Le ministère de la Santé et des Affaires sociales de l’Idaho (IDHW) a mis en œuvre dans les écoles un programme d’éducation sexuelle approuvé par Planned Parenthood, qui encourage les jeunes enfants à étudier la pornographie et leur apprend à cacher aux parents l’historique de leur navigation sur les sites pornographiques.
Selon une vidéo publiée par la Fondation pour la liberté de l’Idaho, « les formateurs pensent que les élèves de troisième année tirent profit du porno » et note que certaines des activités « incluent des élèves qui regardent des dessins animés pornographiques ». Plus inquiétant encore, sur son site web, le gouvernement de l’Idaho enseigne « aux élèves comment cacher la navigation pornographique aux parents ».
Les professionnels de la santé qui approuvent les hormones sexuelles croisées et les bloqueurs de la puberté chez les enfants seront tenus responsables de la maltraitance des enfants et de fautes professionnelles médicales. Les professionnels de la santé qui poussent les chirurgies transgenres et les mutilations génitales sur leurs patients seront bientôt l’objet d’une vague de poursuites judiciaires.
Au début de cette semaine, l’Agence européenne des médicaments (EMA) n’a pas seulement lancé l’évaluation du renouvellement des autorisations de mise sur le marché conditionnelles des vaccins Spikevax (Moderna), Nuvaxovid (Novovax) et Comirnaty (BioNTech/Pfizer). L’EMA a également lancé l’évaluation de l’utilisation de Comirnaty chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans.
Le 17 juin 2022, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a prolongé de manière criminelle l’autorisation d’utilisation d’urgence des injections d’ARNm Covid-19 pour une utilisation chez les enfants dès 6 mois.
La brochure s’appelle « Hey You », a été rédigée par la fondation « Santé sexuelle Suisse » et fait débat au Palais fédéral. La fondation, qui reçoit environ 800 000 francs de la Confédération sur son budget total de 1,2 million, serait beaucoup trop explicite dans ce livret, estiment certains parlementaires. Raison pour laquelle la conseillère nationale Verena Herzog (UDC/TG) déposera ce jeudi une intervention dans laquelle elle demande au Conseil fédéral de prendre position.
La dysphorie de genre, anciennement appelée « trouble de l’identité de genre », se caractérise par un malaise profond et persistant vis-à-vis de son sexe anatomique. […]. Historiquement, elle n’a concerné qu’une infime partie de la population (environ 0,01 %) et presque exclusivement des garçons. Au cours de la dernière décennie, la donne a changé de façon spectaculaire. L’Occident a vu une augmentation subite du nombre d’adolescents affirmant souffrir de dysphorie de genre et s’identifiant comme « transgenres ».
À cela s’joute un rapport de 2014 que la chaine CNN avait mis en évidence : le problème pédophile de l’entreprise , notant qu’au moins 35 employés de Disney World avaient été arrêtés au cours d’une période de huit ans depuis 2006 pour des délits sexuels présumés sur des enfants...