Après 4 victoires consécutive contre la mise en place de drones policiers, la 5ème bataille commence !
«La Banque centrale européenne a décrété qu’au-delà de 3.000 euros stockés sur un compte en banque, elle imposera des pénalités [...] L’objectif est de briser l’indépendance des gens, de les mettre en position de ne plus pouvoir échapper au contrôle étatique. C’est un projet totalitaire qui est en route. Le pass sanitaire est la première étape de ce système.»
C’est en effet en 1971 au Chili que le gouvernement socialiste de Salvador Allende embauche Anthony Stafford Beer afin de créer une économie planifiée reposant sur les principes de la cybernétique. Le projet n’est pas à l’origine policier ou sécuritaire, mais repose sur l’accumulation et la rationalisation de l’information de toutes les strates de la société.
William Binney est l’un des responsables du renseignement les mieux placés à avoir dénoncé la NSA. Il a fait les gros titres lorsqu’il a démissionné en 2001 après le 11 septembre, après avoir travaillé plus de trente ans pour l’agence de renseignement. Casseur de codes de premier plan contre l’Union soviétique pendant la guerre froide, il s’est retrouvé horrifié par les programmes de surveillance massifs et illégaux des États-Unis.
Par exemple, en recoupant les informations de traçage Bluetooth avec les divers QR code scannés, il est facile de recouper des utilisateurs, s'ils entrent simultanément dans un bar par exemple, plusieurs fois consécutives, on comprend qu'ils sont proches.
L'auteur revient sur l'état actuel de la surveillance en France avant de s'attaquer au pass sanitaire et aux dangers dont il est la source. L'auteur évoque également l'irrégularité du pass d'un point de vue juridique et politique.
Initialement conçu pour tracer les pièces détachées de la firme Toyota, le QRcode sert aujourd'hui à tracer les humains. Dévoilant des données d'identités et de santé à tout individu qui scannera ce fameux code.