Après mon intervention sur le Stalingrad de Macron, je reviens sur la préparation du putsch monétaire par la Commission européenne et le grand remplacement de l'euro papier par un euro numérique entièrement contrôlable par la Banque Centrale. Voici quelques idées pour un anti-putsch pacifique et légal.
La BCE vient de révéler le panel des acteurs qu’elle s’apprête à charger de la mise en place de la première itération du futur « Euro numérique » ou E-Euro. Si la présence d’une banque espagnole ou de l’italien Nexi n’étonnera pas les observateurs, difficile d’en dire autant s’agissant de la présence surprise du géant américain… Amazon.
C’est une annonce qui fait l’effet d’une petite bombe et dont les implications iront probablement bien au-delà du simple périmètre technologique, voire même économique.
La Banque de France prévoit quatre ou cinq autres expériences cette année et l’année prochaine, impliquant davantage d’entreprises privées et d’autres banques centrales étrangères. Elle a déjà travaillé avec la Banque Nationale suisse, l’Autorité monétaire de Singapour (MAS) et la Banque centrale de Tunisie sur des projets distincts de paiement transfrontalier.
« L’euro numérique ne peut être un succès que s’il fait partie de la vie quotidienne des Européens. Il doit apporter une valeur ajoutée par rapport aux solutions existantes »
Pippa Malmgrem, une économiste américaine de premier plan qui a été conseillère spéciale de l’ancien président George W. Bush, a fait une déclaration qui confirme ce que nous-mêmes et d’autres personnes rapportons depuis un certain temps, à savoir qu’une société sans espèces est sur le point de voir le jour.
Il est encore temps d’alarmer. Bien loin du confort idyllique vanté par Thales, le portefeuille numérique en gestation que je pressens et qui pourrait bientôt être sur la table comme ont coutume de dire les journalistes, serait une véritable catastrophe pour nos démocraties.
Selon Austin Fitts, votre santé et vos finances personnelles ne peuvent tout simplement pas être séparées. Les deux sont vraiment comme les deux faces d'une même pièce et les personnes qui n'apprennent pas à naviguer à travers les mensonges des industries médicales et financières peuvent se retrouver en très mauvaise situation, tant du point de vue de la santé que du point de vue financier.
Comme l'explique Austin Fitts, les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et trace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.
« Tout ce que je peux vous dire c'est qu'avoir dit non s'est avéré être la chose la plus intelligente que je n'aie jamais faite. Je ne dis pas que ce n'est pas difficile. C'est exceptionnellement gênant. Je suis passé de personne nantie à une personne ayant à vivre des périodes de pauvreté extrême. C'était assez horrible.
Mais en même temps, vous sortez de l'autre bout et c'est une belle vie. C'est juste une belle vie que d'être libre ... Je ne pense pas qu'il y ait un autre moyen de parvenir à une vie libre et inspirée que de s'y lancer. Il vous faut dire non. Et si nous ne disons pas non, nous allons être des esclaves. Franchement, je préfère être morte que de prendre ces injections. Dieu sait ce qui s'y trouve. »
«La Banque centrale européenne a décrété qu’au-delà de 3.000 euros stockés sur un compte en banque, elle imposera des pénalités [...] L’objectif est de briser l’indépendance des gens, de les mettre en position de ne plus pouvoir échapper au contrôle étatique. C’est un projet totalitaire qui est en route. Le pass sanitaire est la première étape de ce système.»