Le très proche conseiller de Klaus Schwab, Yuval Harari, compare les territoires palestiniens occupés par Israël à un laboratoire de 2,5 millions de cobayes.
« Pirater les gens signifie connaître les gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes… Et nous arrivons déjà à l’émergence des régimes de surveillance totale comme dans mon pays en Israël où nous avons un grand laboratoire de surveillance appelé « les territoires occupés » où il y a 2,5 millions de cobayes, qui montre comment surveiller et contrôler complètement une population avec très peu de soldats. »
Voici un texte magnifique, parsemé de soupirs d’ébahissement et de cris de fureur, qui vous décrit la chute de l’Homo Sapiens, extraordinaire de radicalité, stupéfiante de vitesse. On nous parle des facéties de ce nous nommons wokenisme ou wokisme, des galipettes du genrisme, des cris de victoire des trans, des Alléluia du transhumanisme, – mais il s’agit de bien plus que cela. Il y a une évolution à une vitesse hypersonique qui vous fait perdre des concepts sublimes, qui désintègrent des croyances sur lesquelles se sont bâties les civilisation, – et tout cela, dans le genre : “Passez, muscade” suivi du “Show must go on”...
« Certes, “les hommes ont nié Dieu, mais ce faisant, ils n'ont pas mis en cause la dignité de Dieu, mais celle de l'homme, qui ne peut se passer de Dieu”. Le drame, c'est que nous sommes au-delà : la dignité est un concept inconnu et Dieu un vestige du passé, dont on se moque comme s'il s'agissait d'un simple retard culturel, dépassé par la lumière aveuglante de la modernité. »
En Angleterre, des appareils de haute technologie seront installés dans des aires de stationnement du sud-est de l’Angleterre dans les semaines à venir dans le cadre d’un essai sur les autoroutes nationales.
Les nouveaux systèmes de vidéosurveillance seront en mesure de détecter les infractions et de les envoyer directement aux salles de contrôle de la police, permettant aux agents d’éviter d’avoir à parcourir des heures de séquences pour poursuivre un automobiliste. Les images transmises de la caméra à la salle de contrôle peuvent être examinées immédiatement et une amende de 100 £ envoyée à la personne à qui la plaque d’immatriculation de la voiture est enregistrée.
« Voilà comment installer la surveillance généralisée du crédit social. Laisser un problème dégénérer, puis dire qu’il n’y a que la technologie pour le résoudre, installer une solution de contrôle automatisé et les gens seront heureux. »
C'est en tant qu'amoureux de la nation que j'écris ce texte. Écrit rapidement et dans l'urgence, j'y développe mon analyse à froid. Je précise, eu égard au contexte, être sportif, en excellente santé, et n'avoir aucunes pensées suicidaires. J'invite mes anciens camarades des forces de l'ordre à lire et à partager le plus possible ce texte.
Vous qui êtes actuellement en premières lignes, fusibles d'une situation qui vous dépasse, vous devez comprendre de quelle façon et dans quel contexte vous êtes actuellement instrumentalisés. Ce contexte de déliquescence nationale dans lequel vous opérez si difficilement est voulu, provoqué et appuyé par des forces très puissantes. Je m'exprime ici en toute liberté sans vous inciter à la révolte, mais en espérant que ce texte vous aide à conscientiser votre rôle et à prendre les décisions personnelles qui s'imposent.
Affaire Nahel : contexte
Nos élites, corrompues et apatrides dans l'âme, œuvrent désormais depuis plus d'un demi-siècle à la destruction intégrale de notre pays. Hélas, le mal est fait, et l'heure n'est pas à se lancer dans de grandes démonstrations historiques, géopolitiques ou théologiques pour expliquer les rouages de ce désastre[1] ! Certains Français dégustent aujourd'hui l'âpre goût de la merde qu'ils ont lâchement cautionnée pour s'inscrire au sein du cercle désigné par leur maître comme celui de la « bien-pensance ».
Le réseau Soros, Attali, Minc qui a accouché de Macron a parfaitement compris cette phrase de Nietzsche : « La plus grande dispensatrice d'aumône, c'est la lâcheté. » De la création de « sos-racisme » en passant par celle de « touche pas mon pote », ils ont, au nom de la tolérance, sciemment promu l'émergence d'une sous culture ethnicisée et communautarisée, en réalité exhausteur de racisme à géométrie variable et de fragmentation sociale. Ils se sont appuyés pour ce faire sur la lâcheté de la population, consécutive depuis les années 80 à un sabordage médiatique culpabilisant de l'image du Français, grand perdant de la seconde guerre, sauvé par les gentils américains et historiquement présenté comme un pleutre délateur de juifs.
Beaucoup de ces lâches ignorants ont ainsi cherché à se racheter une conduite sur les bases d'une histoire caricaturée, honteusement simplifiée pour ne pas dire parfois falsifiée. Tolérant l'intolérable, il n'était plus question pour eux de s'insurger face aux vagues migratoires incontrôlées et non choisies. Pis encore, dans leurs petits esprits étriqués de gauchistes, celui qui s'en insurgeait devenait un vilain facho, caricaturalement assimilé à un adorateur du IIIᵉ Reich[2].
Aujourd'hui, dans cette situation de pré-guerre civile, l'urgence est avant tout de comprendre les dangers auxquels nous sommes exposés. Ce qui est arrivé devait se produire. Ce n'était qu'une question de temps. Récemment, les commandes massives de blindés de gendarmerie « centaures » équipés d'un tourelleau téléopéré, sur lequel se situe une AANF1 7.62 x 51 mm (arme de guerre), ou encore la grande campagne de rappel des armes détenues illégalement, constituent un faisceau d'indices qui ne peuvent qu'abonder dans le sens de mes propos.
Ces dispositions font d'une pierre, deux coups. Elles ont, en premier lieu, vocation à faire face aux risques d'émergence d'un mouvement social spontané type « gilets jaunes ». Ce risque est redouté, parce que hors de contrôle s'il est un jour organisé et structuré. Mais, elles ont aussi potentiellement vocation à participer à une opération de purge, conséquence d'un embrasement erratique parfaitement anticipable et attendu des cités, puis, par effet domino, de la population ancrée politiquement à gauche. Attendu, parce qu'il y existe des accointances puissantes entre les mafias qui tiennent ces quartiers et l'état profond, ainsi que ses services de renseignements, le tout, intégrant le maillage de la franc-maçonnerie qui chapeaute une extrême gauche prête à instrumentaliser politiquement les émeutes et à rallier les cités avec ses « antifas » aux ordres. Les racailles sont les idiots utiles d'un système ambivalent qui a posé tous les jalons nécessaires à leur révolte, et dans le même temps, tous les jalons nécessaires à leur détestation.
Cela avec pour objectif, de la part de la gouvernance, de reprendre le contrôle par la force dans un premier temps, puis dans un second, d'instaurer un contrôle intégral de la population et de nouveaux moyens numériques en guise de verrouillage définitif. Ces moyens seront acceptés par les masses parce qu'ils s'imposeront comme l'alternative indispensable à la sortie du chaos.
Affaire Nahel : les origines...
Hier soir, j’ai pu voir le film « Sound of Freedom », sorti récemment, dans un cinéma local qui, étonnamment, affichait complet pour une séance du lundi soir, plus d’une semaine après la sortie du film.
Le film met en scène Jim Caviezel dans le rôle de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure qui a été affecté au groupe de travail sur les crimes contre les enfants sur Internet (ICAC) et a créé sa propre organisation, Operation Underground Railroad, une association à but non lucratif qui se consacre au sauvetage des enfants victimes de la traite des êtres humains. La production de ce film aurait commencé il y a plus de 5 ans, et depuis au moins 2021, j’ai vu de nombreuses interviews et articles sur Jim Caviezel parlant de ce film ainsi que de sujets tels que l’adrénochrome, les abus rituels sataniques, le prélèvement d’organes, et d’autres sujets sombres que nous avons couverts pendant la majeure partie d’une décennie ici à Health Impact News. Bien qu’il s’agisse d’un bon film que je recommande à tous de regarder s’ils en ont l’occasion, sachez qu’aucun de ces sujets sombres n’est abordé dans ce film, et qu’il n’y a pas non plus de véritable appel à l’action avec des conseils pratiques sur la façon de mettre fin au trafic d’enfants. Alors que j’étais sur le point de quitter la salle au moment où le générique commençait à défiler, l’écran a affiché un chronomètre indiquant qu’il y avait un « message spécial » de Jim Caviezel après le générique. Ah, c’est peut-être là que Caviezel va aborder ces autres sujets, me suis-je dit, et donner des conseils pratiques sur la manière de mettre fin à tout cela. Mais il ne l’a pas fait. Le seul « appel à l’action » consistait à inciter un plus grand nombre de personnes à voir le film, en leur donnant la possibilité de scanner un code QR et de faire un don pour que d’autres puissent voir le film s’ils n’en ont pas les moyens.
L’enquête a révélé un paradoxe en matière de protection de la vie privée. Alors que 72% des personnes interrogées reconnaissent les risques associés au partage de données personnelles en ligne, seules 48% déclarent prendre des mesures actives pour protéger leurs données.
Pour remédier à cette situation, Stephen Kho, expert en cybersécurité, a souligné l’efficacité des réseaux privés virtuels (VPN) pour préserver la vie privée en ligne. Il a souligné qu’un VPN peut dissimuler les adresses IP des utilisateurs aux yeux indiscrets, notamment des gouvernements, des pirates informatiques et d’autres fouineurs sur l’internet.
M. Kho a également souligné la vulnérabilité associée à la connexion aux réseaux Wi-Fi publics. Les pirates peuvent facilement espionner les activités des utilisateurs dans des lieux tels que les cafés et les aéroports. À cet égard, les VPN agissent comme un bouclier protecteur, garantissant que toutes les actions en ligne restent cachées et à l’abri des menaces potentielles.
En plus de bloquer les regards indiscrets, les VPN protègent également les utilisateurs des sites web qui suivent les habitudes de navigation.
M. Kho souligne que si les VPN constituent un outil précieux pour la protection de la vie privée, les individus doivent rester vigilants face aux escroqueries par hameçonnage et aux attaques de logiciels malveillants. La mise à jour des logiciels et l’utilisation d’antivirus et de logiciels malveillants réputés sont des pratiques essentielles pour une sécurité en ligne complète.
L’enquête a révélé que seulement 13 % des personnes interrogées se sont tournées vers les VPN pour améliorer la protection de la vie privée. Toutefois, l’utilisation des VPN a connu une augmentation notable dans la tranche d’âge des 18-24 ans.
Vous pensez peut-être que votre téléphone est un outil de communication, de divertissement et de productivité, mais c’est aussi une porte d’entrée pour les autorités qui veulent vous espionner. En effet, la France n’est pas le seul pays à avoir adopté une loi permettant à la police de prendre le contrôle à distance des appareils des suspects, avec accès aux caméras, aux microphones et aux données GPS.
Le ministre français de la Justice, Éric Dupond-Moretti, a salué l’adoption d’une nouvelle législation autorisant ce type d’espionnage pour une durée maximale de six mois, sur autorisation d’un juge, dans les cas où les peines encourues sont d’au moins cinq ans. « Nous sommes loin du totalitarisme de 1984 », a-t-il ajouté. « Des vies humaines seront sauvées ».
De toute évidence, le fait qu’un agent de la police ou du gouvernement pourrait pirater votre téléphone et observer avec désinvolture un flux en direct de votre vie ressemble à l’invasion la plus obscène de la vie privée. Et clairement, cela ouvre la porte à des abus occasionnels des libertés civiles par des personnes en position de pouvoir, ainsi qu’à des abus plus ciblés de ce pouvoir par des acteurs de mauvaise foi.
Mais cette pratique est loin d’être nouvelle, encore moins d’être rare. En 2006, avant la sortie du premier iPhone, le FBI américain activait à distance les microphones des téléphones portables (même avec les téléphones éteints) et écoutait les suspects, en toute légalité. À l’époque, vous pouviez encore retirer les piles de nombreux téléphones. Maintenant, pas tellement.
Des problématiques plus que jamais d’actualité puisque le gouvernement français met en place des outils légaux de surveillance numérique ! Mr Mondialisation s’est entretenu avec l‘informaticien derrière /e/OS, Gaël Duval, spécialiste de l’Open Source, président-fondateur de la eFoundation et de Murena. Décryptage de cette solution simple et pratique.
On savait déjà que les données personnelles des internautes intéressaient les géants du net pour être exploitées à des fins publicitaires, revendues à des entreprises ou même orienter des votes comme l’a montré le scandale Facebook-Cambridge Analytica. Aucune donnée laissée en ligne n’est anodine que ce soit nos goûts personnels ou celles plus sensibles comme notre santé. Toutes les informations récoltées sur un individu permettent de le classer à des fins commerciales, comme Vincent Coquaz, réalisateur d’Un Monde 5 Etoiles, l’expliquait chez Soif de Sens.
Surveiller l’opposition politique
Les objets connectés ne sont pas qu’au service du capitalisme. Ils peuvent aussi être efficaces lors de mobilisations populaires, et ainsi, mettre en danger le pouvoir en place. C’est en tout cas bien ce qu’Emmanuel Macron à sous-entendu à propos des révoltes populaires qui ont suivi la mort par balle du jeune Nahel : Il en est venu à imaginer une possible censure des réseaux sociaux en les « régulant ou les coupant ».
Mais le chef de l’État et le gouvernement n’ont pas attendu ces évènements pour s’intéresser à notre vie connectée. Sous couvert de préserver la sécurité nationale, il met en place des outils de surveillance numérique comme l’activation à distance des appareils électroniques prévue dans la loi Orientation et programmation du ministère de la Justice 2023-2027 qui vient d’être votée à l’Assemblée Nationale.
Une mesure dénoncée dès son examen au Sénat par la Quadrature du Net qui redoute à raison que son utilisation ne se cantonne pas au terrorisme ou au crime organisé mais serve aussi contre des militants en particulier écologistes. Les Jeux Olympiques 2024 deviennent le prétexte pour autoriser la reconnaissance biométrique, ouvrant la voie à une société de surveillance de masse.
Se protéger devient suspect
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Tout aussi alarmant, il devient même suspect de se protéger en ayant recours à des outils de chiffrement numérique ou de refuser l’exploitation de nos données.
Concernant l’affaire du 8 décembre mettant en cause sept personnes pour « association de malfaiteurs terroristes », la DGSI (Direction générale de la Sécurité intérieure) a ainsi relevé que : « Tous les membres contactés adoptaient un comportement clandestin, avec une sécurité accrue des moyens de communications (applications cryptées, système d’exploitation Tails, protocole TOR permettant de naviguer de manière anonyme sur internet et wifi public). »
L’utilisation de WhatsApp, de ProtonMail, d’un VPN, de Tor… sont passibles de justifier l’existence d’un projet criminel comme l’alerte la Quadrature du Net dans son article dédié à cette affaire. Et dans cette liste de comportements en ligne « suspects » on retrouve également le système d’exploitation /e/OS, développé par Gaël Duval.
Bruce Schneier est technologue de l’intérêt public, travaillant à l’intersection de la sécurité, de la technologie et des personnes.
Selon lui, la police utilise déjà les images des voitures autonomes comme preuves vidéo. Voici le recueil de sa publication.
Alors que les caméras de sécurité sont monnaie courante dans les villes américaines, les voitures autonomes représentent une nouvelle possibilité d’accès pour les forces de l’ordre et une nouvelle méthode d’empiètement sur la vie privée, affirment des défenseurs des droits de l’homme. En sillonnant la ville sur leurs itinéraires, les voitures autonomes captent un plus grand nombre d’images. Et il est plus facile pour les forces de l’ordre de s’adresser à une entreprise disposant d’un vaste répertoire de vidéos et d’une équipe d’intervention spécialisée que de contacter toutes les entreprises d’un quartier dotées de systèmes de sécurité.
« Nous savons depuis longtemps qu’il s’agit essentiellement de caméras de surveillance sur roues »
Pouvoir activer à distance un smartphone, un ordinateur portable ou tout objet connecté afin de voir et entendre leurs propriétaires ne relève plus de la dystopie. Après le Sénat, c’est au tour de l’Assemblée nationale d’approuver la possibilité d’activer à distance les caméras et les micros de ces appareils du quotidien.
Le but est de pouvoir écouter et filmer des personnes visées dans des enquêtes de criminalité organisée et de terrorisme. Il s’agit d’un article-clé du projet de loi de programmation pour la justice.
Si certains y voient une grave atteinte à l’intimité et à la vie privée des utilisateurs, ces mesures ne devraient être prises que dans des cas très précis. Afin, justement, d’éviter tout débordement. Cet article-clé a mis d’accord 80 députés tandis que 24 élus se sont dit contre.
Alors que cette semaine marque le dixième anniversaire de la divulgation par le lanceur d’alerte Edward Snowden à des journalistes d’informations sur l’espionnage généralisé pratiqué par les agences américaines et britanniques, l’ancien contractant de la National Security Agency s’est joint jeudi à d’autres défenseurs des droits de l’homme pour avertir que la lutte pour le droit à la vie privée, bien qu’elle ait fait plusieurs avancées au cours de la dernière décennie, est devenue plus difficile en raison des changements majeurs intervenus dans le domaine de la technologie.
Snowden a déclaré que l’avènement de produits de surveillance disponibles dans le commerce, tels que les caméras Ring, le logiciel espion Pegasus et la technologie de reconnaissance faciale, a posé de nouveaux dangers.
« Nous faisions confiance au gouvernement pour ne pas nous tromper. Mais ils l’ont fait. Nous faisions confiance aux entreprises technologiques pour qu’elles ne profitent pas de nous. Mais elles l’ont fait. Cela va se reproduire, parce que c’est la nature même du pouvoir »