LG Electronics a conçu un nouvel amplificateur de puissance ainsi qu’une technologie de formation de faisceau adaptative qui pourraient rendre la 6G viable. Le 13 août, le nouvel amplificateur a été utilisé pour transmettre avec succès un signal 6G entre deux bâtiments. Ce n’est peut-être pas grand-chose et la 6G ne sera pas accessible avant une dizaine d’années, mais c’est un bon début vers une transmission et une réception ultrarapides.
Dans cet article, Arthur Firstenberg expose tous les acteurs de la 6G, il évoque une réunion ayant eu lieu début mai entre 72 acteurs de cette technologie et expose ses applications potentielles. Vous pouvez lire ici la version originale.
Dans ce document, il est également question des travaux de Thomas Seyfried, du Boston College, qui est en train de démontrer que le cancer n'a pas de cause génétique...
Traduction française du document
Cet article résume une étude qualitative méta-intégrative publiée dans la revue Buildings.
Pour en savoir plus sur le projet MAGNEURON, vous pouvez visiter leur site...
Diverses options ont été étudiées par les scientifiques locaux comme la grippe aviaire, mais n'ont donné aucun résultat. Ceci dit, un élément n'a pas été pris en compte : l'arrivée de la 5G.
Aujourd'hui si une antenne vous empêche de dormir ou vous génère un cancer, c'est à vous de prouver que l'antenne est en cause, ce qui est assez compliqué aux vues des nombreuses sources de pollution de notre environnement. Pour inverser cela, une initiative fédérale nommée « Responsabilité en matière de téléphonie mobile » a été lancée en Suisse. Elle devrait permettre à ce que ce soit à l'industrie de la téléphonie mobile qui aie le devoir de prouver l’innocuité de sa technologie.
« Le téléphone est un outil qui nuit beaucoup à la communication. Grâce au téléphone, on a de moins en moins besoin de se parler. »
L'ECERI est une association internationale sans but lucratif, créée le 18 mai 2011. Elle a pour but de concourir au développement de la recherche scientifique dans les domaines de la cancérogenèse, de l’environnement, des traitements et de la prévention environnementale des cancers.
Bien qu’une recherche bibliographique ait été conduite, celle-ci se révèle confuse, incomplète, non actualisée, et surtout biaisée, les publications tendant à montrer la rareté ou même l’absence d’effets biologiques et sanitaires liés au développement actuel de la 3G et de la 4G, ayant été privilégiées au détriment des nombreux articles scientifiques à comité de lecture montrant au contraire l’existence réelle et scientifiquement démontrée de tels effets.
En date du 10 mai 2021 l'appel a été entendu par 300 636 signataires de 214 nations et territoires.
Nous soussignés, scientifiques, médecins, organisations environnementales et citoyens de (x) pays, demandons de toute urgence l'arrêt du déploiement du réseau sans fil 5G (cinquième génération), y compris depuis les satellites spatiaux. En effet, la 5G entraînera une augmentation considérable de l'exposition aux rayonnements de radiofréquence (RF) qui s'ajoutera au rayonnement induit par les réseaux de télécommunications 2G, 3G et 4G déjà en place. Il a été prouvé que les rayonnements des radiofréquences sont nocifs pour l'homme et l'environnement. Le déploiement de la 5G revient à mener des expériences sur les êtres humains et l'environnement, ce qui est considéré comme un crime un crime en vertu du droit international.
L’agence ignore volontairement les effets biologiques et reste dans la confusion en ce qui concerne les différents modes d'exposition, portables, antennes, objets connectés. Elle est sourde à l'Appel 5G préparé en 2017 par des scientifiques et des médecins qui demandent d'urgence à l'UE de stopper le déploiement de la 5G en raison des graves effets potentiels de cette nouvelle technologie sur la santé.
A priori, compte tenu des données techniques dont le groupe de travail a eu connaissance, concernant les infrastructures et le fonctionnement des réseaux mobiles 5G, les niveaux d’exposition dans l’environnement liés aux émissions des antennes relais, dans des conditions identiques (densité d’utilisateurs, trafic, etc.) devraient peu varier, que les antennes émettent des signaux 3G, 4G ou 5G.
Stress cellulaire, génotoxicité, dommage sur l'ADN, tumeurs cérébrales et épidémiologie... Le rapport BioInitiative dresse un état complet des connaissances de l’effet sur l’homme ou les organismes vivants des rayonnements non ionisants des lignes électriques et de la téléphonie mobile. Ce rapport dispose d'une mise à jour 2014 - 2020.
On ne sait pas encore tout sur ce sujet, mais ce qui est clair, c'est que les normes de sécurité publique limitant ces niveaux de rayonnement en vigueur dans presque tous les pays du monde semblent être des milliers de fois trop indulgentes. Des changements sont nécessaires.