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Linky for never

Le Media en 4-4-2Compteur Linky, obligatoire mais sans installation forcée

Le Media en 4-4-2 - 08 avr 2025

Comment résister en toute légalité ? Me David Guyon

   

Le compteur Linky, sujet de nombreuses polémiques, est bel et bien obligatoire. Cependant, son installation ne peut être imposée par la force. Maître David Guyon dans les subtilités de cette obligation légale qui divise.

Le compteur Linky est déployé massivement depuis 2015 sur le territoire national. Bien que son installation soit obligatoire, les citoyens ne peuvent être contraints de l’accepter chez eux. Cette nuance juridique soulève des questions sur la protection de la vie privée et la sécurité énergétique. Enedis, gestionnaire du réseau électrique, se trouve ainsi face à un dilemme : assurer la continuité énergétique tout en respectant le domicile privé.

Les opposants au Linky invoquent des raisons de santé publique et de sécurité, tandis que les partisans mettent en avant les avantages économiques et écologiques. La question reste ouverte : comment concilier obligation légale et respect des libertés individuelles ?

Le compteur Linky
Plus cher
L’investissement de 5,7 milliards d’euros a été intégralement répercuté sur la facture des consommateurs. C’est le cadeau de la France et de l’Europe à Atos et Enedis en échange de l’installation de 35 millions de compteurs Linky.
Gourmand en énergie
Les gains réels en termes d’économies d’énergie sont estimés à seulement 1 % de la consommation. Le rapport de la Cour des Comptes a estimé que le dispositif profite principalement à Enedis en raison des économies importantes sur les opérations de relève et de maintenance. Des gains estimés à plusieurs centaines de millions d’euros par an.
Polluant
Les nouveaux compteurs Linky ont nécessité l’utilisation de ressources comme des métaux rares et des composants électroniques pour leur fabrication. Leur durée de vie est estimée entre 15 et 20 ans, contre 60 ans pour les anciens compteurs électromécaniques.

par Yoann

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chemtrails ban

Le Media en 4-4-2Opération Skywatch

Le Media en 4-4-2 - 05 avr 2025

La Floride est le 12ᵉ État américain à vouloir interdire les chemtrails

   

Le ministre de la Santé américain Robert Kennedy JR a lancé l'Opération Skywatch. Objectif : mettre fin aux épandages et poursuivre les responsables. La force opérationnelle a reçu l'autorisation légale de saisir des avions, d'arrêter des pilotes et d'assigner à comparaître les laboratoires et institutions responsables de la dispersion de produits chimiques. Pendant ce temps-là, en France, l'omerta continue à régner. Gouvernement, élus et surtout médias veillent à ridiculiser ceux qui s'inquiètent du danger d'empoisonnement.

Les poisons tombés du ciel
L’épandage d’aluminium, de baryum et de strontium sur des populations civiles n’est plus considéré comme une simple accusation, mais comme un acte de terrorisme environnemental. Selon des rapports de laboratoires indépendants, des régions des États-Unis présentent des niveaux élevés de métaux toxiques, compatibles avec une exposition à des produits chimiques aérosolisés. Parmi ces métaux figurent l’aluminium, le baryum et le strontium, tous liés à des lésions neurologiques, des maladies respiratoires et la destruction des sols.

Projets de loi contre les manipulations climatiques
La sénatrice républicaine de Floride Iliana Garcia vient de déposer un projet de loi contre la géo-ingénierie (donc les chemtrails). Le Tennessee (qui a voté Trump à 64,2 % en 2024) a adopté un projet de loi en 2024 qui interdit la géo-ingénierie et la modification du climat. Arizona, Kentucky, New Hampshire, Minnesota, Rhode Island, Pennsylvanie, Dakota du Sud, Mississippi, Utah, Wyoming, ont également déposé des projets de loi.

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Stratpol : bulletin n°232

StratpolXavier Moreau – Trump’s taxes, Défaite otano-kiévienne

Stratpol - 04 avr 2025

STRATPOL : Bulletin n° 232 de Xavier Moreau

   

Au sommaire de ce deux cent trente-deuxième bulletin :

00:00 – Géopolitique profonde
• Ce qui nous a plu : Le Grenier de l’éco
• Condamnation de Marine Le Pen

07:43– Économie :
• Trump’s taxes
• Bloc asiatique
• Percées technologiques chinoises
• Robotisation russe
• Flotte fantôme russe
• Force de Sibérie 2

16:42 – Politico-diplomatique :
• Nouvel ambassadeur de France à Moscou
• Wang Yi à Moscou
• US vs « le reste du monde »

22:30 – Empire du mensonge :
• Médias-mensonges
• Moment bunker : New York Times

26:10 – Armement :
• F-35 pour tous

27:53 – Considérations militaires générales
• De l’impossibilité d’une trêve
• De l’impossibilité d’un accord avec Kiev

30:25 – Carte des opérations militaires

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le G7 face au Trumpisme

VoltairenetLes institutions intergouvernementales face à la fin de « l’Empire américain » ?

Voltairenet - 02 avr 2025

Le bouleversement auquel nous assistons avec le Trumpisme touche à la fois les États-Unis, les relations nationales et la vie politique intérieure de leurs alliés.

   

Il peut sembler étrange que des dirigeants européens critiquent le président des États-Unis pour sa politique dans son pays, en violation du principe de non-ingérence dans les affaires intérieures d’un pays étranger. Cependant, s’ils ne souffrent pas de ses réformes chez lui, ils endurent les conséquences inavouables qu’elles provoquent chez eux. Celles-ci ne font que commencer.

a période que nous vivons, avec le rapprochement des États-Unis et de la Russie, bouleverse l’échiquier politique mondial. Ce faisant toutes les institutions intergouvernementales sont perturbées. Il apparait que certaines d’entre elles répondaient à un objectif officieux, que tous se gardaient bien d’énoncer publiquement, mais qui ne résiste pas aux évolutions du temps. D’autres menaient des actions contraires à leurs objectifs officiels, ce qui ne gênait guère lorsque tous leurs membres étaient d’accord entre eux, mais paraît aujourd’hui insupportable. En définitive, le multilatéralisme, tel qu’il était pratiqué, était tout, sauf multilatéral.

Le G7 et l’OTAN ne fonctionnent déjà plus
La coordination politique de « l’Occident » était assurée par le G7, un ensemble de réunions à tous les niveaux, qui élaborait un discours commun. Or, lors de la réunion virtuelle des chefs d’État et de gouvernement du 24 février 2025, le président des États-Unis, Donald Trump, a refusé de signer le communiqué final et a menacé ses partenaires de quitter le G7 s’ils le publiaient sans son accord.

Depuis un mois, les réunions du G7 se déroulent sans les États-Unis. Ainsi, lors de la réunion virtuelle du 28 mars des conseillers de sécurité nationale, à laquelle l’Ukraine était associée, l’États-unien, Michael Waltz n’y a pas participé.

Force est de constater qu’il n’y a plus de coordination politique de « l’Occident ». Par conséquent, il n’y a plus, non plus, de coordination militaire.

Les Français et les Britanniques, d’abord en concurrence, puis d’un commun accord et en concertation, ont lancé une série de rencontres des chefs d’État et de gouvernement alliés. Ils cherchent à assurer la sécurité du continent sous les parapluies nucléaires français et britannique. Mais, en l’état, cette idée ne peut pas fonctionner car le problème a été mal posé.

En effet, pour le moment, ils interprètent les évènements comme un déplacement des armées des États-Unis d’Europe vers l’Extrême-Orient, alors que le président Trump cherche à mettre fin à « l’Empire américain », à la fois par idéologie —c’est un jacksonien — et par nécessité — il gère la crise de la dette.

Dans l’hypothèse des alliés, il suffirait d’augmenter les dépenses militaires des uns et des autres pour pallier au retrait US alors que, s’il s’agit de la fin de « l’impérialisme américain » comme je le soutiens, ce n’est pas tant le budget de l’Alliance atlantique que son mode d’organisation qui est en cause. Washington ne souhaite plus assumer le commandement de l’ensemble, mais juste montrer la voie.

Or, si les États européens et leurs alliés canadiens, australiens, coréens et japonais, obéissaient tous aux États-Unis, ils ne s’entendent pas pour autant entre eux. L’Histoire du continent européen est une suite sans fin de rivalités, de conflits et de guerres, à la seule exception de l’Empire romain. À l’époque, les populations se sont soumises à Rome pour se protéger des invasions. Dès sa chute, les vikings et les mongols pillèrent le continent. Les empire de Charlemagne, de Charles Quint, de Napoléon ou de Hitler n’ont jamais connus la paix. Aujourd’hui, aucun danger imminent ne pousse les Européens à s’unir. D’où l’invention d’une prétendue menace russe, comme si « l’Armée rouge » se préparait à parader sur les Champs-Élysées.

Il y a deux semaines, le 19 mars, la RAND Corporation, c’est-à-dire le lobby militaro-industriel états-unien, suggérait de créer un « conseil de dissuasion européenne » avec la France, le Royaume-Uni et d’autres États européens clés comme l’Allemagne et la Pologne. Certes, cependant les armes stratégiques nucléaires ne peuvent pas être des moyens de dissuasion en l’absence d’armées conventionnelles solides. Or aucun des Européens n’en a, les armées française et britannique actuelles n’ont pas pour vocation de défendre leurs territoires, mais de se projeter dans des opérations néo-coloniales, principalement en Afrique.

Les gigantesques moyens de l’OTAN sont compromis. Il suffit que les États-Unis ne partagent plus leurs moyens propres pour que plus rien ne fonctionne. Leurs renseignements sur les champs de bataille sont indispensables au fonctionnement des armes qui leur ont été achetées. Par ailleurs, s’ils ne souhaitent pas être impliqués dans un conflit, ils devront bloquer l’usage des armes lourdes qu’ils ont vendues, des blindés aux avions. Ce qui avait été conçu pour contenir des aventures de certains alliés les étouffe désormais tous.

Au demeurant le même problème se posera avec les armes lourdes vendues par la France et par le Royaume-Uni qui, toutes également, ont été équipes d’inhibiteurs. Paris et Londres devront aussi les bloquer lorsque, après la défaite de l’Ukraine, la Pologne tentera de récupérer la Galicie orientale et que la Hongrie récupèrera la Transcarpathie. Et que deviendra l’OTAN quand la Roumanie tentera de récupérer la Moldavie ?

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interdiction de prier chez soi

Réseau InternationalAu Royaume-Uni, il est désormais illégal de prier chez soi

Réseau International - 31 mars 2025

Les autorités ont envoyé des lettres avertissant les gens que prier à l’intérieur de leur propre maison dans certaines zones tampons pourrait constituer une infraction.

   

Les autorités écossaises ont envoyé des lettres à la population pour la mettre en garde contre une nouvelle loi qui établit une «zone de sécurité» de 200 mètres autour des cliniques d’avortement.

Et cela inclut les domiciles privés.

Des personnes ont déjà été arrêtées au Royaume-Uni pour avoir prié silencieusement dans leur tête sur la voie publique à proximité de cliniques d’avortement.

Désormais, les personnes qui prient à l’intérieur de leur maison privée risquent d’enfreindre la loi si leur maison se trouve à moins de 200 mètres d’une clinique.

Laissez-vous convaincre, c’est incroyablement orwellien.

Une lettre envoyée aux résidents indique que «les activités dans un lieu privé (comme une maison) dans la zone située entre les locaux protégés et la limite d’une zone peuvent constituer une infraction si elles peuvent être vues ou entendues dans la zone et si elles sont faites intentionnellement ou par imprudence».

Les orientations données par le gouvernement écossais mentionnent littéralement les «prêches religieux» et les «veillées silencieuses» comme des activités qui enfreignent cette nouvelle loi. En d’autres termes, la prière silencieuse fait partie des activités interdites.

Les infractions les moins graves à cette nouvelle loi peuvent donner lieu à des amendes de «seulement» 10 000 livres sterling.

En revanche, les infractions plus graves peuvent donner lieu à des amendes ILLIMITÉES. On dirait qu’ils prennent la chose au sérieux !

Le gouvernement veut donc maintenant réglementer les activités religieuses sur les propriétés privées. Cela me semble très tyrannique.

Imaginez un peu. Risquer une amende illimitée pour avoir prié dans sa propre maison si quelqu’un peut l’entendre ou le voir de la rue.

En février, une grand-mère a été arrêtée par la police pour avoir brandi une pancarte sur la voie publique à proximité d’une clinique. La pancarte disait : «La coercition est un crime, ici pour parler si vous voulez». Elle n’a parlé à personne, elle a simplement proposé de parler si quelqu’un le souhaitait.

Bien entendu, les grands médias se sont efforcés de nier que cette nouvelle loi puisse affecter les personnes qui prient dans leur propre maison.

Mais récemment, un membre du parlement écossais à l’origine du projet de loi a admis qu’il pourrait être illégal pour les gens de prier près de la fenêtre de leur propre maison en fonction de «la personne qui passe devant la fenêtre».

C’est incroyable. Voilà donc un homme politique qui déclare qu’il peut désormais être illégal de prier chez soi. Pourquoi cela ne fait-il pas la une des journaux ?

Il s’agit d’une attaque majeure contre la liberté religieuse et la liberté tout court. C’est du jamais vu. C’est du jamais vu, c’est du jamais vu, c’est du jamais vu, c’est du jamais vu.

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source : Peter Imanuelson via Marie-Claire Tellier

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santé mensonges

Le Media en 4-4-2Mensonge sur la santé, ce qu’on vous cache sur les vitamines et les traitements

Le Media en 4-4-2 - 26 mar 2025

Interview en 4-4-2 du Dr Vincent Reliquet

   

Dans cette nouvelle interview de notre journaliste Kate, le Dr Vincent Reliquet, médecin généraliste et auteur engagé, expose les limites imposées par les institutions médicales sur la pratique des professionnels de santé. Il met en lumière des solutions alternatives souvent ignorées, comme la vitamine C, la vitamine D et l’iode, tout en dénonçant les scandales liés aux recommandations officielles.

Le Dr Reliquet, spécialiste en hydrotomie et membre du comité médical de l’Association internationale de médecine scientifique indépendante, critique vivement l’influence des grandes firmes pharmaceutiques sur les pratiques médicales. Il souligne l’importance de la vitamine C, notamment dans le traitement du scorbut, une maladie qui fait un retour inquiétant en France, et déplore le manque d’informations sur les dosages nécessaires.

Il aborde également les vertus anticancéreuses de l’artémisinine, dérivée de l’armoise, et les obstacles politiques et économiques qui empêchent son utilisation. Enfin, il dénonce les carences en vitamine D et en iode, essentielles pour la santé, mais souvent négligées par les autorités sanitaires. Pour le Dr Reliquet, une médecine au service de l’humanité doit se libérer des intérêts financiers pour redécouvrir des traitements naturels et efficaces.

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la pilule contraceptive

Jeanne TraductionLes dégâts de la pilule sur le cerveau ~ Dr Sarah Hill

Jeanne Traduction - 19 mar 2025

En 2010, 45% des femmes utilisaient la pilule contraceptive. Aujourd’hui, elles ne sont plus que 37%. Face à ses effets secondaires, de plus en plus de femmes se tournent vers des alternatives, souvent méconnues.

   

La pilule, symbole de libération pour les femmes dans les années 1970, est aujourd’hui pointée du doigt pour ses risques sanitaires. Le Dr Sarah Hill souligne que si elle a permis aux femmes de planifier leur maternité, elle représente désormais un danger que beaucoup refusent de prendre. Les contraceptifs hormonaux, y compris la pilule, sont accusés de provoquer des effets secondaires importants, allant de la baisse de la libido à des troubles émotionnels.

Pourtant, des méthodes naturelles comme la symptothermie, basée sur l’observation du cycle menstruel, offrent une alternative efficace et sans hormones. Malgré sa complexité apparente, cette méthode redonne aux femmes le contrôle de leur fertilité tout en les reconnectant à leur corps.

Yoann - Le Media en 4-4-2

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Nancy Fraeser

Anguille sous rocheSurveiller et signaler les croyances des citoyens

Anguille sous roche - 18 mar 2025

Le ministère allemand de l’Intérieur et le ministère allemand des Affaires familiales lancent une « Boussole de conseils sur les pensées conspirationnistes » pour surveiller et signaler les croyances des citoyens.

   

Dénoncez votre famille pour ses idées fausses, demande une initiative du gouvernement allemand.

Le ministère allemand de l’intérieur, dirigé par Nancy Faeser – connue pour avoir interdit des médias – et le ministère fédéral de la famille, des personnes âgées, des femmes et de la jeunesse ont lancé un projet intitulé « Boussole de conseils sur la pensée conspirationniste ».

Le centre a pour mission de conseiller toute personne qui « soupçonne ses amis ou les membres de sa famille d’être victimes de théories conspirationnistes », selon le ministère de l’intérieur.

Cela ne s’invente pas, et les autorités allemandes actuelles ne sont pas des pionnières en la matière. Sous une forme ou une autre, la politique « l’espionnage commence à la maison », qui consiste à inciter les gens à faciliter le travail de surveillance de la population par l’État, a déjà existé par le passé.

Mais il est inquiétant de constater que c’était sous certains des régimes les plus répressifs de l’histoire récente.

Aussi sérieux que soit le sujet, il est hilarant de constater que le mot allemand pour « conseil » se trouve être « rat ».

M. Faeser a choisi de qualifier d’« holistique » cette approche et l’inclusion du centre de « conseil » dans la lutte globale menée par l’Allemagne contre ce que les autorités considèrent comme de l’extrémisme et de la désinformation.

Faeser a choisi de justifier le projet en liant la question des théories du complot à la désinformation et au mensonge et, comme il en a pris l’habitude ces dernières années, en attribuant un pouvoir immense à ces phénomènes (« Elles sont diffusées délibérément pour diviser notre société et détruire la confiance dans la science indépendante, les médias libres ou les institutions démocratiques »).

A partir de là, Faeser émet l’hypothèse que les théories du complot « peuvent » conduire à l’extrémisme, à la criminalité et à la violence.

Elle explique ensuite pourquoi il est important de surveiller ses proches et de les signaler aux autorités si le premier élément de cette longue chaîne de « préjudices » réunis – à savoir les théories du complot – est détecté.

Faeser fait remarquer que les gens connaissent le mieux les membres de leur famille et leurs amis, et sont donc les mieux placés pour savoir ce qu’ils pensent (il s’agit, après tout, de contrôler la pensée des citoyens, et non leurs actions).

Mais que faire si une personne de votre entourage pense différemment et ne peut être persuadée de changer d’avis et d’être d’accord avec vous ? Peut-être la laisser réfléchir à ce qu’elle aime ?

Pas selon Mme Faeser et ses alliés politiques et associatifs. C’est pourquoi le « point de contact Compass on Conspiracy Thinking » est désormais à la disposition des citoyens dans toute l’Allemagne.

« Le premier rendez-vous est un premier conseil anonyme et une évaluation des besoins individuels », explique un communiqué, qui ajoute : « Si la première consultation révèle un besoin de conseil à plus long terme, le processus de conseil ultérieur est transmis à un centre de conseil local. »

Nancy Faeser

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La semaine de Naïm - Macron en guerre 2

NaïmTintin veut faire la guerre Partie 2

Naïm - 17 mar 2025

Naïm de plus en plus tranchant.

   

La semaine de Naïm

«Macron a chargé Bayrou de trouver le financement pour la guerre parce que… c’est urgent. Et ça c’est vraiment la preuve qu’il n’y a pas de menace russe parce que quand ta vie est vraiment menacée, t’appelles pas Bayrou»

Naïm

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Macron veut l'épargne des Français

RT FranceMacron ne veut pas (vraiment) la guerre, il veut l’argent des Français

RT France - 14 mar 2025

Alors qu'Emmanuel Macron affole les Français avec des déclarations bellicistes envers la Russie, complaisamment relayées et appuyées par les médias subventionnés, il faut voir en parallèle le déplacement de la fenêtre d’Overton sur certains sujets liés à l’argent des Français, estime l'analyste géopolitique Alexandre Regnaud.

   

Le meilleur indice de la crédibilité des déclarations militaristes de Macron est encore de faire un point sur l’état de l’armée française.

Malgré un budget de la Défense de 50,5 milliards d’euros en 2025 (+7% par rapport à 2024), l’inventaire à la Prévert des difficultés de l’armée française est impressionnant. Une grande partie du matériel est en voie d’obsolescence, y compris les chars Leclerc. La flotte de la Marine nationale est insuffisante, avec des retards dans le programme des frégates de nouvelle génération FDI. L'armée de l’Air voit ses chasseurs Rafale et hélicoptères Tigre souvent cloués au sol faute de pièces détachées ou de budgets de maintenance. Les programmes de modernisation (MGCS, SCAF) sont tous en retard faute de financement.

En plus de manquer de moyens, l’armée manque d’hommes et de compétences. D’après les chiffres du ministère de la Défense, ce sont environs 10 000 personnes qui manqueraient par rapport aux objectifs. Un personnel difficile à fidéliser, avec un taux de départ en hausse constante de 6%. En cause, d’après plusieurs «Rapports annuels sur l'état de la condition militaire» de ces dernières années, la qualité des recrues. Beaucoup s’engagent faute de trouver un emploi ailleurs dans un pays en crise. Cela amène un manque de motivation, mais aussi des problèmes de plus en plus fréquents de discipline, voire de drogue et d’alcool dans certaines unités. S’ajoute encore un niveau d'éducation des recrues en baisse, en particulier dans les unités non spécialisées, rendant parfois compliquée l’utilisation du matériel de plus en plus sophistiqué ou la simple compréhension des tâches à accomplir.

Il y a bien entendu chez Macron le côté pathologique, l’homme qui aime se déguiser en militaire, se mettre en scène en chef suprême des armées, se fantasmer en leader de l’Europe… mais cette réalité, qu’il ne peut ignorer tant elle est rapportée officiellement, nous amène à chercher d’autres explications.

On le sait, la situation économique de la France est catastrophique : 3 300 milliards d’euros de dette et l’agence Standard & Poor’s qui fait passer de «stable» à «négative» la note de la France, l’étape suivante étant la perte du AA, et donc une augmentation drastique du taux d’emprunt, vital pour un pays qui vit à crédit. Il y a donc un besoin urgent d’injecter de l’argent frais pour créer de la croissance, notamment via le secteur économique de la Défense, et pour cela de toucher au dernier trésor intact disponible : les 6 000 milliards d'euros (chiffres 2025 de la Banque de France) de l’épargne des Français.

La piste de François Bayrou d’un emprunt national pour la Défense est peu crédible. Avec un rendement plus faible qu’un placement classique, on voit mal les masses s’y précipiter.

Autre solution envisagée, la création d’un livret d’épargne spécifique, affecté à la Défense, voire d’une réorientation de l’utilisation des fonds des livrets réglementés. La propagande médiatique est déjà subtilement en marche pour faire accepter cette évolution aux Français.

Mais qui peut croire que ces solutions seront suffisantes, au vu de l’état actuel de l’armée française et des sommes nécessaires, ne serait-ce que pour la remettre à flot ? Sans parler d’un engagement dans un conflit de haute intensité. La mise sous stress de la population par une menace de guerre imaginaire vise davantage à lui faire accepter cette première étape de l’utilisation de son épargne par l’État, et surtout à façonner l’opinion publique pour aller éventuellement plus loin. C’est ce que l’on appelle le déplacement de la fenêtre d’Overton.

Il faut alors se souvenir que pour répondre à la crise financière, à Chypre en 2013, les dépôts excédant 100 000 € ont subi une ponction allant jusqu’à 60% pour sauver le système bancaire. Un mécanisme ensuite transcrit dans la directive européenne BRRD de 2014 et dans le droit français en 2016. Cela a donc déjà existé.

Il est alors parfaitement possible d’envisager, une fois l’opinion bien préparée, la mise en place de mécanismes similaires, à destination de l’épargne, sous prétexte d’une guerre fantasmée, pour essayer de remettre à flot une barque européenne et française en train de couler. Ce n’est pas vraiment la guerre qu’ils veulent, ils n’en ont pas les moyens, c’est de l’utiliser comme prétexte pour se servir dans l’argent des épargnants. Mieux vaut être prévenu et prendre des dispositions dès maintenant pour faire échouer leurs plans.

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La fin de l'empire américain ?

VoltairenetDonald Trump gère-t-il le possible effondrement de « l’empire américain » ?

Voltairenet - 13 mar 2025

Depuis un mois, l’accumulation d’évènements critiques autour des États-Unis, de l’Ukraine et de l’Union européenne est difficile à interpréter car chaque puissance avance masquée.

   

Les dirigeants européens assument un air stupide en assurant persister à soutenir les nationalistes intégraux ukrainiens alors que Washington et Moscou sont déjà convenus d’un accord de paix. Cependant, il est possible que les sommets diplomatiques cachent un autre enjeu : la prévention d’une crise économique majeure en Occident. Dans ce cas, Washington doit terroriser ses alliés pour les contraindre à éponger ses dettes.

a dédollarisation, c’est-à-dire le fait de n’utiliser le dollar qu’au plan national états-unien et non plus dans les échanges internationaux, est le serpent de mer de la finance. Cependant suite aux mesures coercitives unilatérales que les États-Unis ont imposées à leurs alliés, d’abord contre l’Iran, puis contre la Russie (mesures abusivement qualifiées de « sanctions » par la propagande atlantique), la Russie a créé un Système de transfert de messages financiers (SPFS), la Chine le système de paiement interbancaire (CIPS) et l’Union européenne l’Instrument européen d’appui aux échanges commerciaux (INSTEX). Il s’ensuit que l’usage du dollar a reculé d’environ un quart dans les échanges internationaux.

Or, la dette publique des USA atteint aujourd’hui la somme astronomique de 34 000 milliards de dollars, dont seulement un tiers est détenu par des investisseurs étrangers, selon Forbes [1]. Si certains créanciers des États-Unis, principalement la Chine et l’Arabie saoudite, demandaient à être remboursés, une gigantesque crise économique surviendrait comme en 1929.

De nombreux économistes mettent régulièrement en garde face à cette perspective. Cependant, selon Jon Hartley de la Hoover Institution, les banques centrales n’ont pas réduit la part du dollar dans leurs réserves de devises depuis la guerre en Ukraine. Pourtant, le 20 février, une visioconférence de l’analyste Jim Bianco, reprise par l’agence Bloomberg [2], a relancé les inquiétudes. Selon cet analyste, l’administration Trump suit un plan, « l’Accord Mar-a-Lago ». Elle entend restructurer radicalement la charge de la dette des USA en réorganisant le commerce mondial via les droits de douane, en dévaluant le dollar et, en fin de compte, en réduisant le coût des emprunts, le tout dans le but de placer l’industrie états-unienne sur un pied d’égalité avec celle de ses concurrents dans le reste du monde.

L’idée de « l’accord de Mar-a-Lago » renvoie à un article de Stephen Miran du Manhattan Institute [3] ; or Miran a été désigné par le président Trump pour présider le Conseil des conseillers économiques (CEA) de la Maison-Blanche et lui-même, Donald Trump, a prononcé, le 22 janvier à Davos, un discours lors du Forum économique mondial qui semble aller en ce sens.

L’expression « accord de Mar-a-Lago » fait référence à « l’accord du Plaza » lorsque, en 1985, les États-Unis mirent en œuvre une politique d’affaiblissement de leur monnaie afin de relancer leurs exportations. Dans la pratique, les mécanismes financiers ayant mal été maîtrisés, l’économie des États-Unis redémarra en provoquant une très grave récession au Japon.

Les 21 et 22 janvier, Donald Trump avait réuni les banquiers centraux et ministres des Finances du G7 dans sa résidence de Mar-a-Lago. Il les aurait accueillis en leur disant : « Personne ne sortira de cette pièce tant que nous n’aurons pas trouvé d’accord sur le dollar. » [4]. L’accord en question aurait donc été approuvé par les alliés.

L’idée principale serait que le Trésor US émette des obligations d’État qui ne paient pas d’intérêts (ce que l’on appelle des « coupons zéro ») et qui n’arriveraient pas à maturité avant un siècle (c’est-à-dire qui ne pourraient pas être échangés contre de l’argent liquide avant 100 ans). Washington devrait donc forcer ses alliés à convertir leurs créances en « coupons zéro ».

Si nous acceptons cette analyse, nous devons réinterpréter diverses actions du président Trump, en matière de droits de douane ou lors de la création d’un fond souverain. Elles ne paraissent plus aussi erratiques que le décrit la presse internationale, mais au contraire très logiques.

Nous devons donc envisager que Donald Trump tente de gérer le possible effondrement économique de « l’empire américain » de Joe Biden comme Iouri Andropov, Konstantin Tchernenko et Mikhaïl Gorbatchev ont tenté de gérer celui de « l’empire soviétique » de Léonid Brejnev.

Je suis d’autant attentif à cette hypothèse que, selon moi, le coup d’État du 11 septembre 2001 n’avait d’autre but que de repousser l’effondrement prévisible de « l’empire américain ». Les deux dernières décennies n’ont été qu’un sursis qui, loin de résoudre le problème, ne l’ont rendu que beaucoup plus complexe.

Souvenons-nous : en 1989, le Russe Mikhaïl Gorbatchev, premier secrétaire du parti communiste de l’Union soviétique, décide de réduire les dépenses de l’État. Il arrête brutalement l’aide aux alliés de l’URSS et rend à chacun sa liberté. Simultanément, les Allemands de l’Est renversent le Mur de Berlin, tandis que les Polonais élisent des membres de Solidarność à la diète et au sénat. C’est la fin de l’impérialisme de l’Ukrainien Léonid Brejnev qui, en 1968, avait imposé à tous les alliés de l’URSS d’adopter, de défendre et de préserver le modèle économique de Moscou.

C’est probablement ce à quoi nous assistons aujourd’hui : Donald Trump, président des États-Unis, dissout « l’empire américain » comme il avait tenté de le défaire en 2017 [5]. Le 28 juillet 2017, il avait réorganisé le Conseil national de sécurité en liquidant les sièges permanents du directeur de la CIA et du président du Comité des chefs d’états-majors. Il s’ensuivit trois semaines de guerre à Washington et, en définitive, la démission du Conseiller national de sécurité, le général Michael T. Flynn. Ce dernier, qui a disparu des radars, est en réalité aujourd’hui toujours actif et organise des réunions à Mar-a-Lago pour les opposants des pays alliés.

Cette fois, prudemment, le président Trump endort son opinion publique en évoquant l’annexion de tout le plateau continental nord-américain, du Groenland au canal de Panama, tout en liquidant la guerre en Ukraine et l’Union européenne.

Si mon hypothèse est juste, nous ne devons pas croire un mot des menaces d’annexion de nouveaux territoires, comme le Canada, et ne pas imaginer que les États-Unis se retirent militairement d’Europe pour se confronter avec la Chine, mais admettre qu’ils abandonnent militairement leurs alliés européens. Nous constatons qu’ils lâchent l’Allemagne et s’en remettent à la Pologne pour organiser l’Europe centrale, fusse en laissant Varsovie annexer la Galicie orientale (actuellement ukrainienne). Identiquement, nous devons nous préparer à voir les États-Unis abandonner leurs alliés moyen-orientaux, à l’exception d’Israël. Effectivement, ils viennent de reprendre les livraisons d’armes à Tel-Aviv et de débuter des pourparlers secrets avec l’Iran via Moscou. Ils laissent l’Arabie saoudite et la Türkiye se partager le monde arabe.

La concurrence que se livrent Paris et Londres pour prendre la tête de la défense européenne ne doit donc pas être comprise comme une opposition à la paix en Ukraine. Ni les armées françaises, ni les britanniques, n’ont d’ailleurs la possibilité de se substituer au soutien militaire de Washington. Il s’agit plutôt de déterminer le rôle que les deux capitales joueront par la suite dans le continent. Emmanuel Macron, président français, espère développer son concept de défense autour de la force de frappe française, tandis que Keir Starmer, Premier ministre britannique, entend tirer la situation à son profit. Le premier est conscient que l’Union européenne, autour de l’Allemagne, se délite et que le président Trump lui préfère « l’Initiative des trois mers », autour de la Pologne. Il pourrait donc réveiller le Triangle de Weimar (Allemagne/France/Pologne) pour conserver une marge de manœuvre. Tandis, qu’à partir de la même analyse et compte-tenu de l’effacement de l’OTAN, le second veillera à maintenir l’Allemagne le plus éloigné possible de la Russie, poursuivant ainsi la politique étrangère de son pays depuis un siècle et demi.

Notez bien que si les alliés européens, les Chinois et les Saoudiens devraient considérer comme une escroquerie d’échanger leurs créances contre des « coupons zéro », la Russie devrait au contraire soutenir les États-Unis dans cette manœuvre. En effet, lors du démantèlement de l’Union soviétique, la Russie traversa une décennie de récession et de troubles, or, aujourd’hui, elle a besoin des États-Unis pour ne pas se trouver en tête-à-tête avec la Chine.

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
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