En même temps, comme dirait le petit prince de la Banque R, ça peut servir de purge totale pour que le peu de moral déprimant qui vous reste soit éradiqué et qu’un moral nouveau en béton russe se reforme. C’est le principe de l’homéopathie, ou du vaccin : on envoie une petite dose de mal pour stimuler les défenses de l’organisme, pour réveiller le bien.
On vous aura prévenus...
Nous ne parlerons pas ici des drogues ni de duels en voitures ou autres moyens très bas de gamme et largement has been.
Nous ne discourrons pas sur « sa majesté » le smartphone 5G, le N°1 de l’autodestruction actuelle, ni sur les « piquouses » tendance soi-disant anti-pandémies !
Nous laisserons également de côté les jeux vidéo, surtout ceux de guerre où l’on vous apprend à « dézinguer » votre prochain !
Vive la technologie ! qui peut, en deux temps et trois mouvements, vous envoyer six pieds sous terre pour visiter les mondes « quantique »
Non, cette fois nous voulons exprimer quelques mots sur les tatouages.
L’erreur consisterait à penser que la surveillance numérique se limite à votre smartphone. Certes, cet outil est un redoutable espion qui permet à l’Etat de tout savoir sur vous pour peu que les fournisseurs de données transmettent les informations qui vont bien. Mais il faut avoir conscience que l’épidémie de coronavirus a donné aux pouvoirs policiers l’opportunité d’avancer grandement dans leurs projets de mise sous surveillance.
En France, par exemple, en décembre 2020, des décrets sont passés autorisant le fichage de tous les citoyens selon leurs opinions philosophiques. L’année suivante, le Parlement a adopté une loi autorisant la reconnaissance faciale en temps réel des personnes participant à une manifestation.
Judith Reisman a étudié les graphiques de ce médecin qui fournissait des données sur des bébés qui avaient eu des orgasmes. Comment ces bébés avaient-ils pu avoir des orgasmes et comment cela a-t-il pu être observé ? Un enfant de 4 ans aurait eu 26 orgasmes en 24 heures.
Christelle Néant est une journaliste indépendante basée à Donetsk dans l’est de l’Ukraine depuis 2016, elle est la fondatrice de Donbass Insider.
L'expression pudique de "système d'aide à la décision" signifie simplement que l'assurance maladie pourra identifier les personnes qui ne sont pas vaccinées et, au besoin, les sanctionner.