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Le secteur du bâtiment est aujourd’hui le plus gros consommateur d’énergie en France. En 2022, la Réglementation Thermique 2020 (RT2020), également appelée Règlementation Environnementale 2020 (RE2020), a remplacé la RT2012.
Les projets résidentiels qui nécessitent le dépôt d’un permis de construire ou une déclaration préalable de travaux devront respecter ces mesures dès le 1er janvier 2022. Le but : permettre aux nouvelles constructions de répondre aux futurs enjeux climatiques. En effet, comme l’indique le GIEC, après le transport, le secteur du bâtiment est le plus grand émetteur de CO2 (10 solutions pour réduire efficacement nos gaz à effet de serre). Quels éléments changent avec la nouvelle RE2020 ?
Aurélie Moy est jeune ingénieure polytechnicienne spécialisée en développement durable. Elle a eu cette idée de village de Tiny Houses en 2018 alors qu’elle concevait sa propre Tiny House SuSy (diminutif de Sustainable Systems – Systèmes Durables en anglais). Disposant d’un grand terrain familial de 3500m² près du centre-ville de Saint-Brieuc, la jeune femme a décidé de créer le premier village de Tiny Houses afin de promouvoir ce mode de vie plus respectueux de l’environnement.
En effet, vivre en Tiny House c’est faire le choix du minimalisme, vivre avec moins de possessions matérielles pour vivre heureux.
Les maisonnettes du Ty village sont construites en ossature en bois et fabriquées avec des matériaux principalement naturels, renouvelables et locaux. Elles sont bien isolées pour permettre aux habitants d’y vivre à l’année.
Ce mode de vie minimaliste s’accompagne bien trop souvent de difficultés administratives. Même si, depuis la loi ALUR, les Tiny Houses sont reconnues comme des habitats légers, les propriétaires de Tiny Houses ont toujours du mal à obtenir les autorisations pour s’installer.
En créant ce village, Aurelie a souhaité rendre ce mode de vie accessible à ceux qui souhaitent expérimenter la vie en Tiny House. Après avoir bataillé avec la mairie pour obtenir le permis d’aménager, Ty village a pu accueillir ses 5 premières Tiny Houses en 2019. Aujourd’hui, il y en a une vingtaine. Les Tiny Houses sur le terrain sont actuellement en location pendant la période scolaire pour les étudiants. En été, elles sont disponibles à la semaine ou à la nuit pour les touristes et les curieux qui souhaitent tester la vie en Tiny House. En plus de ces locations de Tiny Houses, Ty Village souhaite aussi proposer des terrains à la location pour les propriétaires qui veulent s’installer sur un terrain. Des emplacements sont ainsi disponibles pour accueillir des propriétaires et leur tiny.
« Psychologiquement, c’est très dur. Nous sommes à bout. » Adrien et Marine devront-ils dire adieu à leurs mobile homes, installés dans leur hangar agricole ? C’est ce qui inquiète les deux maraîchers. Cet été, le maire de Maché, en Vendée, les a mis en demeure sous astreinte de quitter les lieux. Depuis le 8 novembre, le couple doit payer 50 euros par jour d’astreinte. Ils résistent, non sans difficultés.
Ou alors, très vaguement, comme d’une sorte de hold-up plus ou moins légal, dirigé à grande échelle par une minorité d’ultra-riches. De fait, La (Très) Grande Évasion représente sans doute, à ce sujet, le film qui manquait à notre siècle. Un film puissant, étonnamment limpide et exhaustif, s’offrant même le luxe d’un humour incisif, à propos d’un système déloyal qui ne cesse de se prétendre trop technique pour le commun des mortels.
La (Très) Grande Evasion est le nouveau film de Yannick Kergoat, écrit en collaboration avec Denis Robert (lanceur d’alerte dans l’affaire Clearstream) et produit/distribué par Wild Bunch, Le Bureau et La Grande Distribution.
Un film à présenter sans tarder, puisqu’il sera en salles dès ce 7 décembre.
Cette tendance qui a commencé à s'affirmer en juin 2022, c'est-à-dire 9 mois après l'atteinte des 85% de taux de vaccination dans la population, est devenue catastrophique depuis le mois d'août, c'est-à-dire depuis les premiers effets de la troisième dose. Pour l'instant, l'INSEE ne donne aucune explication à ce trou d'air inquiétant pour l'avenir démographique du pays.
« Quoi ?! Il y a des milliers de données stockées dans ce vieux bâtiment ?! » Ce chauffeur de bus marseillais n’en revient pas mais tous les jours, et ce depuis des années, il passe à côté d’une ancienne base allemande de sous-marins reconvertie en data center [1].
De l’extérieur, cet édifice de la Seconde guerre mondiale niché dans le port de Marseille ressemble à un immense hangar en béton marron. Nommé MRS3, il est le troisième centre de données implanté par la société Digital Realty France, à Marseille. La société en compte désormais quatre. Peu connue du grand public, cette activité ancrée dans la ville phocéenne la positionne pourtant à la septième place sur l’échelle mondiale des hubs numériques. Elle devrait même se hisser dans le top cinq d’ici l’an prochain.
Revenons aux faits : comme le montrent les graphiques ci-dessous, pendant la grave crise de 2008 le baril était monté jusqu’à 145 $ et pourtant le litre de sans plomb 95 était à 1,55 €. Aujourd’hui, ce même baril de pétrole brut est à 82 $ et pourtant le sans plomb 95 dépasse les 2 € le litre. En d’autres termes, avec un prix du baril 40 % moins cher, le litre d’essence coûte 0,50 € de plus !
Il faut vraiment être totalement décérébré, atteint d’une profonde dégénérescence irréversible pour accepter de payer aussi cher le litre d’essence sans se révolter et demander des comptes au gouvernement ainsi qu’aux distributeurs !
Comme vous le savez, il y a dans ce monde de taux variables dans lequel nous évoluons, un petit village qui résiste encore et toujours aux légions bancaires.
Entouré de camps retranchés de banquiers, le petit village gaulois résiste et continue à fonctionner avec des crédits à taux fixes.
Les taux fixes permettent d’éviter les vagues d’insolvabilité à chaque fois que les taux montent et finalement les crises financières car les banques se retrouvent inévitablement fragilisées par le nombre d’emprunteurs en faillite qui augmente dans ces cas là.
C’est exactement comme cela que les banques américaines ont très largement tangué lors de la crise des Subprimes entre 2007 et 2010 et que la Lehman Brothers s’est effondrée dans un immense fracas qui a résonné dans le monde entier.
Pourtant, pourtant…
Malgré les nombreux accidents, les décès, les mains et pieds arrachés, les yeux crevés… malgré la condamnation du Conseil d’État concernant l’utilisation illégale de la « nasse » par les forces de l’ordre parisiennes, rien n’a changé car Gérald Darmanin méprise l’État de droit. Ils sont en train de s’armer contre la population comme s’ils partaient en guerre contre un ennemi étranger avec des véhicules suréquipés d’armes de guerre ( la violence des forces de l’ordre est observable sur la vidéo ci-dessous.) Depuis quand les forces de l’ordre ont pour mission d’arracher une banderole de manifestation ? Vous pouvez le voir sur les images, plusieurs policiers aux comportements de voyous, indignes ! De telles dérives ne peuvent avoir lieu que si la hiérarchie le permet, c’est une évidence. L’utilisation de la nasse n’est rien d’autre qu’une manière artificielle préméditée de faire monter la tension car il n’y a aucune possibilité de s’extraire de la manifestation !
Une chose est certaine, le gouvernement est en train de s’équiper de manière militaire car il sait très bien que la population finira par exploser étant donné les nombreuses trahisons et la gestion catastrophique des affaires de l’État. Ils savent parfaitement que leurs jours sont comptés, ils ne peuvent, alors, que s’appuyer sur la violence policière.
Cette demande à l’encontre des deux enseignes de la grande distribution fait suite au constat que l’absence de personnel dans certains magasins ouverts le dimanche contraignait les clients à régler leurs courses à des caisses automatiques.
La Banque de France a rappelé aux groupes de grande distribution Carrefour et Casino leur obligation d’accepter les paiements en espèces dans l’ensemble de leurs magasins, a indiqué mercredi le directeur des activités fiduciaires Christophe Baud-Berthier. Un rappel qui intervient quand il a été constaté que l’absence de personnel dans certains magasins ouverts le dimanche obligeait les clients à se diriger vers des caisses automatiques ne permettant pas le paiement en pièces et billets.
Pourtant, les États-Unis, le Royaume-Uni, la Pologne, l’Italie et l’Allemagne se sont déjà engagés sur la voie de la censure. Il y a désormais des choses à ne pas dire.
En France, la secrétaire d’Etat chargée de la citoyenneté, Sonia Backès, tente de discréditer les opinions non-conformes. Elle les assimile à des dérives sectaires. L’Etat, a-t-elle annoncé, organisera des "assises des dérives sectaires et du complotisme" (sic). En Union soviétique, on plaçait les opposants en hôpitaux psychiatriques.
La liberté d’expression était une caractéristique de l’Occident depuis le XVIII° siècle. Ce fut la base sur laquelle le régime politique porté par les classes moyennes fut construit : la démocratie. Le principe selon lequel, la volonté générale surgirait de l’affrontement des diverses opinions n’était plus contesté. Toute atteinte à cette liberté était vécue comme un coup porté à la résolution pacifique des conflits.