Des médecins en Italie ont étudié le sang de patients qui avaient reçu une injection de vaccins à ARNm COVID-19 et ont trouvé des corps étrangers longtemps après la vaccination, selon étude récente.
Les trois médecins et chirurgiens, Franco Giovannini, MD, Riccardo Benzi Cipelli, MD et Giampaolo Pisano, MD, ont examiné le sang fraîchement prélevé de plus d’un millier de patients en utilisant l’observation directe au microscope pour observer ce qui se produit dans le sang.
Après l’alerte initiale des espagnols de la Quinta Columna c’est enfin un labo anglais qui confirme la présence non déclarée de graphène dans les « toxins ».
Presque en fin d’article lien d’une une revue indépendante qui démontre la toxicité du graphène.
Les vaccins Covid-19 ont fait l’objet d’un examen médico-légal au Royaume-Uni et un rapport de laboratoire confirme qu’ils contiennent des nanomatériaux de graphène, qui peuvent pénétrer les barrières naturelles de l’organisme et endommager le système nerveux central, et de l’oxyde de graphène qui peut endommager les organes internes, endomager le sang, déclencher un cancer et provoquer des mutations génétiques, parmi nombre d’autres effets délétères.
Une analyse plus approfondie du Dr Phillipe van Welbergen conclue que le graphène se transmet des vaccinés aux non vaccinés, pouvant détruire les globules rouges et provoquer des caillots sanguins.
- Un vaccin efficace doit ralentir la progression des décès, mais ce n’est pas le cas pour les vaccins « COVID ».
- L’absence d’efficacité est visible à tous les niveaux, de mondial à une classe d’âge en France.
- Les vaccins ne ralentissent pas l’apparition de nouveaux décès mais ils auraient même tendance à l’accélérer.
La première est une maladie grave. Ce n’est pas vraiment le cas pour la COVID puisque les taux de létalité sont, au pire, comparables à ceux de la grippe, et souvent inférieurs, notamment pour les populations de moins de 75 ans.
La deuxième est évidemment l’efficacité du vaccin.
Pour évaluer l’efficacité d’un vaccin, plusieurs méthodes sont possibles comme le calcul de l’efficacité vaccinale (VE). Mais pour faire de tels calculs, il faut connaître la proportion de la population qui est vaccinée mais surtout le statut vaccinal des gens décédés ou hospitalisés en raison du COVID.
Au contraire, les cancers précoces constituent une menace croissante pour la population mondiale, selon un nouveau rapport publié cette semaine dans la revue Nature Reviews Clinical Oncology.
« Au cours des dernières décennies, l’incidence des cancers précoces, souvent définis comme des cancers diagnostiqués chez des adultes de moins de 50 ans… a augmenté dans de nombreux pays », ont constaté les auteurs de l’étude.
Si les auteurs admettent que l’accès accru aux dépistages a contribué à cette hausse, ils affirment que l’exposition précoce à des produits chimiques nocifs, parfois même in-utero, contribue probablement à l’augmentation des taux de cancer. Le coupable, selon eux, est que l’environnement humain a considérablement changé au cours du siècle dernier et que, combiné à des modifications du régime alimentaire, du mode de vie et du microbiome, la cause de cette hausse pourrait bien être la civilisation elle-même.
A côté des ré-étiquetages multiples des maladies respiratoires habituelles il y a toutes les fraudes des médecins générées par les incitations financières au ré-étiquetage y compris lorsqu’il ne s’agissait pas d’affections respiratoires ou carrément d’assassinats (Rivotril, sur ordonnance ministérielle) ou soins inadaptés promus par les labos (Remdésivir etc…).
Natalité : « Une baisse significative des naissances caractérise le premier semestre 2022. Dans 15 pays, cette baisse est supérieure à 4%, et dans 7 pays, supérieure à 10%. »
Est-elle liée aux campagnes de vaccination covid ? « Une corrélation négative significative entre la baisse des taux de natalité et la fréquence des vaccinations est constatée dans 14 des 18 pays ». Attention : rho de Spearman = basé sur le rang, pas sur les données chiffrées.
Le cas de la Suisse est l’une des plus spectaculaires. La baisse de la natalité y est massive, et intervient dans une période qui correspond très bien à la vaccination des femmes en âge de procréer avec un décalage de 9 mois.
Les conclusions du gouvernement britannique ont été révélées dans un rapport détaillé du ministère de la Santé et des Affaires sociales du pays, intitulé "Summary of the Public Assessment Report for COVID-19 Vaccine Pfizer/BioNTech", mis à jour le 16 août. Le document a été publié par l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du gouvernement.
La section "Conclusions sur la toxicité" du rapport explique pourquoi le ministère recommande de ne pas administrer le vaccin aux femmes enceintes et allaitantes.
Signe supplémentaire que le programme de vaccination contre le covid des institutions mondialistes n’a pas eu le succès escompté, la Fondation Rockefeller a révélé qu’elle (ainsi que d’autres organisations à but non lucratif) a injecté des millions de dollars dans un projet de science comportementale visant à comprendre pourquoi de grands groupes de personnes dans le monde refusent de se faire vacciner.
« Suite à la caractérisation des informations sanitaires inexactes par L’Administrateur de la Santé des États-Unis comme une « menace urgente » et par l’Organisation mondiale de la santé comme une « infodémie », le SSRC a lancé un appel à propositions pour contrer les menaces mondiales croissantes que représentent les informations erronées et la désinformation en matière de santé publique et les faibles taux de vaccination contre le covid-19, et a reçu près de 200 soumissions du monde entier.
…Avec la prévalence et l’évolution rapide du Covid-19 partout dans le monde, il existe un besoin urgent d’identifier les interventions ayant le potentiel d’augmenter le taux de vaccination. »
Parce que les décès excédentaires (par rapport aux moyennes annuelles) sont très difficiles à cacher pour les gouvernements, ces décès excédentaires apparaissent comme la preuve incontestable qu’ils sont dus aux « vaccins » Covid.
Steve Kirsch estime qu’une personne est actuellement décédée à cause des vaccins pour 1 000 doses administrées. Or, les chiffres officiels britanniques montrent qu’en réalité, ce sont plus de 2 personnes sur 1000 qui meurent dans le mois qui suit leur vaccination covid.
Le Dr Philippe montre que des Non-Vaxxinés sont contaminés par le graphène, et il attribue cette contamination par la proximité des Vaxxinés qui émettent du graphène, mais il y a d’autres sources de graphène comme dans les masques chirurgicaux, les tests PCR, les Gels hydroalcooliques… ou même les chemtrail qui apportent du graphène !
Dans sa dernière série de lames d’échantillons de sang prélevés à la fois sur des personnes « vaccinées » et non vaccinées, le Dr Philippe van Welbergen a démontré que le graphène injecté aux personnes s’organise et se développe en fibres et structures plus grandes, acquérant des propriétés magnétiques ou une charge électrique et les fibres montrent des indications de structures plus complexes avec des stries.
Il a également démontré que des « éclats » de graphène sont transmis de personnes « vaccinées » à des personnes non vaccinées ou non vaccinées, détruisant leurs globules rouges et provoquant des caillots sanguins chez les personnes non vaccinées.
Nous avions convenu dans un précédent entretien avec Vincent Pavan, président de cette seconde association, que nous suivrons leur méthode afin de comprendre en quoi leur message « Un accident cardiovasculaire pour 100 injections (ou myocardite, péricardite, angio-œdème…). La santé de nos enfants vaut plus que des vaccins expérimentaux » est pertinent. Également membre du Conseil scientifique indépendant, Emmanuelle Darles l'accompagne pour détailler leur calcul à l’occasion de ce débriefing.
Jérémie Mercier : Est-ce que la spike se transmet sexuellement d’un vacciné à un non vacciné ?
Docteur Benoit Ochs : Obligatoirement oui. Pourquoi ? J’ai la chance d’avoir Hervé Seligmann qui est avec moi et qui a fait une étude justement sur la transmission de la spike et qui essaye de regarder si il y a une corrélation entre la vaccination et les les infections et la transmission des infections. Il est probable qu’il y est une contagiosité. Mais de toute façon sur la plan sexuel les spermatozoïdes peuvent obligatoirement transporter la spike et les cellules de Sertoli, qui sont des cellules très très importantes, peuvent transporter la spike mais peuvent transporter l’ARN qui est transmis par le vaccin.