Il est apparu au cours de l’année 2021 après que l’injection covid 19 se soit répandue comme une trainée de poudre dans une majeure partie du monde occidental… Coïncidence ou causalité ?
Les premiers cancers post vaccination sont apparus très tôt
L’attention des médecins cliniciens – ceux qui voient de vrais malades en consultation, les interrogent et les examinent- avait été très tôt attirée par des modifications de l’évolution clinique de certains patients dans les quelques mois suivant les débuts de la campagne d’injections anticovid. Initialement ce furent des rechutes brutales, et résistantes, de patients apparemment guéris de cancer depuis plus de dix, quinze ans voire plus, en rémission complète, qui sidérèrent les généralistes et les cancérologues (qui ne l’avouèrent que sous le manteau…).
Un exemple typique a été celui de monsieur Axel Kahn, président de la ligue contre le cancer, qui s’était fait remarquer par ses positions extrémistes pro vaccins covid1 et dont le cancer d’évolution jusqu’ici lente a explosé après sa vaccination l’emportant en quelques mois.
De nombreuses malades en rémission de cancer du sein rechutèrent contre toute attente après une si longue durée.
Parallèlement les médecins virent arriver dans leurs cabinets de très jeunes gens d’une vingtaine d’années ou moins atteints de maladies hématologiques, telles des lymphomes, des glioblastomes etc. d’apparition jusqu’ici exceptionnelle chez les jeunes, d’évolution particulièrement rapide et résistant trop souvent à toute espèce de traitement.
Les témoignages se multiplient par mail, téléphone, rencontres, réseaux sociaux, groupes sur Telegram etc.. Tel un voisin bien portant de 83 ans injecté qui meurt en deux mois d’un cancer du pancréas, cancer au premier rang des récits pris au hasard, peut-être parce que ce cancer est particulièrement difficile à traiter et rapidement mortel.
L’aventure d’une victime sexuelle du Biden-d’avant avec un texte de Tara Reade.
La chose est sinistre : ce titre de Kravchenko, décidant en 1946 de ne pas regagner l’URSS stalinienne et de rester aux USA, peut être aujourd’hui complètement retourné. Et encore, Tara Reade n’a pas besoin du FSB comme Kravchenko fut aidé par la CIA, ni de préciser une position d’activiste politique favorisée par Moscou, pour affirmer et rendre publique sa position. Son témoignage est d’autant plus intéressant qu’elle est au départ une personne de peu d’“importance” politique ; elle parle le vrai, venu d’une vie qui n’a pas l’avantage (?) d’intéresser le système de la communication. Avec elle, les choses parlent d’elles-mêmes, et l’univers totalitaire des États-Unis de Biden, du FBI et des Woke, hurlent d’eux-mêmes leur infamie et ne dissimulent rien de ce qu’ils sont, – et même, dirions-nous, ils s’en font une gloire suprême.
La situation est d’une formidable schizophrénie idéologique collective du comportement et du jugement, renforcée d’un autisme complet et également collectif de la perception. On insiste sur ceci, – le caractère extrêmement collectif de l’infamie que chacun traduit comme l’impératif d’une perception individuelle et vertueuse, essentiellement dans le chef des élitesSystème qui se montrent ainsi d’une impitoyable et aveugle cruauté. Ainsi parlons-nous des USA.
On le voit même hors des USA bien entendu, puisque nous parlons de l’Ouest-suppuratif et donc du bloc-BAO lorsqu’un soi-disant “président” français dénonce avec gravité le dimanche des craquements d’effondrement apparaissant dans la société russe surmontée par un gouvernement imposteur, dans une Russie parfaitement calme après une tentative de coup d’État-bouffe de 14 heures, et qu’il est décrit jeudi, par Christoforou-Mercouris, comme « Macron danse, la France brûle », après trois jours de guerre civile intense dans sa “douce France”.
« Je restais à Moscou sans avoir l'intention de retourner aux États-Unis. Du moins, pas tant que Biden restera au pouvoir. Mon cœur est resté brisé en voyant les titres des journaux me qualifier de traître. En quoi étais-je un traître ? Biden m'a violée, m'a réduite au silence et m'empêche maintenant de témoigner ? »
Je suis un médecin qui s’est opposé aux fausses histoires qui circulent autour du Covid et, pendant un certain temps, j’ai eu l’impression d’avoir perdu.
Avant que le Covid ne devienne une réalité publique, je travaillais avec succès comme chirurgien traumatologue et médecin de l’unité chirurgicale de soins intensifs dans l’hôpital qui avait diagnostiqué le premier cas de Covid en Amérique. J’étais l’un des chirurgiens les plus expérimentés d’une équipe de 12 chirurgiens. L’hôpital et la communauté médicale avaient déjà été confrontés, avant l’apparition du Covid, à divers écarts par rapport à la réalité, avec des récits tels que « le racisme partout » et « la diversité tant qu’elle soutient la déviance », mais cela ne semblait pas avoir d’incidence dramatique sur les soins prodigués aux patients.
En 2018-2019, je suis tombée sur un système de fraude perpétré par certains médecins administratifs de notre hôpital, qui a causé des dommages aux patients, et j’ai donc dénoncé l’administration de notre hôpital pour fraude. De la même manière, j’ai observé et découvert d’autres problèmes liés qui ont causé des dommages aux patients par divers autres fournisseurs que j’ai essayé de mettre en lumière dans notre hôpital. J’ai été « récompensé » par 12 plaintes déposées contre moi en l’espace de deux semaines, en guise de représailles. Ces plaintes m’accusaient d’avoir enfreint presque tous les aspects du comportement professionnel et de l’éthique. Elles faisaient suite à l’envoi par l’une des administratrices d’un courriel demandant à ses collègues de « se débarrasser du Dr Miller ». Aucune de ces allégations n’a été retenue (elles étaient toutes fausses au départ), et j’ai continué à faire mon travail au mieux de mes capacités dans cette situation hostile, mais cela devenait de plus en plus difficile. Finalement, chaque plainte a été rejetée parce qu’elle n’était pas fondée.
Puis, en février et mars 2020, notre hôpital a accueilli un grand nombre de patients Covid, avec une véritable recrudescence de patients malades au début du mois de mars. Quelques semaines plus tard, l’affaire a fait la une des journaux, mais seulement après que le virus eut dépassé son point d’inflexion dans notre hôpital et que notre système de santé n’ait pas été menacé d’insuffisance de ressources. Les choses sont alors devenues complètement folles avec le battage médiatique et la peur – encore une fois, c’était après que la véritable vague infectieuse ait été passée.
Soudain, les résultats et les données sur la qualité de notre hôpital nous sont devenus cachés et opaques. Auparavant, presque toutes les données étaient ouvertement partagées et discutées lors des réunions d’assurance qualité. L’hôpital nous a imposé un récit qui n’était que pure folie et qui allait à l’encontre de toutes les observations et de toutes les données disponibles auparavant. Voici un exemple qui fait froid dans le dos.
Message personnel de Véronique Jeanne Lévy qui répondait à une critique de Jacques Attali l'a qualifiant de femme fragile manipulée par l'extrême droite identitaire anti-sioniste. Véronique se décrit comme une femme chrétienne, comme une patriote française, mais affiliée à aucun parti politique.
Un témoignage bouleversant et inspirant d’une femme qui a rencontré le Christ et qui veut le faire connaître au monde.
« Bonsoir monsieur Attali…il paraît que vous avez parlé de moi dans une revue.. vous avez évoqué ma route comme un chemin perdu, celui d’une femme fragile manipulée par l’extrême droite identitaire anti-sioniste… la sœur de BHL comme vous m’appelez s’est radicalisée avec les intouchables… oui je suis devenue une stigmatisée, non pas hélas des saints stigmates du Christ mais de ceux des innommables… les surnuméraires, les furieux, les extrêmes, les édentés, les réfractaires, les vandales, et pourquoi pas les black blocs bientôt…Ou déjà, qui sait? Je suis au Christ Jacquot, au Roi des juifs , de la terre et des Cieux; au Seigneur désarmé et Nu , je suis dingue du très Haut Qui Se fit très bas… et Se cacha dans la chair douce comme du lait d’une vierge de Nazareth. Je suis de Sa famille Jacques, j’ai retrouvé les miens: je suis chrétienne comme l’étaient déjà les prophètes, les poètes et les rois de l’Alliance native… gravée dans la pierre de la loi avant qu’elle ne se fit chair dans le Coeur de Sa miséricorde… aux entrailles maternelles d’un Dieu d’Amour. Il faut que je vous confie un secret… oui je vous l’offre comme le cadeau d’un départ, un présent pour la route, une chanson pour la vie, une berceuse pour traverser la mort: j’attends mon amour, je l’attends, je L’attends… je guette Ses pas… je L’attends. Mon corps est déchiré de la blessure de Sa Lumière et Sa lumière est une épée, la Vérité. Je L’ai épié dans le fin murmure d’un silence pénétrant comme le prophète Elie… je me languis de Sa Présence et je respire à la brise du soir le parfum de Son Souffle… au fil tranchant de Son Verbe… Mais Il Se cache… Et Se dévoile soudain dans le visage défiguré de ceux qu’on assassine sur un cri silencieux, les non nés ou non conçus encore et dont la voix se perd aux coulisses d’une vie exterminée in utéro, ou bien labellisée aux laboratoires privés du triage génétique. Cri silencieux des germes d’hommes congelés aux chambres fortes du planning familial. Mon Bien-Aimé m’appelle au secours aussi dans le sourire dépouillé des vieillards endormis de mort lente, de la « bonne mort » dites-vous, assistés médicalement dans les couloirs de la santé publique… Hélas il n’y a pas assez de lits…. et toutes les croix sont arrachées. Une mort sans croix c’est une mort sans pourquoi, sans fenêtre ouverte, sans les bras du Ressuscité étreignant la solitude et la douleur pour les coloniser de Son éternité et de Sa Paix. Une mort à la sauvette, une mort honteuse, une mort qui se veut propre mais qui pue le chien crevé et les viscères ouvertes comme ces pauvres macchabés de l’université Paris Descartes qu’on a laissé pourrir et qu’on a profanés dans une haine de l’Homme qui ne croit plus au Ciel, qui n’espère plus… programmant l’immortalité car il a peur de Son éternité. Elle le regarde de Ses eaux infinies. Jacques, je ne suis d’aucun parti, d’aucun clan, d’aucune tribu, je m’arracherai la peau avec le matricule anti-viral que vous voulez, vous, les marchands du temple de nos corps, graver dans notre chair… à Son Image et à Sa ressemblance nous furent créés et Son Visage est notre liberté… je suis à mon Amour tout simplement et Il m’appelle toujours plus loin, en eaux profondes dans le silence des vies d’enfants jetées à la poubelle ou bien brûlées comme combustible dans les fours crématoires des hôpitaux anglo-saxons. Et puis je suis de France, car la France voyez vous… ce n’est pas la potée, les binious , les bérets… la France c’est le cœur d’une vierge aussi… une vierge qui dit oui à l’Archange saint Michel… dans les clairières de sa Lorraine natale… La France c’est une Annonciation qui se déploie, du Calvaire à Chinon… de Chinon à toujours… car sa mission à la France c’est de chanter sur la plus haute branche avec saint Irénée et pour le monde entier: « la gloire de Dieu c’est l’Homme vivant! »
C'est une information qui aura l'effet d'une bombe... Jean Lassalle, 67 ans, ancien député et président du mouvement Résistons, était l'invité de Ying Huang de NTD "New Tang Dynasty" français. A cette occasion, il s'est livré à quelques confidences qui risquent de rendre nerveux les Français qui ont couru se faire vacciner à la suite de l'énorme pression du président Macron.
« Le reproche qu’on peut faire au passe sanitaire et donc bientôt au passe vaccinal, c’est qu’il y a des millions de gens qui se sont fait vacciner pour rien parce qu’ils ne sont pas à risque. »
Cela fait un an que Emmanuel Macron a annoncé l’une des mesures les plus honteuses de ces dernières décennies : la vaccination obligatoire pour le personnel soignant. Surtout depuis que l’on sait, de source officielle, que le « vaccin » n’empêche pas la transmission du virus… En leur donnant la parole, nous avons décidé de rendre hommage à notre manière à ces citoyens qui refusent de s’injecter un traitement en phase expérimentale pour conserver leur emploi.
L’ancienne nageuse olympique Sharon Davies a révélé qu’elle avait du mal à poursuivre sa carrière de commentatrice et d’ambassadrice sportive parce qu’elle a été attaquée sans relâche par des « militants » transgenres pour avoir défendu les droits des femmes dans le sport.
Davies a longtemps été franche dans son opposition aux hommes biologiques concourant contre les femmes en natation et dans d’autres sports.
« La raison pour laquelle je m’exprime autant sur la question des trans est que vous demandez maintenant à la prochaine génération de femmes de vivre ce que j’ai vécu : prendre le départ d’une course avec quelqu’un à côté de vous qui, vous le savez, a un avantage injuste. »
Pendant ce temps, le crédit social à la chinoise s’invite au cœur de l’Europe, viendra-il accompagné d'un confinement aussi drastique ?