Ainsi, il a tout d’abord découvert le désir sexuel – octroyé par Lucifer – vers le milieu de l’Époque Atlantéenne, puis l’affection pour la famille (parents et enfants) donnée par Gabriel durant cette même Époque. Ensuite, des formes d’amour plus spirituel ont éclos durant l’époque préchristique avec Krishna et la dévotion (amour pour une divinité), ou le Bouddha Gautama et la compassion (partager la souffrance d’autrui).
Jusqu’à la Venue du Christ il y a deux mille ans, l’être humain n’étant pas encore suffisamment individualisé, il ne pouvait être question d’un amour individuel.
En revanche, avec l’Incarnation du Fils de Dieu déclenchant l’intériorisation du « Je » et l’individualisation de la pensée, l’humain a commencé à ressentir un amour individuel.
L’amour véritable ou vertueux résulte de la distinction d’une personne particulière : « l’élue de notre cœur ».
Cela suppose la reconnaissance – même inconsciente – du « Je » particulier et individuel qui nous attire en l’autre, car il crée une résonance avec notre propre « Je » individuel.
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Ils vous feront croire le contraire, normal c'est leur monde inversé et du mensonge perpétuel.
La brochure s’appelle « Hey You », a été rédigée par la fondation « Santé sexuelle Suisse » et fait débat au Palais fédéral. La fondation, qui reçoit environ 800 000 francs de la Confédération sur son budget total de 1,2 million, serait beaucoup trop explicite dans ce livret, estiment certains parlementaires. Raison pour laquelle la conseillère nationale Verena Herzog (UDC/TG) déposera ce jeudi une intervention dans laquelle elle demande au Conseil fédéral de prendre position.