle souhaite être «perçu(e)» différemment. Grâce à la loi, il ne sera plus nécessaire de subir une opération pour changer de sexe et de faire certifier officiellement le changement. Les offices sont contraints par la loi d’apporter leur aide à la falsification de documents. Et tous les autres sont contraints de vivre dans et avec le mensonge et de s’y dérober.

C’est satanique. Depuis un vendredi d’avril, nous avons fait un bon pas en avant dans la construction d’un monde diabolique et contre nature, dont le fondement est la fausseté. La criminalisation de la vérité a maintenant été intronisée publiquement et frappe à la porte de tout le monde. Et comme le mal, pour se maintenir, ne peut pas s’arrêter, mais doit toujours aller plus loin, se soumettre à des domaines toujours plus larges, ce n’est qu’un début.

Il n’est pas nécessaire d’être un théoricien de la conspiration pour cela : il est maintenant explicite que ce qui est «normal», naturel, juste pour la vie, soit officiellement déclaré criminel et poursuivi en tant que tel, c’est-à-dire : l’hétérosexualité, la famille, la progéniture, le peuple. Le mal devient totalitaire. L’image biblique en est le règne de l’Antéchrist, qui doit nécessairement précéder la victoire finale du bien. Nous allons nous étonner de ce qui va suivre, à une fréquence de plus en plus rapprochée. La dictature coronaviresque était la répétition générale. Il y aura bientôt des martyrs.

Ce n’est certainement pas un hasard si le Parlement européen a demandé ces jours-ci, dans une résolution adoptée à une large majorité, que le droit à l’avortement soit déclaré droit fondamental (!). La législation ouvertement totalitaire sur le «discours de haine» dans de nombreux pays occidentaux, qui prévoit parfois des peines de prison de plusieurs années pour les crimes d’opinion (au nom de la «tolérance» !), relève également de ce domaine ; tout comme le fait que la Cour constitutionnelle fédérale, la plus haute instance juridique de la République fédérale, tente de définir la notion de peuple naturel, c’est-à-dire ethnique, comme «contraire à la Loi fondamentale», tant dans la procédure d’interdiction de la NPD que maintenant vis-à-vis de l’AfD – le tout librement inspiré d’Orwell la guerre, c’est la paix, la liberté, c’est l’esclavage, la mort, c’est la vie. C’est pervers. C’est la dictature du mensonge.

Il faut prendre acte de la dynamique interne de l’évolution, qui n’est pas humaine, mais finalement spirituelle : le mal contre le bien. C’est pourquoi ce n’est pas l’expression d’une croyance personnelle, mais la description adéquate de ce qui se passe, que d’introduire le diable dans le jeu, comme l’adversaire cosmique fondamental. Il laisse tomber son masque. Cela se voit dans tous les domaines de la vie. Apocalypse – la période que nous vivons actuellement – ne signifie rien d’autre que révélation.

La bonne nouvelle dans tout cela est que Satan n’a pas le dernier mot. Le mensonge, qui se fait une fausse idée du monde, n’est pas plus viable que le cancer. La République fédérale d’Allemagne a été fondée sur le mensonge dès le début, et le mensonge devient maintenant essentiel pour le simulacre qu’est l’État fédéral allemand. C’est pourquoi cette république-là arrive bientôt à sa fin. La «loi sur l’autodétermination» et toutes les aberrations à venir en sont les indispensables stigmates.

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Thomas Ehrhorn

Nouveau MondeFin des maisons et véhicules privés en vue, sauf pour les élites

Nouveau Monde - 27 avr 2024

Le discours de Thomas Ehrhorn député AfD au parlement allemand.

   

Extrait :

… Cela signifie concrètement que si l’on s’en tient à l’exigence maximale de la norme Euro 7, c’est-à-dire que chaque véhicule devant être immatriculé à partir du milieu de l’année 2025 devra être conforme à la norme Euro 7 et non uniquement les nouvelles séries produites. Cela conduira inévitablement à l’effondrement d’une grande partie de la production automobile en 2025.

Il me vient à l’esprit qu’en 2025 nous avons des élections et je suppose que beaucoup d’entre vous ne seront plus ici après cette échéance. De ce fait, cette situation est plutôt positive. Il faut en particulier bien comprendre une chose, à savoir que les durcissements de plus en plus absurdes des valeurs limites ne concernent ni le climat ni la protection de la santé (mort due soi-disant aux particules fines).

Il ne s’agit pas non plus de remplacer 50 millions de voitures à moteur à combustion par 50 millions de véhicules électriques. Non, il s’agit de rendre, à moyen terme, la mobilité privée si chère qu’elle ne sera plus disponible que pour une élite triée sur le volet. Cela signifie donc que la plupart des citoyens devant leur écran d’ordinateur n’en feront malheureusement plus partie.

Il est important de le comprendre. Car dans les plans d’avenir des Verts, socialistes et communistes, qui donnent actuellement le ton ici, il n’est prévu ni de maison privée ni de voiture privée. Le vieil homme blanc, qui crée de la richesse par son travail et son éducation, qui accumule de la propriété privée et qui, peut-être, roule à 180 km/h dans un SUV, c’est un véritable cauchemar et il est détesté.

C’est le portrait de l’ennemi de l’idéologie de gauche. Nationaliser, exproprier, redistribuer, ce sont les objectifs de tous ceux qui gouvernent ce pays en le détruisant sous nos yeux. Et quand les citoyens l’auront compris, mesdames et messieurs du gouvernement, vous aurez un sérieux problème. Merci beaucoup.

Traduction : Christine

https://twitter.com/silvano_trotta/status/1783206340619379095

 

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la grande transformation

Réseau InternationalLa Grande Transformation détruit les fondements de notre vie

Réseau International - 26 avr 2024

Et vise à transformer les humains en robots.

   

L’intelligence artificielle (IA) – il n’y a guère de mot-clé qui revienne plus souvent lorsqu’il est question de visions d’une société hautement technologique et progressiste. Elle n’est pas seulement censée nous simplifier la vie et nous décharger de certaines tâches : les visionnaires les plus audacieux du développement technologique de la Silicon Valley, comme Raymond Kurzweil et Elon Musk, espèrent même qu’elle permettra de réaliser le vieux rêve faustien de dépasser les limites du corps humain.

Grâce à la technologie, l’homme devrait pouvoir devenir un surhomme et augmenter ses capacités cognitives de manière exponentielle, selon Elon Musk, le patron de Tesla, de la plate-forme X et aussi de Neuralink. Sa puce «Neuralink», directement implantée dans le cerveau humain – selon les propres dires de Musk, un essai sur l’homme est déjà en cours – devrait dans un premier temps aider à traiter les maladies graves du cerveau.

Et si l’on en croit le directeur du développement technique de Google (qui fait partie du géant américain de la technologie Alphabet), Raymond Kurzweil, le progrès technique ne devrait pas seulement nous donner la vie éternelle, mais aussi, dans le cadre de «l’Internet de tous les objets», nous conduire à des connaissances insoupçonnées dans le cadre d’un décollage soudain du progrès, ce que l’on appelle la singularité.

Cette avant-garde du transhumanisme veut atteindre la vie éternelle avant la fin du monde en transformant peu à peu l’homme lui-même en machine ou en téléchargeant son esprit dans un cloud. Parallèlement, de plus en plus de scientifiques comme Geoffrey Hinton et de philosophes comme Alexander Douguine et Alain de Beonist mettent en garde contre les dangers de l’IA – il est donc temps de me pencher sur les possibilités et les dangers de l’IA.

La Grande Transformation

Ces idées trouvent un soutien enthousiaste non seulement aux États-Unis, mais aussi parmi les élites occidentales, qui se sont regroupées autour du Forum économique mondial de Klaus Schwab. Dans le cadre de leur «grand redémarrage» (Great Reset), proclamé dans le sillage des mesures COVID-19 en juillet 2020, les sociétés occidentales – et, selon leur volonté, le monde entier – doivent être transformées dans le sens du nouveau libéralisme 2.0, que certains observateurs qualifient de «socialisme des milliardaires».

Schwab et son co-auteur Thierry Malleret parlent ouvertement de la nécessité de capter la conscience des gens, car c’est la seule façon d’impulser un changement social majeur. Une transformation verte massive de l’économie, une réduction de la population et une alimentation «respectueuse du climat» avec des insectes au lieu de la viande. «Vous ne posséderez rien et vous serez heureux !» est le slogan moqueur des gens de Davos. C’est précisément là qu’interviennent les derniers développements technologiques, qui s’imbriquent avec des stratégies de censure telles que le politiquement correct et la «cancel culture».
L’algorithme, clé de la domination totale des mondialistes

Aux yeux des transhumanistes, l’homme n’a pas d’âme divine ou de libre arbitre, mais n’est qu’un ensemble d’algorithmes – des règles d’action pour résoudre un problème ou une classe entière de problèmes – et peut donc non seulement être compris comme un ordinateur, mais aussi programmé (c’est-à-dire manipulé). Le politiquement correct prend alors la fonction d’un tel algorithme pour limiter la pensée autonome des gens et les transformer eux-mêmes en machines obéissant à la volonté des élites libérales.
Cybernétique : comment les gens deviennent volontairement esclaves de la technologie

Dans la tradition de la cybernétique, des entreprises comme Google/Alphabet, mais aussi les gouvernements européens, sont donc intéressés par la collecte d’un maximum de données sur leurs citoyens, non seulement pour mieux les surveiller dans le sens de «l’homme transparent» et ainsi étouffer dans l’œuf les mouvements dissidents, mais aussi pour mieux les contrôler.

Des entreprises mondialistes comme Google/Alphabet – dont le nom est devenu synonyme de recherche sur Internet – obtiennent ces données avec une facilité déconcertante et sans pression : des milliards d’utilisateurs alimentent chaque jour le moteur de recherche du groupe avec leurs données, utilisent leurs programmes de messagerie, etc. que Google transforme à son tour en monnaie sonnante et trébuchante, comme les médias sociaux tels que Facebook et Instagram, qui en savent parfois plus sur leurs utilisateurs que ces derniers eux-mêmes. Le sacrifice volontaire de la vie privée et de l’anonymat fait du simple citoyen un gibier potentiel pour les entreprises internationales.

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voiture espionnage

Aube DigitaleLes voitures modernes réduisent leurs propriétaires en esclavage

Aube Digitale - 23 avr 2024

Prise de contrôle technocratique dystopique. L’automobile, qui était autrefois un outil de liberté personnelle, est devenue un outil de contrôle dans le cadre des technologies « big brother » des réseaux intelligents.

   

Les voitures modernes produites depuis le milieu des années 2010 sont équipées de technologies « cheval de Troie » dont les propriétaires commencent à prendre conscience. Ces technologies peuvent contrôler où et quand les conducteurs sont autorisés à conduire, suivre les yeux des conducteurs , enregistrer les conversations des occupants, collecter des informations génétiques et de santé, des données biométriques et le poids des conducteurs et des passagers, entraîner une augmentation des primes d’assurance automobile et même surveiller l’activité sexuelle des conducteurs .

Dans une vidéo récente, le journaliste automobile britannique Geoff Buys Cars explique comment une Hyundai Kona ayant fait l’objet d’une mise à jour logicielle est désormais soumise au géorepérage et au geotiming, en d’autres termes, la voiture peut désormais avoir des limites de distance et de temps fixées à distance par le fabricant. Les conditions d’utilisation de la mise à jour logicielle précisent que ces restrictions de conduite ne seront activées que si la loi l’exige.

« Cela signifie que vous ne pourrez pas conduire votre voiture au-delà des limites décidées par le gouvernement, donc toutes ces conspirations sur les villes de 15 minutes, les zones et les fermetures climatiques, comment vont-ils les mettre en œuvre ? Eh bien, probablement avec les capacités de géorepérage qui sont intégrées dans ces voitures, en utilisant l’infrastructure qu’ils installent déjà sur les routes avec toutes les caméras et tous les capteurs et toute la nouvelle technologie qui se met en place », a déclaré Geoff.

Hyundai a refusé d’annuler la mise à jour, faisant des contrôles une « fonctionnalité » permanente. Le journaliste automobile a précisé que toutes les voitures modernes ont la capacité de le faire, de sorte que même si le logiciel d’une voiture ne permet pas actuellement de restreindre la distance de conduite, l’emplacement des trajets, les temps de déplacement autorisés et même la conduite autonome, ce contrôle peut être ajouté à une date ultérieure.

« Certaines voitures de tous les jours sont déjà entièrement autonomes, la technologie est déjà présente dans les voitures, elles n’ont simplement pas encore été mises en marche », a déclaré Geoff.

Le journaliste automobile poursuit en expliquant comment cette technologie peut être utilisée pour empêcher les gens de conduire leur voiture le dimanche, éventuellement pour les empêcher d’aller à l’église, sous prétexte de « sauver la planète » dans le cadre d’un futur blocage climatique, avant de terminer la vidéo en pointant la caméra vers une traînée d’aérosol atmosphérique (chemtrail) et en disant ironiquement « elle est bien bonne, n’est-ce pas ».

Cette nouvelle technologie de surveillance et de contrôle est également exploitée par les assureurs automobiles. WSB-TV a récemment fait état d’une Américaine qui a vu sa prime d’assurance augmenter de 80 % après que sa Chevrolet Camero de la génération actuelle a commencé à télécharger des centaines de pages d’informations sur ses habitudes de conduite à Chevrolet, qui les a ensuite vendues à des courtiers en données, qui les ont ensuite achetées à de grandes compagnies d’assurance.

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Google - tyrannie

Le Media en 4-4-2Google : à partir du 22 mai 2024, suppression de contenu et de comptes

Le Media en 4-4-2 - 20 avr 2024

Google se réserve le droit de prendre des mesures contre les utilisateurs qui ne respectent pas les conditions d’utilisation, allant de la suppression de contenu à la suspension ou la clôture du compte.

   

La loi anti-sectaire va faire du mal aux utilisateurs de Google, c'est-à-dire à peu près tout le monde. Google se réserve le droit de modifier et supprimer votre compte. Ne pas obéir aux fameuses « règles de la communauté » pourra même vous mener en Justice. Le naufrage de la liberté d'expression et d'information est annoncé. Pile pour la campagne aux élections européennes.

Google détient 93,18 % de la recherche en ligne. Ses nouvelles conditions de censure — pardon, ses nouvelles conditions d’utilisation — impliquent donc d’énormes répercussions dans toute l’Europe. À partir du 22 mai 2024, juste pendant la campagne des élections européennes — comme c’est bizarre ! — Google vous prévient : « […] si vous enfreignez nos conditions d’utilisation, nos recours ne se limitent pas à la suspension ou à la résiliation de votre accès aux services, mais peuvent inclure d’autres réparations en vertu de la loi applicable […] ».
Google sait ce qui est bon pour vous

« Nous poursuivons un programme d’études rigoureux sur les produits. Par conséquent, avant de modifier un service ou de ne plus le proposer, nous examinons attentivement vos centres d’intérêt en tant qu’utilisateur, vos attentes raisonnables, ainsi que leur impact potentiel sur vous et autrui. Nous ne modifions des services ou cessons de les proposer que pour de bonnes raisons. »
D’ailleurs c’est ça ou rien : « Si vous n’acceptez pas ces nouvelles conditions, supprimez vos contenus et cessez toute utilisation de nos services. Vous pouvez également mettre un terme à votre relation avec nous à tout moment en clôturant votre compte Google. » Et la menace se termine par : « Merci d’utiliser les services Google ! » Rompez !
Les sectes, c’est vous, les haineux

La loi « contre les dérives sectaires » vise à « imposer aux fournisseurs d’accès à internet (FAI) et aux hébergeurs de contenus en ligne de concourir à la lutte contre les abus de faiblesse et au délit de sujétion, à l’instar de ce qu’il leur est déjà imposé pour lutter contre le harcèlement scolaire ou moral ou encore la provocation à la haine. » Google se plie donc à la nouvelle législation.

Qualifié de charlatan par Olivier Véran, le Pr Didier Raoult est une des premières cibles de la loi anti-dérives sectaires qui vise, entre autres, les professionnels de santé « déviants ». Les députés n’étaient pas nombreux le jour du vote de la loi. Alors, qui s’y est vraiment intéressé ? qui l’a rédigée et finalement qui a édicté les nouvelles conditions de Google ? Peut-être McKinsey, mais sans aucun doute la secte Pfizer, Rockefeller, JPMorgan, Rothschild, Vanguard, BlackRock & Cie. Alors Google serait victime d’une conspiration sectaire ? Non, car Google appartient à ceux qui sont à l’origine de cette loi. Il en est donc un des responsables. Très officiellement, Google vous prévient : à partir du 22 mai 2024, désormais, la secte, c’est vous ! Et votez bien !

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
Ne leur pardonnez pas ! Ils savent très bien ce qu'ils font.

Réseau InternationalDépopulation : vacciné ou pas, une bonne partie de la population va mourir

Réseau International - 19 avr 2024

D’ici 5 à 10 ans une bonne partie de la population, vacciné ou pas, sera morte de la «vaccination» covid.

   

Le graphène est contagieux et se transmet des vaccinés aux non-vaccinés. Jean-Michel Jacquemin-Raffestin confirme que le vaccin Covid-19 est une arme issue de la DARPA. Ils préparent une pandémie pour 2024. En terrorisant les gens, vs en faites ce que vs voulez, ils ont peur de mourir.

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