Des dispositifs nanoélectroniques basés sur l'ADN synthétique sont bien embarqués dans les vaccins Pfizer et Cie... Bien que non mentionnés dans la composition du vaccin, en raison d'un vide juridique probablement entretenu (La législation n'a pas évolué depuis 20 ans), ces dispositifs sont inoculés à l'insu des personnes « vaccinées ».
Petit récapitulatif sur les adresses MAC bluetooth des injectés, les nanorouteurs et nanoantennes, l'oxyde de graphène, les nano-poulpes ou hydres...
Il venait de prendre d’assaut le Parlement luxembourgeois pour dénoncer l’orchestration. Parlement où il a également affirmé publiquement avoir traité vingt-et-un patients vaccinés par des technologies ARNm, décédés des suites de Creutzfeldt-Jakob.
À peine un mois après avoir dénoncé un phénomène, suivant ses premières révélations sur le danger de l’activation électromagnétique de molécules semblables au graphène contenues dans les technologies ARNm (4), à savoir la dégénérescence de messagers ARN en prions similaires à ceux ayant provoqué la vache folle, le professeur Montagnier s’en allait finir ses jours à l’hôpital américain de Neuilly.
N’ayant eu de cesse de s’engager dans un combat unifiant la recherche de pointe au bon sens ainsi qu’à la sagesse des médecines du vivant, il annonçait clairement lors d’une assemblée luxembourgeoise commençant doucement à prendre des allures de Nuremberg .
« Nous sommes partis du principe d’Hippocrate, primo non nocere – avant tout ne pas nuire – pour arriver à une médecine qui fait des morts, c’est à dire une médecine iatrogène. Je suis absolument contre. »
Kolakusic et d’autres députés européens ont demandé à Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, quand elle rendrait publiques ses communications avec Albert Bourla, PDG de Pfizer, concernant l’achat des « vaccins ».
« La session d’hier de la commission Covid a montré, une fois de plus, que le Parlement européen n’est rien d’autre qu’une gigantesque illusion de démocratie pour tromper les peuples d’Europe en leur faisant croire que leurs intérêts sont représentés au Parlement. Ce n’est pas le cas »
Rapport d'expert rédigé par Mark Steele, ingénieur britannique, inventeur, rédacteur de brevets et chercheur en armement.
La grande majorité des populations à travers l’Occident, en particulier celles de la communauté Five Eyes, l’alliance du renseignement Anglosphere regroupant l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et les États-Unis, ont été injectées à leur insu avec des antennes en nano métamatériaux et vont malheureusement subir des taux de mortalité accrus en raison des émissions de rayonnement réfléchissantes localisées du radar urbain 5G. Tous les symptômes connus du coronavirus peuvent être attribués à la pollution par les rayonnements ionisants et non ionisants. IV.1, IV.2
La 5G a été identifiée dans un certain nombre d’articles publiés comme la cause réelle de la pandémie, dont le début a coïncidé avec la mise en marche du réseau 5G dans la province de Wuhan, dont la population venait d’être vaccinée contre la grippe obligatoire. La 5G a le potentiel de fournir des niveaux d’énergie ionisants qui entraîneraient une suppression du système immunitaire, laissant le corps à risque de maladie. IV.3
- Un vaccin efficace doit ralentir la progression des décès, mais ce n’est pas le cas pour les vaccins « COVID ».
- L’absence d’efficacité est visible à tous les niveaux, de mondial à une classe d’âge en France.
- Les vaccins ne ralentissent pas l’apparition de nouveaux décès mais ils auraient même tendance à l’accélérer.
La première est une maladie grave. Ce n’est pas vraiment le cas pour la COVID puisque les taux de létalité sont, au pire, comparables à ceux de la grippe, et souvent inférieurs, notamment pour les populations de moins de 75 ans.
La deuxième est évidemment l’efficacité du vaccin.
Pour évaluer l’efficacité d’un vaccin, plusieurs méthodes sont possibles comme le calcul de l’efficacité vaccinale (VE). Mais pour faire de tels calculs, il faut connaître la proportion de la population qui est vaccinée mais surtout le statut vaccinal des gens décédés ou hospitalisés en raison du COVID.
A côté des ré-étiquetages multiples des maladies respiratoires habituelles il y a toutes les fraudes des médecins générées par les incitations financières au ré-étiquetage y compris lorsqu’il ne s’agissait pas d’affections respiratoires ou carrément d’assassinats (Rivotril, sur ordonnance ministérielle) ou soins inadaptés promus par les labos (Remdésivir etc…).
Les conclusions du gouvernement britannique ont été révélées dans un rapport détaillé du ministère de la Santé et des Affaires sociales du pays, intitulé "Summary of the Public Assessment Report for COVID-19 Vaccine Pfizer/BioNTech", mis à jour le 16 août. Le document a été publié par l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du gouvernement.
La section "Conclusions sur la toxicité" du rapport explique pourquoi le ministère recommande de ne pas administrer le vaccin aux femmes enceintes et allaitantes.
Parce que les décès excédentaires (par rapport aux moyennes annuelles) sont très difficiles à cacher pour les gouvernements, ces décès excédentaires apparaissent comme la preuve incontestable qu’ils sont dus aux « vaccins » Covid.
Steve Kirsch estime qu’une personne est actuellement décédée à cause des vaccins pour 1 000 doses administrées. Or, les chiffres officiels britanniques montrent qu’en réalité, ce sont plus de 2 personnes sur 1000 qui meurent dans le mois qui suit leur vaccination covid.
Nous avions convenu dans un précédent entretien avec Vincent Pavan, président de cette seconde association, que nous suivrons leur méthode afin de comprendre en quoi leur message « Un accident cardiovasculaire pour 100 injections (ou myocardite, péricardite, angio-œdème…). La santé de nos enfants vaut plus que des vaccins expérimentaux » est pertinent. Également membre du Conseil scientifique indépendant, Emmanuelle Darles l'accompagne pour détailler leur calcul à l’occasion de ce débriefing.
Nous avons maintenant la preuve scientifique que les injections d’ARNm Covid-19 peuvent causer le cancer des ovaires, du pancréas et du sein.
La voie de réparation de l’ADN de recombinaison homologue est l’un des mécanismes que le corps utilise pour empêcher vos cellules de devenir cancéreuses en réponse au stress environnemental.
L’un des composants les plus importants de cette voie est la protéine tumorale P53 (p53), la « gardienne du génome ». Il protège nos cellules des dommages cellulaires. Sous le stress cellulaire, p53 entre en action, régulant l’expression des gènes pour contrôler la réparation de l’ADN, la division cellulaire et la mort cellulaire. C’est le gène le plus souvent muté dans le cancer.
Données provenant de rapports du laboratoire Pfizer et d’études scientifiques indépendantes.
Début 2022, un juge fédéral du Texas a ordonné à la Food and Drug Administration (FDA) de rendre publique, sous huit mois, l’ensemble des données sur lesquelles elle s’est fondée pour homologuer le vaccin Covid-19 de Pfizer. Ce sont des milliers de pages réparties dans de nombreux documents et rapports qui sont maintenant publiées. Le rapport « C4591001 – Clinical Protocol 2020″ est particulièrement intéressant.
Ce rapport évoque que le simple fait de côtoyer une personne vaccinée peut-être la cause d’effets secondaires sérieux pour un individu non vacciné. La transmission se produit par le contact de la peau ou en respirant le même air qu’une personne ayant reçu le vaccin covid-19.