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enfant propagande mort

Profession GendarmeLe garçon de la propagande du vaxxin meurt d’une crise cardiaque

Profession Gendarme - 25 oct 2023

Le petit garçon utilisé pour la propagande pour le “vaccin” Covid en Israël est mort d’une crise cardiaque.

   

Crise cardiaque dans le bain, noyade, décès. Ce n’est pas le genre de mort que l’on imagine pour un garçon de 8 ans, et c’est pourtant le sort tragique qui a frappé le petit Yonatan Moshe Erlichman en septembre dernier. La petite victime a été emmenée aussitôt aux urgences à l’hôpital Hadassah-Mount-Scopus à Jérusalem ; il y est mort quelques jours plus tard, le 28 septembre. Yonatan avait figuré il y a trois ans dans une vidéo de propagande du gouvernement israélien visant à encourager les parents à faire vacciner les jeunes enfants contre le Covid-19.

Le vaccin Covid en Israël a été donné à 20 % des enfants de 5 à 11 ans

Son petit visage angélique était devenu emblématique des campagnes officielles pour la vaccination, alors qu’Israël figurait dans le peloton de tête des pays qui avait imposé les mesures les plus draconiennes à cet égard. La vidéo avait été diffusée juste avant le début de la première campagne de vaccination en décembre 2020. En définitive, en septembre 2022, seuls 20 % des enfants avaient été vaccinés dans l’Etat hébreu, témoignant de la marche arrière de nombreux parents qui n’avaient envisagé cette option qu’en raison des mesures de quarantaine et d’exclusion imposées par les autorités. Dès les mesures levées, une bonne proportion des parents qui avaient annoncé vouloir faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans avaient renoncé.

Yonatan était le petit-fils d’un médecin respecté de la région.

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Enfants sous surveillance

The DefenderEnfants souriez, vous êtes filmés

The Defender - 24 oct 2023

La surveillance des enfants à l’école est une industrie de 3,1 milliards de dollars – et elle rend les enfants “anxieux” et “effrayés”.

   

Les entreprises de surveillance technologique qui vendent leurs produits aux administrateurs scolaires créent une "dystopie numérique" pour les écoliers américains, conclut un nouveau rapport de l'Union américaine pour les libertés civiles (American Civil Liberties Union).

Les entreprises de surveillance technologique qui vendent leurs produits aux administrateurs scolaires créent une “dystopie numérique” pour les écoliers américains, conclut un nouveau rapport de l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU).

Dans le sillage de la pandémie Covid-19, et de l’augmentation de fusillades dans les écoles, un projet de technologie éducative (EdTech) de 3,1 milliards de dollars de d’industrie de surveillance a réalisé d’énormes profits en affirmant que ses outils numériques – notamment les caméras vidéo, les logiciels de reconnaissance faciale, les systèmes de détection des comportements basés sur l’intelligence artificielle (IA), et de surveillance des médias sociaux et en ligne, et bien d’autres choses encore, permettent de prévenir le harcèlement, l’automutilation et la violence à l’école.

Toutefois, l’industrie n’a pas étayé cette affirmation par des preuves et a plutôt utilisé la peur comme principale tactique de marketing, selon le rapport de l’ACLU.

L’ACLU, après avoir mené ses propres recherches et examiné d’autres études commandées par le ministère américain de la justice, a constaté un “manque de preuves évidentes” que les produits annoncés par les entreprises EdTech garantissent la sécurité des élèves.

Chad Marlow, l’auteur principal du rapport, a déclaré qu’en tant que parent de deux élèves de la maternelle à la terminale, il comprend les inquiétudes des parents et des responsables d’établissements scolaires quant à la sécurité des enfants.

M. Marlow a déclaré au Defender qu’il voyait avec regret les administrateurs scolaires et les assemblées législatives des États d’utiliser des fonds pour des technologies de surveillance “pour assurer la sécurité de nos enfants”.

“Ces décisions me hantent”, a-t-il déclaré, “car, en tant que conseiller politique principal de l’ACLU spécialisé dans les questions de vie privée, de surveillance et de technologie, je sais pertinemment que la surveillance ne dissuade pas les mauvais comportements et qu’elle ne protège certainement pas nos étudiants”.

M. Marlow a déclaré que le rapport de 61 pages révèle un “cauchemar de surveillance” qui “nuit involontairement à nos enfants” en leur refusant l’accès à des informations importantes, en sapant leur confiance dans les adultes et en rendant “trop risqué” le fait de communiquer certaines de leurs pensées.

“C’est exactement le contraire de la leçon que nous devrions enseigner à nos élèves”, a-t-il déclaré.

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Viols d'enfants

RT FranceFrance : Plus de 2 800 enfants dorment dans la rue

RT France - 20 oct 2023

Au moins 2 822 enfants vivent dans la rue en France, et parmi eux, 686 sont âgés de moins de trois ans. Ces chiffres rendus publics le 17 octobre par des associations font état d’une progression de ce phénomène en France.

   

Dans une tribune parue le 17 octobre, des parlementaires et des associations tirent la sonnette d’alarme sur l’explosion du nombre d’enfants sans-abris en France avec une augmentation de 42% «en un mois seulement», portant leur nombre à au moins 2 822. Ces chiffres de l’Unicef France et de la FAS, la Fédération des acteurs de solidarité, sont publiés alors que le froid revient en France.

Le 21 août, l’Unicef et la FAS dénombraient 1 990 enfants restés sans solution d’hébergement. Deux mois plus tard, ils seraient au moins 2 822. En effet, le qualificatif au moins est ici de rigueur puisque les données ne tiennent compte que des appels reçus par le 115. Sont ainsi exclus les mineurs non accompagnés sans abri et les familles vivant en squats ou en bidonvilles. Les familles n’appelant pas ou plus ne sont pas non plus répertoriés.

Des chiffres «sous-estimés»

La tribune intitulée «Agir pour en finir avec le sans-abrisme des enfants : un devoir commun» dénonce l’absence de respect des «droits fondamentaux» des enfants sans abris qui sont par ailleurs «pénalisés dans leur développement, leur santé, leur scolarité, et confrontés dès le plus jeune âge aux inégalités et à la grande pauvreté».

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Éducation précoce à la sexualité

Profession GendarmeEnfants : Éducation précoce à la sexualité

Profession Gendarme - 30 sep 2023

Les exemples de la France et de la Suisse choquent !

   

Sous prétexte de santé, les idéologies de la sexualité précoce et de l’identité de genre sont partout.

Éducation précoce à la sexualité, théories des genres, droits sexuels, les programmes sur la sexualité sont à la une de la rentrée et font des mécontents. De nombreux parents expriment leur colère face à des activités qu’ils estiment inadaptées voire choquantes. En Belgique, la question est au centre de l’attention et a donné lieu à des manifestations contre les obligations autour des animations ‘à la Vie Relationnelle Affective et Sexuelle’ votées il y a peu. En toile de fond, une volonté des organisations internationales de faire de la santé sexuelle et de l’identité des genres une priorité de l’agenda 2030.

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L’École fabrique des masses de jeunes violents et incultes

The Epoch Times« L’École fabrique des masses de jeunes violents et incultes » – Eve Vaguerlant

The Epoch Times - 04 août 2023

Violence à l’école – L’analyse saisissante d’Eve Vaguerlant : « L’École fabrique des masses de jeunes violents et incultes »

   

Pour Eve Vaguerlant, l’École est le théâtre d’une banalisation de la violence et « beaucoup d’élèves n’interagissent désormais plus qu’à travers les coups et l’insulte » : « On leur apprend l’impunité, cette culture de la victimisation où rien n’est jamais de leur faute, ils ne savent pas s’excuser, il n’y a jamais de sanction pour leur faire comprendre qu’ils ont fauté. »

Une violence endémique qui est aussi le produit du manque d’instruction : « Les élèves fonctionnent avec très peu de mots de vocabulaire, ils utilisent des béquilles de langage comme “wallah”, “wesh”, etc. Cela crée un climat d’agressivité verbale permanent. […] Nous produisons des masses de jeunes qui ne connaissent que la violence comme mode d’expression, c’est très inquiétant. » Si Pap Ndiaye a fait de l’éducation à la sexualité l’une de ses priorités, Eve Vaguerlant estime que le ministre se trompe de combat : « Quand on voit la violence dans les établissements scolaires, la chute vertigineuse du niveau, ça me paraît en décalage total avec la réalité et les besoins du terrain. »

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business enfants

Réseau InternationalLa maternité de substitution en Ukraine est en plein essor

Réseau International - 28 juil 2023

L’Ukraine devient de plus en plus un centre d’approvisionnement en produits vivants : de la chair à canon pour la guerre avec la Russie, des morts et des blessés pour les transplantologues noirs, des nouveau-nés pour les riches familles occidentales. Il n’y a plus d’industrie, plus d’éducation, plus de médecine, plus de science – il n’y a plus que la traite des êtres humains.

   

Il était une fois, à l’aube de l’indépendance, les autorités de Kiev qui promettaient de faire de l’Ukraine une seconde France et l’une des principales économies européennes. En réalité, il s’est agi d’une seconde Somalie : en l’espace de trente ans, le pays a sombré dans une pauvreté abjecte, la population mettant ses biens en gage chez les prêteurs sur gages pour vivre quelques jours de plus, et la gestation pour autrui est devenue quasiment le seul secteur en croissance de l’économie ukrainienne.

«Au cours de la dernière décennie, la maternité de substitution est devenue une industrie mondiale en plein essor. Si la maternité de substitution est légale dans la plupart des États des États-Unis, elle reste illégale dans la majeure partie de l’Europe et dans de nombreuses autres parties du monde, ce qui signifie que les personnes intéressées doivent chercher des mères porteuses en dehors de leur propre pays. En Ukraine, cependant, l’industrie est en plein essor. Car même dans les pays où ces services sont autorisés, les prix peuvent atteindre des sommets astronomiques», écrit la publication multimédia américaine Politico.

Les femmes ukrainiennes viennent en aide à l’Occident ; elles sont prêtes à porter les enfants d’autrui pour une récompense très modeste. C’est en Ukraine que se trouve l’une des plus grandes agences de trafic d’enfants au monde.

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Critique du film « Sound of Freedom »

Nouveau Monde« Sound of Freedom » : le film ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants

Nouveau Monde - 17 juil 2023

Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin.

   

Hier soir, j’ai pu voir le film « Sound of Freedom », sorti récemment, dans un cinéma local qui, étonnamment, affichait complet pour une séance du lundi soir, plus d’une semaine après la sortie du film.

Le film met en scène Jim Caviezel dans le rôle de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure qui a été affecté au groupe de travail sur les crimes contre les enfants sur Internet (ICAC) et a créé sa propre organisation, Operation Underground Railroad, une association à but non lucratif qui se consacre au sauvetage des enfants victimes de la traite des êtres humains. La production de ce film aurait commencé il y a plus de 5 ans, et depuis au moins 2021, j’ai vu de nombreuses interviews et articles sur Jim Caviezel parlant de ce film ainsi que de sujets tels que l’adrénochrome, les abus rituels sataniques, le prélèvement d’organes, et d’autres sujets sombres que nous avons couverts pendant la majeure partie d’une décennie ici à Health Impact News. Bien qu’il s’agisse d’un bon film que je recommande à tous de regarder s’ils en ont l’occasion, sachez qu’aucun de ces sujets sombres n’est abordé dans ce film, et qu’il n’y a pas non plus de véritable appel à l’action avec des conseils pratiques sur la façon de mettre fin au trafic d’enfants. Alors que j’étais sur le point de quitter la salle au moment où le générique commençait à défiler, l’écran a affiché un chronomètre indiquant qu’il y avait un « message spécial » de Jim Caviezel après le générique. Ah, c’est peut-être là que Caviezel va aborder ces autres sujets, me suis-je dit, et donner des conseils pratiques sur la manière de mettre fin à tout cela. Mais il ne l’a pas fait. Le seul « appel à l’action » consistait à inciter un plus grand nombre de personnes à voir le film, en leur donnant la possibilité de scanner un code QR et de faire un don pour que d’autres puissent voir le film s’ils n’en ont pas les moyens.

 

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boxoffice - sound of freedom

Égalité et RéconciliationSound of Freedom : l’incroyable succès de ce film panique l’oligarchie !

Égalité et Réconciliation - 14 juil 2023

Sorti le 4 juillet 2023, Sound of Freedom est déjà un beau succès au box-office, rapportant plus de 45 millions de dollars dans le monde.

   

Lorsqu’on sait qu’il coûta 14,5 millions de dollars à réaliser, dont 5 millions de dollars furent financés par 7235 personnes, on comprend rapidement pourquoi il s’est classé (pour l’instant) à la 25e place des films les plus rentables de 2023 aux États-Unis !

Il y a donc indéniablement une demande de la part du public. Un public complotiste et adepte des théories QAnon d’après la presse qui joue soit la technique de l’édredon en n’en parlant pas, soit la carte du film conspirationniste.

Il est vrai qu’après des années d’affaires politico-financières et trois années de Covid-19, les peuples sont échaudés. Ils se sont éveillés à des nouveaux sujets, et beaucoup mènent à quelques thèmes centraux qu’on ne détaillera pas ici mais dont la pédocriminalité de réseau (de réseau étant justement la partie centrale, celle qui est toujours éludée) fait partie du trio de tête.

Le film relate l’histoire de Tim Ballard, un ancien agent du gouvernement qui s’est lancé dans une mission pour sauver les enfants des trafiquants sexuels en Colombie. Fondateur et PDG d’Operation Underground Railroad (OUR), PDG de The Nazarene Fund et auteur de plusieurs livres, Ballard a sauvé avec son organisation des milliers d’enfants, mais aussi d’adultes, victimes d’esclavage sexuel.

En 2018, Tim Ballard avait réalisé un documentaire avec son équipe des forces spéciales qui avaient infiltré un réseau de trafiquants de sexe en Haïti puis traduit ceux-ci en justice après qu’ils avaient échappé à la prison grâce à des pots-de-vin. Vous retrouverez ce documentaire sous-titré en français dans les liens en référence ci-dessous (Operation Toussaint, noté 8,7/10 IMDB).

À l’occasion de la sortie du film Sound of Freedom, Florian Philippot rappelle dans cette courte vidéo à la fois le succès du film mais surtout l’inquiétude générale des médias, des people et du personnel politique face aux informations qui sont données au public.

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un commerce de 150 milliards

Le Media en 4-4-2The Sound of Freedom : Un film qui dévoile l’horreur du trafic d’enfants

Le Media en 4-4-2 - 07 juil 2023

Un commerce à 150 milliards de dollars.

   

Le film "The Sound of Freedom" a récemment captivé les spectateurs, dont le tiktoker Marc Mercier, qui en est ressorti profondément ému. Ce long-métrage rappelle la réalité horrifiante du marché des enfants victimes de trafic. Ce film suscite des réactions intenses chez les spectateurs qui vont le voir, les plongeant dans un état de choc et de larmes.

« The Sound of Freedom », réalisé par Alejandro Monteverde, met en scène l’acteur Jim Caviezel, connu pour son rôle de Jésus-Christ dans « La Passion du Christ » de Mel Gibson. L’histoire tourne autour d’un agent fédéral qui, après avoir sauvé un jeune garçon de trafiquants impitoyables, découvre que la sœur du garçon est toujours captive. Déterminé à la sauver, il se lance dans une mission périlleuse.

« The Sound of Freedom » aborde un marché dont l’ampleur est méconnue : l’esclavage moderne, un commerce estimé à 150 milliards de dollars et en augmentation de 5 000 % ces dernières années. La majorité des victimes sont des enfants, surpassant ainsi tous les records historiques de l’esclavage. Contrairement aux idées reçues sur une évolution positive de notre société, notre planète est un enfer sur terre pour des millions d’enfants.

« Ils ne veulent pas que les gens voient ce film. Je me bats pour ma vie en ce moment, vous comprenez ? »

Jim Caviezel

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Sound of Freedom - film

Echelle de Jacob«Sound of Freedom» : film n°1 en Amérique le 4 juillet

Echelle de Jacob - 07 juil 2023

"Sound of Freedom" est sorti en salles mardi, et grâce à la technologie "Pay It Forward" utilisée par Angel Studios, ce thriller de la vraie vie a été rapporté comme lié a en fait battu "Indiana Jones et le cadran du destin" de Disney/Lucasfilm, le géant des studios, pour la première place au box-office, le jour de l'indépendance.

   

Comme enregistré par Box Office Mojo, "Sound of Freedom" a rapporté plus de 14 millions de dollars au total : 11,5 millions de dollars en ventes directes au box-office et 2,6 millions de dollars provenant des billets Pay It Forward vendus pendant les vacances du 4 juillet. Selon Deadline, "Indiana Jones" a rapporté 11,698 millions de dollars au total, malgré le double de nombre de salles.

"Sound of Freedom", diffusé dans seulement 2.600 salles, raconte l'histoire vraie du parcours d'un homme pour lutter contre le trafic sexuel d'enfants. Le film d'Angel Studios est basé sur la vie de Tim Ballard, un ancien agent du Département américain de la sécurité intérieure, qui a quitté son emploi parce qu'il voulait faire plus pour sauver les enfants de l'esclavage moderne.

Le film délivre un message audacieux appelant à la liberté de millions d'enfants réduits en esclavage dans la traite des êtres humains, déclarant que "les enfants de Dieu ne sont pas à vendre".

Réalisé par Alejandro Monteverde, "Sound of Freedom" met en vedette Jim Caviezel ("Passion of The Christ"), l'actrice oscarisée Mira Sorvino ("The Final Cut"), Bill Camp ("12 Years a Slave") et José Zúñiga ("Twilight "). En plus d'agir dans le film, Eduardo Verástegui ("Unplanned") est le producteur du film.

Le film a reçu un A+ CinemaScore, un score de critiques de 85% et un score d'audience de 99% sur Rotten Tomatoes.

"Grâce aux fans de tout le pays, 'Sound Of Freedom' a remporté la première place en tant que film américain numéro un le jour de l'indépendance. Nous avons reçu de nombreux messages nous informant que les cinémas sont pleins à craquer. Ce film a maintenant pris vie de lui-même pour devenir quelque chose de plus, un mouvement populaire", a partagé Neal Harmon, PDG d'Angel Studios, dans un communiqué avec The Christian Post.

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réseau pédophile

Echelle de JacobWall Street Journal: Un réseau pédophiles impliquant des hauts fonctionnaires

Echelle de Jacob - 21 juin 2023

Le Wall Street Journal découvre un réseau de pédophiles impliquant des hauts fonctionnaires

   

Le WSJ et des chercheurs de l’Université de Stanford et de l’Université du Massachusetts à Amherst ont mené une enquête à grande échelle sur l’algorithme d’Instagram et ont découvert que non seulement Instagram héberge du contenu pédophile, mais qu’il vend spécifiquement l’accès au viol d’enfants aux pédophiles en utilisant des mots de code du pizzagate.

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enfants sans smartphone

HuffpostEn Irlande, les parents s’unissent pour refuser les smartphones à leurs enfants

Huffpost - 11 juin 2023

Les parents et les écoles de la ville de Greystones ont collectivement décidé d’adopter un pacte pour interdire l’utilisation des téléphones portables aux enfants, jusqu’au collège. Une initiative qui inspire déjà le gouvernement irlandais.

   

Faut-il protéger les enfants des écrans ? C’est ce que pensent les parents et les écoles de la ville irlandaise de Greystones, au sud de Dublin. Collectivement, ils ont décidé, dès le mois de mai, de mettre en place un pacte qui interdit les smartphones aux enfants à la maison et dans les huit écoles primaires de la ville irlandaise, et ceci jusqu’au collège, d’après The Guardian.

Avec cette décision, les parents entendent réduire la pression et l’influence exercées par les réseaux sociaux sur les enfants. « L’enfance est de plus en plus courte », a déclaré Rachel Harper, directrice de l’école St Patrick, qui est à l’origine de l’initiative, selon The Guardian. Les parents craignent que les écrans exposent les enfants à plus d’anxiété et à du contenu pour adultes. « Plus longtemps nous pourrons préserver leur innocence, mieux ce sera », a déclaré au journal britannique Laura Bourne, qui a un enfant en petite section dans une école de Greystones.
Une future politique nationale

D’après Rachel Harper, le pacte a été conclu parce que le niveau d’anxiété des enfants augmente et qu’il ne peut être qu’en partie attribué à la pandémie de Covid-19. Les écoles de la ville ont fait circuler des questionnaires aux parents afin de les inviter à des réunions et réfléchir à une initiative pour remédier à cette anxiété. En est ressortie la nécessité de créer un « village » sans smartphone, a expliqué Rachel Harper.

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