Déjà en Ukraine, les habitants manquent de nourriture et de médicaments, et les retombées économiques se répercutent également sur le reste du monde.
Une décision pour le moins incompréhensible lorsque l’on sait que les forêts permettent de stocker du CO2 en plus de préserver la biodiversité. Mais à y regarder de plus près, derrière l’hypocrisie de la “croissance verte” se cache l’appât du gain d’une multinationale soutenue par l’État.
« Avant, il y avait de la tourbe[2] ici, maintenant c’est un chemin avec un mètre de pierres […] Des couloirs à batraciens ont été détruits au bulldozer sur des centaines de mètres ».