L’Amazonie : 390 milliards d’arbres, plusieurs millions d’espèces d’insectes, un nombre incalculable d’oiseaux, de mammifères et de reptiles, pour certains encore inconnus de l’être humain. Un trésor de biodiversité qui, malheureusement, s’effondre. Selon un rapport publié le 6 septembre par un regroupement d’organisations environnementales amazoniennes (RAISG) et la Coordination des organisations indigènes du bassin amazonien (Coica), la forêt pluviale a atteint son « point de bascule ». Certaines zones commencent déjà à se transformer en savane.
Toute donnée qui contredit le récit du changement climatique causé par l’homme est entourée d’une machine à opinion qui soit rejette l’information, soit l’occulte dans un déluge de propagande sur le réchauffement climatique, inoculant au lecteur, bien avant qu’il n’ait la chance de digérer la nouvelle, que le changement climatique n’est peut-être pas si évident que cela.
Chaque fois que des températures élevées sont signalées aux États-Unis ou en Europe, la nouvelle est extrapolée par les médias et donne lieu à des théories délirantes d’apocalypse climatique, mais l’histoire météorologique suggère que la panique est fabriquée plutôt que justifiée.
Nous prenant pour des débiles mentaux profonds ou des séniles précoces, il nous a expliqué qu’en coupant toutes les veilleuses de nos appareils électriques, nous pouvions économiser 15 % de notre consommation. Faux, nous économiserions alors 2 à 3 %.
Le même nous a expliqué qu’en remplaçant nos lampes traditionnelles par des lampes à économie d’énergie, nous pouvions économiser 30 à 35 % d’énergie. Faux c’est de 4 à 5 % que l’on peut économiser.
Il est temps d’arrêter de nous rabâcher tous les soirs à la météo « c’est bon pour la planète », parce que là, on ne sait plus trop où est le bien et le mal, et on va finir par penser que ceux qui donnent des conseils sont, en plus d’être malhonnêtes ou incompétents, les plus dangereux.
En 2021, ils ont consommé quatre à sept fois plus d’eau que ce qui avait été consigné dans les engagements, soit 84 millions de litres d’eau potable.
Les centres de stockage de données, plus communément appelés "data centers", sont les lieux où sont regroupés tous les équipements et constituants d’un système d’information. Occupé par Microsoft, le site de Middenmeer s’était engagé à ne consommer qu’entre 12 et 20 millions de litres d’eau potable par an, en accord avec la municipalité de Hollands-Kroon.
Or, bien que l’information ait été classifiée, le média local Noordhollands Dagblab a eu accès aux chiffres réels, et a révélé que 84 millions de litres d’eau ont été dépensés pour l’année 2021. Dans le détail, l’enquête indique que Microsoft a consommé 75 millions de litres d’eau pour refroidir ses centres de données, et neuf millions de litres pour d’autres usages.
Créée en 2013, l’association Feuillandrôle se donne pour objectif de promouvoir les initiatives écologiques et autonomes, et en particulier de retrouver le lien avec la nature à travers la connaissance des plantes sauvages et les pratiques naturelles.
Elle est actuellement animée par Françoise Philidet, herbaliste, formatrice et conférencière, diplômée de l’ELPM (École Lyonnaises des Plantes Médicinales). Depuis 25 ans, en Savoie au sein de l’association Calenduline et dans l’Hérault, avec l’association Feuillandrôle, elle a formé des centaines de personnes désireuses de renouer avec le monde végétal ou de parfaire leurs connaissances des plantes. Son passé d’enseignante puis d’agricultrice en biodynamie ainsi que ses engagements écologiques et dans le domaine de la santé lui permettent de proposer une vision globale de l’homme et du monde vivant. Des intervenants de la région ou d’ailleurs la rejoignent régulièrement pour proposer des stages autour du bien-être et des savoirs naturels.
Nous avons même l’impression, à la visualisation de cette vidéo, que la sécheresse de 1976 était largement plus grave que ce que nous vivons aujourd’hui et pourtant l’industrie de l’époque était beaucoup moins dense et intense qu’ aujourd’hui. À l’époque, la population mondiale dépassait à peine les 3 milliards et la Chine ne possédait par l’industrie actuelle. Il y avait infiniment moins de véhicules, d’avions dans le ciel et de bateaux, sans oublier la consommation électrique qui a explosé depuis.
Non sans risque pour la santé humaine et l’environnement, ces substances toxiques, qui appartiennent à une famille chimique composées de plus 9000 sous-produits hautement persistants dans la nature, sont régulièrement associés à de nombreux problèmes de santé et maladies graves. Alors que les limites fixées pour garantir la protection de la santé humaine et de l’environnement ont déjà été dépassées, il est essentiel d’adopter un moratoire ambitieux visant à assurer leur interdiction générale à échelle mondiale.
Au total, l’équipe a enregistré 114 incidents dans 23 pays entre avril 2020 et décembre 2021, avec une majorité importante de rencontres impliquant des oiseaux.
Les animaux les plus fréquemment signalés comme étant pris dans des EPI étaient des oiseaux, les cygnes tuberculés étant les plus souvent repérés.
« Il est crucial que nous identifiions les possibilités d’améliorer nos infrastructures de gestion des déchets, afin de prévenir des fuites similaires lors des inévitables futures pandémies »
Des décennies de recherche ont déjà prouvé que l’exposition aux rayonnements des tours cellulaires ainsi que d’autres sources de rayonnement sans fil est biologiquement nocive.
Des personnes aux États-Unis et dans le monde entier continuent de signaler des symptômes et des maladies après l’installation et l’activation d’infrastructures 5G et/ou 4G à proximité d’elles (voir 1, 2, 3, 4, 5, 6). Certains engagent des actions en justice pour désactiver les tours et arrêter le déploiement (voir 1, 2, 3, 4). Félicitations aux habitants de Mahopac, dans l’État de New York, qui ont empêché l’installation d’une tour cellulaire dans leur quartier.
Et pourtant le monde continue, regardant, mais aveugle, écoutant, mais sourd, prenant le silence pour du confort, les flammes qui avancent pour un avenir radieux.
Sur l’île néerlandaise de Texel, qui se trouve à l’extrémité sud d’une ligne d’îles séparant la mer des Wadden de la mer du Nord, une importante colonie de reproduction d’oiseaux marins appelés sternes de Sandwich (« grandes sternes » en néerlandais) a fait la une des journaux le mois dernier en mourant. Sur les 7 000 oiseaux qui nichaient dans la réserve naturelle de De Petten jusqu’à la fin mai, il n’en restait plus aucun à la mi-juin. 3 000 cadavres d’oiseaux ont été collectés, les autres étant morts ou ayant abandonné leur nid.
Depuis plusieurs décennies, les pullulations de méduses se multiplient à travers le monde. Lors de « blooms », des invasions, il arrive qu’elles dévorent les larves d’autres espèces, réduisant leur population à peau de chagrin.
L’un des exemples le plus illustres est celui du courant de Benguela, au large de la Namibie. La biomasse de méduses y a explosé depuis les années 1990. En 2006, elle était estimée à 13 millions de tonnes, soit trois fois celle des poissons de la région.
Cette zone autrefois productive est aujourd’hui une « ville fantôme », les méduses y ont supplanté la grande majorité des autres organismes vivants.
« Les méduses sont comme des germes dans une blessure ouverte, qui provoquent une infection. Elles ne sont qu’un symptôme. Un drapeau rouge, le signal d’alarme montrant que les océans sont en détresse. »