La loi du 11 septembre 1941 du gouvernement de Vichy supprime le métier d’herboriste, au profit de la création d’un Ordre des Pharmaciens à qui est confié le monopole de la vente et du conseil en matière de plantes. Seuls les pharmaciens peuvent vendre les 148 plantes médicinales qu’on trouve sur le site de l’ANSM — sur les 546 inscrites à la pharmacopée française — et donner des conseils de santé. Des pharmaciens accusés d’exercice illégal de la pharmacie
Une ordonnance du 1er septembre 1945 autorise les herboristes diplômés d’avant 1941 à continuer exercer leur métier. Les structures mises en place par Pétain demeurent les mêmes à la Libération. L’Ordre des Pharmaciens n’a pas hésité une seconde à porter plainte pour « exercice illégal de la pharmacie » (2 ans de prison, 30 000 € d’amende) contre des propriétaires d’herboristeries qui étaient pharmaciens ! L’artémisia annua, la grande oubliée (en France)
L’ANSM présente sur son site la liste des plantes aux effets indésirables supérieurs aux bénéfices thérapeutiques. L’artémisia annua utilisée depuis 2 000 ans en Chine, à Madagascar contre le paludisme et en prévention du Covid-19, n’y figure pas. Pas plus que dans la liste des plantes aux effets bénéfiques. Oubliée, tout simplement.
En Belgique, où la profession d’herboriste est pleinement reconnue et le commerce des plantes autorisé — mais pas en vrac —, l’arrêté royal plantes range l’artemisia annua dans les plantes dangereuses (page 6). Nos amis belges ne l’ont donc pas oubliée, eux. Mais pour la dénigrer. Pas d’études de phytothérapie pour les pharmaciens
Rien sur les plantes médicinales n’est prévu dans le cursus des six années de pharmacie en France. Cela n’empêche pas les pharmaciens d’en vendre. Mais seulement les 148 plantes considérées par l’ANSM comme ayant des propriétés médicinales et sur lesquelles ils ont l’autorisation de donner des conseils de santé. Demandez donc à un pharmacien si les champignons que vous avez ramassés sont comestibles. C’est un test. Ils n’en savent pas plus que vous. Des formations, mais pas reconnues par un diplôme d’État
Il existe une formation en phytothérapie, à l’université (80 à 100 heures pour 1 400 €). Elle est ouverte aux médecins, pharmaciens, chirurgiens-dentistes, vétérinaires, sage-femmes, masseur-kinésithérapeutes, ostéopathes. D’autres formations, privées celles-là, organisées par la Fédération Française des Écoles d’Herboristerie coûtent 2 000 à 3 000 €. De toute façon, les pharmaciens gardent le monopole de la vente et du conseil. Les herboristeries ne sont pas interdites. On pourra vous y vendre du thym comme tisane alimentaire, mais on ne pourra pas vous dire qu’il est intéressant pour soigner votre toux. Le Sénat en plein conflit d’intérêts
Un sénateur écolo, pour redonner aux herboristes la possibilité de donner des conseils de santé, a créé une mission en 2018. La présidence en a été confiée à… une pharmacienne. Sans grande surprise, en 2020 la réponse du ministère a été négative : toujours aucun diplôme d’État d’herboriste et question renvoyée aux instances européennes. La phytothérapie : un marché en plein essor
La taille du marché mondial de la phytothérapie a été évaluée à 84,5 milliards de dollars en 2019 et le chiffre d’affaires devrait croître de 20,5 %. Le coût relativement faible de ces produits et leur valeur ajoutée pour les clients sont les principaux facteurs de développement du marché, nous disent les laboratoires. Traduction : ça coûte pas cher et ça peut rapporter gros. Nombreux sont les laboratoires qui s’y intéressent. Covid-19 : une solution « clé en main » à base de plantes
La société franco-canadienne Angany s’est alliée avec l’Américain Phylloceuticals pour proposer « une solution clé en main ». On est très loin de la vente de plantes en vrac, vous allez voir. Angany isole au printemps dernier les anticorps de patients infectés par le coronavirus, afin de les reproduire dans des plantes. Les plantes reçoivent un gène identifié puis incubent. Ces végétaux sont ensuite broyés et le jus est filtré, purifié et « concentré pour extraire les anticorps ». Tout naturellement. On n’en est qu’aux essais. Depuis ces recherches « prometteuses », l’entreprise a dû fermer ses portes, juste au moment où elle allait presque trouver le vaccin contre l’allergie aux chats.
Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.
Conclusion : soigner par les plantes, c’est bien à condition que ce soit Big Pharma et les pharmaciens qui en profitent. Quant aux plantes sur lesquelles planchent les laboratoires pour élaborer des traitements, ce sont des OGM, tout naturellement.
« Antoine Prioux et Eliza Castagné, un couple de pharmaciens basés en Corrèze, ont été condamnés à une interdiction d’exercer de six mois, dont quatre avec sursis, pour avoir délivré des médicaments à l’unité en dehors du cadre réglementaire. »
Une manière de travailler stupide et des règles crétines imposées par les « ordres » ou les ARS ou les gouvernements !
« Aujourd’hui, le modèle économique de la pharmacie est contre-productif. Plus les gens sont malades, consomment ou gaspillent des médicaments, plus on gagne d’argent », dénonce le pharmacien.
Antoine Prioux est en colère. Le pharmacien a été condamné, avec sa femme et collègue Eliza Castagné, à six mois d’interdiction d’exercer, dont quatre avec sursis, par le Conseil régional de l’Ordre des Pharmaciens de Nouvelle-Aquitaine le 30 avril. La cause ? Avoir délivré des médicaments à l’unité en dehors du cadre réglementaire.
Depuis une pénurie de Prednisolone, un dérivé de la cortisone, en 2019, le couple de pharmaciens, ayant chacun une officine en Corrèze, a choisi de recourir, dans certains cas, à une délivrance à l’unité. « Dans les pathologies aiguës, les médecins prescrivent souvent trois comprimés de Prednisolone par jour pendant trois jours. La moitié de la boîte va donc finir à la poubelle alors que je n’en reçois que trois par semaine, et donc que certains malades n’y auront pas accès. »
Pour contourner le problème, Antoine Prioux et sa femme rusent : ils découpent le blister contenant les médicaments pour ne donner que le nombre exact de cachets prescrits par le médecin. Ils conservent l’autre partie, y notent le numéro de lot et la date de péremption, puis la donnent au prochain client ayant une prescription. « Il n’y a aucun enrichissement personnel », insiste le pharmacien, qui le fait en dehors du chemin classique via la Sécu.
En 2020, le couple élargit sa technique à d’autres classes de médicaments, « mais beaucoup plus rarement », tient à préciser Antoine Prioux. « On a commencé à le faire avec les antibiotiques pour lutter contre l’antibiorésistance. Puis avec les anxiolytiques, somnifères et antalgiques opioïdes, comme le Tramadol, qui donnent lieu à des risques d’addiction ou de troubles cognitifs. »
Résister, transgresser, pour faire évoluer les choses ! « Toutes les avancées sont d’abord des formes de résistance »
« Evidemment, en ayant recours à cette combine, Antoine est en dehors des clous. Et il le sait très bien. « On revendique le fait de ne pas être dans le cadre légal mais on l’argumente. Aujourd’hui, le modèle économique de la pharmacie est contre-productif. Plus les gens sont malades, consomment ou gaspillent des médicaments, plus on gagne d’argent. On n’en peut plus de ce système. Alors on met des choses en place. Toutes les avancées sont d’abord des formes de résistance. »
La réglementation française n’autorise que dans certains cas bien précis la dispensation à l’unité des médicaments, comme les antibiotiques, notamment au gré des différentes pénuries. Dernièrement, l’ANSM a demandé aux pharmaciens de recourir à la délivrance à l’unité d’un antipsychotique, la Quétiapine, en rupture depuis février. « Cela montre bien que ça a un intérêt considérable », appuie Antoine Prioux. »
« Cette condamnation nous met en colère car ça fait des années qu’on essaie de travailler avec le Conseil de l’Ordre sur des dispositifs innovants et qu’on obtient des fins de non-recevoir. Il faut en arriver à une forme de désobéissance civile pour que tout le monde trouve la situation scandaleuse. » Le pharmacien s’étonne d’injonctions paradoxales. Alors qu’il se trouvait en chambre disciplinaire, au même moment, l’Ordre des pharmaciens relayait la campagne de l’ANSM expliquant que les Français consomment des anxiolytiques et des somnifères sur une trop longue durée.
Les « ordres » font respecter les règles… ils en sont les gardiens !
Et c’est bien le problème.
Nous sommes dans un monde qui bouge et qui va vite.
Nous sommes dans un monde devenu bien plus complexe qu’autrefois où ces ordres ont été créés.
Nos moyens évoluent à la hausse ou à la baisse. Nous produisions nos médicaments, maintenant nous importons tout ou presque, et comme nous ne voulons pas payer le prix fort, nous subissons des pénuries et des absences de livraison ! Résultat, nous manquons de tout mais nous appliquons les mêmes règles qu’autrefois.
C’est la même chose avec les médecins. Les profs demandent toujours des certificats médicaux pour justifier l’absence d’un élève et il n’y a pas de médecin. Le temps d’avoir un RDV un mois plus tard, votre gamin est soit mort soit totalement guéri ce qui est généralement heureusement le cas.
Quand vous arrivez aux urgences dans un hôpital c’est une infirmière ou un infirmier qui regarde si vous avez l’air d’un mourant urgent ou d’un mourant qui peut attendre. Cette première « orientation » vitale par nature est rarement faite par un médecin. Mais une fois enregistré, une infirmière ne peut pas décider d’une radio à faire passer à un gosse qui s’est tordu la cheville. Il faut attendre 8 heures le médecin puisqu’une blessure à la pâte n’est pas urgente… ce qui est vrai.
Bref, nous appliquons des règles de temps de prospérité à des temps de disettes !
Et cela évidemment ne fonctionne pas.
Toutes nos institutions manquent d’agilité.
De flexibilité.
Et d’une recherche systématique de la simplicité préalable à l’efficacité.
C’est pour cette raison que notre effondrement est en cours et que nous serions bien incapables de gagner une guerre contre la Russie et même contre nos propres narco-trafiquants !
Gérer les pénuries en donnant les médicaments à l’unité est une excellente idée.
Pas légale dans la législation actuelle datant des temps de prospérité mais une idée tout de même excellente.
Ce n’est pas ces pharmaciens qu’il faut condamner.
Ce sont les règles de temps de prospérité qu’il faut vite adapter aux temps de disette.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
Singapour est intéressant (5,91 millions d’habitants, tous citadins par définition).
Why ?
Une société très riche (la Suisse de l’Asie du Sud-Est) et organisée au cordeau, propre et OBÉISSANTE.
L’ordre règne à Singapour.
Autre particularité : c’est un melting pot ethnique et religieux. Du malais, du chinois, du blanc, de l’indien. Mais tous se tiennent à carreau, car les systèmes policier et judiciaire sont… performants. Et impitoyables.
Un graffiti sur un mur, un chewing-gum ou un mégot de cigarette jeté au sol et c’est une amende salée immédiate voire des coups de canne (eh oui, une de leur spécialité héritée des british !).
Donc une société ultra sécurisée.
Personne ne s’amuse à foutre le bordel. Personne ne s’avise à emmerder le monde. Brûler des voitures, violer des femmes dans la rue, poignarder des passants… ça n’existe pas. Fin de la parenthèse (qui devrait faire office de recette pour les débiles mentaux européens, mais bien entendu ils sont incapables de comprendre).
Donc une plaque tournante à la fois d’hommes et de pognon en Asie… C’est une fenêtre extraordinaire sur le «Covid». Ainsi que sur les injections «Covid». À la différence des autres pays de la région, Singapour a pu s’offrir… les poisons ARNm (en Thaïlande, Pfizer était réservé exclusivement aux très riches).
Voici son graphique et ensuite je colle le mien. Elle travaille sur 12 mois glissants (sommes des décès de mars 2025 à avril 2024, et ainsi de suite).
Moi, je suis plus psychorigide, je compare le premier trimestre 2025, au premier trimestre 2024, etc.
Première constatation
Elle est fondamentale et elle s’applique à TOUS LES PAYS DE LA RÉGION : il ne s’est RIEN PASSÉ en 2020.
Oui bien sûr, de l’hystérie, des mesures absurdes, de la peur délibérément entretenue… Sans oublier quelques vieillards déjà malades achevés avec de la ventilation mécanique (préconisée par la Chine). Mais aucune «pandémie» tuant femmes, enfants, nourrissons, chats, chiens et oiseaux.
Je répète : PEAU DE BALLE.
Ça la fout mal pour une «pandémie» épouvantablement horrible… Personne n’a osé reconnaître ce fait extravagant et encore moins apporter une ou des explications satisfaisantes…
Deuxième constatation
On voit que jusqu’en 2020, les décès suivent une courbe ascendante régulière. La population vieillit de manière pépère, donc mécaniquement, davantage de Singapouriens décèdent, chaque année.
C’est parfaitement normal. La mort étant le principal effet secondaire délétère… de l’âge.
En revanche, on voit clairement le «changement de vitesse»… à partir de 2021.
Cela se voit comme une tumeur qui clignote sur un nez aviné.
Que s’est-il passé en 2021 ? Une éclipse du soleil ? Les ondes négatives du méchant Poutine et de Orange Man Bad ? Le réchauffement climatique ? Ou alors les Singapouriens se sont tous mis à manger du McDonald et à fumer 2 paquets de Gitane par jour, tout en sniffant le pot d’échappement de leurs véhicules diesel ?
Non. Ne rêvez pas.
Le seul VÉRITABLE changement ponctuel, factuel et très large : les injections ARNm (1 et 2 doses en 2021 et le booster fin 2021 ou début 2022).
Singapour a massivement injecté : fin novembre 2021, 85% de la population avaient reçu 2 doses (source officielle) !
Et Singapour a massivement utilisé Pfizer et Moderna. Le produit chinois ne pèse que 4,7% des injections totales. Ridicule (alors que comme je le disais, en Thaïlande, c’est l’inverse… on a eu principalement l’Astra Zeneca local, autre catastrophe, et 2 produits chinois).
Troisième constatation
...
Malgré les soi-disant « progrès » de la médecine, les maladies dites du progrès (diabète, obésité, maladies cardiovasculaires, Alzheimer…) explosent partout. Et pas qu’aux États-Unis. Là-bas, tant de gens sont métaboliquement déglingués (traduction : trop de gros), que la réponse est rapide et violente : retour de l’alimentation cétogène dans les hôpitaux (notamment pour les épilepsies, cancers, et obésité morbide), nomination de RFK Jr. à la Santé, ambiance « on reprend le contrôle ».
Et la France dans tout ça ? On continue à bouffer comme si de rien n’était, à croire que les céréales du matin et la baguette sont le pinacle de l’évolution humaine.
Retour à l’aube de l’humanité
Petit rappel anthropologique : pendant 99,9 % de notre existence (c’est-à-dire depuis huit millions d’années que nos ancêtres pré-humains et humains évoluent), les repas ne ressemblaient pas du tout à celui des petits Français bien sages de 2025. À l’époque, c’était carcasses, tubercules, baies acides et éventuellement du miel si un fou grimpait dans un arbre au péril de sa vie. Par exemple, le matin, au p’tit déj, pas de lait UHT, pas de corn flakes ni de Miel Pops, pas de glucose- fructose.
Et la baguette dans tout ça ?
Produit phare, fierté nationale, totem sacré du repas français. On l’entend déjà : « Mais le pain c’est ancestral, donc c’est sain ! » Pas si vite, l’ami.
Premièrement, l’agriculture ne représente qu’une fraction minuscule de notre évolution (10 000 ans vs 8 millions d’années). Deuxièmement, le pain d’aujourd’hui n’a plus grand-chose à voir avec le pain d’antan. Nous sommes passés d’un pain au levain, fait avec des blés anciens (épeautre, amidonnier, engrain), à une baguette blanche, gonflée, molle, hyper raffinée, bourrée de pesticides, de résidus métalliques et d’additifs dont personne ne peut prononcer le nom. Bref : un aliment pas du tout « ancestral ».
Question subsidiaire : pourquoi il n’y a pas la liste des ingrédients du pain en boulangerie ? Pas d’étiquette, pas de scandale ?
La baguette, ce sucre déguisé
Une baguette classique, c’est environ 70 g de glucides, soit l’équivalent en sucre de quatre à cinq canettes de Coca-Cola (33 cl).
Oui, les types de sucres varient, mais l’effet glycémique est similaire, voire pire côté baguette :
• Index glycémique du Coca : 65
• Index glycémique de la baguette : entre 85 et 95
La charge glycémique de la baguette explose tous les compteurs !
Et ça, pour beaucoup de Français, c’est tous les jours ; matin, midi, soir, et parfois même au « quatre-heures ». Quelles conséquences métaboliques d’une consommation de pain blanc régulière ?
Résultat attendu : pic de sucre → pic d’insuline → fringale → re-sucre → fatigue → inflammation chronique → pré-diabète → diabète → jackpot (pour Big Pharma).
Alors, on fait quoi ?
Si vous êtes accro au pain, passez au pain au levain : fermentation plus lente, meilleure digestibilité, moindre impact glycémique. Et choisissez une farine bio, moulue sur meule de pierre, à base de blés anciens (épeautre, khorasan, etc.) : plus de nutriments, moins de polluants. Certains devront probablement faire plus de 100 km pour trouver un tel pain (réellement « ancestral » pour le coup).
Mais surtout : variez votre alimentation, votre corps mérite mieux que de la colle blanche industrielle à chaque repas.
🚨 NOUVELLE ÉTUDE – Les données de l’OMS révèlent une augmentation spectaculaire des décès dus au COVID-19 dans le monde après la vaccination de masse
📍 Les décès ont augmenté dans toutes les régions de l’OMS après le déploiement du vaccin
📍 Augmentation de 1275% des décès dans le Pacifique occidental après la vaccination de masse
📍 Les pics de mortalité les plus élevés sont observés dans les zones les plus fortement vaccinées
⚠️ La vaccination de masse contre le COVID-19 a non seulement complètement échoué, mais a considérablement aggravé la situation
De nombreux rapports sur l’impact de la vaccination sur les décès liés à la pandémie de COVID-19 étaient des projections réalisées alors que l’urgence mondiale se développait. Un nombre croissant de chercheurs indépendants ont attiré l’attention sur la nature subjective et les biais inhérents aux modèles mathématiques utilisés pour ces prévisions, qui pourraient compromettre leur exactitude lorsque la surmortalité était l’indicateur privilégié.
Objectif
Les décès dus à la COVID-19 ont été comparés entre les périodes pré-vaccinales et vaccinales afin d’observer l’impact de la vaccination sur la trajectoire des décès dus à la COVID-19 dans le monde entier pendant l’urgence pandémique.
Méthodes
Cas de COVID-19, décès et taux de vaccination dans la base de données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) jusqu’au 7 juin 2023, le taux de létalité pour 1000 pour la période pré-vaccinale (CFR1) et celui pendant la période de vaccination (CFR2) ont été comparés pour toutes les régions de l’OMS, tandis que les tests de corrélation entre le pourcentage de changement dans les décès dus au COVID-19 et les variables d’intérêt ont été examinés.
Résultats
Français Les décès dus à la COVID-19 ont augmenté avec une couverture vaccinale allant de 43,3 % (Afrique) à 1 275,0 % (Pacifique occidental). Les régions du Pacifique occidental (1,5 %) et de l’Afrique (3,8 %) ont contribué le moins aux décès cumulés mondiaux dus à la COVID-19 avant les vaccins, tandis que les Amériques (49,9 %) et l’Europe (27,6 %) ont enregistré les chiffres les plus élevés. Les Amériques (39,8 %) et l’Europe (34,1 %) ont représenté plus de 70 % des décès mondiaux dus à la COVID-19 malgré une vaccination élevée, et le pourcentage d’augmentation de la mortalité due à la COVID-19 et le pourcentage de personnes âgées de ≥ 65 ans étaient significativement corrélés (0,48) en Afrique.
Conclusion
La mortalité due à la COVID-19 a augmenté à l’ère de la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée.
Les personnes ayant reçu les vaccins contre le COVID-19 à ARNm pourraient présenter des sautes d’humeur et des déséquilibres hormonaux en raison des dommages causés à la glande pinéale par les protéines spike, affirme un chercheur de premier plan.
Fabio Zoffi, fondateur de Zero Spike, une organisation qui étudie la toxicité et la désintoxication des protéines spike, a décrit la découverte d’un pathologiste italien montrant que les protéines spike endommagent la glande pinéale, un organe de la taille d’un petit pois situé à l’intérieur du cerveau qui régule le sommeil, l’humeur et les hormones, provoquant ainsi des changements de personnalité erratiques chez les personnes vaccinées.
« Je voudrais ajouter un commentaire sur le changement de personnalité, la dépression et toutes ces choses », a déclaré Zoffi à un groupe de chercheurs lors d’une table ronde de la People’s Health Alliance en août 2023.
« C’est tout à fait réel. Et nous avons identifié les raisons de la théorie », a déclaré Zoffi, « et certains médecins en Italie ont, certains pathologistes ont confirmé que la protéine spike, malheureusement, attaque et détruit également le système endocrinien. C’est-à-dire les glandes qui produisent les hormones, et les hormones sont à l’origine de nos émotions, de nos sentiments et de toutes ces choses. »
Zoffi poursuit : « Un pathologiste italien de Venise a publié dans un journal que tous les cerveaux qu’il avait examinés, il avait trouvé la glande pinéale complètement détruite chez toutes les personnes qui avaient été vaccinées.
« Ainsi, la protéine spike est également très dangereuse pour le système endocrinien. C’est pourquoi les gens ont ces changements de personnalité. »
Au cours de la conversation, Zoffi a évoqué les résultats de tests de laboratoire montrant que la NAC (N-acétylcystéine) augmentée était très efficace – jusqu’à 99,8 % – pour aider à détoxifier les spike proteins.
C’est une excellente nouvelle pour tous ceux qui ont souffert de troubles de l’humeur après avoir été vaccinés, ou qui regrettent de l’avoir été.
L’endocrino-psychologie, concept développé par Jean du Chazaud à partir des travaux du Dr Jean Gautier (1891-1968) propose une lecture intégrée du fonctionnement humain, en analysant l’impact du système endocrinien sur les dynamiques psychiques et comportementales. Elle s’inscrit dans une perspective holistique, où les glandes endocrines influencent – sans déterminer – les fonctions cognitives, affectives et physiques.
Selon cette approche, le libre arbitre ne disparaît pas, mais il est conditionné par l’équilibre hormonal propre à chaque individu. Le Dr Gautier a ainsi identifié quatre grands types glandulaires, chacun corrélé à des caractéristiques psychologiques et somatiques spécifiques :
- L’hypophysaire : rationnel, réfléchi, organisé
- Le thyroïdien : sensible, vif, adaptable
- Le surrénalien : énergique, instinctif, orienté vers l’action
- Le génital interstitiel : équilibré, volontaire, altruiste
Ces profils ne sont pas exclusifs : chaque individu incarne un agencement particulier de ces quatre influences, comparables aux instruments d’un orchestre dont l’harmonie conditionne l’équilibre global.
L’endocrino-psychologie insiste sur le rôle du mode de vie dans le maintien de cet équilibre glandulaire. Ainsi, les facteurs environnementaux, émotionnels et comportementaux influencent directement la régulation hormonale, et par extension, les dynamiques de la pensée, de l’action et de la liberté intérieure.
Au Bon Sens vous propose d’approfondir la compréhension de ce subtil dialogue entre l’organique et le psychique par la lecture des ouvrages de Jean du Chazaud aux éditions Exuvie.
Le ministre de la Santé américain Robert Kennedy JR a lancé l'Opération Skywatch. Objectif : mettre fin aux épandages et poursuivre les responsables. La force opérationnelle a reçu l'autorisation légale de saisir des avions, d'arrêter des pilotes et d'assigner à comparaître les laboratoires et institutions responsables de la dispersion de produits chimiques. Pendant ce temps-là, en France, l'omerta continue à régner. Gouvernement, élus et surtout médias veillent à ridiculiser ceux qui s'inquiètent du danger d'empoisonnement.
Les poisons tombés du ciel
L’épandage d’aluminium, de baryum et de strontium sur des populations civiles n’est plus considéré comme une simple accusation, mais comme un acte de terrorisme environnemental. Selon des rapports de laboratoires indépendants, des régions des États-Unis présentent des niveaux élevés de métaux toxiques, compatibles avec une exposition à des produits chimiques aérosolisés. Parmi ces métaux figurent l’aluminium, le baryum et le strontium, tous liés à des lésions neurologiques, des maladies respiratoires et la destruction des sols.
Projets de loi contre les manipulations climatiques
La sénatrice républicaine de Floride Iliana Garcia vient de déposer un projet de loi contre la géo-ingénierie (donc les chemtrails). Le Tennessee (qui a voté Trump à 64,2 % en 2024) a adopté un projet de loi en 2024 qui interdit la géo-ingénierie et la modification du climat. Arizona, Kentucky, New Hampshire, Minnesota, Rhode Island, Pennsylvanie, Dakota du Sud, Mississippi, Utah, Wyoming, ont également déposé des projets de loi.
[...]
Dans cette nouvelle interview de notre journaliste Kate, le Dr Vincent Reliquet, médecin généraliste et auteur engagé, expose les limites imposées par les institutions médicales sur la pratique des professionnels de santé. Il met en lumière des solutions alternatives souvent ignorées, comme la vitamine C, la vitamine D et l’iode, tout en dénonçant les scandales liés aux recommandations officielles.
Le Dr Reliquet, spécialiste en hydrotomie et membre du comité médical de l’Association internationale de médecine scientifique indépendante, critique vivement l’influence des grandes firmes pharmaceutiques sur les pratiques médicales. Il souligne l’importance de la vitamine C, notamment dans le traitement du scorbut, une maladie qui fait un retour inquiétant en France, et déplore le manque d’informations sur les dosages nécessaires.
Il aborde également les vertus anticancéreuses de l’artémisinine, dérivée de l’armoise, et les obstacles politiques et économiques qui empêchent son utilisation. Enfin, il dénonce les carences en vitamine D et en iode, essentielles pour la santé, mais souvent négligées par les autorités sanitaires. Pour le Dr Reliquet, une médecine au service de l’humanité doit se libérer des intérêts financiers pour redécouvrir des traitements naturels et efficaces.
par le Dr Vernon Coleman
L’électricité est certainement plus dangereuse que vous ne le pensez. Si vous passez la plupart de votre temps à travailler avec ou à proximité d’un appareil électrique, si vous vivez ou travaillez à proximité d’une ligne d’alimentation électrique ou si vous passez vos journées à travailler avec des équipements électriques, les risques que vous développiez un cancer d’une sorte ou d’une autre augmentent considérablement.
En Amérique, où les gens ne votent avec leur portefeuille que lorsqu’ils croient vraiment à quelque chose, les prix des maisons situées à proximité des lignes de distribution d’électricité ont chuté d’un quart. Le doyen d’une école de santé publique a déclaré à propos de l’électricité que : «La situation actuelle est comparable à la corrélation entre le tabagisme et le cancer du poumon il y a 30 ans». Il a ajouté que, selon une estimation prudente, un tiers de tous les cancers infantiles sont causés par les champs électriques.
Une étude portant sur près de 500 enfants a montré que les enfants dont les mères utilisaient des couvertures électriques pendant leur grossesse avaient deux fois et demie plus de risques de développer des tumeurs cérébrales. Une étude portant sur près de 700 enfants a montré que les enfants qui vivaient dans des maisons situées à proximité de lignes de distribution d’électricité avaient deux ou trois fois plus de risques de mourir d’une leucémie ou d’une tumeur cérébrale. Des recherches menées dans une université américaine ont montré que les hommes qui travaillent comme électriciens ou ingénieurs en électricité sont dix fois plus susceptibles de développer certains types de tumeurs cérébrales. Des experts ont constaté que les employés d’une compagnie de téléphone qui travaillaient à proximité de lignes électriques avaient sept fois plus de risques de développer une leucémie. Et ainsi de suite.
En attendant, que pouvez-vous faire pour réduire vos risques – et ceux des membres de votre famille – d’être tué par des champs électriques ?
Voici quelques conseils simples.
N’installez pas de radios, répondeurs, horloges ou autres appareils électriques alimentés par le secteur à proximité de vous – sur votre bureau, dans la cuisine ou près de votre lit. Les appareils à piles sont probablement plus sûrs.
Ne vous asseyez pas à moins de deux pieds et demi ou trois pieds des côtés avant ou arrière d’un terminal d’affichage visuel d’un ordinateur ou d’un traitement de texte. Si vous êtes enceinte, essayez de vous tenir complètement à l’écart des terminaux à écran de visualisation. Une étude portant sur plus de 1500 femmes a montré que les femmes enceintes qui passent plus de 20 heures par semaine à travailler sur de tels terminaux ont beaucoup plus de chances de faire une fausse couche. Si l’école de votre enfant se trouve à moins de 150 mètres d’une ligne électrique importante, demandez aux autorités de tester les champs électriques dans les salles de classe, les cours de récréation et les terrains de sport.
Ne vous asseyez pas (et ne laissez pas vos enfants s’asseoir) à moins d’un mètre de votre téléviseur lorsqu’il est allumé. Les téléviseurs produisent des champs électriques potentiellement dangereux qui sont d’autant plus forts que l’on s’en rapproche.
Débranchez les couvertures électriques avant de vous mettre au lit.
Ne vous asseyez pas ou ne restez pas debout devant les appareils ménagers tels que les fours à micro-ondes lorsqu’ils sont allumés.
Essayez de ne pas vivre dans une maison située à moins de 150 mètres d’une grande ligne de distribution d’électricité. Je pense que cela est particulièrement important si vous avez des enfants en bas âge ou si vous êtes enceinte.
Ce qui précède est extrait du livre « What doctors won’t tell you about chemotherapy » (Ce que les médecins ne vous diront pas au sujet de la chimiothérapie) de Vernon Coleman.
Suite à la publication en août 2024 d’un rapport du gouvernement américain établissant un lien entre des niveaux plus élevés de fluorure dans l’eau potable et un QI plus faible chez les enfants, une nouvelle étude menée par les National Institutes of Health semble confirmer ces résultats.
La nouvelle analyse, publiée lundi dans JAMA Pediatrics, révèle que l’exposition au fluorure dépassant 1,5 milligramme par litre (mg/L) est associée à une diminution de l’intelligence chez les enfants.
L’étude, menée par le National Toxicology Program (NTP) des États-Unis, a duré neuf ans et constitue la plus grande méta-analyse réalisée à ce jour sur les effets du fluorure sur la santé.
Les études examinées ont mesuré les niveaux de fluorure dans l’eau potable et dans l’urine. Les auteurs ont utilisé le fluor urinaire comme indicateur de l’exposition totale au fluor.
74 études examinées
Parmi les 74 études examinées, 64 ont établi un lien entre des niveaux d’exposition au fluorure plus élevés et un QI plus faible chez les enfants. La force de cette association est considérée comme modérée à importante.
Trente et une études ont constaté une relation dose-réponse, c’est-à-dire qu’une augmentation des niveaux de fluorure dans l’eau de boisson était liée à une diminution supplémentaire des résultats de QI chez les enfants.
Toutefois, la relation entre le fluor et les résultats inférieurs en matière de QI ne persistait que lorsque les concentrations de fluor dans l’eau de boisson étaient supérieures à 1,5 mg/l, soit plus que la norme actuelle de 0,7 mg/l pour l’eau de boisson fluorée.
Le seuil de 1,5 mg/l est la même concentration que celle identifiée dans le rapport du NTP d’août 2024. Ce rapport a été cité plus de 120 fois dans un procès qui a conduit le tribunal à statuer que l’Environmental Protection Agency (EPA) devait réviser sa norme actuelle de 0,7 mg/L pour l’eau potable.
En évaluant le fluor urinaire, les chercheurs ont constaté que chaque augmentation de 1 mg/L de fluor urinaire était associée à une diminution moyenne de 1,14 à 1,63 point de QI.
Le fluorure peut traverser la barrière hémato-encéphalique et s’accumuler dans les zones du cerveau responsables de la cognition et de la mémoire, bien que ses effets sur le cerveau ne soient pas encore clairs.
Les résultats de l’étude éclairent les futures évaluations des risques et des avantages liés à l’exposition au fluorure, écrivent les auteurs, en soulignant notamment la contribution significative de l’eau et des boissons fabriquées avec de l’eau fluorée, comme les sodas, les jus de fruits, la bière et certaines eaux en bouteille, à l’ingestion totale de fluorure.
Aux États-Unis, on estime qu’environ 40 à 70 % des apports en fluor proviennent de l’eau de boisson fluorée.
L’Organisation mondiale de la santé a fixé à 1,5 mg/l la dose maximale de fluorure dans l’eau de boisson et le service de santé publique des États-Unis recommande une concentration de fluorure de 0,7 mg/l dans l’eau de boisson. Cependant, « des niveaux de fluorure supérieurs à 1,5 mg/L sont trouvés dans les puits et les systèmes d’eau communautaires qui desservent près de 3 millions de personnes aux États-Unis », a déclaré Christine Bruske Flowers, directrice de la communication aux Instituts nationaux de la santé, au Epoch Times.
Food & Water Watch contre l’EPA
En septembre 2024, devant un tribunal fédéral californien, l’organisation environnementale à but non lucratif Food & Water Watch a poursuivi l’EPA, arguant que l’ajout de fluorure à l’eau potable était nocif. Le juge a donné raison à Food & Water Watch, estimant que le niveau actuel de fluorure dans l’eau potable (0,7 mg/l) pose un « risque déraisonnable » pour le quotient intellectuel des enfants.
Cette décision se fonde sur le rapport du NTP, qui a constaté que les concentrations de fluorure proches de la norme actuelle de l’EPA présentaient un risque pour le développement neurologique.
L’EPA est désormais tenue de prendre des mesures pour remédier à ce risque, ce qui pourrait entraîner des changements importants dans la manière dont nous traitons l’eau potable.
Désaccord des experts
Malgré les conclusions de l’étude, les experts ne s’entendent pas sur la signification des résultats.
Les études qui ont suggéré un lien entre l’exposition au fluor pendant l’enfance et la réduction du QI « ont leurs limites », a déclaré au Epoch Times Suparna Mahalaha, professeur adjoint à l’école de médecine dentaire de l’université Case Western, qui n’a pas été associée à l’étude.
Dans un éditorial publié en même temps que la nouvelle étude, le Dr Steven Levy, un dentiste qui n’a pas participé à l’étude, souligne qu’il n’y a « aucune preuve » d’un effet néfaste aux niveaux de fluorure inférieurs couramment utilisés dans les systèmes communautaires de fluoration de l’eau.
Un exemple qu’il a cité en opposition à l’étude du NTP est l’utilisation par les chercheurs du fluorure urinaire comme moyen de mesurer l’exposition au fluorure à long terme, déclarant que de telles mesures ne sont pas valables parce que « le fluorure a une courte demi-vie et qu’il y a une variation substantielle à l’intérieur des jours et d’un jour à l’autre ».
Flowers a souligné l’importance de l’eau fluorée et son utilisation depuis des décennies pour réduire les caries dentaires et améliorer la santé bucco-dentaire en général.
Cependant, l’augmentation des modes d’exposition au fluor peut également mettre en danger les femmes enceintes et les enfants.
La consommation de fluor par le biais d’aliments et de boissons préparés avec de l’eau fluorée, de dentifrices et de bains de bouche peut augmenter l’exposition totale au fluor des enfants et des femmes enceintes « et peut affecter le développement neurologique du fœtus, du nourrisson et de l’enfant », a ajouté Flowers.
Mahalaha note que la concentration de fluorure dans l’eau potable est bien inférieure à celle qui est ajoutée au dentifrice et aux bains de bouche, c’est pourquoi il est essentiel de s’assurer que les enfants n’avalent pas ces produits.
Les tubes de dentifrice portent des avertissements contre l’ingestion, car un apport excessif de fluorure peut être nocif.
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