Médias-Presse-Info, Boulevard Voltaire, Riposte laïque (d’ailleurs dans un très bon papier) ont sorti la kalach et la guillotine, mais tout ceci reste heureusement – pour les vilains – très virtuel. Les Gilets jaunes avaient eu cette tentation. Ils s’étaient fait tabasser par le pouvoir, comme les gens sains d’esprit qui ont osé regarder cette soirée infernale du 26 juillet 2024.
Ceux qui suivent l’info profonde sur les Macron et leurs employeurs depuis 10 ans dans Faits & Documents ont baillé devant ce spectacle calculable au possible. La recette était simple : fourrer la France avec une énorme saucisse LGBT, histoire de bien se mettre les gauchistes dans la poche – toujours aussi masos, ceux-là – et de faire aboyer les fachos, la caravane de la Banque, comme toujours, passant tranquillou au milieu.
Cerise avait raison : le conflit triangulé est là, sous nos yeux, et beaucoup tombent dans le piège.
L’abjection de cette soirée a deux têtes : la première, c’est l’insulte permanente faite aux chrétiens, bien sûr exprès, histoire de détruire définitivement le socle chrétien de notre pays, et ce, devant le monde entier, comme un message clair. La seconde, c’est un autre massacre, mais pas symbolique celui-là. Il concerne les Palestiniens, qui sont victimes d’un génocide clair, net et sans bavure. C’est un fleuve de sang qui coule de Gaza et qui perturbe le monde entier.
Analyse de la cérémonie sataniste d’ouverture des JO de Paris
Depuis hier soir, c’est une avalanche de commentaires abasourdis et scandalisés qui suivent la « cérémonie » d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris organisée à grands frais devant un grand nombre de chefs d’État de tous les continents et diffusée en mondiovision par les caméras de télévision. Appelons un chat un chat : ce ne fut pas un spectacle de « mauvais goût », ni wokiste ou dégénéré mais une cérémonie sataniste savamment orchestrée.
Résumons ce qui a été exposé vendredi soir aux yeux de la planète entière.
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Et le tout en musique...
Le site de l’UE indique que ce « premier rapport sur le chiffrement », rédigé par ce que l’Union appelle son centre d’innovation pour la sécurité intérieure, cherche des moyens de « préserver la vie privée des citoyens tout en permettant les enquêtes et les poursuites pénales ».
« Le principal défi consiste à concevoir des solutions qui permettraient à la fois un accès légal et ciblé aux communications et qui garantiraient un niveau élevé de cybersécurité, de protection des données et de respect de la vie privée », indique le rapport.
La réponse objective à l’énigme supposée de la réalisation de ces deux objectifs est toujours la même : c’est impossible.
Pourtant, l’UE, divers gouvernements et organisations internationales continuent à faire pression pour saper le chiffrement en ligne et à présenter leurs initiatives de la même manière – comme étant à la fois leur soi-disant souci de la vie privée (et, surtout, de la sécurité) et le fait de faciliter le travail des forces de l’ordre (dire que l’objectif est de « permettre » cela, suggère qu’il n’y a pas d’autre moyen d’enquêter, ce qui n’est pas vrai).
Quant à savoir comment l’UE entend « sauvegarder les droits fondamentaux » (des citoyens) tout en proposant ce qu’elle fait dans ce document, personne ne le sait. Mais les bureaucrates de l’UE sont « à l’abri » de ces questions – du moins pas les médias traditionnels.
Les propositions du rapport comprennent un certain nombre de moyens de casser le cryptage, mentionnent des portes dérobées de cryptage (l’euphémisme sournois est « accès légal » aux communications et aux données), ainsi que le craquage de mots de passe, les crypto-monnaies et d’autres formes de surveillance.
L’abus de langage et de ton, qui n’est pas si subtil, se poursuit tout en discréditant le chiffrement, puisque des services tels que Meta’s Messenger, Apple Private Relay et le protocole Rich Communication Systems (RCS) sont qualifiés de « technologies de chiffrement à l’épreuve des mandats ».
L’une des idées consiste à extraire les clés de chiffrement par des « attaques quantiques par canal latéral » (qui exploitent les informations divulguées par les ordinateurs quantiques). « L’algorithme de Grover pourrait être utilisé dans ce cas pour identifier les données pertinentes extraites lors d’une attaque par canal latéral afin de déduire la clé cryptographique », peut-on lire dans le rapport.
Et si le chiffrement du DNS est mis en œuvre, l’UE estime qu’il sera « crucial » de permettre « aux forces de l’ordre d’accéder au trafic DNS des suspects et de le traiter ».
L’UE fonde ses espoirs de pouvoir briser le chiffrement à l’avenir sur le développement de l’IA, mais aussi, dans le présent, sur le rapport du Cybercrime Judicial Monitor (CJM) qui indique que certains membres de l’Union au niveau national ont récemment modifié leur législation d’une manière qui « pourrait offrir des possibilités supplémentaires de capturer et d’utiliser des données (cryptées) ».
En fait, le rapport annuel du CJM amène l’UE à conclure que « la majorité des États membres de l’UE disposent de capacités directes ou indirectes d’accès légal ciblé à l’appareil d’un suspect ».
Une fois de plus, la question de l’interception des appels vocaux effectués à l’aide de cartes SIM étrangères est abordée dans la section « Interception légale dans les réseaux 5G », tout comme Europol a récemment exploré la possibilité de briser le cryptage de l’itinérance mobile.
J’ai appris que le Dr Robert Duncan, lanceur d’alerte de la CIA et de la DARPA sur le programme gouvernemental de ciblage et de torture des civils — ainsi que de la technologie de surveillance du cerveau humain à l’échelle mondiale par superordinateur — a été retrouvé mort à son domicile. Il a écrit plusieurs livres, dont Soul Catcher, qui confirme que le piratage de l’âme humaine est possible et a été réalisé. Soul Catcher est de loin le livre le plus important que j’ai lu pour comprendre la profondeur du mal satanique qui surveille et contrôle le monde et comment les superordinateurs souterrains à intelligence artificielle sont utilisés pour les programmes d’assassinat et de torture à distance. Ce programme de ciblage a été le terrain d’essai pour toute l’Humanité. Et maintenant, en raison de l’implantation de l’arme biologique COVID-19, des puces cérébrales nanotechnologiques à assemblage automatique et des microrobots ont été intégrés dans la simulation du monde sensible.
Il a fait d’excellentes présentations, confirmant que les nanoparticules d’auto-assemblage sont utilisées à des fins de contrôle de l’esprit et ont été injectées à des individus avec la capacité de prendre en charge l’intégralité de leurs fonctions cérébrales. En substance, tous les humains sont désormais des candidats mandchous potentiels.
Voir les vidéos à ce sujet...
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Reconnaissons que la violence de la réalité est implacable. Quand bien même je serais lu par des millions de personnes, mon texte ne pourrait être « décodé » et compris que par des « complotistes », autrement dit par des « désynchronisés », des « déphasés ». Même s’il flirtait avec une forme de génie, rassurez-vous ma lucidité me permet de garder les pieds sur terre, il demeurerait totalement incompréhensible et même délirant pour les gens « normaux », les normies.
Certains de mes congénères déphasés et désynchronisés tout comme moi, mais naïfs ou optimistes appelez-les comme vous le désirez, n’ont pas baissé les bras. Ils continuent de vouloir communiquer avec les normies, à vouloir leur ouvrir les yeux sur une réalité qu’ils ne peuvent appréhender avec leur formatage. Le besoin d’espérance de mes camarades de lutte est tel que lorsqu’ils croient enfin arriver à établir une communication c’est, hélas, la preuve que leur interlocuteur était lui-même déjà désynchronisé et non un simple normie.
Ne voyez pas malice ou toute forme de condamnation dans mes propos. J’ai moi-même longuement et vainement tenté d’ouvrir les yeux à ces moutons. Et même si cela devient exceptionnel il m’arrive encore d’essayer avec un insuccès à la clef.
La parabole du film Matrix avec sa pilule rouge et sa pilule bleue relève du mythe. Elle présuppose que tout un chacun disposerait d’un libre arbitre afin de décider en toute conscience s’il préfère demeurer dans l’illusion de la doxa ou basculer dans un monde réel ô combien plus horrible et menaçant. Or le seul fait de se retrouver face à ce prétendu choix constitue une preuve de la croyance en l’existence possible de deux « réalités » que l’on présuppose diamétralement opposées.
Pour le normie, il ne saurait exister un monde dans lequel les complotistes seraient autre chose que des fous et encore moins un monde dirigé par des forces du mal. Pour eux, même s’il existe des dirigeants plus ou moins avides d’argent ou de pouvoir, ils sont globalement « bons ». Imaginer qu’il n’y a strictement aucune bonne intention, aucune volonté de soulager les souffrances ou augmenter l’espérance de vie chez les dirigeants de l’industrie pharmaceutique n’est pas une hypothèse envisageable.
Bref celui qui « déciderait » de prendre la pilule rouge l’a de fait déjà avalée. Le normie qui basculerait dans le complotisme suite à nos arguments relève encore une fois du mythe.
Mais qui dit compréhension ou acceptation de son impuissance à ouvrir des yeux et « changer le monde » ne dit pas pour autant absence de souffrance. Être face à un mouton, un aveuglé, un pigeon, être conscient d’une autre réalité, être effacé, désynchronisé et savoir que quoique l’on fasse, quoique l’on dise, quoique l’on argumente, nos propos demeureront totalement inintelligibles pour autrui s’apparente à de la torture.
Le langage du déphasé, notre langage, est basé sur la réflexion, la logique, le raisonnement, le fait, l’histoire, la critique, la démonstration, des heures de recherche et j’en passe. Nous n’hésitons pas à remplacer nos croyances quand l’évidence s’impose. Tandis que le « raisonnement », si on peut l’appeler ainsi, du normie est basé sur l’émotion, la peur, une impossibilité totale de lier les sujets ou les événements, une absence totale de mémoire et bien entendu une croyance en une « volonté » farouche de ne rien interroger ou remettre en question la sainte doxa. Il a été programmé pour croire qu’il est le contraire de ce qu’il est. Il se pense logique, informé, les pieds sur terre, capable de raisonnement, capable de remettre en question ses croyances et bien entendu plus intelligent que nous alors même que son discours est totalement calqué sur les médias ou BFM. Si vous lui demandez d’exprimer sa pensée, il se contentera de dérouler le discours médiatique. En fait il se pense exactement le contraire de l’image qu’il projette du complotiste.
C’est ainsi que le normal a participé aux dernières élections législatives en France, luttant pour ou contre tel camp et ignorant qu’ils ne sont que les faces d’une même pièce, ce que nous savons que trop. Celui-ci croit que nous sommes en démocratie, que le peuple peut décider de son destin, qu’il y a des institutions, un parlement, des droits et j’en passe.
Cela fait 40 ans que les maîtres du monde font monter la fameuse « extrême droite » au premier tour des scrutins, celle qui pourrait « anéantir la démocratie et les libertés » au 2e tour. Je vous rappelle que la vérité du normie n’est pas basée sur le fait, mais sur le discours instillé par les médias… Il ne sait plus qu’en France et dans les pays occidentaux la liberté est un lointain souvenir et pense sincèrement que la prise de pouvoir des prétendus extrêmes sonnerait le glas de la démocratie et des droits de l’homme.
Ceci c’est pour le premier tour des élections tandis qu’au deuxième tour les « forces du bien font barrage »… Nous aurions pu imaginer qu’au fil des décennies le normie eut pu comprendre que l’on se foutait de sa gueule, qu’il n’y avait plus de France, plus de défense, plus de monnaie, plus de souveraineté, plus de marge de manœuvre. Qu’il sache que les décisions sont prises à Bruxelles, pardon sont transmises par Bruxelles. Mais non, il croit encore qu’il y a des lois, des orientations qui peuvent être hexagonales. Depuis 40 ans on lui prouve que le RN n’a pas le droit d’être au pouvoir alors même qu’il est le parti qui remporte le plus de voix au premier tour et il continue à tomber dans le piège du « pacte républicain ».
Tout ceci n’est que farce, un vaste théâtre d’ombres, tout parti qui parvient au pouvoir fera la même politique autorisée par les financeurs maîtres du monde. Changer le système de l’intérieur obligerait à faire semblant d’être un enculé corrompu pendant 20 ans tout en gardant ses valeurs afin d’avoir le droit d’être élu Président pour ensuite révéler sa vraie nature et faire s’effondrer le château de cartes.
Ces normies de base croient sincèrement que leur avenir sera forcément différent s’ils votent Front Populaire (prétendu de gauche) ou Rassemblement National (prétendu de droite).
Le normie version 2.0 qui a un peu de culture croira quant à lui que les élections européennes sont décisives, car « tout se joue à Bruxelles ». Ignorant que le Parlement européen n’a strictement aucun pouvoir et que les décisions sont entérinées par la Commission qui, de bien entendu, n’a aucun membre élu. Membres qui ne sont que des pions placés pour leur capacité à être corrompus et leur absence totale de conscience comme la Hyène qui s’accroche à son pouvoir.
Je pourrais poursuivre pendant des pages, mais ce faisant je me parle à moi-même. Le normie « sait » que nous sommes en démocratie parce qu’on le lui répète inlassablement depuis sa naissance.
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Un puissant réseau d’agences de police, de régulateurs et d’industriels est en train de décider de l’éthique et du cadre réglementaire selon lesquels les autorités peuvent utiliser les données collectées à partir des véhicules à moteur. Les agences de renseignement allemandes, en particulier, exigent que Mercedes-Benz et Volkswagen insèrent les interfaces nécessaires pour permettre la surveillance.
Selon la presse allemande, des réunions entre les constructeurs automobiles et les forces de l’ordre sont en cours depuis le printemps. Les services de renseignement demandent des données en temps réel sur la localisation d’une voiture, l’historique du conducteur et même le nombre de personnes assises dans le véhicule à un moment donné.
La surveillance des données générées par les voitures est une zone grise sur le plan juridique, malgré une décision de l’UE de janvier 2023 visant à normaliser les processus de collecte de données, permettant aux juges et aux procureurs d’accéder aux informations sur demande, en imposant aux entreprises un délai de dix jours pour répondre aux demandes officielles.
Les tentatives de l’UE d’accorder à la police l’accès aux données des voitures ont déjà été critiquées comme étant excessives et dépourvues des garanties nécessaires. Les groupes de défense des droits numériques avertissent que « la nouvelle loi traiterait une grande partie de la population comme des criminels jusqu’à preuve du contraire ». D’autres critiques craignent que les réglementations européennes existantes en matière de protection des données ne soient pas respectées.
Déjà connu pour son harcèlement des populistes de l’Alternative für Deutschland (AfD), l’Office fédéral allemand pour la protection de la Constitution réclame de nouveaux pouvoirs pour surveiller les données des voitures. Plus généralement, la question de savoir quand et comment les services de police peuvent espionner les conducteurs doit être tranchée par l’Institut européen des normes de télécommunication, qui définit déjà des règles similaires pour l’utilisation des données téléphoniques.
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La perspective d’une base de données paneuropéenne pour les documents d’identité des conducteurs a suscité une réaction négative de la part des universitaires. Carole McCartney, professeur de droit à l’université de Northumbria, a déploré que les citoyens de l’UE puissent bientôt être traités comme des « suspects », même s’ils n’ont pas commis de délit.
Le différend sur la gestion des données recueillies par l’industrie automobile s’inscrit dans le cadre d’un débat plus large à l’échelle de l’UE sur l’IA et la reconnaissance faciale. Les députés européens favorables à l’ouverture des frontières ont réussi à insérer des clauses juridiques visant à limiter l’utilisation des données biométriques pour le contrôle des frontières dans la récente loi sur l’IA adoptée à Bruxelles cette année.
BMW, Toyota et Nissan font partie des huit entreprises citées le mois dernier par les législateurs américains pour avoir exploité des données d’utilisateurs sans garanties adéquates dans le cadre de demandes d’indemnisation. Par ailleurs, General Motors fait l’objet d’un recours collectif pour avoir vendu des données d’utilisateurs à une société tierce.
Phénomène mondial, la surveillance croissante des voitures a incité une organisation de défense de la vie privée, « Stop Spying », à publier un rapport dénonçant l’essor des « écoutes sur roues ». Les auteurs affirment que les forces de l’ordre américaines utilisent à des fins militaires des données automobiles douteuses depuis au moins 2013.
Nous sommes dans une société congénitalement répressive et tous ceux qui ne pensent pas selon la Doxa dominante sont victimes de pressions et d’élimination. Le cas de François Dubois qui témoigne aujourd’hui est emblématique de la chasse aux sorcières qui sévit en France.
Durant 20 ans, François Dubois a servi en tant que gendarme, naviguant entre diverses unités d’intervention et missions judiciaires. Son parcours professionnel l’a conduit à assurer la protection rapprochée de deux premiers ministres : François Fillon et Jean-Marc Ayrault. Par la suite, il a occupé des postes tels qu’officier de police judiciaire et commandant de brigade adjoint.
L’événement marquant du COVID-19 a été l’obligation vaccinale au sein des forces armées, ce qui a finalement motivé sa décision de quitter l’institution. Durant cette période, il a subi une pression intense et été témoin de pratiques illégales dans la gestion des effectifs.
Grâce à ses relations, il a pu postuler à un poste d’enseignant contractuel à temps plein dans deux établissements de la filière professionnelle des métiers de la sécurité. Et voici que contre toute attente, il reçoit un courrier laconique, il y a quelques jours, lui annonçant que son contrat ne serait pas renouvelé pour la rentrée.
Cette nouvelle a laissé l’inspectrice et les deux chefs d’établissements incrédules. Il apprend du rectorat que sa non reconduction était liée à ses prises de position (mot pour mot), celles-ci prises à l’extérieur et jamais dans ses cours, mais que ses supérieurs n’étaient pas tenus de justifier le non-renouvellement de son contrat.
Le Comité international olympique (CIO) envisagerait-il d'annuler les JO de Paris ? Cette folle rumeur, avancée dans un article du Journal du dimanche (JDD) et dans un édito du Point signé par Nicolas Baverez, parus respectivement les 3 et 4 juillet, s'est propagée comme une traînée de poudre.
À l'origine : les récentes déclarations du président Macron, qui s'est attiré les foudres des oppositions, en prédisant une «guerre civile» en cas d'arrivée au pouvoir du Rassemblement national ou de LFI à l'issue des élections législatives anticipées.
D’après Le Point, les propos du chef de l'État auraient «effaré» Thomas Bach, le président du CIO, qui se serait donné jusqu’à la mi-juillet pour prendre une décision et acter une éventuelle annulation.
Démenti du Comité international olympique
Une telle annonce serait en soi un séisme mais ne constituerait pas un précédent pour autant. Dans l’histoire des Jeux olympiques, pointe le JDD, les éditions de Berlin en 1916, Tokyo en 1940, Londres en 1944 et de nouveau Tokyo en 2020 ont été grandement affectées par la «situation extra-sportive du monde». Les trois premières ont été annulées en raison des deux guerres mondiales, alors que la dernière a été reportée d’un an à cause de la pandémie de Covid-19.
Le CIO a toutefois formellement démenti ce 4 juillet cette hypothèse dans un communiqué, dénonçant une «campagne de désinformation en cours contre la France». De son côté, la ministre française des Sports Amélie Oudéa-Castéra s'est empressée de dénoncer sur le réseau social X (ex-Twitter) des «fake news indécentes».
Baisse du tourisme
Au-delà du tollé provoqué par les propos du président Macron, la capitale parisienne est menacée pendant les JO par plusieurs risques sécuritaires, favorisés par une foule incontrôlable. À cela s'ajoutent les prix exorbitants qui, d’après les prédictions de la presse française et internationale, entraîneraient une baisse du tourisme.
Une enquête du magazine américain Forbes publiée le 2 juillet a mis l’accent sur les prévisions de l’hôtellerie et du secteur aérien français revus très nettement à la baisse pour la période des Jeux olympiques.
Citée par Forbes, la compagnie aérienne d’État française Air France-KLM a annoncé le 1er juillet qu'elle s'attendait à une perte pouvant atteindre 180 millions d'euros au cours du trimestre financier en cours, les touristes évitant Paris pendant les JO, organisés entre le 26 juillet et le 11 août.
Le secteur aérien anticipe ses pertes
«Les marchés internationaux montrent une tendance à éviter Paris», a déclaré le transporteur dans un communiqué. Avant d'ajouter : «Les voyages entre la ville et d'autres destinations sont également inférieurs à la moyenne habituelle de juin à août, car les résidents en France semblent reporter leurs vacances après les Jeux olympiques ou envisager d'autres projets de voyage.»
En conséquence, Air France-KLM s'attend à «un impact négatif sur ses prochaines recettes de 160 à 180 millions d'euros pour la période de juin à août 2024». Les voyages vers la France devraient revenir à la normale après la fin des JO, «avec des niveaux de demande encourageants prévus pour la fin août et le mois de septembre».
Pour rappel, Air France-KLM a déclaré un chiffre d'affaires de plus de 9,3 milliards de dollars au troisième trimestre 2023, porté par une forte demande estivale.
L’hôtellerie compte ses chambres vides
Le communiqué d’Air France concorde avec les données de l’Office du tourisme de Paris, qui prévoyait récemment une baisse de 14,8% des arrivées étrangères en juillet 2024 par rapport au même mois de 2023.
La même tendance se retrouve dans l’industrie hôtelière, relève encore Forbes. À un mois du début des Jeux olympiques d’été, les taux d’occupation des hôtels parisiens culminent à 77,8% le 27 juillet, selon les dernières données Forward STAR de CoStar.
La soirée d'ouverture arrive juste derrière, puisque le 26 juillet affiche actuellement un taux d'occupation de 77,7%. Le taux d’occupation le plus bas de la période olympique de cet été est de 59,8% le 11 août, dernière soirée de la compétition.
Mais l'ensemble de la période olympique reste en dessous de la moyenne d'occupation de 81,4% que la ville a connue en juillet 2023, comme le rapporte l'Insee, l'Office officiel des statistiques de France.
Impact positif malgré tout
Malgré tout cela, tempère Forbes, les Jeux olympiques d'été de 2024 devraient être nettement positifs pour Paris, générant un impact économique prévu de 8,9 milliards d'euros (9,6 milliards de dollars américains) pour la ville, selon une étude indépendante du Centre pour le droit et l'économie de Paris. Entre 2,3 et 3,1 millions de visiteurs munis d'un billet pour les JO sont attendus à Paris pendant les Jeux, dont environ deux tiers de Français. Ces visiteurs devraient dépenser 2,8 milliards de dollars, selon l'Office du tourisme de Paris.
En somme, les experts du secteur s’accordent à penser que les touristes reviendront à Paris dès la fin des Jeux olympiques. «La baisse de la demande que nous observons au début de l'été peut être considérée comme un ajustement temporaire», a déclaré à Forbes Christina Choueifaty, directrice de comptes senior chez STR, une société qui fournit des données d'analyse comparative des hôtels.
Notre président est atteint de cette forme de pathologie mentale, qui se transmet au pays à travers institutions et médias. Le risque, dans le cas d’un régime présidentiel fort comme celui de la Ve (qui est morte le 30 juin), c’est d’avoir un Macron à la place d’un de Gaulle, un immature à la place d’un homme structuré. On pourrait résumer la problématique en disant que Macron n’est pas un homme, tout simplement, au sens où il faut disposer d’une autorité naturelle (il n’en a aucune, personne ne le respecte) et d’un certain charisme. Macron n’a pas la solidité mentale qui couronne un parcours de combats, gagnés et perdus ; son rapport au réel est faussé par sa méconnaissance totale des autres, qui lui permet de les mépriser, voire, de les haïr et de leur faire du mal.
Au fond, ce pistonné médiocre manque de connaissance profonde de la vie et des gens. Il a été placé à ce poste par des gens intelligents et cyniques, de ce côté-là, il n’y a aucun doute. Nous avons affaire à un petit garçon perdu qui joue à Président.
La question, pour le corps politique en particulier et le corps social en général, se pose d’obéir à cet individu au noyau psychique fêlé (on sait tous pourquoi, à l’origine). Et pourtant, en 2020, 80 % des Français ont obéi, par peur, par calcul, par instinct de troupeau, à ce malade mental, qui certes transmettait les ordres du pouvoir profond, dont il est le pantin – mais il fallait quelqu’un pour jouer ce rôle ignoble, un homme de théâtre, capable de théâtraliser une crise majeure en transformant une grippe saisonnière légèrement trafiquée en peste noire.
La question ne se pose donc plus en ces termes, doit-on obéir à un fou ?, mais pourquoi autant de Français ont-ils obéi à ce fou ?, ce qui est plus grave encore. On nous répondra confiance dans les institutions, croyance dans l’élection divine d’un homme qui a sauvé le pays, toutes ces balivernes. En réalité, Macron ne peut exister que sur un fond de lâcheté et de méconnaissance. C’est parce que 80 % des Français sont sous-informés ou lâches qu’ils ont suivi les ordres d’un « taré », selon le qualificatif utilisé par Ruffin.
Comme la mauvaise herbe est le produit d’un sol malade, mais aussi sa traduction, un signal envoyé !, un mauvais président est la sanction d’un pays immature, crédule et lâche. Sept ans plus tard, après avoir bien souffert physiquement, psychologiquement et économiquement, le pays se réveille et expulse le virus. Mais il a vraiment fallu aller très loin. Le virus, lui, a compris qu’il n’était plus désiré, et se venge en organisant une guerre civile et une guerre contre la Russie. C’est le prix que les Français, sauf sursaut de lucidité et de courage, payeront pour leur ignorance et leur lâcheté.
Débat : Hitler était-il fou ?
Le peuple allemand a obéi à Hitler, et il a eu plein d’ennuis, mais pas que. La propagande occidentale a fait passer Adolf pour fou, mais au fur et à mesure que le temps passe, on comprend que cet homme, issu du chaos de la défaite de 1918, était un pur produit de son temps.
Autrement dit, si ça n’avait pas été Hitler, ça aurait été forcément un autre, un Goering ou un Heydrich, avec quasiment la même politique. Ce n’est pas un seul homme qui fait une politique, l’homme ne fait qu’incarner l’esprit d’une nation à un moment donné, et c’est la nation qui le choisit, parce qu’elle est une force de la nature.
L’Allemagne des années 30 était fortement nationaliste et antijuive (ou anticapitaliste), et Hitler était le candidat idéal pour endosser l’habit de berger. Macron, c’est un peu différent au sens où la démocratie occidentale, fondamentalement, est construite sur l’interdiction qu’un Hitler arrive au pouvoir. Le bas n’a plus son mot à dire, c’est le haut qui décide de qui va incarner la nation, au bas de s’y plier. Tout en mettant les formes, bien entendu, c’est pourquoi le candidat, dans cette fausse démocratie, doit mentir en permanence. Ce sera sa qualité principale, mentir sur la durée, et sans vergogne.
Hitler, lui, ne mentait pas. Son programme a toujours été clair : l’Allemagne d’abord, et gare à ceux qui se mettent sur le chemin de sa renaissance.
La question à poser devient donc : le pays était-il fou ? Non, un pays n’est pas fou, il souffre. Et aujourd’hui, peut-être pas autant que l’Allemagne de 1929, mais la France de 2024 souffre, et envoie un message très clair en ce sens à l’oligarchie. Qui jusqu’à présent a fait la sourde oreille, un comportement dangereux.
La captologie est une méthode qui consiste à déclencher un comportement devant un écran, et de vous amener à le répéter. C’est une hypnose appelée design du comportement. L’OTAN s’en sert pour militariser les réseau sociaux qui posent un gros problème de réinformation en cas de conflit ou de troubles organisés par des structures étatiques à des fins de déstabilisation sur le comportement des civils.
La captologie est une science de manipulation de l’esprit qui appartient à la mouvance du MK Ultra qui cible ceux qui sont convaincus et qui ne savent pas comment passer à l’action, il faut les aider à choisir l’action que vous avez décidé et qu’ils suivront.
Les campagnes électorales utilisent cette méthode comme l’antisémitisme, sujet principal des législatives de 2024, qui polarise le RN et le Front Populaire.
Le Bordelais Hervé Le Guyader écrit des « fictions utiles » qui dessinent, sur la base des technologies de rupture déjà en gestation, à quoi ressemblera la « guerre cognitique ». De la SF ? Si seulement…
Après la terre, la mer, l’air, l’espace et le cyber, l’esprit humain est-il en passe de devenir le sixième « domaine d’opérations » des armées du futur ? C’est en tout cas le travail prospectif qui occupe Hervé Le Guyader, sur une sollicitation du « commandement suprême allié transformation » de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (Otan).
Ce Bordelais représente la France au sein de l’Organisation pour la science et la technologie de l’alliance. Celle-ci est par ailleurs en relation avec l’École nationale supérieure de cognitique (ENSC) de Talence (33), à laquelle l’ingénieur en électronique de 69 ans est rattaché. La cognitique rassemble toutes les disciplines, sciences dures comme sciences humaines, qui décrivent le comportement humain, la façon dont nos cerveaux reçoivent et traitent les informations, et comment, nous agissons en conséquence. Y compris via nos interactions avec les machines (HAT, pour Human Autonomy Teaming) – dont les machines de guerre : l’ENSC travaille avec des partenaires comme l’armée de l’Air et de l’Espace.
À l’Otan, Hervé Le Guyader a tenu en substance ce discours : « La raison pour laquelle vous gagnez les batailles, mais perdez toutes les guerres depuis des décennies, c’est le facteur humain. Il y a un angle mort terrible. » D’autres ont pourtant bien pris en compte ce facteur pour arriver à leurs fins : à Stanford (Californie), le Human Behaviour Lab du Dr Fogg « a réuni des sachants en sciences cognitiques et en ordinateurs pour optimiser la capture des esprits », rappelle Hervé Le Guyader. Si vous restez bloqué une heure à faire défiler des vidéos sur votre smartphone, dites-leur merci. On appelle ça « captologie », voire « darks patterns ». Ou comment designer des applications destinées à faire perdre aux utilisateurs le contrôle de leur attention.
Pluridisciplinarité
D’autres encore, l’ont compris, mais pas à des fins de marketing ou de profit : officines qui ciblent des électeurs indécis sur les réseaux sociaux pour faire basculer un scrutin (Cambridge Analytica lors du Brexit…), fermes de trolls qui font buzzer les sujets qui divisent les sociétés occidentales, « cheapfakes » anti-français en Afrique… Tout un arsenal visant à manipuler les esprits, rassemblé sous le terme de « guerre hybride » par le chef d’état-major des armées russes, Valeri Guerassimov, et promis à une terrifiante prospérité. On connaît déjà l’IA et les deepfakes (trucages numériques), mais ce n’est qu’un début, prévient Hervé le Guyader.
« Ce qui rend le phénomène actuel différent, dans sa nature, c’est qu’on peut désormais faire du ‘‘sur-mesure de masse’‘ »
Quoi de neuf là-dedans ? Influence et subversion ne sont pas des idées neuves. Dans son « L’Art de la guerre », Sun Tzu parlait déjà de « vaincre sans combattre ». La CIA a déjà fantasmé sur le contrôle des esprits via son programme MK-Ultra. Et l’utilisation par l’armée française de la « guerre psychologique » (gagner les populations), apprise au contact du Viêt-Minh, n’a pas empêché l’indépendance de l’Indochine puis de l’Algérie…
« Ce qui rend le phénomène actuel différent, dans sa nature, des anciennes ‘‘PsyOps’’, c’est la convergence de trois phénomènes : les progrès de la connaissance du fonctionnement du cerveau, ceux de la puissance de calcul des ordinateurs, et leurs synergies. L’interdisciplinarité. On peut désormais faire du ‘‘sur-mesure de masse’‘. » Dans cette guerre pour le contrôle des comportements, par l’exploitation de nos biais cognitifs, tout le monde est en première ligne, même en temps de paix.
Pour développer ses vues de façon attractive, Hervé Le Guyader a utilisé une forme abordable par tous : la fiction utile (en anglais, Ficint, « fictional intelligence », pour la combinaison de l’écriture de fiction et de l’intelligence pour imaginer des scénarios). D’abord pour le compte de l’Otan. Puis, pour un éditeur civil, Les Équateurs, déjà rompu à cet exercice – il a déjà fait paraître trois volumes de la « Red Team », une équipe pluridisciplinaire chargée d’imaginer « Ces guerres qui nous attendent 2030-2060 », à l’initiative des militaires français.
Termites…
Dans « Black Trends », sorti fin 2023, Hervé le Guyader signe une nouvelle se déroulant en 2037, intitulée « Termites, fourmis et frelons ». Ces insectes symbolisent « les agressions sur le facteur humain selon trois temporalités ». Les termites, invisibles, « sapent » sur le long terme les sociétés cibles, grâce à la captation des données et à des modèles prédictifs générés par calculateurs quantiques (« jumeaux numériques ») pour optimiser leurs campagnes de déstabilisation.
Les fourmis, discrètes, attaquent des groupes ou des cibles spécifiques lors d’opérations de moyen terme. Dans la nouvelle, en utilisant les bionanotechnologies et les capteurs intégrés dans nos corps. Les frelons usent de moyens létaux ponctuels.. Dans « Termites… », c’est une « neurostrike » (attaque sur le cerveau, type syndrome de la Havane par des moyens électromagnétiques).
De la SF délirante ? Pour ces fictions, l’auteur n’utilise « que des technologies qui sont déjà dans les labos. Il ne faut tomber dans aucun de ces deux écueils que sont la paranoïa et la naïveté. Mais il faut savoir que les synergies entre les technologies qu’on appelle émergentes et disruptives (quantique, IA, big data, neuro et bio de synthèse) peuvent être envisagées pour hacker le ‘‘software’‘ (logiciel) humain via les portes d’entrées de son « hardware » (corps) et de son « wetware » (fluides), qui sont nos sens. » Donc d’inhiber ou influer nos processus de décision, voire de tuer. « Et ça, c’est effrayant », reconnaît Hervé Le Guyader.
« Les tabous qui existent dans nos sociétés n’ont pas forcément cours chez nos ‘‘adversaires systémiques’’ »
Celui-ci est aussi préoccupé par « l’inégalité des armes : « Ces technologies sont à la fois porteuses de progrès, notamment médicaux, et de menaces. Malheureusement, les tabous qui existent dans nos sociétés n’ont pas forcément cours chez nos ‘‘adversaires systémiques’’ ». Russie, Chine… et groupes non étatiques.
Comment se protéger
Toute la question est : comment protéger de ces agressions « non cinétiques » (moyens militaires classiques) les militaires et les infrastructures chargés du commandement et du contrôle des opérations ? Mais aussi nos sociétés et les individus qui la composent, fragilisés par leurs propres inventions ? L’ingénieur bordelais exhorte l’Otan « à adopter une vision globale. » À moyen terme, il estime qu’il faudra songer à une régulation des réseaux sociaux.
Et, pourquoi pas, à poursuivre le sillon de la « Ficint », mais sur écran… « Je rêve d’une série grand public type ‘‘Le Bureau des légendes’‘. L’important, pour rendre nos sociétés plus résilientes, c’est de faire prendre conscience aux gens qu’ils sont ciblés en tant qu’individus », plaide-t-il. Pas parano, mais pas rassurant…