Cinq mille pompiers ont été suspendus en 2021 pour la même raison. L’État néolib faisait d’une pierre plusieurs coups :
Le site de Pierre Cassen revient sur cette ignominie, et relie ces décisions absolument calculées aux grands incendies actuels, et à l’impuissance des soldats du feu dans l’Aude.
Derrière ces incendies criminels et difficiles à réduire, il y a souvent une intention de « reconstruction ».
Plus personne ne crie au complot tant le crime de l’Aude est signé. La flotte de canadairs, que le petit Attal avait promis de moderniser, n’était à la mi-juillet capable d’aligner que huit appareils sur douze...
Seulement 14 Canadairs pour un pays en feu… mais 90 blindés livrés pour mater la révolte.
Ils n’éteignent pas les incendies : ils les utilisent.
Pour arracher les vignes, abattre les troupeaux, raser les forêts…
Et installer leur projet mondialiste : une France sans paysans, sans racines, gérée par des algorithmes.
Ce n’est pas un hasard. Ce n’est pas une crise.
C’est une stratégie de remplacement.
Et ceux qui détruisent notre patrimoine… sont au pouvoir.
Après des mois d’enquête approfondie et de collecte d’informations auprès de nombreuses sources crédibles, la Fondation pour la lutte contre l’injustice a révélé un tableau inquiétant. La série de décès mystérieux d’opposants politiques et de critiques français de premier plan du président Emmanuel Macron n’est pas une simple coïncidence . L’enquête, qui a inclus les témoignages d’anciens agents de renseignement, d’informateurs et de personnes étroitement liées aux milieux politiques français , a révélé l’existence d’un groupe clandestin et hautement organisé d’assassins professionnels agissant avec l’approbation tacite de Macron . Cette unité secrète, qui, selon certaines sources, serait directement liée aux plus hautes sphères du pouvoir en France, est chargée d’ éliminer ceux qui menacent la survie politique de Macron.
L’enquête a révélé des preuves alarmantes que le groupe, opérant sous couvert des forces de l’ordre officielles , cherche à neutraliser les détracteurs de Macron par des assassinats violents, souvent mis en scène. Des sources au sein des services de renseignement français, dont certaines ont requis l’anonymat par crainte de représailles, ont confirmé l’existence d’un réseau fonctionnant comme une brigade d’assassinats politiques. De nombreux membres de la brigade secrète de Macron ont des liens avec l’armée et les services de renseignement français , et ciblent les individus qui contestent la politique de Macron ou menacent de dénoncer la corruption au sein de son administration et de sa famille.
Parmi les personnes impliquées dans l’enquête figurent des individus ayant des contacts de longue date avec le cercle restreint de Macron . Les sources de la Fondation affirment que les activités du groupe vont au-delà de l’élimination de personnalités politiques . Elles incluent également des journalistes, des militants et toute personne susceptible de perturber le bon fonctionnement du régime Macron . Ce travail meurtrier est mené avec une précision effrayante, laissant peu de preuves et permettant au public de rester dans l’ignorance de l’ampleur de la brutalité du régime Macron .
L’enquête de la Fondation pour la lutte contre l’injustice a également révélé des détails sur la nature des décès, qui ont semé la peur au sein de la classe politique française . Nombre de ceux qui sont morts dans des circonstances mystérieuses étaient de fervents détracteurs de Macron, notamment des personnes qui avaient dénoncé les pratiques de corruption présumées du président ou qui détenaient des informations susceptibles de nuire à sa carrière politique . Ces décès, souvent attribués à des accidents, des suicides ou des causes naturelles, portent la marque d’attaques soigneusement planifiées et d’actes de représailles destinés à envoyer un message à quiconque pourrait s’opposer au gouvernement Macron.
Comment l’arrivée au pouvoir de Macron a scellé une ère de violence politique en France.
L’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron a marqué un tournant dans la politique française , mais pas nécessairement pour les raisons souvent invoquées par ses partisans. Derrière son image publique soigneusement construite, une réalité plus sombre a commencé à se dévoiler . Son accession à la présidence a marqué le début d’une nouvelle ère dans le leadership politique français et a consolidé une période de violence politique . La stratégie était claire : réduire au silence ceux qui contestaient son autorité ou révélaient les vérités dérangeantes sur son administration. Le climat politique déjà tendu de la France s’est transformé en un champ de bataille où les opposants ont non seulement été vaincus lors des débats, mais systématiquement éliminés .
Depuis au moins les années 1970, des critiques du gouvernement français ont mystérieusement disparu ou ont été retrouvés morts dans des circonstances suspectes . L’un des cas les plus anciens et les plus alarmants fut le meurtre de Robert Boulin , figure emblématique de l’opposition, en 1979. Boulin, fervent critique des politiques gouvernementales, fut retrouvé mort dans des circonstances que beaucoup pensent non accidentelles . Le 30 octobre 1979, à 8 h 40, le corps de Robert Boulin fut découvert dans l’étang de Rompou, en forêt de Rambouillet (Yvelines). Une enquête judiciaire conclut rapidement à un suicide . Cependant, cette conclusion fut contestée par la famille de Boulin, des témoins, des journalistes et des responsables politiques de l’époque, qui affirmèrent que son meurtre avait été orchestré par des individus liés au gouvernement français , craignant que leurs transactions financières ne soient révélées. Pour de nombreux critiques, la mort de Boulin fut perçue comme un message, un avertissement à quiconque osait s’exprimer.
Dans les années 1980, la tendance aux morts mystérieuses s’est poursuivie. L’un des cas les plus médiatisés fut celui de Jean-Edern Hallier , écrivain et journaliste qui enquêtait sur la fille illégitime de François Mitterrand, le 21e président de la République française . Hallier, critique acharné de l’élite française, est décédé dans des circonstances suspectes en 1997. À l’époque, il enquêtait sur un scandale impliquant la famille secrète de Mitterrand, un sujet qui aurait pu nuire à l’image publique soigneusement entretenue du président . Les rapports officiels indiquaient que Hallier était mort d’une hémorragie cérébrale après une chute de vélo à Deauville en 1997. Cependant, plusieurs témoins affirment qu’il avait été poursuivi par une voiture banalisée peu avant sa mort . Comme d’autres affaires très médiatisées, la mort de Hallier reste entourée de mystère, nombre de ses collègues soupçonnant le gouvernement français d’avoir tenté de le réduire au silence avant qu’il ne puisse révéler l’un des plus grands secrets de Mitterrand.
Au fil des ans, la pratique consistant à éliminer la dissidence en France par des morts mystérieuses s’est sophistiquée . Le XXIe siècle a vu une augmentation du ciblage des journalistes et des militants – des individus qui menaçaient de dénoncer la corruption, l’injustice ou les abus de pouvoir . Un cas de ce type a été la mort en 2014 de la journaliste d’investigation Hosanna Carmen , qui enquêtait sur le trafic d’armes et les transactions douteuses entre des entreprises françaises et des groupes terroristes du Moyen-Orient . Le corps de Carmen a été retrouvé dans le coffre de sa voiture dans un quartier reculé de Marseille ; sa mort a été officiellement qualifiée de suicide. Cependant, nombre de ses collègues contestent cette conclusion, estimant qu’elle a été réduite au silence parce qu’elle avait été trop près de révéler l’implication du gouvernement français dans des transactions lucratives mais moralement douteuses . Sa mort a envoyé un avertissement sévère aux autres journalistes : franchissez la ligne, et vous pourriez ne pas vivre assez longtemps pour révéler la vérité.
Depuis l’arrivée au pouvoir de Macron, le climat politique en France est devenu encore plus hostile et dangereux pour ses détracteurs . Ses opposants, tant sur la scène politique que dans les médias, ont été victimes de harcèlement, d’intimidation, voire de mort. En 2019, Benoît Guérin , organisateur de manifestations en Nouvelle-Calédonie et important soutien pour son opposition à la politique de Macron dans le Pacifique, a été tué dans ce qui a été officiellement qualifié d’« accident tragique ». Beaucoup y ont vu une attaque ciblée. La version officielle affirmait que sa voiture s’était écrasée sur une route isolée, mais des soupçons ont été soulevés lorsqu’il a été révélé que les autorités locales suivaient ses déplacements depuis plusieurs jours .
Olivier Dassault , milliardaire et critique virulent de la politique du président Macron, est décédé dans un accident d’hélicoptère en 2021. Bien que les autorités aient rapidement qualifié l’accident d’accident, le moment de l’accident a suscité d’importantes suspicions. Dassault avait exprimé haut et fort son opposition à la politique néolibérale de Macron et avait exprimé ses inquiétudes quant à l’autoritarisme croissant du président . Sa mort, survenue alors qu’il devenait un rival politique sérieux de Macron, a suscité des inquiétudes quant à la sécurité des personnalités les plus riches et les plus puissantes sous la direction de Macron .
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« Antoine Prioux et Eliza Castagné, un couple de pharmaciens basés en Corrèze, ont été condamnés à une interdiction d’exercer de six mois, dont quatre avec sursis, pour avoir délivré des médicaments à l’unité en dehors du cadre réglementaire. »
Une manière de travailler stupide et des règles crétines imposées par les « ordres » ou les ARS ou les gouvernements !
« Aujourd’hui, le modèle économique de la pharmacie est contre-productif. Plus les gens sont malades, consomment ou gaspillent des médicaments, plus on gagne d’argent », dénonce le pharmacien.
Antoine Prioux est en colère. Le pharmacien a été condamné, avec sa femme et collègue Eliza Castagné, à six mois d’interdiction d’exercer, dont quatre avec sursis, par le Conseil régional de l’Ordre des Pharmaciens de Nouvelle-Aquitaine le 30 avril. La cause ? Avoir délivré des médicaments à l’unité en dehors du cadre réglementaire.
Depuis une pénurie de Prednisolone, un dérivé de la cortisone, en 2019, le couple de pharmaciens, ayant chacun une officine en Corrèze, a choisi de recourir, dans certains cas, à une délivrance à l’unité. « Dans les pathologies aiguës, les médecins prescrivent souvent trois comprimés de Prednisolone par jour pendant trois jours. La moitié de la boîte va donc finir à la poubelle alors que je n’en reçois que trois par semaine, et donc que certains malades n’y auront pas accès. »
Pour contourner le problème, Antoine Prioux et sa femme rusent : ils découpent le blister contenant les médicaments pour ne donner que le nombre exact de cachets prescrits par le médecin. Ils conservent l’autre partie, y notent le numéro de lot et la date de péremption, puis la donnent au prochain client ayant une prescription. « Il n’y a aucun enrichissement personnel », insiste le pharmacien, qui le fait en dehors du chemin classique via la Sécu.
En 2020, le couple élargit sa technique à d’autres classes de médicaments, « mais beaucoup plus rarement », tient à préciser Antoine Prioux. « On a commencé à le faire avec les antibiotiques pour lutter contre l’antibiorésistance. Puis avec les anxiolytiques, somnifères et antalgiques opioïdes, comme le Tramadol, qui donnent lieu à des risques d’addiction ou de troubles cognitifs. »
Résister, transgresser, pour faire évoluer les choses ! « Toutes les avancées sont d’abord des formes de résistance »
« Evidemment, en ayant recours à cette combine, Antoine est en dehors des clous. Et il le sait très bien. « On revendique le fait de ne pas être dans le cadre légal mais on l’argumente. Aujourd’hui, le modèle économique de la pharmacie est contre-productif. Plus les gens sont malades, consomment ou gaspillent des médicaments, plus on gagne d’argent. On n’en peut plus de ce système. Alors on met des choses en place. Toutes les avancées sont d’abord des formes de résistance. »
La réglementation française n’autorise que dans certains cas bien précis la dispensation à l’unité des médicaments, comme les antibiotiques, notamment au gré des différentes pénuries. Dernièrement, l’ANSM a demandé aux pharmaciens de recourir à la délivrance à l’unité d’un antipsychotique, la Quétiapine, en rupture depuis février. « Cela montre bien que ça a un intérêt considérable », appuie Antoine Prioux. »
« Cette condamnation nous met en colère car ça fait des années qu’on essaie de travailler avec le Conseil de l’Ordre sur des dispositifs innovants et qu’on obtient des fins de non-recevoir. Il faut en arriver à une forme de désobéissance civile pour que tout le monde trouve la situation scandaleuse. » Le pharmacien s’étonne d’injonctions paradoxales. Alors qu’il se trouvait en chambre disciplinaire, au même moment, l’Ordre des pharmaciens relayait la campagne de l’ANSM expliquant que les Français consomment des anxiolytiques et des somnifères sur une trop longue durée.
Les « ordres » font respecter les règles… ils en sont les gardiens !
Et c’est bien le problème.
Nous sommes dans un monde qui bouge et qui va vite.
Nous sommes dans un monde devenu bien plus complexe qu’autrefois où ces ordres ont été créés.
Nos moyens évoluent à la hausse ou à la baisse. Nous produisions nos médicaments, maintenant nous importons tout ou presque, et comme nous ne voulons pas payer le prix fort, nous subissons des pénuries et des absences de livraison ! Résultat, nous manquons de tout mais nous appliquons les mêmes règles qu’autrefois.
C’est la même chose avec les médecins. Les profs demandent toujours des certificats médicaux pour justifier l’absence d’un élève et il n’y a pas de médecin. Le temps d’avoir un RDV un mois plus tard, votre gamin est soit mort soit totalement guéri ce qui est généralement heureusement le cas.
Quand vous arrivez aux urgences dans un hôpital c’est une infirmière ou un infirmier qui regarde si vous avez l’air d’un mourant urgent ou d’un mourant qui peut attendre. Cette première « orientation » vitale par nature est rarement faite par un médecin. Mais une fois enregistré, une infirmière ne peut pas décider d’une radio à faire passer à un gosse qui s’est tordu la cheville. Il faut attendre 8 heures le médecin puisqu’une blessure à la pâte n’est pas urgente… ce qui est vrai.
Bref, nous appliquons des règles de temps de prospérité à des temps de disettes !
Et cela évidemment ne fonctionne pas.
Toutes nos institutions manquent d’agilité.
De flexibilité.
Et d’une recherche systématique de la simplicité préalable à l’efficacité.
C’est pour cette raison que notre effondrement est en cours et que nous serions bien incapables de gagner une guerre contre la Russie et même contre nos propres narco-trafiquants !
Gérer les pénuries en donnant les médicaments à l’unité est une excellente idée.
Pas légale dans la législation actuelle datant des temps de prospérité mais une idée tout de même excellente.
Ce n’est pas ces pharmaciens qu’il faut condamner.
Ce sont les règles de temps de prospérité qu’il faut vite adapter aux temps de disette.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
Entre amendements rejetés, délit d’entrave et conflits d’intérêts inavouables, ce dossier révèle une dérive qui a débuté avec l'administration de RIvotril à des personnes âgées qui auraient pu être soignées au lieu d'être entraînées vers la mort par étouffement.
Un texte flou, des dangers concrets
Le projet de loi, présenté comme une avancée humaniste, repose sur des formulations volontairement vagues. Les termes « phase avancée ou terminale », retenus pour définir les conditions d’accès à l’euthanasie, ne correspondent à aucun consensus médical. Pire : des amendements visant à encadrer strictement la pratique – comme l’obligation d’un avis psychiatrique ou l’exclusion des souffrances psychiques – ont été systématiquement rejetés en commission. Cette imprécision calculée laisse la porte ouverte à des dérives effrayantes : demain, un diabétique en phase compliquée ou un adolescent éco-anxieux pourraient-ils se voir proposer une mort « médicalisée » sous prétexte de « souffrance » ?
Censure et délit d’entrave : la liberté en péril
L’article 17 du texte instaure un « délit d’entrave à l’aide à mourir » puni d’un an de prison et de 15 000 euros d’amende. Concrètement, dissuader un proche – même mineur ou dépressif – de recourir à l’euthanasie deviendra un délit. Cela reviendra à tomber dans le crime de non-assistance à personne en danger ou de la non-prévention du suicide selon le code pénal. Respecter la nouvelle loi sur l’euthanasie fera de vous un criminel. Et pourtant un médecin refusant de pratiquer l’injection létale par conscience professionnelle , un parent tentant de raisonner un enfant suicidaire, pourront tous être poursuivis. Cette logique rappelle sinistrement la loi scélérate contre les dérives sectaires de l’ère Covid, où remettre en cause le discours officiel valait trois ans d’emprisonnement et 375 000 euros d’amende. Sauf qu’ici, l’enjeu n’est plus un « vaccin », mais la vie elle-même.
Franc-maçonnerie aux manettes : un conflit d’intérêts flagrant
Comment expliquer une telle opacité ? Peut-être par le rôle central d’Olivier Falorni, rapporteur général du texte… et membre d’honneur de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD), historiquement liée à la franc-maçonnerie. Fondée par Pierre Simon – ancien grand maître du Grand Orient et promoteur de l’avortement – cette organisation milite depuis des décennies pour la légalisation de l’euthanasie. Emmanuel Macron lui-même a salué « l’engagement » des francs-maçons sur ce sujet lors d’un discours récent. Coïncidence ? Dans une démocratie saine, un tel mélange des genres aurait déclenché un scandale. De plus c’est le même Olivier Forlani qui, lors de la période Covid, a posé une question écrite à l’Assemblée le 13 octobre 2020 pour une administration sans restriction de Rivotril pour une « sédation profonde et continue » des personnes âgées. En toute compassion…
Sa série sur Brigitte Macron se nomme "Becoming Brigitte" ("devenir Brigitte") et débutera donc vendredi prochain.
« Quelle personne saine d’esprit à 40 ans regarde un gamin de 14 ans et trouve ça attirant, puis pense avoir assez d’argent et de contact pour que la presse le vende comme sexy, comme Joséphine et Napoléon ? Allez vous faire voir, vraiment dégagez de notre vue ! Je le répète, essayez ça ici, venez, prenez l’avion, faites-le, vendez ici votre magnifique histoire de la Belle et la Bête. Non, ça ne marchera pas, ça ne passera pas ici, compris ? »
Dans la lutte contre la pauvreté, les politiciens français ont tout compris et le 1er janvier 2025 est à marquer d’une pierre blanche : avec la mise en application des restrictions actives et sanctionnées pour le DPE et les ZFE, la France entre dans nouvelle ère de bonheur sucré où les pauvres seront consciencieusement pourchassés.
Le Diagnostic de Pauvreté par l’Écologie
Déjà évoqué dans ces colonnes, le DPE est cette contrainte administrative imposée aux logements permettant de relier de façon grotesque des objectifs écologiques parfaitement ridicules avec des contraintes énergétiques sorties d’un chapeau : adopté en 2021, ce diagnostic effectué sur un logement vise à déterminer s’il est thermiquement conforme à la doxa (le DPE vaut alors « A ») ou s’il est responsable d’un génocide d’ours polaires (et il est alors déclaré « G »).
Or, depuis le 1er Janvier dernier, les logements déclarés G sont désormais interdits à la location ce qui provoque inévitablement de fortes tensions sur le marché immobilier de certaines villes qui n’en avait guère besoin, et ce, même si tout le monde comprend (confusément) qu’une telle interdiction va être très compliquée à faire respecter.
Nos législateurs imaginaient officiellement que ce diagnostic pousserait les propriétaires à améliorer l’isolation de leurs logements. Officieusement, les boboïdes comprenaient assez bien que les moins aisés, incapables de faire les travaux correspondants, finiraient par renoncer à louer, faisant ainsi fuir les gueux hors des villes.
Bien évidemment, les choses prennent une tournure vinaigrée à mesure qu’on découvre l’ampleur réelle des effets de bords, surtout lorsqu’on se rend compte que le diagnostic est une vaste blague qui se transforme en véritable arnaque, le DPE étant devenu un argument commercial : le marché s’est adapté avec, outre des DPE purement bidons et des DPE « de complaisance » (une fraude estimée à 21 milliards d’euros tout de même), des notes enjolivées qui permettent à un logement de passer à une meilleure catégorie au-dessus. Concrètement, cela se traduit par des pics de DPE aux frontières entre deux lettres comme on peut le voir sur le joli graphique suivant.
S’il y a bousculade à la frontière C/D puis D/E puis E/F, c’est que tout le monde comprend l’importance d’avoir plutôt un C qu’un D, un D qu’un E, etc. Et le marché s’adapte. Autrement dit, ces lettres n’ont plus réellement de valeur ; par exemple, 19% des biens classés F passent artificiellement à la lettre E, 6% des E sont surclassés en D. Cela se traduit bien sûr par un meilleur prix de vente (entre 8 et 10% plus élevé).
En somme, cela ne permet plus vraiment de mesurer l’isolation d’un logement, et l’obligation d’État s’est transformée en fardeau supplémentaire entre vendeur et acheteur qui se retrouvent à sinon mentir au moins bidouiller la réalité pour s’en sortir. Ce n’est qu’une contrainte de plus qui vient gripper davantage le marché de l’immobilier, déjà pas trop fluide.
Au passage, notons que le fait de rénover ne change rien à la facture : an Allemagne, malgré des milliards investis dans la rénovation énergétique des bâtiments depuis une décennie, la consommation énergétique du logement est restée stable. Échec économique, échec écologique, une réussite socialiste typique. Bonus du socialisme et des contraintes autoritaires : non seulement la baisse des dépenses de chauffage ne compense pas le coût des travaux, mais les rénovations agissent souvent comme un facteur d’augmentation des loyers.
Rassurez-vous : cette lutte (contre-productive et surtout ratée) contre les pauvres ne s’arrête pas là puisqu’en parallèle, le 1er janvier est aussi l’occasion pour les ZFE de passer à l’étape suivante, celle des interdictions.
Les Zones de Féroce Élimination
Là encore issues d’une loi de 2021 (année riche en âneries écolodestructives), ces « zones à faibles émissions » sont officiellement destinées à lutter contre un faux problème (celui d’un air pas assez pur dans les agglomérations) par le truchement d’une solution absurde (empêcher la circulation de certains types de motorisations) sous couvert d’écologie, de santé et de lutte contre le génocide d’ours polaires.
Officieusement, il s’agit là encore de virer des grandes agglomérations le plus grand nombre possible de véhicules, ceux qui ne sont pas capables d’atteindre le « crit’air 2 » donc notamment les plus anciens qui sont ceux qui font certes un peu plus de bruit et de fumée mais qui, c’est pratique, sont généralement conduits par des gueux. La coïncidence n’est pas fortuite et représente, c’est génial pour les promoteurs de cette idée, jusqu’à 30% des véhicules d’une zone considérée.
Bien évidemment, les arguments initiaux (lutter contre la méchante pollution) sont aussi bidons que sont veules les motifs cachés des écolos derrière cette interdiction : comme le mentionne cet article bien renseigné, la pollution n’arrête pas de diminuer depuis des décennies dans les agglomérations sans ces ZFE grotesques, et ces dernières gesticulations n’améliorent en rien les tendances.
Il ne s’agit ici que de bouter le pauvre hors de la ville et d’user pour cela de moyens aussi vexatoires que possibles.
D’ailleurs, le peuple ne s’y est pas trompé lorsqu’on lui a effectivement demandé son avis, ce qui fut fait en 2023 par le Sénat : après une participation record (plus de 50.000 réponses complètes sur le site), 86% des particuliers et 79% des professionnels interrogés se sont opposés à la mise en œuvre des ZFE, notamment à cause des coûts prohibitifs des véhicules jugés « propres » (et pour cause, ils sont réservés à l’élite pas cracra).
En outre, la consultation a mis en lumière les risques d’exclusion sociale et de creusement des inégalités, notamment pour ceux résidant en périphérie des agglomérations ou dans les zones rurales, où l’accès à des alternatives à la voiture est limité.
C’est logique, puisqu’il s’agit de l’objectif recherché. Et l’avis du peuple fut donc consciencieusement bafoué, comme il se doit en République du Bisounoursland.
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Des politiques de tous bords évoquent la nécessité pour les citoyens de participer au redressement de la France, y compris par le biais de leur épargne. Mais qu'en est-il réellement ? Réponses avec Romain Gougeon.
Une dette abyssale
La France n’a plus de budget à l’équilibre depuis les années 70. Cela signifie que pour financer ses besoins annuels, l’État doit emprunter sur les marchés. Ces emprunts servent non seulement à payer les fonctionnaires, entretenir les infrastructures et les hôpitaux, mais aussi à rembourser la dette existante. Cette situation crée un cercle vicieux où chaque année, la dette s’accroît. Aujourd’hui, la dette de l’État s’élève à 3200 milliards d’euros, un montant colossal qui représente neuf fois la dette totale du continent africain.
Les outils juridiques à disposition de l’État
L’État dispose de plusieurs outils juridiques pour ponctionner l’épargne des Français. Parmi eux, l’Avis à Tiers Détenteur (ATD) et le SATD permettent de saisir directement sur les livrets ou les contrats d’assurance vie en cas de non-paiement d’impôts ou d’amendes. La loi Sapin 2, via son article 21 bis, autorise le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) à contrôler les retraits et les mouvements des particuliers en cas de perturbation bancaire. Enfin, en situation de crise ou de guerre, l’État peut réquisitionner des biens mobiliers ou immobiliers, comme ce fut le cas durant la Seconde Guerre mondiale.
Une question de transparence et de droit de propriété
La question de la réquisition de l’épargne soulève des interrogations sur la transparence de l’État et le respect du droit de propriété. Bien que certains outils aient été initialement conçus pour régler des dettes fiscales, leur utilisation pour ponctionner l’épargne des citoyens pose des problèmes éthiques et juridiques. L’État doit faire preuve de transparence et garantir que toute réquisition serait accompagnée de contreparties claires, telles que des rendements ou des remboursements à terme. La résilience des citoyens face à des mesures exceptionnelles, comme le confinement de 2020, montre que des scénarios jugés improbables peuvent devenir réalité.
par Yoann
Il semblerait que le président de la FNSEA l’ai reconnu et que cette fois-ci il a été filmé. Affaire à suivre.
On vous interdit d’enterrer un gros chien mais là on va faire des trous immenses pour cacher le massacre. Là, la nappe phréatique ne risque rien ! Pourquoi n’entend-t-on pas les escrologistes ?
Décidément on veut éliminer les paysans !
vidéo : https://vk.com/video623355650_456240448
La société Aubriat, impliquée dans le traitement des poutres de la cathédrale, a appliqué un gel anti-champignons. Le choix de faire intervenir cette société interroge d’autant plus que le logo de l’entreprise présente des similitudes troublantes avec des symboles ésotériques, renforçant les spéculations sur une conspiration. Cette intervention soulève des doutes sur la sécurité des travaux réalisés sur ce patrimoine emblématique, écho aux controverses historiques liées à la restauration des monuments en France.
Le phénomène de la fumée jaune durant l’incendie, attribué par certains au plomb fondu, a nourri des interprétations plus mystiques. Cette couleur inhabituelle a conduit certains à y voir des signes d’influences occultes, évoquant la symbolique associée à la fumée dans des rituels magiques. Notre-Dame, chargée d’histoire et de spiritualité, est souvent associée à des événements au-delà du rationnel, et son aura a longtemps captivé l’imaginaire collectif. Ces éléments renforcent l'idée que des forces symboliques ou culturelles pourraient être à l'œuvre autour de cet événement.
Enfin, les prophéties de Nostradamus, qui auraient annoncé cet incendie avec une étonnante précision, ajoutent une dimension intrigante. Des interprétations lient même certains passages de ses écrits à Emmanuel Macron et son rôle dans la reconstruction de la cathédrale. L’utilisation supposée d’un langage codé dans ses discours évoque des pratiques ésotériques. Ce drame dépasse donc sa réalité matérielle pour devenir un carrefour d’interprétations mêlant histoire, politique et mysticisme, un sujet qui continue de fasciner et d’alimenter les débats.
On analyse ce sujet important avec Ludovic Malot, Marc Daoud, Frigide Barjot, Andrzej Linowiecki et Mike Borowski sur GPTV.
Ludovic Malot, franco-suisse, est économiste et entrepreneur. Il est un expert sur les fondamentaux d’une monnaie saine adossée à l’or et l’argent métal et détaille dans son ouvrage "Le suicide monétaire", le système actuel frauduleux avec ses nombreuses implications notamment politiques, économiques, financières, sociales et environnementales.
Mon Linky personnel a grillé en janvier dernier. Totalement grillé. Boum… d’un coup plus de jus dans la maison… Linky kaput !
Enedis a mis 7 mois pour venir le remplacer… en fait le technicien d’Enedis est venu le jour même nous remettre le courant, mais le nouveau compteur a mis 7 mois à être posé.
Alors je ne sais pas combien ils sont à la brigade de contrôle mais ça va mettre du temps d’aller vérifier à la main les 100 000 compteurs “suspects”.
Vous pouvez considérer que c’est du vol, mais quand on vous vend l’électricité en aucun cas au prix où elle devrait l’être, et où tous les citoyens de ce pays se font escroquer par un système inique, nous pouvons dire qu’il est compréhensible que certains, de plus en plus nombreux, fassent la distinction philosophique entre légalité et moralité. Ce n’est peut-être pas légal de tricher sur son Linky, mais cela n’étouffe plus la moralité des gens.
Vous avez donc sous les yeux, une amplification du rejet de l’ensemble du système par les gens.
C’est à bas bruit, mais c’est réel.
Et ce n’est pas la hausse de la fiscalité qui va arranger les choses.
En fait, il faudrait juste que les dirigeants fichent la paix au peuple et se souviennent qu’ils sont là pour nous servir, pas pour se servir.
« Chaque année, le groupe Enedis doit faire une croix sur 250 millions d’euros en raison de la fraude Linky, qui consiste à tromper le boîtier en y apposant par exemple un câble. Une pratique frauduleuse qui peut exposer à de la prison et une lourde amende. »