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20 ans d'anti-démocratie

Le Media en 4-4-22005-2025 : 20 ans de trahison démocratique

Le Media en 4-4-2 - 29 mai 2025

Nous fêtons ce 29 mai les 20 ans du « NON » des Français à une certaine Europe.

   

En effet, c’est en cette journée historique du 29 mai 2005 que les Français ont rejeté le Traité constitutionnel européen (TCE), avec 54,67 % de votes « NON » au référendum sur le traité établissant une Constitution pour l'Europe. Le scrutin, marqué par une forte participation (69,34 %), reflète l’inquiétude des Français face à une intégration européenne qui nie purement et simplement la souveraineté française. Cependant, le 14 février 2008, le Traité de Lisbonne, largement inspiré de la Constitution rejetée 3 ans plus tôt, est adopté par voie parlementaire sous l’impulsion de Nicolas Sarkozy. Cette violation du vote démocratique des Français en 2008 sonne le glas de la démocratie en France et signe, définitivement pour lors, le divorce entre les dirigeants politiques et les citoyens français.

Le discours prémonitoire de Philippe Séguin

Treize ans avant le référendum du 29 mai 2005, le 5 mai 1992, Philippe Séguin, député gaulliste, prononça un discours désormais célèbre à l’Assemblée nationale. Face au projet de loi constitutionnelle préalable à la ratification du traité de Maastricht, il défendit avec ferveur une exception d’irrecevabilité, alertant sur les dangers d’une intégration européenne menaçant la souveraineté nationale et la démocratie. Véritablement visionnaire, celui qui deviendra en 2004 le Premier président de la Cour des comptes, annonçait qu’une construction européenne qui se faisait sans et contre les peuples posait un problème fondamental.

Dans son discours, Séguin affirme que la souveraineté nationale, fondement de la République depuis 1789, est « inaliénable et imprescriptible ». Il argue que le traité de Maastricht, en transférant des compétences clés (notamment monétaires) à des instances supranationales, viole ce principe sacré. Pour lui, déléguer ainsi le pouvoir du peuple à des organes non élus, comme la Commission européenne, équivaut à une abdication démocratique : « Mon irrecevabilité se fonde sur le fait que le projet de loi viole, de façon flagrante, le principe en vertu duquel la souveraineté nationale est inaliénable et imprescriptible, ainsi que le principe de la séparation des pouvoirs, en dehors duquel une société doit être considérée comme dépourvue de Constitution ».

Une Europe construite sans les peuples
Avec une lucidité saisissante, Séguin dénonce un processus européen opaque, mené « en catimini » depuis le traité de Rome de 1957. Il critique une élite d’experts, de juges et de technocrates qui impose des décisions sans mandat populaire, dans « le secret des cabinets », « la pénombre des commissions et dans le clair-obscur des cours de Justice ».

En conséquence, pour que ce projet, qui n’est ni plus ni moins qu’un projet fédéraliste, soit plus transparent, Séguin insiste ensuite sur la nécessité de consulter le peuple directement via un référendum, arguant que « ce que le peuple fait, seul le peuple peut le défaire ». Il regrette le recours à la voie parlementaire, qu’il juge contraire à l’esprit du pacte républicain, et dénonce les « habiletés tactiques » visant à contourner la volonté populaire. Cette défense du référendum comme outil de légitimité démocratique annonce déjà les débats de 2005.

Le député gaulliste rejette l’idée d’une Europe fédérale telle que portée par Maastricht, qu’il qualifie d’« anti-1789 », pour son mépris des principes révolutionnaires de liberté et de justice. De la bouche même du député : « L’Europe qu’on nous propose n’est ni libre, ni juste, ni efficace. Elle enterre la conception de la souveraineté nationale et les grands principes issus de la Révolution : 1992 est littéralement l’anti-1789. Beau cadeau d’anniversaire que lui font, pour ses 200 ans, les pharisiens de cette République qu’ils encensent dans leurs discours et risquent de ruiner par leurs actes ! ». Force est de constater en 2025 que l’ex-ministre des Affaires sociales et de l’Emploi avait raison sur toute la ligne. En outre, Séguin affirme que la nation n’est pas une simple structure administrative, mais une réalité affective et spirituelle, fruit d’une « mystérieuse métamorphose » liant un peuple en un destin commun. Il défend une France ouverte à l’Europe, mais refuse qu’elle se dissolve dans un projet exclusivement européen, soulignant son rôle mondial, notamment via la francophonie. Cette conception de la nation comme rempart contre l’uniformisation résonnera dans les craintes exprimées par les électeurs en 2005. Enfin, Séguin alerte sur le caractère irréversible des engagements de Maastricht, notamment la monnaie unique. Il prédit qu’une fois le « piège refermé », aucun retour en arrière ne sera possible, même face à des crises futures. Cette prophétie trouve un écho dans les débats post-2005, quand le traité de Lisbonne, adopté malgré le « Non » populaire, confirmera pour beaucoup l’idée d’une Europe imposée contre la volonté des peuples.

Ce discours de Philippe Séguin, qui devrait être étudié et décortiqué dans tous les écoles de science politique, pose les jalons intellectuels et politiques du rejet du TCE en 2005. En alertant sur la menace pesant sur la souveraineté, la démocratie et l’idée même de nation, il anticipe le divorce entre les Français et leurs élites. Ce plaidoyer vibrant, salué par 101 députés, reste une boussole pour comprendre les racines de la défiance envers l’intégration européenne.

Les Médias mainstream et les partis traditionnels tous en faveur du « Oui »

Dans son documentaire diffusé sur France 3 et intitulé « Quand les Français ont dit non à l’Europe » (2017, Dreamway Productions, voir ci-dessous), Élizabeth Drevillon retrace le référendum du 29 mai 2005, où 54,67% des Français, avec une participation de 69,34%, ont rejeté le TCE. À travers des archives, des témoignages et une analyse lucide, ce film de 53 minutes explore les causes et les conséquences de ce « Non » retentissant, qui a révélé une fracture profonde entre les citoyens et les élites. En écho aux mises en garde de Philippe Séguin en 1992 contre une Europe technocratique, il montre comment ce vote, suivi par l’adoption du traité de Lisbonne en 2008, a fracturé le contrat social.

Tout d’abord, l’on perçoit clairement dans le documentaire que la campagne référendaire de 2005 repose sur un combat très inégal. Les partisans du « Oui » bénéficient du soutien politique et financier des deux grands partis traditionnels, UMP (ancêtre du parti LR) et PS ainsi que de l’UDF. Nicolas Sarkozy et François Hollande, que tout devrait en principe opposer, sont tous les deux favorables au Traité. Cette convergence des LR et du PS préfigure cette critique d’un « parti unique » UMPS qui sera torpillé par Macron en 2017 et dont les membres ne se relèveront jamais vraiment. De surcroît, la presse qui devait a priori être divisée sur cette question, est au contraire une presse majoritairement favorable au TCE. En effet, 71% des interventions télévisées entre janvier et mars 2005 prônaient le « Oui ».

En revanche, les défenseurs du « Non », qu’ils soient souverainistes (Philippe de Villiers, Jean-Pierre Chevènement), lepénistes, ou qu’il s’agisse de dissidents socialistes comme Laurent Fabius ou Jean-Luc Mélenchon, sont marginalisés, souvent absents des plateaux télévisés. Malgré ce déséquilibre, le documentaire montre comment les citoyens, via des débats citoyens, du tractage, des discussions et une mobilisation sur Internet, renversent la tendance, faisant triompher le « Non ».

À travers des témoignages d’électeurs et d’observateurs, le film décortique les motivations du « Non ». Pour beaucoup, le TCE incarne une Europe libérale, menaçant les services publics et le modèle social français. La peur du « plombier polonais », symbole d’une concurrence déloyale, et les craintes liées à l’élargissement de l’UE, notamment à la Turquie, cristallisent les inquiétudes. Le documentaire souligne que ce vote, loin d’être un simple rejet populiste, exprime un attachement à la souveraineté nationale et une défiance envers une Europe perçue comme autoritaire, prolongeant les alertes de Séguin sur la perte de contrôle démocratique.

Le film met en lumière la réaction des élites après le 29 mai 2005. Les Français ayant voté « Non » sont qualifiés de « populistes », de « poujadistes » ou d’« analphabètes » par certains médias et responsables politiques. Des éditoriaux, comme celui de Serge July dans Libération (« Chef-d’œuvre de masochisme », 30 mai 2005), traduisent un mépris pour le choix populaire. Ces jugements, illustrés par des extraits d’émissions et d’articles, accentuent le sentiment d’humiliation des électeurs, renforçant leur méfiance envers les institutions. Le documentaire consacre une part importante à l’adoption du traité de Lisbonne en 2008, sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Qualifié de véritable « copie conforme » du TCE de la bouche même de Valéry Giscard d’Estaing, ce traité est ratifié par voie parlementaire le 14 février 2008, après une révision constitutionnelle au Congrès de Versailles. Le film montre comment cette décision, soutenue par une majorité de députés de droite et socialistes, est perçue comme une trahison du vote de 2005. Des images d’archives et des interviews soulignent l’indignation populaire face à ce contournement, qui alimente la fracture démocratique. Enfin, le documentaire retrace les répercussions du référendum jusqu’à la fin du quinquennat de François Hollande en 2017. Il argue que le mépris de la parole citoyenne a creusé un fossé entre la « France d’en haut » (élites politiques et médiatiques) et la « France d’en bas » (classes populaires et moyennes). Ce divorce, illustré par la montée du Front national – passé de 15 % des voix en 2002 à un doublement de son score en une décennie –, est présenté comme une conséquence directe de l’autisme politique post-2005. Le film conclut que le « Non » de 2005, loin d’être un simple épisode, a marqué un tournant dans la défiance populaire envers l’Europe et les institutions nationales.

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Christine Anderson - AFD

Revolution 2030 : autre sourcePolitique : Le véritable pouvoir est entre les mains de forces obscures

Revolution 2030 : autre source - 12 avr 2025

L’eurodéputée allemande Christine Anderson, du parti Afd, a récemment fait part de son point de vue sur les forces cachées qui façonnent la gouvernance mondiale. « Je ne sais pas qui est vraiment derrière tout cela », a-t-elle admis.

   

L’eurodéputée allemande Christine Anderson a récemment partagé son point de vue sur les forces cachées qui façonnent la gouvernance mondiale. « Je ne sais pas qui est vraiment derrière tout ça », a-t-elle admis :

« Ce n’est pas Ursula von der Leyen, ce n’est pas elle qui prend les décisions. Ce n’est pas Bill Gates, ni même Klaus Schwab. Ce ne sont pas eux qui prennent les décisions. Ce sont juste les visages publics, ceux qui se montrent devant les caméras et propagent ces absurdités totalitaires. »

L’eurodéputée allemande Christine Anderson a partagé son point de vue sur les forces cachées qui façonnent la gouvernance mondiale
Selon la député Anderson qui s’est fait connaître pendant la pseudo-pandémie covidesque pendant laquelle elle a combattu les mesures liberticides et les mandats de vaccination mis en place par les technocrates et gouvernements européens, le véritable pouvoir réside dans un groupe insaisissable qu’elle appelle, faute d’un terme plus approprié, les « misanthropes mondialistes » :

« Je n’ai aucune idée de qui ils sont, mais ce sont eux qui tirent les ficelles. Nos gouvernements élus ? De simples marionnettes qui font tout ce que ces figures obscures leur dictent. »

Selon elle, leur objectif ultime est clair :

« Ils veulent un gouvernement mondial unique, qui transformera nos sociétés libérales, ouvertes et démocratiques, fondées sur des individus libres, en un système collectiviste dans lequel les gens ne sont que des pièces malléables, à déplacer selon les besoins. »

Pour Mme Anderson, cette mise en place d’une gouvernance mondiale explique l’existence même de l’Union Européenne
Pour Mme Anderson, ce programme explique l’existence même de l’Union européenne.

« Regardez l’Europe, poursuit-elle. Ce petit continent, riche de sa mosaïque de cultures, de traditions, d’histoires et de langues, est fier de ses habitants. Impossible de les convaincre d’abandonner leurs États-nations et leur souveraineté au profit d’un gouvernement mondial. Ils résisteraient. L’UE a donc été créée pour servir de tremplin. »

Elle fait référence au prétexte historique en soulignant le discours des européistes :

« Oh, nous avons eu tant de guerres ici, nous devons nous unir en tant qu’Europe pour y mettre fin, disent-ils. C’est vrai, mais c’est une excuse commode. Les institutions européennes absorbent de plus en plus de pouvoir, conditionnant les Européens à accepter l’étape suivante : un gouvernement mondial à part entière. »

Christine Anderson voit cela comme une érosion progressive et délibérée de l’identité nationale et de la liberté individuelle, orchestrée par ce qu’elle appelle des « misanthropes mondialistes ». « Il ne s’agit pas de paix », conclut-elle. « C’est une question de contrôle. »

Une analyse plus que pertinente.

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keke rose

Xavier-Louis de IzarraUn Kéké Rose affronte seul(e) un Gros Ours noir

Xavier-Louis de Izarra - 14 mar 2024

Cette vidéo est la fidèle description de mon dernier rêve, particulièrement terrifiant !

   

Xavier-Louis de Izarra nous partage son rêve hallucinant dans un pays gouverné par un président pervers habillé de rose au comportement irresponsable, engagé dans une confrontation risquée avec une superpuissance nucléaire, ignorant les conséquences catastrophiques pour son propre peuple.

Le cauchemar se dévoile alors dans toute son horreur lorsque Xavier-Louis nous plonge au cœur de la population, une masse apathique et anesthésiée par un produit toxique qu’on avait dû leur injecter quelques mois auparavant. Dans cette vision dystopique, les citoyens semblent figés dans une inertie mortelle, indifférents à leur sort imminent, telles des marionnettes manipulées par une main invisible.

Dans un régime corrompu et décadent, entre tricheries électorales, relations extraconjugales et intrigues politiques, le portrait qui se dessine est celui d’un despote dénué de toute éthique, prêt à sacrifier son peuple pour assouvir ses propres désirs.

Yoann - Le Media en 4-4-2

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je suis Ivo Sasek qui se tient devant dieu depuis 47 Ans

Profession GendarmeIvo Sasek : Censure totale – et après ?

Profession Gendarme - 02 jan 2024

Celui qui pense que la restriction totale de notre liberté d’expression et d’opinion sur Internet, prévue à partir de l’année 2024, mettra fin à ce processus de limitation se trompe – il n’a toujours pas compris comment fonctionnent nos contrôleurs d’opinion.

   

La censure totale sur Internet n’est que le premier acte de restriction numérique, comme l’indique déjà le nom DSA (Digital Services Act). Je l’avais déjà prédit en 2009, lors de la création de notre journal Express main à main d’une feuille A4, le Voix et Contre Voix. (V&CV). Cela avait déclenché à l’époque une tempête d’indignation. Jamais une censure ne serait possible dans nos médias libres, oh combien sociaux, disait-on alors de toutes parts – on me traitait d’amateur inconscient. Mes pronostics allaient se confirmer, c’est pourquoi nous réitérons ici avec force ce que nous constatons depuis 2008 avec nos archives AZK et depuis 2012 avec nos archives Kla.TV. C’est maintenant une question d’être ou ne pas être, chers amis. Écoutez !

Notre monde est malheureusement depuis des siècles sous l’emprise d’une société secrète bestiale.

Et celle-ci massacrera une fois de plus des peuples entiers si nous ne nous unissons pas maintenant pour réclamer sa tête. Et ceux qui prétendent le contraire mentent. Celui qui complique ce schéma simple de notre problématique mondiale primaire, trompe, séduit et paralyse ainsi toute résistance unifiée nécessaire, sur laquelle je vais maintenant dire des choses importantes !

Le fait est que cette élite secrète au pouvoir veut empêcher par tous les moyens que le monde sache dans quelles dimensions inconcevables elle lui a menti, elle l’a trompé, volé et continue de le faire. Étant donné que tous les médias de censure et les grandes plateformes appartiennent à cette secte secrète, ils séparent stratégiquement le peuple des personnes libres chargées de l’information. Ils ont délibérément poussé ces derniers dans des bulles Internet de plus en plus isolées. Nous ne pouvons les surmonter qu’ensemble. Mais ils ont d’abord mis leur couteau DSA sur la poitrine de leurs propres vassaux. La Commission européenne, par exemple, a immédiatement interdit TikTok sur tous les téléphones portables professionnels. Même chose aux États-Unis, etc. Mais ce n’était que le début. Vous comprenez ? Maintenant, toutes les plateformes doivent être systématiquement nettoyées de tout ce qui menace cette secte dominante mondiale. Vous comprenez ? Il est donc urgent de se mettre en réseau physiquement, et pas seulement numériquement !

Mais venons-en à la question principale : que se passera-t-il après la censure totale sur Internet ? Réponse : ce que ce clan de la domination mondiale a déjà imposé à chaque étape précédente de son infiltration internationale : la censure totale à chaque niveau d’information libre ! L’obligation d’adopter des narratifs obligatoires comme pour le Covid – cette fois sous la menace de l’expropriation et de la peine de mort au moindre écart ! Et ceux qui me considèrent à nouveau comme un idiot qui ne connaît rien, témoigneront encore de la justesse de mes propos ! Faites partie, si possible, du réseau mondial du journal Voix & Contre Voix. Nous nous propageons de manière exponentielle, plus rapidement et de manière plus sûre que sur le net.

Et maintenant, le plus important...

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Discours de la servitude volontaire

Echelle de JacobDiscours de la servitude volontaire - Étienne de La Boétie

Echelle de Jacob - 11 nov 2023

« Il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres ; n’en ayons qu’un seul ; Qu’un seul soit le maître, qu’un seul soit le roi. »

   

Voilà ce que déclara Ulysse en public, selon Homère.

S’il eût dit seulement : « Il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres », c’était suffisant. Mais au lieu d’en déduire que la domination de plusieurs ne peut être bonne, puisque la puissance d’un seul, dès qu’il prend ce titre de maître, est dure et déraisonnable, il ajoute au contraire : « N’ayons qu’un seul maître... »

Il faut peut-être excuser Ulysse d’avoir tenu ce langage, qui lui servait alors pour apaiser la révolte de l’armée : je crois qu’il adaptait plutôt son discours aux circonstances qu’à la vérité.

Mais à la réflexion, c’est un malheur extrême que d’être assujetti à un maître dont on ne peut jamais être assuré de la bonté, et qui a toujours le pouvoir d’être méchant quand il le voudra. Quant à obéir à plusieurs maîtres, c’est être autant de fois extrêmement malheureux.

Je ne veux pas débattre ici la question tant de fois agitée, à savoir « si d’autres sortes de républiques sont meilleures que la monarchie ». Si j’avais à la débattre, avant de chercher quel rang la monarchie doit occuper parmi les divers modes de gouverner la chose publique, je demanderais si l’on doit même lui en accorder aucun, car il est difficile de croire qu’il y ait rien de public dans ce gouvernement où tout est à un seul. Mais réservons pour un autre temps cette question qui mériterait bien un traité à part, et qui provoquerait toutes les disputes politiques.

Pour le moment, je voudrais seulement comprendre comment il se peut que tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations supportent quelquefois un tyran seul qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent, qui n’a pouvoir de leur nuire qu’autant qu’ils veulent bien l’endurer, et qui ne pourrait leur faire aucun mal s’ils n’aimaient mieux tout souffrir de lui que de le contredire. Chose vraiment étonnante — et pourtant si commune qu’il faut plutôt en gémir que s’en ébahir -, de voir un million d’hommes misérablement asservis, la tête sous le joug, non qu’ils y soient contraints par une force majeure, mais parce qu’ils sont fascinés et pour ainsi dire ensorcelés par le seul nom d’un, qu’ils ne devraient pas redouter — puisqu’il est seul — ni aimer — puisqu’il est envers eux tous inhumain et cruel.

Telle est pourtant la faiblesse des hommes : contraints à l’obéissance, obligés de temporiser, ils ne peuvent pas être toujours les plus forts. Si donc une nation, contrainte par la force des armes, est soumise au pouvoir d’un seul — comme la cité d’Athènes le fut à la domination des trente tyrans —, il ne faut pas s’étonner qu’elle serve, mais bien le déplorer. Ou plutôt, ne s’en étonner ni ne s’en plaindre, mais supporter le malheur avec patience, et se réserver pour un avenir meilleur.

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Police State - are you next

Aube DigitaleLe documentaire « Police State » impressionne par ses ventes de tickets

Aube Digitale - 02 nov 2023

L’érosion des libertés civiles au cours des dernières années a fait l’objet d’une attention toute particulière.

   

France : VPN nécessaire pour regarder la bande annonce : https://rumble.com/v3rodbv-police-state-a-film-by-dinesh-dsouza.html

Le documentaire « Police State » a indéniablement touché une corde sensible dans le cœur du public américain et a connu un succès retentissant cette semaine. Fruit de l’imagination du cinéaste Dinesh D’Souza, le film a généré un nombre impressionnant de spectateurs dans le pays, dépassant sans peine le précédent record détenu par un autre projet de D’Souza, « 2000 Mules« .

En exprimant les sentiments qui résonnent dans le pays, « Police State » touche une corde sensible. Son succès signifie que les Américains aspirent à un contenu perspicace qui en dit long sur les problèmes urgents qui pèsent sur leur réalité actuelle, principalement en ce qui concerne la liberté d’expression et l’érosion des libertés civiles.

Les ventes de billets en ligne pour le 25 octobre ont dépassé les attentes. Pour prolonger le discours, une première virtuelle est également prévue pour le 27 octobre et sera exclusivement disponible en streaming sur Rumble. Cette vague récente d’immense popularité s’est traduite par des projections à guichets fermés dans plusieurs cinémas – un gage de la réputation saisissante du film.

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François Dubois - gendarme

Sott : Sign of The TimesAppel aux résistants

Sott : Sign of The Times - 20 juil 2023

Embrasement de la France et risque de guerre civile, changement de paradigme ou verrouillage final.

   

C'est en tant qu'amoureux de la nation que j'écris ce texte. Écrit rapidement et dans l'urgence, j'y développe mon analyse à froid. Je précise, eu égard au contexte, être sportif, en excellente santé, et n'avoir aucunes pensées suicidaires. J'invite mes anciens camarades des forces de l'ordre à lire et à partager le plus possible ce texte.

Vous qui êtes actuellement en premières lignes, fusibles d'une situation qui vous dépasse, vous devez comprendre de quelle façon et dans quel contexte vous êtes actuellement instrumentalisés. Ce contexte de déliquescence nationale dans lequel vous opérez si difficilement est voulu, provoqué et appuyé par des forces très puissantes. Je m'exprime ici en toute liberté sans vous inciter à la révolte, mais en espérant que ce texte vous aide à conscientiser votre rôle et à prendre les décisions personnelles qui s'imposent.

Affaire Nahel : contexte

Nos élites, corrompues et apatrides dans l'âme, œuvrent désormais depuis plus d'un demi-siècle à la destruction intégrale de notre pays. Hélas, le mal est fait, et l'heure n'est pas à se lancer dans de grandes démonstrations historiques, géopolitiques ou théologiques pour expliquer les rouages de ce désastre[1] ! Certains Français dégustent aujourd'hui l'âpre goût de la merde qu'ils ont lâchement cautionnée pour s'inscrire au sein du cercle désigné par leur maître comme celui de la « bien-pensance ».

Le réseau Soros, Attali, Minc qui a accouché de Macron a parfaitement compris cette phrase de Nietzsche : « La plus grande dispensatrice d'aumône, c'est la lâcheté. » De la création de « sos-racisme » en passant par celle de « touche pas mon pote », ils ont, au nom de la tolérance, sciemment promu l'émergence d'une sous culture ethnicisée et communautarisée, en réalité exhausteur de racisme à géométrie variable et de fragmentation sociale. Ils se sont appuyés pour ce faire sur la lâcheté de la population, consécutive depuis les années 80 à un sabordage médiatique culpabilisant de l'image du Français, grand perdant de la seconde guerre, sauvé par les gentils américains et historiquement présenté comme un pleutre délateur de juifs.

Beaucoup de ces lâches ignorants ont ainsi cherché à se racheter une conduite sur les bases d'une histoire caricaturée, honteusement simplifiée pour ne pas dire parfois falsifiée. Tolérant l'intolérable, il n'était plus question pour eux de s'insurger face aux vagues migratoires incontrôlées et non choisies. Pis encore, dans leurs petits esprits étriqués de gauchistes, celui qui s'en insurgeait devenait un vilain facho, caricaturalement assimilé à un adorateur du IIIᵉ Reich[2].

Aujourd'hui, dans cette situation de pré-guerre civile, l'urgence est avant tout de comprendre les dangers auxquels nous sommes exposés. Ce qui est arrivé devait se produire. Ce n'était qu'une question de temps. Récemment, les commandes massives de blindés de gendarmerie « centaures » équipés d'un tourelleau téléopéré, sur lequel se situe une AANF1 7.62 x 51 mm (arme de guerre), ou encore la grande campagne de rappel des armes détenues illégalement, constituent un faisceau d'indices qui ne peuvent qu'abonder dans le sens de mes propos.

Ces dispositions font d'une pierre, deux coups. Elles ont, en premier lieu, vocation à faire face aux risques d'émergence d'un mouvement social spontané type « gilets jaunes ». Ce risque est redouté, parce que hors de contrôle s'il est un jour organisé et structuré. Mais, elles ont aussi potentiellement vocation à participer à une opération de purge, conséquence d'un embrasement erratique parfaitement anticipable et attendu des cités, puis, par effet domino, de la population ancrée politiquement à gauche. Attendu, parce qu'il y existe des accointances puissantes entre les mafias qui tiennent ces quartiers et l'état profond, ainsi que ses services de renseignements, le tout, intégrant le maillage de la franc-maçonnerie qui chapeaute une extrême gauche prête à instrumentaliser politiquement les émeutes et à rallier les cités avec ses « antifas » aux ordres. Les racailles sont les idiots utiles d'un système ambivalent qui a posé tous les jalons nécessaires à leur révolte, et dans le même temps, tous les jalons nécessaires à leur détestation.

Cela avec pour objectif, de la part de la gouvernance, de reprendre le contrôle par la force dans un premier temps, puis dans un second, d'instaurer un contrôle intégral de la population et de nouveaux moyens numériques en guise de verrouillage définitif. Ces moyens seront acceptés par les masses parce qu'ils s'imposeront comme l'alternative indispensable à la sortie du chaos.

Affaire Nahel : les origines...

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The White Rose

Réseau InternationalÇa suffit ! On met le hola – Maintenant

Réseau International - 19 mai 2023

Anna de Buisseret est ancien officier des armées britanniques, actuellement avocat spécialisé dans le droit du travail et les libertés publiques.

   

Catholique pratiquant, inspirée par le Lion de Münster Monseigneur von Galen, elle a fondé THE WHITE ROSE en 2020 contre la tyrannie de la Covidémence, dans les pas des frères Scholl, résistants allemands de la Weisse Rose.

Son appel commence ici :

Que FONT-ILS ?

Ils ont piqué des milliards de personnes de par le monde avec leur poison.

Ils s’amusent à truffer de nanotechs nos aliments et toute sorte d’injectables.

Ils diffusent des chem-trails et interfèrent avec la météorologie.

Ils polluent l’esprit de nos enfants avec leur Agenda 2030 et la foutaise de « genre. »

Ils font bailler la mâchoire du piège digital en vue de digitaliser l’ID de chacun.

Ils essaient d’interdire l’argent liquide afin de nous faire dépendre de leur bon vouloir avec l’argent digital.

Ils préparent un confinement permanent dans le ghetto de la « Ville avec tout à 15 minutes. »

Ils veulent nous gaver d’insectes et d’ersatz-viande.

Ils mentent comme ils respirent sur le soi-disant changement climatique afin de nous faire culpabiliser sur le fait même d’exister.

Ils suscitent la PEUR et usent de la coercition afin de nous forcer d’accepter ces piqûres d’une parfait inutilité.

Ils se débrouillent pour que le coût de l’énergie, de l’immobilier, des aliments explose et que nous sombrions dans la misère.

Ils fabriquent à la chaîne de problèmes trompeurs pour nous faire avaler leur trompeuses solutions.

Et ainsi de suite, une sans-fin.

FAUT QUE ÇA S’ARRÊTE. ET MAINTENANT. DÎTES-NOUS COMMENT.

Date limite du Concours : 31 mai 2023

Rédigez un texte de moins de 200 mots. Qu’il soit court, et percutant ! Nous publierons toutes vos idées sur un PDF téléchargeable sur le site The White Rose, consultable par tous gratuitement.

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les préfets - un processus anti-démocratiques

Mr MondialisationLes préfets, décryptage d’un héritage antidémocratique

Mr Mondialisation - 02 mai 2023

On a souvent dénoncé les aspects antidémocratiques de nos institutions qui concentrent l’essentiel du pouvoir sur le président de la République.

   

On parle en revanche assez peu des préfets qui détiennent pourtant une autorité immense et qui n’ont, de plus, aucune légitimité populaire.

De nombreux manifestants ont pu constater la grande capacité de nuisance des préfets pour bloquer des mouvements de protestations à l’échelle locale. Mais ce fut aussi le cas lors de la crise sanitaire où des décisions parfois ubuesques étaient prises par les préfectures sans aucune concertation avec les populations.

À l’origine, les préfets sont mis en place par Napoléon Bonaparte en 1800. À l’époque, il s’agit de rompre avec la République révolutionnaire, qui ne reconnaissait que le peuple comme souverain, et renouer avec la politique centralisée de la monarchie. En maillant le territoire de fonctionnaires aux ordres, l’empereur peut ainsi plus facilement lever les impôts et mater les révoltes au niveau local.

Le système est même bien plus avantageux que sous l’ancien régime, puisque le chef de l’État n’est plus encombré par les multitudes de nobles et de bourgeois qui empiétaient sur le pouvoir du roi, mais il a en plus la main sur l’intégralité du pays grâce aux fidèles préfets.

Le système arrange tellement les régimes successifs qu’il ne sera pas remis en cause avant près de deux cents ans. Le XIXe siècle connaîtra pourtant bon nombre de bouleversement politique : restauration, révolution, empire, république… Aucun ne supprimera la fonction de préfet. Et même s’ils perdent un peu de leur pouvoir avec la chute de Napoléon III, il faudra attendre le quinquennat de François Mitterrand et 1982 pour voir une véritable décentralisation.

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tyrannie intelligence artificielle

Le Saker FrancophoneLa gouvernance par l’intelligence artificielle

Le Saker Francophone - 20 avr 2023

La tyrannie ultime sans obligation de rendre des comptes.

   

Ce n’est un secret pour personne que les institutions globalistes sont obsédées par l’intelligence artificielle, qu’elles considèrent comme une sorte de prophétie technologique. Elles la traitent comme si son potentiel était presque surnaturel et affirment souvent que toute innovation industrielle et sociale significative dans un avenir proche devra son existence à l’IA. Le Forum économique global considère l’IA comme la clé singulière de l’essor de ce qu’il appelle la « quatrième révolution industrielle ». Selon lui, il ne peut y avoir de progrès humain sans l’influence des algorithmes de l’IA, qui rendent l’apport humain presque obsolète.

Cette illusion est souvent promue par les propagandistes globalistes. Par exemple, regardez la vision résumée de Yuval Harari, membre du WEF, qui croit réellement que l’IA a une capacité créative qui remplacera l’imagination et l’innovation humaines. De plus, Harari a toujours affirmé par le passé que l’IA dirigerait le monde bien mieux que les êtres humains ne pourraient jamais le faire.

Les exemples de créativité de l’IA cités par Harari peuvent sembler d’une extrême naïveté à beaucoup d’entre nous, mais il sait exactement ce qu’il fait en déformant les capacités des algorithmes. Les jeux comme les échecs et le go sont des jeux de modèles limités par des règles. Il n’existe qu’un nombre limité de permutations de ces modèles dans un scénario donné et l’IA est tout simplement plus rapide à les repérer que la plupart des humains parce que c’est ce pour quoi elle a été conçue par les créateurs de logiciels. Ce n’est pas différent de la résolution d’une équation mathématique ; ce n’est pas parce qu’une calculatrice est plus rapide que vous qu’elle est « créative ».

Il y a une grande différence entre l’automatisation cognitive et l’autonomie cognitive. L’IA est purement automatisée ; elle jouera aux jeux pour lesquels elle est programmée et apprendra à bien les jouer, mais elle n’aura jamais une révélation un jour et ne créera pas un jeu nouveau et unique à partir de rien, à moins qu’elle ne soit codée pour le faire. L’IA ne s’amusera jamais à jouer à ce nouveau jeu qu’elle a créé, ni ne ressentira la joie de partager ce jeu avec d’autres, alors pourquoi s’en préoccuperait-elle ? Elle ne cherchera jamais à contribuer au monde plus qu’elle n’est préprogrammée pour le faire.

La manière dont les globalistes vantent les mérites de l’IA est toutefois très tactique. Lorsque Harari affirme que de nombreuses personnes feront partie de la « classe inutile » une fois que l’IA aura pris le contrôle de l’économie, il fait allusion à une autre idéologie globaliste fondée sur l’élitisme : le transhumanisme. L’objectif du transhumanisme est de fusionner un jour les corps et les esprits humains avec la technologie et l’IA, et seul un groupe limité de personnes disposera des ressources nécessaires pour y parvenir (les globalistes).

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
soutenir ou non la tyrannie

Le Media en 4-4-2Pourquoi certains soutiennent-ils la tyrannie alors que d’autres la défient ?

Le Media en 4-4-2 - 13 avr 2023

Il existe une question fondamentale qui hante les pages de l’histoire et qui n’a jamais été traitée de manière satisfaisante.

   

Il existe de nombreuses écoles de pensée sur le pourquoi et le comment de l’émergence de la tyrannie dans une société donnée et toutes ratent la cible en termes d’explications, principalement parce qu’elles laissent toutes leurs préjugés gouverner leurs conclusions et les aveugler sur les aspects plus profonds du pouvoir et de la conspiration.

En d’autres termes, ils ne sont prêts à descendre dans le terrier du lapin que jusqu’à un certain point, puis ils nient l’existence même de ce terrier.

L’hypothèse commune en matière d’autocratie ou d’oligarchie est que les gens sont « stupides » et facilement manipulés pour suivre des personnalités convaincantes qui font des promesses qu’elles n’ont pas l’intention de tenir. Il s’agit d’une simplification excessive et stupide. En vérité, le niveau de manipulation nécessaire pour attirer une majorité de personnes dans une dictature est si complexe qu’il requiert une compréhension avancée de la psychologie humaine.

Dans notre ère moderne, on ne peut pas simplement ordonner aux gens de se soumettre sous la menace d’une arme, du moins pas tout de suite. Il faut les inciter à se conformer, et non seulement cela, mais il faut aussi leur faire croire que c’était LEUR idée depuis le début. Sans cette dynamique d’autocensure et d’auto-asservissement, la population finira par se rebeller, quelle que soit l’oppression du régime. Une tyrannie de mille ans ne peut exister que si un certain nombre de personnes sont amenées à l’applaudir, ou si elles en bénéficient directement.

Et c’est là que se trouve la véritable clé du totalitarisme : il ne prospère que parce qu’une partie inhérente de toute société donnée l’aime secrètement et souhaite qu’il existe. Nous pourrions appeler ces gens des idiots utiles, mais c’est bien plus que cela. Ils ne sont pas nécessairement inconscients de ce qu’ils font ; ils comprennent dans une certaine mesure qu’ils contribuent à la destruction des libertés d’autrui… et ils s’en délectent. Bien sûr, il y a des élitistes et des globalistes qui lancent des conspirations de base et cherchent à exercer de plus en plus de contrôle, mais ils ne pourraient pas accomplir grand-chose sans l’aide de l’armée d’aberrations sociopathes qui vivent parmi nous.

Cette caractéristique étrange et destructrice est toujours visible aujourd’hui à la lumière des confinements covid et de la pression pour les vaccinations forcées. Il est clair que certaines personnes sont trop préoccupées par les décisions de santé personnelle des autres. La science et les statistiques prouvent que le virus ne devrait pas être une crainte pour eux, mais ils ignorent la science. Ils ont soif du goût du pouvoir. Ils sont devenus un culte qui ignore toute logique et exige la fidélité à leur récit frauduleux. Ils ne se soucient pas des faits, ils se soucient seulement que nous nous conformions.

Eh bien, comme je l’ai dit maintes et maintes fois : nous ne nous plierons pas !

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