Oui les compagnies pharmaceutiques fabriquent désormais tous les vieux vaccins sous la formule d’ARNm ! Chaque gouvernement est obligé d’acheter 10 injections par personne, homme, femme ou bébé, dans chaque pays ! C’est le nouveau plan de dépopulation. Mieux, après avoir détruit notre système immunitaire, ils vont rendre le peuple d’esclaves dépendant de traitements (payants) pour pouvoir survivre ! – ce qui ne sera évidemment possible qu’aux riches…
Encore une fois comprenez que TOUS LES VACCINS, quels qu’ils soient, nouveaux ou “anciens”, SERONT DÉSORMAIS à ARNm (même ceux obligatoires pour les nourrissons)
C’est un coup d’Etat invisible impitoyable en cours. Nous savions qu’il allait arriver et il prend forme – (Hervé Juvin député européen) – Mais cet abominable nouveau crime contre l’humanité peut encore échouer si tout simplement tout le monde dit dès maintenant : NON
Aucun chevalier blanc ne viendra sauver vos enfants – vous êtes le chevalier blanc. Erin Friday, 56 ans, mère californienne, l’a découvert pour sa fille, alors âgée de 11 ans. Tout a commencé très simplement : quelques surnoms à consonance enfantine et quelques lettres de l’alphabet en plus. Ce n’était pas innocent pour autant.
Quelques filles, dont la petite Friday, ont été entendues dans la cour intérieure en train de bavarder sur les nouvelles choses qu’elles avaient apprises à l’école. Elles étaient branchées sur les nouvelles tendances alors que, dans leur esprit, leur mère, vieille et ennuyeuse, faisait figure de dinosaure ignare, bien en retard sur son temps.
« Cinq filles ont choisi chacune une étiquette qui figurait dans la liste. Elles se sont moquées de moi et m’ont dit : ‘Tu es cis et tu ne comprends pas’ », a expliqué Mme Friday au journal Epoch Times. Je n’avais jamais entendu ce terme « cis » auparavant. Elles m’ont ensuite lancé : « Plaît-il, fossile ! ».
Nous étions en 2019 et la petite Friday était en classe de cinquième. C’est à ce moment-là que sa maman a pris conscience de la situation : « Qu’est-ce qu’ils enseignent à nos enfants à l’école ? », s’est-elle demandée. La curiosité s’est transformée en inquiétude au fur et à mesure que cette éducation basée sur l’égalité des sexes se développait. Elle s’est d’abord dit : « Oh, c’est probablement dû à la puberté ».
La jeune Friday, qui était autrefois une petite fille – une grande fan de « Mon Petit Poney » – a commencé à se couvrir de sweat-shirts amples. Mme Friday pensait qu’il s’agissait simplement d’un « acte de timidité » lié à l’éclosion de la féminité ; Mme Friday en avait fait l’expérience. Mais lorsque la fan de « Mon Petit Poney » est passée au statut de « fille soldat », enfilant des bottes de combat, lorsque ses amies aux cheveux longs ont commencé à prendre des noms de garçons, lorsque des teintures violettes et vertes ont fait leur apparition, l’inquiétude de la maman s’est aggravée.
Menée par l’Institut national d’études démographiques (Ined) et l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), Elfe* est la première étude française étudiant l’exposition des tout petits aux écrans. Elle a ainsi recueilli des données auprès des parents de 13 528 enfants – un échantillon donc très conséquent – afin d’estimer leur temps d’exposition à 2 ans, 3 ans et demi et 5 ans.
Bilan des courses : les enfants de 2 ans passaient en moyenne 56 minutes chaque jour devant un écran (télé, ordinateur, smartphone, etc.), alors que l’OMS préconise de les en épargner totalement. Les marmots de 3 ans et demi s’y collaient quotidiennement pendant 1h20 et ceux de 5 ans pendant 1h34, alors que l’OMS préconise de ne pas dépasser 1 heure d’exposition à ces âges.
La surexposition est donc bien réelle, et cela alors que « des effets délétères de l’usage d’écran dans l’enfance et la petite enfance ont été mis en évidence dans la littérature. Des études font notamment état d’un risque accru de surpoids et d’obésité, et de difficultés dans le développement du langage et du développement cognitif associés à l’usage des écrans ». Il ressort également assez nettement de cette étude que l’exposition des enfants est liée au niveau d’instruction des parents – en l’occurrence celui de la mère, le seul qui a été pris en compte dans cette enquête. Ainsi, plus le niveau d’instruction de la maman est faible, plus le temps passé devant les écrans est important.
Protégé vos enfants, c’est une obligation et votre devoir, ils veulent les traumatiser à vie et les emmener en enfer, ils n’ont plus rien à perdre et tente le tout pour le tout pour pervertir et effondrer l’humanité.
En effet, au travers du “LGBêtise” premièrement, ce sont les réseaux pédophiles qui sont aux commandes, en second, c’est la diminution de la population au même titre que les vaccins, les guerres, les maladies, pour l’extinction de l’humanité comment ? Tout simplement en empêchant la reproduction naturelle de l’humain et troisièmement, le transhumaniste pour leur récolte d’argent avec l’industrialisation et le commerce de leurs usines à bébé grâce aux enlèvements ou autres viols que nous connaissons tous dans les tunnels, aider aussi aux travers par des associations (comme l’ASE pour la France et tellement d’autres dans le monde inventé par le plus grand pédophile anglais). Le tout en excuses pour “commercer de l’humain” pour leur plaisir divers.
La suite est de procéder aux “transhumanistes par ventes et contrôle, seulement pour eux et leurs comptes en banque”, ce cocktail est leur plan pour “la continuité du dépeuplement du monde“, (dites vous que les premiers organisateurs de ce système sont ceux qui sont toujours proches des enfants, pensé à Macron enfant). Vous comprenez maintenant ?
Ils vous culpabilisent aux travers de leurs progrès social comme excuse, mais c’est une machine de guerre qu’ils ont mis en place, un lavage de cerveau mondial écrit par les premiers plus grand pédophile du monde. La sexualité, c’est comme la religion, elle doit se découvrir sans orientation ou obligation et elle se doit d’être personnelle et doit rester personnelle et sans exposition, “une découverte personnelle”. À lire : “Pédophilie : histoire de la fabrication d’une évidence contemporaine”. Et aussi du club médiapart : “L’élite et l’oligarchie mondiales pédophiles”
La question qui vient immédiatement à l’esprit c’est pourquoi et où ces enfants sont-ils emmenés ?
La petite Milania, 11 ans, témoigne lors de ce reportage de ce qu’elle a vu et de ce qu’elle a vécu à Bakhmout (Artiomovsk), lorsque le quartier où elle se trouvait avec ses grand-parents était encore sous contrôle ukrainien.
Elle raconte ainsi comment des soldats ukrainiens d’une unité appelée « Anges blancs » (qui rappelle méchamment le nom de l’organisation terroriste pseudo-humanitaire des « Casques blancs » en Syrie) ont emmené de force une enfant de quatre ans, sous les yeux de ses parents qui n’ont rien pu faire face aux armes pointées sur eux.
Ces mêmes soldats ukrainiens ont tenté d’enlever Milania à ses grand-parents à plusieurs reprises, allant même jusqu’à prétendre que la mère de la petite avait été tuée par la Russie, alors qu’elle était bien vivante dans une autre ville du Donbass ! Mais comprenant qu’il s’agissait d’un mensonge, les grand-parents et les habitants du quartier ont caché Milania afin de lui éviter de subir le même sort que l’enfant enlevé devant les yeux de ses parents.
Voir le reportage filmé par RIA FAN, sous-titré en français :
Fait troublant, lors d’une de ces tentative d’enlèvement, les soldats ukrainiens ont prétendu qu’ils devaient emmener Milania en Allemagne. Pourquoi en Allemagne ? Pourquoi pas dans une autre région d’Ukraine ?
Et ce témoignage n’est pas le seul. Le 3 avril, Natalia Tkatchenko, une habitante de Bakhmout (Artiomovsk), a raconté à RIA Novosti, comment non seulement les soldats ukrainiens de l’unité « Anges blancs » mais aussi ceux de l’unité « Phénix », emmenaient les enfants de force afin d’obliger les parents à partir pour le territoire ukrainien. S’ils refusaient de partir de Bakhmout (Artiomovsk) avec leurs enfants, les soldats ukrainiens enlevaient ces derniers purement et simplement.
Elle explique qu’après que le régime de Kiev a annoncé l’évacuation de Bakhmout (Artiomovsk), les habitants ont été invités à partir en Ukraine avec leurs familles et, peu après, les enfants ont été envoyés en masse dans des camps et des sanatoriums.
« Les enfants partaient en vacances et n’en revenaient pas, et les parents étaient obligés d’aller en Ukraine, même s’ils ne le voulaient pas. Puis, au bout d’un certain temps, l’évacuation forcée des enfants par les unités « Anges blancs » et « Phénix » a commencé. Il s’agissait de militaires en uniforme qui se rendaient dans les maisons, dans les sous-sols, à la recherche d’enfants et qui les emmenaient sous la contrainte, par la force. Si les parents étaient d’accord, ils pouvaient les accompagner. Si les parents étaient contre, ils emmenaient les enfants. Il y a donc eu une période où nous avons simplement caché nos enfants », a déclaré Natalia Tkatchenko.
Cela peut vous choquer. Mais ce n’est le cas que si vous ne comprenez pas l’histoire de l’Ukraine et ce qui s’y passe depuis 1991, lorsque l’Union soviétique a éclaté et que toutes ses républiques ont déclaré leur indépendance.
L’indépendance est importante pour les Ukrainiens depuis au moins les années 1920, lorsque l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) a été fondée. J’ai déjà écrit sur les atrocités commises par l’OUN et ses dirigeants, notamment Stepan Bandera, un nazi qui a servi aux côtés de la Wehrmacht pendant l’opération Barbarossa.
Il est incontestable que l’OUN, dirigée par Bandera, a assassiné plus de cent mille personnes. Des corps de victimes sont d’ailleurs encore exhumés aujourd’hui.
Restes exhumés de victimes de l’OUN, Pologne, années 1990. Crédit photo : kresky.pl
La liste des atrocités commises par l’OUN est longue et bien documentée, malgré l' »amnésie » qui semble avoir gagné une grande partie de l’Europe. Voici les plus célèbres d’entre elles :
Et ce n’est qu’une liste partielle.
N’hésitez pas à consulter tous les liens que j’ai inclus dans la liste ci-dessus. Même le Smithsonian institue n’hésite pas à reconnaître les mérites des collaborateurs ukrainiens des nazis.
Toute personne normale ou naïve n’a jamais entendu parler de ce machin, ce qui est tout à fait logique.
Moi, pourtant complotiste diplômé, en avais entendu parler, mais je n’avais pas enquêté profondément.
TPMP1
Si je vous en parle aujourd’hui c’est suite à un invité sur TPMP dont l’intervention a fait grand bruit.
Celui-ci a non seulement affirmé que le « produit » ne relevait pas du mythe, mais qu’il était utilisé par des « grands » de ce monde. Cyril Hanouna a bien entendu mis fin extrêmement vite à l’émission lorsque le nom de Macron a été prononcé. Il y a depuis un tollé médiatique général pour dénoncer ces propos « complotistes et délirants » tenus à une heure de grande écoute sur une chaîne de la TNT.
Un produit chimique sans histoire !
Selon Wikipédia2, l’adrénochrome est un produit issu de l’oxydation de l’adrénaline. Point.
Je n’ai pas cherché à savoir ni pourquoi ni comment, cela n’étant pas le sujet du jour.
Un mythe ?
Le mythe voudrait que des satanistes (célébrités, maîtres du monde et autres détraqués), boivent du sang de glande pinéale de bébés préalablement longuement torturés avant d’être mis à mort. Le produit permettrait de rajeunir, mais serait aussi une puissante drogue extrêmement addictive au point que celui qui aurait goûté une fois au « nectar » ne pourrait plus s’en passer.
Ceci est totalement nié par toutes les publications mainstream et a fait l’objet d’un article sur factuel de l’AFP3. Note humoristique, ceux-ci ont affiché un énorme FAUX… en rouge sang.
Autre site faisant un fact-checking, mais en anglais (voir le lien4).
Mythe dont la genèse serait le film « Las Vegas parano » !
Selon la version officielle, les complotistes auraient fait de ce « délire » une « vérité » issue d’une scène du film. Dans cette scène, un des protagonistes prend de l’adrénochrome. Il n’est nullement question d’adrénaline oxydée comme c’est clairement dit dans le film. Nous pouvons entendre dans la version française :
« Glande provenant d’une opération sur un humain encore vivant. »
ou
« Il m’a proposé du sang humain disant que ce serait la plus grande défonce de ma vie. »
« Je lui ai dit que je préférais quelques centilitres d’adrénochrome pur. »
« Ce gars (qui a fourni la drogue) a été coincé pour viol sur mineurs. »
Vous pouvez voir la scène5 en question si vous le désirez.
D’un pas décidé, les écoliers de Lirac se dirigent vers leur forêt pédagogique. Inaugurée il y a deux ans, la parcelle jouxte l’école de ce petit village de la vallée du Rhône. Aujourd’hui, les élèves de CM1-CM2 ont pour mission d’imaginer l’aménagement de ce qui deviendra leur seconde salle de classe. Avec quelques contraintes : l’infrastructure doit être éphémère et réalisée avec des matériaux recyclables peu coûteux, voire gratuits, le tout sans électricité.
« On peut faire l’école dehors et aborder n’importe quel thème. L’idée est de pouvoir aussi prendre la liberté de s’arrêter quand des oiseaux passent ou pour observer qu’un arbre a poussé. »
Voici quelques stratégies à l'intention des parents pour aider les enfants à résister à la pression de la conformité.
Loin d’être des réponses fragmentaires ou simplement opportunistes à une « pandémie » commode, ces agressions contre les enfants – et les adultes aussi – sont le reflet d’un programme de contrôle à long terme bien financé visant à la mise en œuvre des identités numériques, le scoring social et « la surveillance et le suivi complets de chaque être humain grâce aux mécanismes déjà en place ».
Lors du rassemblement « Defeat the Mandates » en janvier 2022, le président de la Children’s Health Defense et avocat en chef des litiges, Robert F. Kennedy Jr, a affirmé que « personne dans l’histoire de la planète n’a jamais réussi à se conformer pour échapper à un contrôle totalitaire » et a rappelé au public que « chaque fois que vous vous conformez, vous vous affaiblissez ».
M. Kennedy a également averti, « ils viennent pour nos enfants ».
Comme s’il s’agissait d’une confirmation, des nourrissons, des enfants de maternelle et des étudiants ont été harcelés tout au long de l’année pour recevoir des injections contre la COVID-19, qui leur ont causé des dommages atroces, malgré les preuves accablantes que ces vaccins devaient être retirés du marché de toute urgence.
Conscients de ces dangers et d’autres qui entourent leurs enfants, un nombre croissant de parents ont reconnu la nécessité de la non-conformité.
En gardant la non-conformité comme mot d’ordre pour 2023, voici quelques actions qui pourraient faire une réelle différence dans l’année à venir.
« Nous pouvons dire non à la conformité avec les vaccins pour le travail, non à l’envoi des enfants à l’école avec des tests et des masques forcés, non aux plateformes de médias sociaux censurées, non à l’achat de produits des entreprises qui font faillite et cherchent à nous contrôler. Ces actions ne sont pas faciles, mais vivre avec les conséquences de l’inaction serait bien plus difficile. En faisant appel à notre courage moral, nous pouvons arrêter cette marche vers un État policier mondial. »
Au printemps 2022, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a lancé une » alerte mondiale » au sujet d’une nouvelle forme d’hépatite grave qui tuait des enfants.
Puis, quelques jours seulement après l’annonce de l’OMS, une nouvelle étude scientifique a été publiée « par coïncidence », concluant que la vaccination Covid-19 a la capacité de provoquer une hépatite auto-immune grave.
Aujourd’hui, quelques mois plus tard, les autorités, avec l’aide des médias grand public, font régner la peur de Dieu chez les parents du Royaume-Uni en ce qui concerne la sécurité de leurs enfants, en raison d’une prétendue série de décès soudains d’enfants dus à ce qui est normalement une infection bactérienne bénigne appelée Strep A (Streptococcus A).
Aujourd’hui, rachetée de nombreuses fois et reprise en main par différents directeurs artistiques, chaque fois moins talentueux que les précédents, comme le veut notre époque chaque jour un peu plus médiocre, la société Balenciaga est au centre d’un énième scandale.
Ce n’est pas la première fois que l’on relie élite, personnel politique ou people à la pédocriminalité. Que l’on se rappelle les affaires Podesta/Clinton, le Pizzagate, les affaires Epstein ou encore – géographiquement plus proche de nous – les enfants du juge Roche, l’affaire Luc Ferry, ou les mœurs douteuses d’un Frédéric Mitterrand ou d’un Pierre Bergé.
La vaccination massive des adolescents a, quant à elle, engendré des drames humains totalement ignorés de façon déloyale par les médias ou les journalistes.
Issu de plus de 18 mois de recherches en science des données, cet ouvrage délivre des indicateurs statistiques sur l’impact physiologique et psychologique des protocoles sanitaires en milieu scolaire et dresse un état des lieux des risques concernant la vaccination anti-Covid19 chez les enfants et les adolescents.
Ce livre est dédié à chaque parent qui s’interroge légitimement et propose un éclairage sur les conséquences des mesures sanitaires gouvernementales sur la santé des enfants et des adolescents.