Pour Tribune Libre, le 6 mai 2023, Stéphanie Reynaud interviewe Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, conférencière et écrivain, et Olivier Soulier, docteur en médecine, médecin homéopathe, acupuncteur, chercheur et conférencier : ensemble, ils nous parlent du rapport entre médecine et philosophie, des techniques de manipulation des masses, de la dissonance cognitive, de la censure, de la propagande, de l’OMS et autres organismes supranationaux, des projets mondialistes, de l’effondrement de l’Occident, du contrat social de plus en plus malmené depuis quelques années et de tous les signes avant-coureurs d’un totalitarisme qui, insidieusement, est mis en place en France.
Le Pérou fait face à une augmentation inhabituelle des cas de syndrome de Guillain-Barré, une maladie qui provoque une neuropathie aiguë paralysante pouvant entraîner la mort.. En réponse à cette situation préoccupante, le pays d’Amérique latine a déclaré l’état d’urgence sanitaire national pour une période de trois mois.
Selon un communiqué du ministère péruvien de la Santé, « l’urgence sanitaire de niveau national est déclarée pour 90 jours en raison de l’augmentation inhabituelle des cas de syndrome de Guillain-Barré ». Cette mesure concerne les 25 régions du pays, qui compte une population de 33 millions d’habitants.
Le ministre de la Santé, César Vásquez, a déclaré lors d’une conférence de presse : « Nous avons constaté une augmentation significative ces dernières semaines, ce qui nous oblige à prendre des mesures au niveau de l’État pour protéger la santé et la vie de la population ». Cette déclaration d’urgence permettra d’acquérir de l’immunoglobuline pour le traitement des patients atteints au cours des deux prochaines années.
Note de SLT : Selon The Daily Sceptic, cette étude a été retirée en 24h du Lancet. Elle est consultable ici en PDF. Le Dr Harvey Risch, l’un des auteurs de l’étude, a déclaré au Daily Sceptic qu’il considère cela comme une «censure pure dirigée par le gouvernement, même après l’injonction Missouri c. Biden». Dans cette étude «le système d’organes le plus impliqué dans les décès liés au vaccin contre la COVID-19 était le système cardiovasculaire (53 %)» et pour rappel, le chiffre effarant selon cette étude : «240 décès (73,9 %) ont été évalués de façon indépendante comme étant directement attribuables à la vaccination contre la COVID-19 ou y ayant contribué considérablement».
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Ce grand homme a sauvé plusieurs milliers de vies d’enfants et d’adultes en France et en Égypte au début du 20e siècle en utilisant un sérum (Plasma marin) qui porte aujourd’hui son nom.
L’eau de Quinton est une solution liquide dont la composition se rapproche très fortement de celle de l’eau de mer. En effet, la mise au point de celle-ci résulte du travail de René Quinton (1866-1925), qui fit en 1897, le constat que notre plasma sanguin ainsi que les liquides qui entourent nos cellules avaient une composition très similaire a celle de l’eau de mer au niveau de la concentration en oligo-éléments et en minéraux exception faite de l’iode bien entendu.
Ceci pourrait aussi expliquer les excès de mortalité observés depuis le début des campagnes de vaccination.
L'enquête que nous vous présentons a débuté par une intrigante publication de l'ancien banquier suisse Pascal Najadi. L'auteur d'une plainte pénale pour abus de pouvoir contre le président de la Confédération Alain Berset est triplement vacciné et autant de fois remonté contre les autorités sanitaires depuis qu'une analyse de son sang lui a révélé que son corps continue de produire de la protéine spike vaccinale plus de 18 mois après sa dernière injection Pfizer/BioNTech.
Contacté, l'intéressé nous a fourni les résultats du laboratoire ainsi qu'une lettre du Prof. Sucharid Bhakdi confirmant que « les résultats des tests indiquent clairement que M. Najadi souffre d'effets irréparables à long terme provoqués par le produit ARNm injecté fabriqué par PfizerBiontech »
Les analyses sanguines du banquier révèlent la présence de protéine de pointe mais pas de capsules nanolipidiques que l'on trouve dans les injections. Pour le scientifique, ceci indique qu'il ne s'agit pas de protéine de pointe résultant de l'administration d'un « vaccin » mais qu'elle a été produite récemment par le corps du vacciné.
Quelques recherches plus tard, nous trouvons un avocat allemand, Me Tobias Ulbrich, représentant plusieurs clients qui ont également fait analyser leur sang pour arriver aux mêmes conclusions que Pascal Najadi : leur corps produit en permanence de la protéine de pointe, une substance toxique, et personne ne peut leur dire si et quand ça s'arrêtera.
(…) La pandémie que nous croyions survenue ces dernières années ne s’est pas produite soudainement en 2020.
1965 : Dans le cadre de développement de futures guerres bio- chimiques, isolement du corona Virus et choix comme agent pathogène de base en tant que modèle viral infectieux réplicable et modifiable. Au départ il était associé à un simple rhume.
1966 : Premières manipulations génétiques du CoronaV et échanges de données d’expérimentations humaines entre les USA et le royaume uni.
1967 : Premiers essais d’inoculation de coronavirus modifiés à des êtres humains –
La conclusion : succès pathogène (infectieux) immédiat.
Années 70 : La combinaison du corona V à la protéine de pointe spike aboutit à une chimère (modèle moléculaire qui n’existe pas dans la nature)
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L'on parle déjà d'un partenariat "historique" entre l'OMS et la Commission européenne, signé lundi 5 juin à Genève. Une "initiative historique pour renforcer la sécurité sanitaire mondiale", d'après leur propre communiqué.
Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, déclarait lors de la cérémonie de signature : "La pandémie de Covid-19 a montré l'importance des solutions de santé numérique pour faciliter l'accès aux services de santé". Ainsi, il veut faire du pass européen un "bien public mondial".
Ce futur système de certification numérique mondiale devrait, comme le rapporte l'AFP, "contribuer à faciliter la mobilité et à protéger les citoyens du monde entier contre les menaces actuelles et futures pour la santé, y compris pandémies". Or, il ne s'agirait que d'un premier élément.
À plus long terme, le projet n'est ni plus ni moins qu'un réseau mondial de certification sanitaire numérique de l'OMS, qui doit mettre au point "un large éventail de produits numériques pour améliorer la santé de tous". Là, s'ajoute au pass sanitaire le carnet de vaccination numérique.
"Restreindre les libertés individuelles" pour lutter contre les pandémies à venir, c'était déjà le plan affiché par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le temps n’est plus à l’information mais à la communication et le "spinning" (l’angle ou interprétation des faits choisi) en est une pratique constante. L’importance de l’angle choisi permet de créer un biais qui enferme le lecteur ou auditeur dans un certain nombre de biais qui entraînent de "vraies vérités et de faux mensonges".
Et d’ailleurs, pour première preuve de l’enfermement de l’esprit, voyons l’usage de plus en plus croissant de l’Intelligence Artificielle qui telle la réalité virtuelle enferme le lecteur dans un biais de situation.
Autant, au cinéma, on paie un billet pour aller voir une histoire et peu importe si la personne dans la voiture qui conduit à réellement les cheveux au vent ou si elle est dans un studio enfermé à Bobigny, le spectateur sait à quoi s’en tenir.
Mais dans les médias, il devient de plus en plus critique de dépatouiller le vrai du faux, de dépolluer l’information. Pour autant, nos gouvernants devraient savoir que le mensonge visant à masquer leurs agissements est une voie sans issue. Albert Camus le savait : "La vérité jaillira de l'apparente injustice". La vérité ne saurait être éternellement confinée.
Et cette semaine encore nous avons quelques superbes exemples de cette fraude à la communication.
En guise de mise en bouche, un premier exemple est celui de Gabriel Attal, ministre de l'Action et des Comptes publics, qui s’exprime depuis plusieurs jours sur les fraudes liées à la carte Vitale et le nombre de cartes en circulation.
En prévision d’une déclaration prochaine pour une nouvelle fausse pandémie, il était nécessaire de neutraliser les trouble-fête désormais identifiés à l’occasion de la première fausse pandémie à but essentiellement génocidaire. La chasse aux sorciers et aux sorcières était officiellement ouverte contre les Pr Didier Raoult, les Alexandra Henrion-Caude, les Pr Christian Perronne, les Dr Louis Fouché, les Dr Nicole et Gérard Delépine, les Jean-Marc Sabatier, les Pierre Chaillot, les Michel Jean-Dominique et tous les autres qui ont été la voix de l’honnêteté médicale et scientifique.
Des cohortes de fonctionnaires disciplinés et nécessairement décérébrés allaient ainsi débarquer à l’IHU de Marseille avec tambours et trompettes pour une « perquisition » spectaculaire à grand renfort de propagandes sur les médias inféodés au système. Il fallait d’urgence traîner dans la boue, la réputation du Pr Didier Raoult, déployer à tout prix la diffamation, décrédibiliser pour de bon la parole dissidente de ce scientifique et de tous ceux qui le soutiennent, car la proclamation imminente d’une nouvelle fausse pandémie devait obtenir cette fois-ci le résultat escompté.
Pour le programme génocidaire de l’OMS, il n’était plus acceptable que des gens comme Didier Raoult puissent encore avoir le droit à la parole et qu’ils puissent une nouvelle fois être à l’origine d’une résistance qui a empêché les salauds, les ordures et les pervers au pouvoir, d’obtenir ce qu’ils voulaient : un génocide suffisant, satisfaisant, efficace sur les populations maintenues dans un dressage et la croyance au narratif innocent de l’Agenda 2030 (programme pour la dépopulation)…
Les sociétés savantes médicales jouent un rôle crucial dans la promotion des connaissances médicales, l'élaboration de directives cliniques et la formation des professionnels de santé. Cependant, ces institutions sont de plus en plus critiquées pour leurs liens étroits avec l'industrie pharmaceutique, ce qui soulève des questions sur l'objectivité de leurs recommandations. En effet, les sociétés savantes médicales sont responsables de l'élaboration de directives cliniques qui influencent les pratiques médicales à l'échelle mondiale. L'influence de l'industrie pharmaceutique sur ces recommandations est préoccupante, car elle peut entraîner une sur-prescription de médicaments coûteux et potentiellement inutiles, minimiser les approches alternatives non pharmacologiques et négliger les effets indésirables des traitements.
Dès lors, il n’était pas surprenant de les voir s’élever, massivement, contre l’étude rétrospective pré-publiée par les Pr Lagier, Brouqui, Million et Raoult de l’IHU Méditerranée Infection, qui montrait sur plus de 30.000 patients l’impact favorable net sur la mortalité liées à la Covid-19, d’une prescription (réalisée hors AMM) d’hydroxychloroquine et à l’azithromycine.
La fronde pris la forme d’une tribune dans Le Monde, coordonnée par le Pr Molimard du CHU de Bordeaux. Depuis 3 ans, ce dernier s’est illustré dans les médias comme un pourfendeur de toutes formes de traitement de la Covid-19. Ses critiques acerbes (« rien ne marche », « on n’atteint pas les concentrations ») ne sont pas étayées d’éléments probants scientifiques. Il se cantonnerait derrière des publications, qu’il avait la possibilité de critiquer objectivement, et de les interpréter à son gré avec moult biais qui entrainent une désinformation des lecteurs ou auditeurs. Il est aussi grand fervent des vaccins (« on ne transmet plus la covid une fois vacciné »), pour le plus grand bénéfice de l’industrie pharmaceutique qui a bien entendu très largement plus à gagner à vendre 20€ (et parfois bien plus) un vaccin expérimental à 6 milliards de personnes qu’à vendre à quelques centaines de millions un traitement à 2€. Le bénéfice pour l’industrie, le risque pour le patient. En outre, le Pr Molimard est pharmacologue et médecin, il a donc un double diplôme. Le consentement libre et éclairé, les conventions d’Helsinki et d’Oviedo ne devraient avoir aucun secret pour lui. De plus, en respect de son serment d’Hippocrate, il lui était demandé de respecter le patient.
La base de données https://transparence.sante.gouv.fr, consultée via le site eurosfordocs.fr, comptabilise le montant des avantages perçus de l’industrie pharmaceutique. Les sommes comptabilisées le sont pour les sociétés savantes signataires de ladite tribune, mais également pour leurs représentants à titre individuel au cours des 4 dernières années. Les montants rapportés ne comptabilisent pas les conventions où les montants ne sont pas déclarés.
Les résultats sont édifiants...
Comme le fait remarquer l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel, ce qui déclenche l’ire des promoteurs du covidisme, c’est bien sûr la parution de cette étude rétrospective, qui montre l’efficacité du « protocole Raoult », mais aussi, et peut-être surtout, la mise en ligne de l’intégralité des données de l’IHU sous-tendant l’article, soit les données brutes de tous les patients soignés pour un covid par le professeur et ses collègues. Un matériau inaltérable et accessible, qui fait à lui seul la lumière sur l’incurie, au bas mot, des dirigeants du coup d’État sanitaire et de leurs lieutenants médiatico-« scientifiques ». (E&R)
Oui les compagnies pharmaceutiques fabriquent désormais tous les vieux vaccins sous la formule d’ARNm ! Chaque gouvernement est obligé d’acheter 10 injections par personne, homme, femme ou bébé, dans chaque pays ! C’est le nouveau plan de dépopulation. Mieux, après avoir détruit notre système immunitaire, ils vont rendre le peuple d’esclaves dépendant de traitements (payants) pour pouvoir survivre ! – ce qui ne sera évidemment possible qu’aux riches…
Encore une fois comprenez que TOUS LES VACCINS, quels qu’ils soient, nouveaux ou “anciens”, SERONT DÉSORMAIS à ARNm (même ceux obligatoires pour les nourrissons)
C’est un coup d’Etat invisible impitoyable en cours. Nous savions qu’il allait arriver et il prend forme – (Hervé Juvin député européen) – Mais cet abominable nouveau crime contre l’humanité peut encore échouer si tout simplement tout le monde dit dès maintenant : NON